Poète, essayiste, traductrice & directrice de la collection
« Accent tonique » aux éditions l’Harmattan
Crédit photo : Louise Ward (1849–1930 alias Louise Dubréau : son pseudonyme), « Printemps », peinture de 1882, domaine public. Capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.
VIVRE au bout de tes pas
Dans ton regard d’avril
tout près de la lumière
Là-bas.
Flux de fleurs dans la main
Entre les lignes de l’avenir
Caresse l’instant d’équilibre dans nos histoires
Hors l’amour
Perchées sur les sentiments
Des créatures à tire-d’aile viennent frôler le présent.
L’imparfait accroche un proverbe fatigué
Où martèlent des tambours nègres
chasse gardée des cultures !
on ne se rencontre pas
La liturgie spontanée des doigts
Les Parques filent l’instant des regards
Une éternité passe en nuages rétrécis
Le présent de l’amour file,
avec ses anciens mots de soleil
Étoile indienne de la tribu
le cuivre rare des mains simples
cantiques solaires de l’espoir
Vérités, bouches, larmes, faims
Hors saison des hontes
Autant de ruées
dans la vigueur des résistances
Toujours à la face des bourreaux
Surgit le pays
Au cœur des mots des chants mémorables
Bâtir avec la patience et l'humilité de la feuille
le temps d'un bond
Où l’amour féconde mille visages
Sur mes lèvres, le plus noir sommeil
ton souffle
ta voix d'aurore touche la femme
Au creux de tes paumes
ma terreur écolière
ses joies, ses silences d'aube.
Puis je brûle les herbes malades de l'errance
j’arrache les pierres fiévreuses
dans mes champs de caillasses
je sème les graines solaires
au cœur de l'été je fauche
le sillon
nos aventures torrides et tendres
le sexe hanté de la même jouissance de naître
Je brûle les étapes
j’incendie les comètes
Je hurle aux instants de semence
La joie vaste des aubes solaires
Danse !
***
Pour citer ce poème printanier & inédit
Nicole Barrière, « Poème de printemps », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2024 | NO I « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet,mis en ligne le 30 avril 2024. URL :
J’ai reçu par Françoise Urban Menninger cet article accablant sur un jugement de tribunal de justice à propos d’un poète qui frappe sa femme.
Il s’agit d’un certain « Maulpoix », très en vogue, très « monsieur Partout » dont les livres sont dans les médiathèques, ce qui est toujours une marque de métayage de la poésie, et non de désintéressement. Le poète Maulpoix est devenu l’homme qui cogne, et ses juges le ravalent au rang de « Monsieur Tout le monde ». Terrifiante façon de la justice d’exprimer une totale puissance des femmes battues et dévalorisées, et la totale impunité des bourreaux. Disons que c’est le guerrier d’autrefois qui prenait tant de plaisir à brûler les cités...
Le jugement du tribunal est diffusé, et il doit l’être. On le doit à l’intervention salutaire de la sœur de la victime. Certes, par peur, les victimes se font complices des bourreaux, le système piège les épouses de ces soldats désireux d’infliger des blessures et d’en avoir, par avide ambition. Le cas de ce « poète » agresseur est exemplaire : il n’est pas en cavale, il assume ses maltraitances… Sachant qu’il ne sera pas poursuivi, que ces révélations prêteront sourire, il se compare au poète Verlaine, pris dans une relation mortifère avec Rimbaud et sa femme, et à Picasso. Pourquoi pas Aristote, qui prône la supériorité de l’homme sur la femme ? Femme à qui il doit la vie, mais les esprits pervers pratiquent avec un zèle hors pair l’ingratitude.
Le discours, aussi concret et direct que les coups du « possesseur », sa façon de marquer sa propriété dans le système patriarcal mondial, multi millénaire, imprégné de la culture du viol, est actuellement analysé. Pourvu que ça dure, et que ce ne soit pas au service d’un idéal autocratique !
Un autre poète proférateur de glose parle de « dénonciation » ! Il s’agit de protéger une femme battue quand elle était enceinte mais on dévie, on colle des étiquettes... Le même poète générateur de glose parle de « sale » et très « vilain fait divers ». Seulement un fait divers… seulement du « Monsieur Tout le monde » ! La Tribune des 400 femmes contre les violences genrées dans le milieu littéraire affirme que pas une seule d’entre nous a échappé aux agressions. C’est facile d’arrêter le discours sur la barbarie par le poison ! Allez, c’est un monstre, c’est un marginal, un Autre, et notre démocratie ne peut produire des hommes violents envers les femmes, des hommes qui les dominent pour leur interdire une vie propre.
Dans cet exemple, l’impunité s’étend dans les débauches littéraires. Monsieur Tout le monde-poète reçoit en 2022 un prix de poésie aux éditions Gallimard. Le même jour, il a cassé le poignet de sa femme pour qu’elle ne puisse plus écrire. « Riez », écrivais-je dans La Malcontente.
Ces agressions contre les femmes sont préméditées. Admises comme la guerre, comme le pillage des villes incendiées, ces multiples agressions expriment une toute puissance virile dont l’adversaire invisible est la féminité. La déesse tutélaire d’une ville réduit à peu de choses l’égoïsme du vaillant petit soldat. La propriété d’un homme du corps de la femme, c’est la maman qui, sous contrat, lui assure une postérité, c’est la putain qu’il achète comme un simple objet. Dans les systèmes mafieux, les femmes sont enlevées et prostituées. L’élément structurant du patriarcat est que les femmes sont des territoires que les hommes possèdent pour les échanger. Ce système de pouvoir se retrouve en poésie, avec la spectacularisation du corps de la femme (cf. Elle par bonheur et toujours nue…). Les exemples de femmes sur-tuées foisonnent, car l’Etat marche sur le corps des femmes. Tant que les victimes de violences conjugales sont « invisibilisées », le silence préside à l’écriture des poétesses, notamment quand elles s’énervent sur le terme qui les désigne.
Le jeune poète proférateur de glose le prouve en reprenant le mythe de Philomèle, sans citer Tant de Philomèlesen ce monde paru sous ma direction au Pan poétique ! Ah, la priorité des idées… Pour sortir de silence qui paralyse, il faut identifier la violence mentale (lire Laurène Daycard, Nos absentes). Le slogan « quand on touche à une femme, on touche à toutes les femmes », assure l’unité, sans uniformité.
Plus on monte dans la hiérarchie sociale, moins les femmes portent plainte pour maltraitance. La professeure Laure Helms est une survivante alors que la maîtresse de conférence Cécile Poisson* est décédée.
Dernier fait exemplaire de cette société qui a déployé tous ses rets pour arnaquer les femmes, le tribunal a aussi condamné Laure Helms ! Ancienne élève de l'ENS (Ulm), agrégée de Lettres modernes, docteure en littérature, professeure en classes préparatoires littéraires au lycée de Fustel de Coulanges, à Strasbourg, publiant comme moi chez Armand Colin un essai sur la présence des femmes en littérature... Tout s’éclaircit : Monsieur Tout le monde l’accusait sans doute de ne pas être assez gentille avec lui (lire « pas assez pute »). Le grand poète ne s’évanouit plus dans l’égoïsme mais dans le despotisme…
Dans la France d’aujourd’hui, les violences conjugales et les viols sont des délits pénaux ce qui n’était pas ainsi dans le passé, et ne l’est toujours pas dans d’autres pays. Pourtant la société a du mal a en parler, et les femmes opprimées se taisent, ne vont pas jusqu’à la révolte et encore moins au commissariat. Esclaves de cette longue suite d’actions dévalorisantes, heurtées, destructrices, il est vital pour elles de ne pas aller au-devant de plus de souffrances et de se protéger des violence psychologiques. C’est ce qu’illustre une sanction mi-figue mi-raisin (cas de Laure Helms), ou dans le mien, un jugement rendu inopérant après des années d’embarras juridiques qui massacrent la création. Bien qu’elles aient besoin de la plus grande attention, les femmes agressées sont jugées castratrices. Leur sensibilité, leurs vapeurs, leur sensualité sont les caisses de résonnance des mauvais traitements et des traumatismes qui accroissent le risque de développer une pathologie mentale. L’agresseur de mon bureau d’écrivaine m’a lancé dans la rue : « sorcière, pas encore suicidée ». Tout trahit le désordre et la haine. Le spectre de la violence que les femmes subissent commence enfin à être analysé par les néo-féministes, qui œuvrent à une prise de conscience dans l’espérance d’être plus humains.
Ce qui reste encore peu intelligible, ce sont les doctrines sans doute pérennes que j’ai étudiées dans Le Mythe d’Isis pour une société sans radicalité (cf. La Thréicie de Quintus Aucler, l’initiation aux Mystères d’Isis…). Le sentiment d’infériorité implanté notamment par l’École Normale Supérieure produit une culture d’automates qui, entre antagonisme et mimétisme, interdit l’épanouissement des femmes dans la création. Que France-Culture énonce des écrivains pour le bac, ou désigne des poètes, il n’y a que des hommes. Nec plus ultra, les désirs de propriété, de gloire et de puissance qui s’érigent en modèles creusent la tombe à larges pelletées, dessèchent le cœur et ne rendent jamais heureux.
« Une révolution est en marche ». « La peur change de camp », « c’est à l’agresseur d’avoir peur » (slogans…), pour qu’une voix s’élève, claire, inespérée, portant une vérité constante, ferme et paisible.
La poétesse, psychologue et activiste mexicaine Susana Cháveza été violée et asphyxiée à 36 ans, le 6 janvier 2011 ; ses trois agresseurs ont coupé la main avec laquelle elle écrivait. Voir la série de France-Culture, Féminicides.
Collègues, amies et famille se sont succédés ce mercredi dans un amphithéâtre de l'ENS afin de rendre hommage à l'intellectuelle et dresser le portrait d'une femme brillante, joyeuse, fauché...
Camillæ (Camille Aubaude), « "PAS UNE DE PLUS" », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 28 avril 2024. URL :
Crédit photo : Peinture de Sebastian Stoskopff (1597-1657) que la poète aime tout particulièrement pour sa lumière. Tableau tombé dans le domaine public. Capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.
Françoise Urban-Menninger, « une part d’infini », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 28 avril 2024. URL : http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/fum-unepartdinfini
Crédit photo : Louise Catherine Breslau (1856–1927) « Amies », peinture tombée dans le domaine public. Capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.
À mon amie d'enfance
C'est à toi, Julia, à toi la douce compagne de mon enfance que je dédie ce premier et faible essai poétique. En le lisant tu retrouveras peut-être quelques souvenirs de notre joyeux passé. Tu le sais, Julia, nous avons grandi ensemble ; nous avons promené nos rêveries de jeunes filles dans la même campagne, sous les mêmes ombrages, au bord des mêmes ruisseaux. Nul mieux que toi, mon amie, ne pourra donc comprendre ces premiers rêves éclos pendant que nous descendions ensemble la pente de la ravine ou le sentier de nos bruyères.
La source à l'ombre des saules, le moulin dont nous entendions le bruit de si loin, la prairie dont l'herbe printanière nous cachait à moitié, le chant des villageois le soir, en un mot les mille beautés de la nature où toutes deux nous avons vécu, voilà, Julia, ce qui m'a inspirée.
– Mais pourquoi, me diras-tu, faire imprimer des poésies dont tout le charme consiste dans les souvenirs intimes où tu les as puisées ? Pourquoi ne pas les enfouir plutôt au plus profond de ton cœur ? Pourquoi les écrire même, et, si tu les écris, ne pas les abandonner au vent ?
– À cela je répondrai : Je suis bien jeune, c'est vrai, puisque je n'ai que seize ans ; je n'ai donc pas encore vécu, dans le sens du moins que l'on attache à ce mot, car de la vie je ne connais presque rien. Mais il me semble, Julia, qu'à tous Dieu a confié une tâche, et que cette tâche nous devons la remplir. Pourquoi si plus tard, si maintenant même, mes chants peuvent faire quelque bien, pourquoi ne pas essayer ?
Il y en a tant qui souffrent et qui pleurent, tant de pauvres qui n'ont plus d'espoir. Eh bien, je chanterai pour eux, et si je puis sécher quelques larmes, que pourrai-je demander de plus ?
Anna ROBERJOT
Vitry, mai 1868.
*La prosatrice (poète) a seize ans en mai 1868, si cette date est juste, Nous en savons donc qu'elle est née en 1852.
إلى صديقة الطفولة
إليك يا جوليا*، رفيقة طفولتي اللطيفة، أهدي هذه المقالة الشعرية الأولى والضعيفة. من خلال قراءتها ربما تجد ين بعض ذكريات ماضينا السعيد. كما تعلمين، جوليا، لقد نشأنا معًا؛ تجولنا في أحلام الفتيات الصغيرات في نفس الريف، تحت نفس الظلال، وبنفس الجداول. لن يتمكن أحد أفضل منك، يا صديقتي، من فهم هذه الأحلام الأولى التي حدثت عندما كنا ننحدر معًا على منحدر .الوادي أو طريق الخلنخ
الربيع في ظل أشجار الصفصاف، الطاحونة التي سمعنا ضجيجها من بعيد، المرج الذي أخفانا نصف عشبه الربيعي، غناء القرويين في المساء، بكلمة واحدة آلاف جمال الطبيعة حيث كلنا نحن الاثنتان
.من ذوي الخبرة، هذا كل شيء، جوليا، ما ألهمني
لكن، سوف تسأليني، لماذا تطبع قصائد يكمن سحرها كله في الذكريات الحميمة التي استمدتها منها؟ لماذا لا تدفنهم عميقا في قلبك بدلا من ذلك؟ لماذا تكتبينها، وإذا كتبتينها، لا تتركينها للريح؟
سأجيب على هذا: أنا صبيةً جداً، هذا صحيح، فأنا في السادسة عشرة من عمري فقط؛ ولذلك فإنني لم أعش بعداً، على الأقل بالمعنى الذي نربطه بهذه الكلمة، لأنني لا أعرف شيئاً تقريباً عن الحياة. لكن يبدو لي يا جوليا أن الله قد عهد إلى الجميع بمهمة، وهذه المهمة يجب علينا إنجازها. لماذا إذا كانت أغنياتي لاحقاً، أو حتى الآن، يمكنها أن تفعل بعض الخير، فلماذا لا أحاول؟
كثير مننا يتألمون ويبكون، والعديد من الفقر الذين لم يعد لديهم أمل. حسناً، سأغني لهم، وإذا كان بإمكاني مسح بعض الدموع، فما الذي يمكنني أ ن أطلب أكثر من ذلك؟
L'éloge en prose ci-dessous est une dédicace en prose portant sur les joies et bonheurs de l'amitié féminine qui réunit deux adolescentes du XIXème siècle. L'exergue fort poétique et en prose débute l'œuvre en guise de dédicace à la chère amie d'enfance de la poète et provient de l'ouvrage tombé dans le domaine public de ROBERJOT, Anna (1852-1???), Mes premiers rêves : poésies[par Mlle Anna Roberjot], Macon (Imprimerie d'Émile PROTAT), 1868, pp. 3-4.
Pour citer cet éloge de l'amitié féminine par l'aïeule
Anna Roberjot, Anna (1852-1???), « À mon amie d'enfance / إلى صديقة الطفولة », panégyrique choisi, transcrit & traduit en arabe littéraire avec une précision sur la date de naissance de la poète par Dina Sahyouni de ROBERJOT, Anna (1852-1???), Mes premiers rêves : poésies (1868), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 24 avril 2024. URL : http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/ds-ar-amonamiedenfance
Célébrons en poèmes le mois d'avril, qui est dédié à la sensibilisation à l'autisme.
À mon neveu Karim en portant le slogan « Soutenons l'autisme : Je Brille en Bleu en Avril » et moi : « Je soutiens Karim et tous les enfants autistes comme Karim et j'écris un poème en Avril »
Dans le jardin de la vie, un joyau émerge,
Karim, mon neveu, éclat d'étoile,
À presque sept ans, il attend, courageux,
Son cœur vibrant, empreint de voiles.
Dans son monde unique, plein de merveilles,
Il peint nos jours de sa grâce céleste,
Mais les portes se ferment, laissant des failles,
Les regards inquiets, une tension modeste.
Autiste, disent-ils, mais je vois la lumière,
Dans chaque sourire, dans chaque regard,
Son intelligence, une flamme à éclat clair,
Karim, enfant précieux, un trésor au hasard.
Il emporte nos doutes, nos incertitudes,
Dans son monde, il nous guide, nous montre,
Chaque jour, une leçon de gratitude,
Karim, mon neveu, une étoile, une rencontre.
En attente, il reste, patient et confiant,
Son cœur bat au rythme de l'espoir,
Il adore jouer, rire, mais souvent,
Il pleure en voyant les autres, sans pouvoir.
Les jardins d'enfants, les portes se referment,
Mais Karim, distingué, brille de mille feux,
Son esprit, un océan de découvertes et de termes,
Dans ses yeux, la vie, un cadeau précieux.
Dans son silence, une symphonie se tisse,
Les mots deviennent des étoiles dans le ciel,
Karim, avec toi, la vie, une bénédiction, une frise,
Pour citer ce poème inclusif, engagé, illustré & inédit
Hanen Marouani (poème & photographie), « Karim brille en bleu tous les jours », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 23 avril 2024. URL :
RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION !
Cette section n'a pas été mise à jour depuis longtemps, elle est en travaux. Veuillez patienter et merci de consulter la page Accueil de ce périodique.
. CÉLÉBRANT LES AUTRICES EXILÉES, IMMIGRÉES, RÉFUGIÉES... LE 8 MARS DE CHAQUE ANNÉE, LE PRIX LITTÉRAIRE DINA SAHYOUNI (PORTANT LE NOM DE LA FONDATRICE DE LA SIÉFÉGP ET DE CETTE REVUE) REDÉMARRE À PARTIR DU 14 JUILLET 2025 POUR L’ÉDITION DU 8 MARS 2026....
N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Annonces diverses / Agenda poétique Actualités poétiques à ne pas manquer en juin ! (suite...) La rédaction de ce périodique a sélectionné pour vous les événements artistiques & poétiques...
N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Critique & Réception | Poésie & littérature pour la jeunesse Le récit « Souvenirs de Chine » écrit & illustré par Marie-Jeanne Langrognet-Delacroix vient de paraître aux Éditions Astérion...
N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Florilège Annonces diverses / Agenda poétique Avis de parution du nouveau recueil bilingue français-espagnol d’Aurélie-Ondine Menninger : La sangre de las aves / Le sang des oiseaux...