3 juillet 2025 4 03 /07 /juillet /2025 17:02

N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Critique & réception | Poésie & musique

 

 

 

 

 

 

Poésie & musique sur le Dichterwag

 

(sentier des poètes) de Soultzmatt en Alsace

 

 

 

 

 

 

Chronique de

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

Photographies par

 

Claude Menninger

 

 

 

© Crédit photo : Claude Menninger, « Françoise Urban-Menninger » récitant ses poèmes lors de la nouvelle promenade poétique sur les pentes du Zinnkoepflé (Soultzmatt en Alsace) du « Sentier des poètes », 2025.

 

 

 

À l’initiative du poète Claude Diringer, cofondateur du sentier des poètes et de son ami André Schlegel, une nouvelle promenade poétique s’est déroulée dernièrement sur les pentes du Zinnkoepflé.


 

Sous l’intitulé « A friejohr fer unsri Sproch », des poètes ont lu leurs écrits en alsacien mais aussi en allemand et en français. L’écrivain Jean-Paul Sorg a rendu un vibrant hommage à Albert Schweitzer en lisant quelques pages de ses lettres empreintes d’une délicate poésie adressées à Hélène Bresslau, sa future épouse.

Les auteurs de la vallée de Munster, réunis dans l’ouvrage de témoignages « Mon Schweitzer », publié à l’initiative de Francis Guthleben, étaient également de la partie pour évoquer le grand humaniste dont on célèbre cette année le 150 e anniversaire de naissance.

 

 

© Crédit photo : Claude Menninger « Réunion poétique & musicale du sentier des poètes » lors de la nouvelle promenade poétique sur les pentes du Zinnkoepflé (Soultzmatt en Alsace)», 2025.

 

 

Ba Banga Nyeck, inventeur du balafon chromatique et Jean-Paul Kirtz, clarinettiste présent depuis l’inauguration du sentier, ont accompagné au son de leurs instruments Aminta Marie Dupuis, Martine Blanché, Claude Diringer, Françoise Urban-Menninger, Béatrice Koch, Angèle Rohmer, Guy Michel, Jean-François Schwaiger jusqu’au caveau Feltz où le viticulteur Seppi Landmann leur a conté l’histoire du vin de glace. Et c’est autour d’un verre que les diseurs de vers ont clos cette rencontre où planaient les figures emblématiques d’Albert Schweitzer et de Louis Schittly, le chantre du Sundgau qui vient de nous quitter.

 

© Françoise Urban-Menninger, juillet 2025.

***

Pour citer ce texte illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « Poésie et musique sur le Dichterwag (sentier des poètes) de Soultzmatt en Alsace », avec deux photographies par Claude Menninger, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 3 juillet 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiii/fum-poesieetmusique

 

 

 

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26 juin 2025 4 26 /06 /juin /2025 15:07

N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Critique & réception | Biopoépolitique | Handicaps & diversité inclusive

 

 

 

 

 

 

Journal, récit d’Éric Dubois paru dans la 

collection La Bleu-Turquin dirigée par Jacques Cauda aux Éditions Douro

 

 

 

 

 

 

Critique par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

© Crédit photo : Première & quatrième de couverture illustrée du « Journal » par Éric Dubois, œuvre parue aux Éditions Douro.


 

Pierre Kobel, le préfacier du Journal d’Éric Dubois reprend une citation de Philippe Lejeune qui affirme que « le journal n’est pas seulement un texte... » et de relever encore cette déclaration éclairante de Michelet qui disait de son journal qu’il était son « âme de papier ».

Nul doute que derrière les mots, voire les maux, Éric Dubois ne cesse de chercher à se connaître dans une quête qui transcende sa « Maladie » qui a partie liée avec la folie et dont il nous précise « N’attendez pas de moi que j’en donne une définition » car « elle ne nous est pas donnée comme intelligible ».

 

Éric Dubois nous confie que sa première hospitalisation « marque un tournant dans sa vie » et d’ajouter que « Par la Maladie, par ma Maladie, je devins créateur de ma vie, ayant volé le feu dans le lieu de l’inexprimable, Prométhée mal dégrossi, pour apporter la lumière aux cloisons sombres du Monde. » Dès lors, dessins, poèmes raturés ou surlignés de rouge, irruptions de personnages issus des tréfonds de son être, signes non identifiés, caractères en Hébreu viennent recouvrir les pages de son cahier de brouillon. Une semaine d’indécision « pourtant arbitrée par le Très-Haut » semble le guider, il évoque Dubuffet, Char, Picasso... Le jour de sa sortie, il écrit en avouant pratiquer ce qu’il appelle le « Mentir-vrai » si cher à Aragon.

Éric Dubois renaît dans la peau d’un écrivain alors qu’il pensait être « un inadapté social » ! Sous sa plume, on lit « Je suis du bois dont on fait du papier et des livres, mon âme est une page blanche à réécrire sans cesse, mes pensées de feuillets au vent et ma vie une librairie à ciel ouvert. »

 

© Crédit photo : Portrait photographique en noir & blanc du poète-diariste Éric Dubois.

 

C’est dans l’écriture qu’il se trouve une identité, son blog Le Capital des Mots fait de lui « un passeur » où des centaines d’auteurs lui doivent d’avoir été publiés.

Au pays de la Schizophrénie, qui l’accompagne depuis un quart de siècle, il finit pas associer l’écriture et sa Maladie jusqu’à déclarer « l’écriture est schizophrénie » !

Retenons ces magnifiques assertions dans lesquelles Éric Dubois se livre, l’âme nue, « Écrire me résume, résume ma personnalité et ma vie. Écrire me fait exister... »

Émaillé  de croquis et de citations, son Journal nous ramène vers la lumière car son écriture est lumière. Dans une phrase luminescente, il explore ce paradoxe : « L’ombre est une part de la lumière. L’ombre nous accompagne quoi que  l’on fasse de bien ou de mal. L’essentiel est de retrouver la lumière. »

 

Éric Dubois qui voulait « montrer la part de poésie qu’il y a dans toute maladie psychique » nous invite dans le même temps à appréhender « cet obscur qui travaille en nous » évoqué par Henri Meschonnic. En lisant son Journal, nous empruntons ce chemin de la connaissance de soi qui passe par celui de l’autre où poésie et folie font danser l’âme sur le fil ténu où celui qui s’adonne à l’écriture n’est autre qu’un funambule en quête de sa lumière intérieure.

 

© Françoise Urban-Menninger, juin 2025.

***

Pour citer ce texte illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « Journal, récit d’Éric Dubois paru dans la collection La Bleu-Turquin dirigée par Jacques Cauda aux Éditions Douro », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 26 juin 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiii/fum-journalericdubois

 

 

 

 

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18 juin 2025 3 18 /06 /juin /2025 15:35

N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Catastrophes, faits de société & faits divers | S’indigner, soutenir,  lettres ouvertes & hommages | Revue  Poépolitique 

 

 

 

 

 

les charniers de l’humanité

 

 

 

 

 

 

Poème anti-guerre par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

Peinture par

 

Henri Rousseau
(dit Le Douanier Rousseau, 1844-1910)

 

Crédit photo : Henri Rousseau
(dit Le Douanier Rousseau, 1844-1910), «La guerre », peinture tombée dans la domaine public, capture d'écran de l’image libres de droits du site Wikipédia. Illustration choisie par la poète.

 

sous la musique des mots

il y a les plaintes

de ceux qui ne sont plus

celles des charniers de l’humanité

 

 

pourquoi naître et faire naître

quand la guerre sous les bombes

n’a que faire de nos larmes

et du sang des innocents

 

 

la guerre n’est pas qu’un mot

elle est notre contre-humanité

faisons-lui déposer les armes

partout dans le monde

 

 

défions avec la poésie

les grands ordonnateurs des tueries

ne reculons pas devant notre peur

car c’est elle qui nous assassine

 

 

arrachons les masques de la folie

qui défigurent l’âme des peuples

avant que le cadavre de notre civilisation

n’achève de se décomposer

 

 

© Françoise Urban-Menninger, juin 2025, ne pouvant rester muette quant à la dérive de l'humanité, voici le poème que j'ai écrit cette nuit.

***

Pour citer ce poème pacifique, politique illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « les charniers de l’humanité » avec une peinture par Henri Rousseau (1844-1910), Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 11 juin 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiii/fum-charniersdelhumanite

 

 

 

 

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17 juin 2025 2 17 /06 /juin /2025 16:24

N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Annonces diverses / Agenda poétique

 

 

 

 

 

Actualités poétiques à ne pas manquer en juin ! (suite...)

 

 

 

La rédaction de ce périodique a sélectionné pour vous les événements artistiques & poétiques suivant à ne pas manquer durant le mois de juin 2025 :

La rédaction de ce périodique a la joie de partager avec vous la suite de sa sélection d’événements artistiques & poétiques à ne pas manquer durant le mois de juin 2025 :

1. Françoise Urban-Menninger au festival de littérature en Suisse

 

LIENS UTILES :

— https://www.trinationale-literaturtage.ch/

— https://www.trinationale-literaturtage.ch/Autorinnen/

 

 

 

2. Camille Aubaude au 42e MARCHÉ DE LA POÉSIE À PARIS, stand n. 307.

 

 

© Crédit photo : Camille Aubaude,Couv.-première de couverture illustrée de l’édition bilingue des « Poèmes de la Maison des Pages ».

 

Chères Amies, Chers Amis,

 

Du mercredi 18 juin, à 14h, au dimanche 28 juin, à 18h, aura lieu à Paris, Place Saint-Sulpice, le 42e Marché de la Poésie, le plus important au monde.

 

Je serai joignable au STAND n. 307, en principe de midi à 13h et de 15h à 16h.

 

Vous pouvez m’annoncer votre présence par un courriel.
 

Alexis Margowski, Paris est un livre, tiendra le stand jeudi toute l’après-midi. Il publie l’Ode à Paris de Camille Aubaude.

 

Nous présenterons les recueils de poèmes, les éditions bilingues des Poèmes d'Amboise et la nouvelle édition du récit La Maison des Pages.


 

© Camille Aubaude

La Maison des Pages

website : https://camilleaubaude.wordpress.com

Musée d'écrivain

 

 

© Crédit photo : Camille Aubaude, « coupure d’article », juin 2025.

 

N'hésitez pas à partager avec nous vos événements poétiques et artistiques à venir !

 

***

Pour citer ces événements inédits

 

LPpdm, « Actualités poétiques à ne pas manquer en juin ! (suite...) », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 17 juin 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiii/actualitesjuin

 

 

 

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11 juin 2025 3 11 /06 /juin /2025 16:30

N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet  | Dossier | Florilège | Fictions féministes  | Astres & animaux 

 

 

 

 

L’âme des choses

 

 

 

 

 

 

Récit par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

Peinture par

 

Mary Cassatt (1844-1926)

 

 

Crédit photo : Mary Cassatt (1844-1926), « La tasse de thé », 1880, peinture tombée dans la domaine public, capture d'écran de l’image libres de droits du site Wikidata. Illustration choisie par l’autrice.

                                               
 

Dans le vase bleu roi, trois tulipes d’un rouge pourpré, courbent leur tête bombée aux pétales dilatés vers le filet de lumière qui filtre parcimonieusement entre les persiennes.

 

Le silence habite la pièce et l’habille de volutes invisibles qui serpentent d’objet en objet, de la bergère au bibelot raffiné, à la photographie jaunie et surannée où posent deux jeunes mariés du siècle dernier, du napperon en dentelles crochetée à l’œuf d’oie peint, ramené d’un lointain voyage dans une île grecque.

 

Tous ces objets ont leur place attribuée et s’y tiennent, confinés et immobiles dans une conversation silencieuse quotidienne, gracieuse et volubile, perçue d’eux seuls dans l’intimité des murs qui les abritent.

 

Parfois dans ma solitude, je deviens l’un de ces objets. Je me fonds dans le décor et suis tour à tour, ce coussin de soie parme, ce rideau d’organdi ajouré ou cette poupée en celluloïd au sourire figé. Je n’ai plus de corps, je m’évapore, me dissous dans les airs, légère, aérienne et n’ai pas plus de consistance que la transparence de ma pensée.

 

Mon âme, seule, vagabonde à la rencontre de toutes ces âmes qui émanent de chacun des objets qui occupent le salon. Une vraie fête commence alors, faite de conciliabules, de rires étouffés, de confidences ineffables et froufroutantes… Et quand je prends mon thé dans ma tasse en porcelaine fine, liserée d’or, des esprits tout exprès sortis des murs, des tentures et des tableaux, viennent me rejoindre sur le canapé fleuri où déjà deux oiseaux des îles piaillent et babillent en dérobant, de leur bec doré, grand comme un dé à coudre, les quelques miettes qui tombent de ma tranche de cake.

 

Tout le salon s’anime d’une vie sémillante et ravie d’émerger d’un trop long sommeil. De lointains parents, des amis disparus, aux traits que je croyais avoir oubliés, avancent leur visage de revenant et me font signe dans le feuillage de lierre qui déborde les murs de ma maison pour s’inviter dans mon salon. Des voix, au timbre indéfinissable et pourtant familier, m’enveloppent de leur tessiture et me parlent jusque dans la soirée où la demi-pénombre m’impose d’allumer les lampes du séjour.

 

Alors autour de moi, tout n’est plus que débandade, tout se défait et s’anéantit. Une agitation de lendemain de fête, amère et frustrante, succède à mon trop court moment de plénitude où le temps  avait arrêté son cours.

 

Toues les âmes, bien trop sages, rejoignent leurs secrètes alcôves, pendant que moi, reprise dans le filet des habitudes, je renoue avec les apprêts de mon être civilisé et policé. Je regagne mon corps, reprends mon masque de mascarade, réajuste mon sourire de comédie devant le miroir qui ne me renvoie que l’apparence de mon vrai moi.

 

Mon âme, elle, danse encore sur le bord de ma tasse de thé où les deux oiseaux n’ont pas fini de picorer l’ennui qui les dévore en silence.

 

 

© Françoise Urban-Menninger, juin 2025.

***

Pour citer ce récit poétique  illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « L’âme des choses » avec une peinture par Mary Cassatt (1844-1926), Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 11 juin 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiii/fum-lamedeschoses

 

 

 

 

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