27 octobre 2025 1 27 /10 /octobre /2025 17:52

N° IV | AUTOMNE 2025 | LE MAL DE VIVRE... » | Dossiers majeur & mineur | Florilèges | Fictions féministes


 

 

 

 

 

 

 

le voyage de l’éternel retour

 

 

 

 

 

 

Poème & photographie (fournie)

 

Françoise Urban-Menninger

 

 

 

 

Crédit photo : Franz Marc (1880-1916), « Frau im Wind am Meer » ou « Femme dans le vent au bord de la mer », tableau peint en 1907 & tombé dans le domaine public, image libre de droits fournie par Françoise Urban-Menninger.

 

 

 

 

suis-je encore moi-même

quand sous le miroir de l’onde

ma mort m’étreint

de ses longs bras verdis d’algues marines


 

j’ai entrepris le voyage de l’éternel retour

qui de moi à moi

me ramène dans le ventre originel

où naît cette langueur d’être au monde


 

les vagues revêtues de lamelles d’argent

y ont des ondulations de serpent

parmi elles je me transmute

en une chevelure d’écume


 

la houle se propage en moi

défait la chair bleue du poème

le ciel zébré d’éclairs

soulève parfois mon âme sous les flots


 

j’ai encré ma rime en pleine mer

car je n’ai pour tout horizon

que cette dernière saison

où la mort me fait danser dans sa lumière

 

 

© Françoise Urban-Menninger, octobre 2025.


 

***

Pour citer ce poème lyrique, engagé, élégiaque & illustré

 

Françoise Urban-Menninger, « le voyage de l’éternel retour », peinture par Franz Marc (1880-1916), Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2025 | NO IV « LE MAL DE VIVRE DANS LA MORT VOLONTAIRE DES ARTISTES DE SAPHO À NOS JOURS » sous la direction de Francoise Urban-Menninger, mis en ligne le 27 octobre 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiv/fum-voyagedeleternelretour

 

 

 

 

 

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15 octobre 2025 3 15 /10 /octobre /2025 17:31

N° IV | AUTOMNE 2025 | LE MAL DE VIVRE... » | Bémols artistiques | Critique & réception | Poésie visuelle | Cuisiner en poétisant 

 


 

 

 

 

 

 

 

Les œufs Bénédicte à la galerie

 

la Pierre Large à Strasbourg

 

 

 

 

 

 

Critique & images par

 

Françoise Urban-Menninger

 

 

 

© Crédit photo : , Image no 1 de l’exposition « Les œufs Bénédicte » au féminin proposés par la plasticienne Bénédicte Bach à la galerie la Pierre Large à Strasbourg prise par Françoise Urban-Menninger, octobre 2025.

 

 

 

On connaissait « les œufs Bénédict » du nom de l’ inventeur de la recette à New York en 1930, nous avons maintenant « les œufs Bénédicte » au féminin proposés par la plasticienne Bénédicte Bach.

 

Ses œufs se déclinent sur six variations car de la naissance à la mort, les corps, avec lesquels ils ont partie liée, ne cessent de se transformer au fil d’un temps qui les fait et les défait.

Bénédicte Bach explore ces  différentes métamorphoses depuis la petite fille qu’elle a été à la mère qu’elle est devenue en donnant naissance à son fils.

 

Pour ce faire et dans l’attente de la mise au monde de son enfant, c’est à Rome qu’elle est allée se ressourcer et qu’elle a trouvé la sérénité. Il en résulte une série de magnifiques photographies de sculptures en noir et blanc nimbées de luminescence.

 

 

© Crédit photo : , Image no 2 de l’exposition « Les œufs Bénédicte » au féminin proposés par la plasticienne Bénédicte Bach à la galerie la Pierre Large à Strasbourg prise par Françoise Urban-Menninger, octobre 2025.

 

 

Dans sa série de boîtes de Petri, l’artiste a observé l’évolution de micro-cultures, un univers en miniature où la beauté des images irradiantes de couleurs confine à celle d’une mort annoncée mais toujours joyeuse, pimentée de petits grains de folie et d’un zeste de poésie.

Car chez la femme qu’elle est devenue, la petite fille ne cesse de renaître dans un renouveau toujours recommencé qui accompagne la créatrice et qu’elle met en scène. C’est ainsi qu’on la voit donner le biberon à un immense ours en peluche. Ailleurs, son corps qu’elle photographie elle-même avec un déclenchement à retardement, devient cet obscur objet du désir, puis le temps poursuit son œuvre comme Bénédicte Bach s’adonne à la sienne.

 

Au-delà des images et de la magnifique vidéo qui invite à appréhender « le lait des rêves » qui se transmet de mère en fille, la plasticienne, également autrice, a rédigé un texte très intime « Egographie » qui raconte la « difficulté d’être mère », car écrit-elle, en parodiant Simone de Beauvoir « On ne naît pas mère, on le devient ».

 

 

© Crédit photo : , Image no 3 de l’exposition « Les œufs Bénédicte » au féminin proposés par la plasticienne Bénédicte Bach à la galerie la Pierre Large à Strasbourg prise par Françoise Urban-Menninger, octobre 2025.

 

Et c’est en faisant un pied-de-nez aux idées reçues concernant la maternité que Bénédicte Bach donne à entendre sa voix singulière et féministe dans le chœur universel des mères, le tout, bien évidemment, nimbé d’un léger et savoureux nuage de poésie !

 

© Françoise Urban-Menninger

 

Exposition à découvrir à la Pierre Large à Strasbourg jusqu’au 25 octobre du mercredi au samedi de 16H à 19H, URL. www.galeriepierrelarge.fr


 

***

Pour citer ce bémol artistique illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger (texte & photographies fournies), « Les œufs Bénédicte à la galerie la Pierre Large à Strasbourg », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2025 | NO IV « LE MAL DE VIVRE DANS LA MORT VOLONTAIRE DES ARTISTES DE SAPHO À NOS JOURS » sous la direction de Francoise Urban-Menninger, mis en ligne le 15 octobre 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiv/fum-lesoeufsbenedicte

 

 

 

 

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1 octobre 2025 3 01 /10 /octobre /2025 17:18

N° IV | AUTOMNE 2025 | LE MAL DE VIVRE... » | Critique & réception | Dossier majeur | Articles & Témoignages

 


 

 

 

 

 

 

 

Oniriques

 

 

 poèmes d’Ara Alexandre Shishmanian.

 

Recueil paru chez PHOS 2025

 

 

 

 

 

 

 

 

Critique & images (fournies) par

 

Françoise Urban-Menninger

 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustréé du recueil de poèmes « Oniriques » d’Ara Alexandre Shishmanian chez PHOS 2025, image fournie par Françoise Urban-Menninger.

 

 

Quand on ouvre un livre d’Ara Alexandre Shishmanian, on est submergé par une atmosphère irréelle semblable à celle que l’on éprouve en regardant le film de Jean Cocteau « Le sang d’un poète » ou « L’année dernière à Marienbad » d’Alain Resnais.

 

 

Nous suivons « l’escalier sans marches » jusque dans cet entre-deux où rêve et réalité ont partie liée avec, ce que Dana Shishmanian, la préfacière de ce livre, appelle « le romantisme le plus absolu, le plus intransigeant, le plus spiritualiste,  tendant vers une supraconscience libérée du langage... »

Ce n’est pas par hasard que le Bel animal moderne en bois peint de Victor Brauner figure sur la couverture de cet ouvrage, il est déjà une clé qui nous fait entrer dans un outre-monde où l’on perçoit des murmures d’âmes échappées des confins de l’infini.

Ces murmures que l’auteur appréhende dans « les syllabes des anciennes voies », il dit les jeter dans « l’abîme du néant pour pêcher avec la canne de mon poème un esprit encore plus absurde – et seulement ainsi, nouveau. »

Et voilà que le mot nous est lancé dans ce vide abyssal où la raison n’a plus lieu d’être. L’absurde est le fil rouge de ce recueil où l’on rencontre « la fille absurde » qui nous renvoie à l’image hallucinante de « la corde violacée de la solitude ».

 

Les images puissantes et surréelles du poète irradient, se font brûlots en approchant les contrées de l’impensable. Nul doute que Ara Alexandre Shishmanian se situe parmi les visionnaires tels Victor Hugo ou Arthur Rimbaud. Avec l’auteur, nous nous hasardons de l’autre côté des mots où « le fou tient un nombre flou à la main ».

Le langage se dérègle, la pensée se dézingue, on entre dans ce « flou », dans l’oneïros, ce rêve éveillé où ne nous appartenons plus. Mais nous sommes-nous un jour appartenu ? La lucidité n’est-elle pas alors de dénoncer comme Ionesco l’absurde qui gère la marche du monde? Car ne nous y trompons pas, l’absurde possède sa propre logique « ...à travers le labyrinthe ». Autrement dit, notre seule certitude est celle de notre mort annoncée dès la naissance. C’est bien pour cette raison que Ara Alexandre Shishmanian hante « le pays sans nom ».

 

© Crédit photo : Portrait photographique du poète Ara Alexandre Shishmanian, image fournie par Françoise Urban-Menninger.

 

 

Ce que l’auteur nous invite à entreprendre dans ce recueil, c’est un voyage à travers nous-mêmes. Il écrit « je me promène à travers moi-même ou peut-être à travers un autre, disloqué ».

Oui, promenons-nous à travers nous-mêmes dans ce livre inclassable, dans « le vide sans balustrade » où « le cri muet de la foule monte vers le ciel... » Car seul ce cri qui nous traverse depuis l’aube des temps nous permet d’appréhender le mystère de notre finitude. « Le destin doit être traversé », écrit encore le poète, « tu peux encore vivre », « te sauver de ce monde de mort », ajoute-t-il. Alors à nous de « trouver la porte dans une clef » car « le génie est la corde tendue entre l’abîme et l’arrêve »...Nulle réponse ne nous est offerte, seules les questions questionnent dans cette quête toujours inachevée de la lumière qui vacille au bout de notre nuit….

 

© Françoise Urban-Menninger

 

***

Pour citer ce texte illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « Oniriques, poèmes d’Ara Alexandre Shishmanian. Recueil paru chez PHOS 2025 », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2025 | NO IV « LE MAL DE VIVRE DANS LA MORT VOLONTAIRE DES ARTISTES DE SAPHO À NOS JOURS » sous la direction de Francoise Urban-Menningermis en ligne le 1er octobre 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiv/fum-oniriquesshishmanian

 

 

 

 

 

 

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24 septembre 2025 3 24 /09 /septembre /2025 17:40

N° III| ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Agenda poétique & artistique | Appels à contributions

 


 

 

 

 

 

 

 

Le mal de vivre dans

 

 

la mort volontaire

 

 

 

 

 

 

Argumentaire par

 

Françoise Urban-Menninger

 

 

Crédit photo : Antoine-Jean Gros (1771-1835), « Sappho à Leucate » ou « Sappho se précipitant du rocher de Leucade », 1801, peinture tombée dans le domaine public, image libre de droits fournie par Françoise Urban-Menninger.

 

 

 

 

Comme tous les étés, je me suis lancée dans la lecture d’un journal, après celui d’Anaïs Nin et de Virginia Woolf, j’ai repris celui de Sylvia Plath. J’ai été fascinée par la scène où, Ted Hughes, le mari de Sylvia achève un oiseau agonisant et lui mettant la tête dans le four et en ouvrant le gaz et j’ai repensé au suicide de l’autrice qui s’est donné la mort de la même façon, je me suis remémorée aussi le suicide de Virginia, entrant dans l’eau, ses poches pleines de cailloux…

 

J’ai déroulé le fil du temps et suis remontée jusqu’à la disparition de Sapho qui avait sauté du haut du cap de l’île Leucade, dominé, encore aujourd’hui par le temple d’Apollon, je me suis souvenue du tableau, inspiré par sa mort et peint en 1801 par Antoine-Jean Gros qui s’est lui aussi suicidé en se jetant dans la Seine en 1935…

Je me suis demandé comment appréhender ces morts volontaires où Thanatos et Éros sont si proches l’un de l’autre ? Sapho a-t-elle sauté pour tuer ce que l’on appelait « le mal d’amour » ?

 

Au Moyen-Âge, le suicide n’était pas perçu en tant que tel, mais jugé comme un homicide dont l’auteur était la victime, l’église y voyait « la main du diable ». Plus tard, Durckheim définit une forme de « suicide mélancolique », voire d’« aliénation » en apportant un traitement spécifique au suicide féminin considéré comme « une déviance pathologique ». N’oublions pas que Sylvia Plath avait subi des séries d’électrochocs après sa première tentative !

 

C’est au 19e siècle que le public s’intéresse au suicide grâce aux informations fournies par les médias qui développent une espèce de fascination entretenue par les premiers feuilletons.  Le roman de Flaubert Madame Bovary joue sur cette lisière incertaine entre rêve et réalité où tout peut basculer. Flaubert met en équation l’encre et le poison. Et peut-être est-ce là l’une des clés qui nous invite à appréhender l’impensable mais comment aborder alors le film de Sofia Coppola Virgin Suicides qui reprend le destin tragique véridique de cinq jeunes sœurs qui se donnent la mort ?

 

Autrement dit quelles explications peut-on donner aux suicides ? Les autrices et les auteurs sont-ils plus enclin à vivre dangereusement que le commun des mortels comme l’écrit Adeline Trombert-Grivel qui suggère la raison d’une « création entravée ». La figure de Camille Claudel sombrant dans la folie serait-elle une autre forme de suicide, celle d’une mort sociale ?

 

La liste de nos disparus volontaires est si longue que l’on interrogera la science, la philosophie où nous reviennent les noms de Socrate, Empédocle, la littérature avec les autrices déjà citées, la musique, le domaine des arts en général pour tenter de comprendre les liens entre la création et la mort. Posons-nous la question de savoir s’il existe encore aujourd’hui une analyse spécifique du suicide féminin, si ce dernier peut être porteur de revendications à l’instar de celui que l’on prête parfois aux hommes. S’approcher trop près du soleil, à savoir la vérité comme Icare, n’est-ce pas signer sa propre condamnation à mort ?

 

Dans cet esprit, articles, poèmes, commentaires œuvres d’art en lien avec des vies d’artistes parfois méconnus, telle la photographe Francesca Woodman décédée à 22 ans, sont dès à présent attendus pour aborder ce thème sensible qui  ne peut que nous interpeller sur le sens de notre vie et celui de notre finitude.

 

© Françoise Urban-Menninger

 

Cet appel à contributions concerne généralement le dossier principal et par extension, si la rédaction reçoit des documents appropriés, les rubriques fixes de la revue LE PAN POÉTIQUE DES MUSES et son dossier mineur. Les contributions traduites et/ou plurilingues sont appréciées. Pour participer à ce numéro, veuillez adresser vos propositions dédiées au thème du numéro sur la période historique et la région géographique de votre choix à la directrice du Numéro IV Françoise Urban-Menninger ou à la rédaction qui lui transmet vos courriels*.

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES

 

* Nous n’acceptons pas les fichiers en format PDF.

***

Pour citer cet argumentaire illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger (texte & photographie fournie), « Le mal de vivre dans la mort volontaire », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 24 septembre 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiii/fum-lemaldevivre

 

 

 

 

 

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19 septembre 2025 5 19 /09 /septembre /2025 18:01

Événements poétiques | Forêt de Poèmes pour Toutes à l'École & La Journée Internationale des Droits des Filles & N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Florilèges | Poésie & littérature pour la jeunesse


 

 

 

 

 

 

 

 

le grand regret de ma mère

 

 

 

 

 

 

Poème engagé & féministe

 

Françoise Urban-Menninger

 

 

© Crédit photo : « Une vieille affiche scolaire publiée dans les années 50, image libre de droits fournie par Françoise Urban-Menninger.

 

 

 

elle n’avait que onze ans

quand ma mère quitta l’école

pour s’occuper de ses sept frères

et sœurs lorsque ma grand-mère veuve

fit des ménages pour nourrir sa famille


 

ce fut son grand regret

de ne plus pouvoir étudier

très souvent elle m’en parlait

et c’est ainsi que le livre devint l’objet

qu’elle ne cessa de sacraliser


 

impossible « de faire une corne »

en guise de marque-page

car c’était « profaner » l’ouvrage

le vieux dictionnaire offert par sa mère

était le livre qu’elle préférait


 

sur un rayon de ma bibliothèque

il reste le témoin et le dépositaire

de l’amour que ma mère

portait aux livres et l’école

qu’elle avait dû quitter trop tôt


 

sa grande fierté fut la parution

de mes premiers recueils de poèmes

dont elle fut en quelque sorte

« l’agent littéraire » car partout où elle allait

elle en chantait les louanges


 

aujourd’hui c’est à travers mes écrits

que ma ma mère renaît à la vie

dans le jardin de mes allées fleuries

où je lui rends grâce de m’avoir ouvert

les pages du grand livre de l’univers


 

© Françoise Urban-Menninger

***

Pour citer ce poème féministe, engagé pour l'égalité des sexes, illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger (texte & photographie fournie), « le grand regret de ma mère », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Évènement poéféministe 2025 | « Forêt de Poèmes pour Toutes à l'École & La Journée Internationale des Droits des Filles » & ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 19 septembre 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiii/11octobre25/fum-grandregret

 

 

 

 

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