5 novembre 2025 3 05 /11 /novembre /2025 19:49

N° IV | AUTOMNE 2025 | LE MAL DE VIVRE... » | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & témoignages | Philosophie & poésie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maggy De Coster, À fleur de mots,

 

Éditions du Cygne, Paris, 2021, 13 x 20 cm,10€

 

 

 

 

 

Photographie & critique par

 

Eliane Biedermann

 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil À fleur de mots de Maggy De Coster aux Éditions du Cygne, 2021.

​​​​​

 

 

  Ce nouveau recueil de poèmes s’ouvre sur un hommage à la Commune chantée  par « le Temps des cerises ».  Nous connaissons l’engagement de l’auteure aux côtés des défavorisés, ce qui la pousse à détourner un proverbe bien connu : « Impossible de confiner la faim / (…) Elle carillonne si fort / qu’elle effiloche / les entrailles des pauvres / Le manque de moyen justifie donc la faim ». Elle évoque aussi le sort des femmes « lapidées / sur l’autel de l’obscurantisme et de la barbarie ». Elle est également à l’écoute de notre planète en danger, à cause de l’inconséquence des hommes en matière d’écologie : « Dans quelle typographie trouverai-je / La partition des animaux perdus / Dans les arcanes des saisons déréglées ? ».

 

    Le confinement dû au Covid 19 que nous avons connu à l’échelle planétaire a eu une grande influence sur l’écriture de la poète, en raison des morts et de l’angoisse liés à cette période sombre. Un poème s’adresse dans ce sens à ses amis italiens : « A vous mes amis, des salves d’espoir pour une autre / Renaissance / Et reviendra le temps de nos échanges à cœur ouvert ».

 

Elle dénonce la vision complotiste de certains, « accoucheurs de fausses nouvelles ». Maggy De Coster croit à des valeurs de « vertu », « d’honneur », et garde un espoir certain en l’humanité. Sa sensibilité est réceptive à des sujets très divers, comme l’incendie de la cathédrale Notre Dame, la mort d’une amie poète, la peinture de Gustav Klimt, la musique du fado…

   

 La lecture de ces textes nous fait du bien car grâce à ses alliances de mots poétiques, elle nous fait partager ses inquiétudes, tout en gardant un amour de la vie, et de la nature qui nous empêche de sombrer dans un nihilisme destructeur.

 

                                                          

© Eliane Biedermann


 

Page officielle chez  les éditions du Cygne, du livre À fleur de mots de Maggy De Coster, URL : http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-a-fleur-de-mots.html

 

***

Pour citer ce texte illustré engagé & inédit

 

Eliane Biedermann (texte & photographie), « Maggy De Coster, À fleur de mots, Éditions du Cygne, Paris, 2021, 13 x 20 cm, 10€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2025 | NO IV « LE MAL DE VIVRE DANS LA MORT VOLONTAIRE DES ARTISTES DE SAPHO À NOS JOURS » sous la direction de Francoise Urban-Menninger, mis en ligne le 5 novembre 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiv/ebiedermann-afleurdemots

 

 

 

 

 

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1 octobre 2025 3 01 /10 /octobre /2025 17:22

N° IV | AUTOMNE 2025 | LE MAL DE VIVRE... » | Dossiers majeur & mineur | Articles & Témoignages


 

 

 

 

 

 

 

Poésie & suicide

 

 

 

 

 

 

Texte & image (fournie) par

 

 

Armelle Dupiat-Aellen

 

Auteure, responsable de collection, membre de la SOFIA

& de la SGDL, Chartre des auteurs & illustrateurs jeunesse
 

 

 

© Crédit photo : Henry Wallis (1830-1916), « The Death of Chatterton », peinture représentant le jeune poète Thomas Chatterton après sa mort (arsenic). Un tableau qui fait du suicide d’un poète un symbole romantique du génie brisé. Peinture tombée dans le domaine public, image fournie par l’autrice.

 

 

 

 

On se souvient peu de Jacques Rigaut (1898-1929). Poète dadaïste, qui n’a pas la notoriété d’un Apollinaire ou d’un Breton, et pourtant il a incarné dans sa chair ce vertige de la disparition. Dès ses premiers textes, il affirmait que « le suicide est mon métier ». Phrase provocatrice peut-être, mais surtout prophétique. Rigaut a tenu parole : en 1929, à trente ans, il s’est tiré une balle dans le cœur, méthodiquement, presque comme on rédige une dernière strophe.

 

Ce suicide, oublié ou tu par pudeur, interroge. Faut-il voir dans cette fidélité à une idée fixe une forme d’achèvement esthétique ? Ou bien la conséquence d’une incapacité à vivre en dehors du scandale ? 

 

Là où d’autres, comme Virginia Woolf ou Sylvia Plath, ont laissé des lettres ou des poèmes qui éclairent leur geste, Rigaut a choisi le silence définitif. La littérature, ici, se réduit à l’acte lui-même.

 

La poésie et le suicide s’entrecroisent souvent dans l’ombre. Gérard de Nerval (1808-1855), errant dans les ruelles de Paris, laissait flotter ces mots comme un viatique : « Je suis le ténébreux, le veuf,  l’inconsolé… » avant de se pendre, au petit matin, rue de la Vieille-Lanterne. 

 

Alejandra Pizarnik (1936-1972), la voix brisée de Buenos Aires, écrivait : « Je ne veux pas aller rien de plus loin que le fond », avant d’avaler des barbituriques à trente-six ans. 

 

Jean-Pierre Duprey (1930-1952), poète surréaliste et sculpteur, murmurait : « Je donne à la nuit des yeux pour voir », avant de se pendre à trente ans, fidèle lui aussi à l’appel du gouffre.

 

Durkheim sociologue (1858-1917), au XIXᵉ siècle, tentait de classer le suicide : égoïste, altruiste ou anomique. Mais peut-on réduire ces gestes extrêmes à des catégories sociales ? Ce serait oublier que pour Rigaut comme pour Nerval, Pizarnik ou Duprey, la poésie elle-même était déjà une mise en danger, un pas de trop au bord du vide.

La fascination du public pour ces disparitions volontaires ne s’est jamais éteinte. Les médias, les romans, le cinéma transforment parfois le geste en mythe. Mais le cas de Rigaut, comme celui d’autres poètes effacés, nous laisse face à une question nue : et si le suicide, au lieu d’être l’échec de la création, en était la pointe extrême ?

Nerval s’est pendu à une grille parisienne, Rigaut a retourné son arme contre lui, Pizarnik s’est endormie dans les barbituriques, Duprey a rejoint la nuit par sa propre main. Quatre éclats, quatre gestes, quatre manières de dire l’impossible. Tous ont brûlé leurs ailes au soleil de la vérité, et leur chute compose aujourd’hui une constellation tragique. Peut-être faut-il voir en eux non des vaincus, mais des astres noirs : des poètes qui, pour avoir trop regardé le gouffre, se sont confondus avec lui.*


 

©Armelle Aellen Dupiat

* « Poésie et suicide » fait écho au thème du « Mal de vivre dans la mort volontaire » avec l'œuvre intitulée : « The Death of Chatterton de Henry Wallis » en suport visuel.

 

***

Pour citer ce texte illustré & inédit

 

Armelle Aellen Dupiat, « Poésie et suicide », peinture par Henry Wallis (1830-1916), Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2025 | NO IV « LE MAL DE VIVRE DANS LA MORT VOLONTAIRE DES ARTISTES DE SAPHO À NOS JOURS » sous la direction de Francoise Urban-Menningermis en ligne le 1er octobre 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/2025noiv/aadupiat-poesieetsuicide

 

 

 

 

 

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19 mai 2023 5 19 /05 /mai /2023 17:21

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 | III. Anthologie « Lyres printanières » 

 

​​​

 

 

 

 

 

 

 

La lyre d'Orphée

 

 

 

 

 

 

Louise Ackermann (1813-1890)

 

Poème choisi, transcrit & présenté avec un commentaire par Floriane Martin

 

 

 

 

Crédit photo : Paul Merwart, portrait de "Louise-Victorine Ackermann", gravure, capture d'écran de Commons.

 


 

Quand Orphée autrefois, frappé par les Bacchantes,

Près de l’Hèbre tomba, sur les vagues sanglantes

On vit longtemps encor sa lyre surnager.

Le fleuve au loin chantait sous le fardeau léger.

Le gai zéphyr s’émut ; ses ailes amoureuses

Baisaient les cordes d’or, et les vagues heureuses

 

 

 

Comme pour l’arrêter, d’un effort doux et vain

S’empressaient à l’entour de l’instrument divin.

Les récifs, les flots, le sable à son passage

S’est revêtu de fleurs, et cet âpre rivage

Voit soudain, pour toujours délivré des autans.

Au toucher de la lyre accourir le Printemps.

 

 

 

Ah! que nous sommes loin de ces temps de merveilles !

Les ondes, les rochers, les vents n’ont plus d’oreilles,

Les cœurs même, les cœurs refusent de s’ouvrir.

Et la lyre en passant ne fait plus rien fleurir.


 

 

Ce poème de Louise-Victorine Ackermann (1813-1890) est tiré du recueil Contes et poésies publié à Paris chez la Librairie de L. Hachette et Cie en 1863, « Poésies », p. 255. Cette œuvre est tombée dans le domaine public). La lyre symbole de grâce et renaissance,  se désole aujourd'hui  du manque d'empathie, souligne l'indifférence face à la détresse d'autrui.

 

***

 

 

Pour citer ce poème de l'aïeule 

 

Louise Ackermann, « La lyre d'Orphée », poème choisi, transcrit & présenté avec un commentaire par Floriane Martin de ACKERMANN, Louise (1813-1890), Contes et poésies (1863), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 « Étrangères », « Frontières du vivant », « Lyres printanières », mis en ligne le 19 mai 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia23/martin-ackermann-lyredorphee

 

 

 

 

 

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7 août 2022 7 07 /08 /août /2022 16:33

N°12 | Poémusique des femmes & genre Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège / Poésie des aïeules

 

 

 

 

 

 

 

 

La chanteuse

 

 

 

 

 

​​

Adèle Souchier (1832-19??)

Poème choisi, transcrit & annoté par Dina Sahyouni

 

 

 

 

​​​Crédit photo : Pierre-Auguste Renoir, une musicienne (et chanteuse ?) jouant de la guitare, domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

Le poème ci-dessous provient de SOUCHIER, Adèle (1832-19??), L'oiseau blessé : poésie, Paris, BLOUD et BARRAL, libraires, 18 rue Cassette, 1878, pp. 140-141. Le recueil appartient au domaine public.

 

 

 

 

Je sais un titre cher qui m'est un doux sourire,

Une aimable harmonie, un ravissant trésor,

Un rayon imprégné de tout l'éclat de l'or ;

Aussi, je le murmure aujourd'hui sur ma lyre.

 

 


 

Puisqu'il m'est précieux, – pourquoi ne pas le dire ! –

Plus que d'ardents bravos au fier Toréador1,

Bien plus que ce Pérou que l'on envie encor,

Puisqu'il est ma richesse... oh ! Je puis bien l'écrire.

 

 


 

Je le répète donc avec naïveté,

Le voici, dans sa simple et charmante beauté,

Oui, tel qu'il a su plaire à la pauvre fauvette.


 

Ah ! pour l'avoir aimé du profond de mon cœur,

Et pour l'avoir chanté, comme on chante un vainqueur,

Mon agreste2 pays me nomme son poète !

 

 

Notes

 

1. Toréador est un substantif masculin vieilli et souvent remplacé par le nom Toréro (celui qui combat les taureaux dans des espaces publics ).

2. L'adjectif Agreste renvoie à la campagne, à la vie pastorale, champêtre, bucolique, voire rurale ou rustique. Quant au nom Agreste, il désigne un papillon brun.

 

 

***

 

Pour citer ce sonnet de l'aïeule

 

 

Adèle Souchier, « La chanteuse », extrait de SOUCHIER, Adèle (1832-19??)L'oiseau blessé, poésie (1878), choisi, transcrit & annoté par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 |HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 7 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/souchier-lachanteuse

 

 

 

Mise en page par Aude

 

 

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***

 

Pour citer ce sonnet de l'aïeule

 

 

Adèle Souchier, « La chanteuse », extrait de SOUCHIER, Adèle (1832-19??)L'oiseau blessé, poésie (1878), choisi, transcrit & annoté par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 |HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 7 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/souchier-lachanteuse

 

 

 

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2 mai 2021 7 02 /05 /mai /2021 13:40


Événements poétiques | Megalesia 2021 | Poésie des aïeules | Sourires & rires féministes

 

​​​​​​

 ​​

 

 

 

 

Les Anglaises

 

 

(boutade)

 

 

 

 

 

 

 

Louise Colet

Texte choisi, transcrit & remanié par Dina Sahyouni

 

 

 

 

​​​​​Crédit photo :  Louise Colet et et sa fille Henriette, peinture, domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

 

Si ce siècle est humanitaire,

La mode à coup sûr ne l'est point:

Pour empire sur notre terre,

Exclusive, elle n'a qu'un point :

C'est la France, où, reine et déesse,

Son culte est le seul respecté ;

Où chaque femme est sa prêtresse,

Sous peine de lèse-beauté !

– Mais l'Amérique et l'Angleterre !...

– Mesdames, n'y regardez pas,

De peur qu'un fou rire n'altère

La grâce de vos frais appas !

Là, ni charme, ni poésie,

L'élégance y meurt de dégoût ;

La femme de la bourgeoisie.

À Paris modèle de goût,

Revêt à Londres, quoique sage,

Les atours de nos Frétillons,

Ambulant et fol étalage

Des modes que nous exilons.

Belles et railleuses Françaises,

De la tête aux pieds regardez

Ces efflorescentes Anglaises,

Le cou tendu, les bras guindés !

Chapeau rose où sont étouffées

Plumes, dentelles, gazes, fleurs,

Longues boucles ébouriffées,

Lourds repentirs, accroche-cœurs ;

Et, provoquant les cœurs rebelles,

Mantelet de fausses dentelles

Où le coton singe le fil ;

Corsage ouvert jusqu'aux aisselles,

Broche brillant sur le nombril,

Jupe, barège ou mousseline,

En spirale de falbalas,

Cône gonflé du haut en bas

Par la menteuse crinoline ;

En place de nos fines peaux,

Soulier de caoutchouc difforme,

Caparaçon de pied énorme

Comme une tortue au repos.

Gros bracelets de malachite

Autour de bras inélégants,

Volubilis ou clématite

Brodés en relief sur leurs gants ;

Air ravi, pose indescriptible,

Disant : Qui me résisterait !

Cependant l'Anglais impassible

Reste de glace à tant d'attrait...

Il a, pour réchauffer son âme,

La Chambre, le club, le houblon,

Et, dédaigneux, cherche la femme

Dans les marbres su Parthénon1

 

1851.

 

 

Note

 

1. Les plus beaux marbres du Parthénon d'Athènes sont dans le Musée de Londres.

 

 

Le poème ci-dessus provient de la poète COLET, Louise (1810-1876), Ce qui est dans le cœur des femmes. Poésies nouvelles par Mme Louise COLET suivies du Poème sur la colonie de Mettray Couronné par l'Académie française dans sa séance du 19 août 1852. Paris, Librairie nouvelle, Boulevard des Italiens, 15, en face de la maison dorée, 1852, pp. 85-87. Cet ouvrage est tombé dans le domaine public.

​​​​​​

 

***

 

 

Pour citer ce poème

 

Louise Colet, « Les Anglaises (boutade) », poème extrait de COLET, Louise (1810-1876), Ce qui est dans le cœur des femmes. Poésies nouvelles... (1852), a été choisi, transcrit & remanié par Dina Sahyouni pour Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événement poétique|Megalesia 2021/I, mis en ligne le 2 mai 2021. Url : 

http://www.pandesmuses.fr/megalesia21/lb-lesanglaises

 

 

 

 

 

Mise en page par Aude Simon

 

 

 

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