16 septembre 2022 5 16 /09 /septembre /2022 15:35

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Astres & animaux | Réception d'autrefois / Poésie des aïeules

 

 

 

 

​​​​​

 

 

Le petit oiseau prisonnier

 

 par Désirée Pacault

 

 

 

 

 

​​

 

 

Auguste de Roosmalen (18??-18??)

 

Désirée Pacault (1798-1881)

Texte choisi, transcrit, corrigé & commenté brièvement par Dina Sahyouni

 

 

 

 

Crédit photo : Berthe Morisot, "The Cage", 1885, Commons.

 

 

Melle PACAULT (Désirée)


 

Née à Beaune, en Bourgogne ; son père avait été professeur de rhétorique dans plusieurs collèges de France. Elle vint à Paris et débuta dans la carrière des lettres par un poème intitulé : Le Grec. Quelques journaux de la capitale, entre autres la France Littéraire, s'empressèrent de l'admettre au nombre de leurs rédacteurs. La société d'encouragement pour les lettres et les arts, la société Racinienne, lui décernèrent chacune, une médaille pour les travaux qu'elle avait adressés à ces sociétés. Plusieurs académies et associations savantes : la société d'Enseignement universel, la société Impériale et Royale des sciences, lettres et arts d'Aretina, en Toscane, etc., l'accueillirent dans leur sein. Mais ces récompenses, si honorables qu'elles soient ne la tirèrent pas de l'état de gêne dans lequel une fâcheuse entreprise la fit tomber. Elle n'obtint, dans ces derniers temps, aucune aide du ministère chargé de venir au secours des gens de lettres, et fut obligée de quitter Paris. Elle est maintenant à Boulogne-sur-Mer, qui lui doit une ode à sa colonne. On a imprimé ses poésies, en divers volumes : Émotions, 1 volume ; Inspirations, 1 volume, etc.


 

Le petit oiseau prisonnier (Fragment)

 

 

Avec sensibilité et douceur     Que ne puis-je voler vers cet espace immense

                    Qu'on appelle les cieux !

Avec charme et légèreté...      Sur la feuille des bois ; que le Zéphyr balance

                    Me poser tout joyeux !

Imitatif …............................. Respirer les parfums dont s'enivre l'abeille ;

Gracieux …......................... Du jeune papillon partager les ébats ;

Plus excité …...................... Admirer la beauté de la rose vermeille,

Avec finesse ….................... L'effleurer comme lui de mes pieds délicats !

                      

Plus enthousiaste ….               Ainsi que la frêle nacelle

Mais toujours naïf               Légèrement avec mon asile

                    Raser la surface des eaux ;

Imitatif avec amabilité ..           Écouter la brise timide

                      Palpiter dans la voile humide

                      Et gémir parmi les roseaux !

               

Chaleureusement.  .  .  .  .    J'ai pourtant vu s'élever dans l'espace

                Plus d'un oiseau dont j'ai perdu la trace !...

Avec sensibilité et regret.     Cependant comme lui j'ai des ailes d'azur

                Qui pourraient m'emporter où vole ma pensée !..

Douceur et sensibilité.  .  .    Cependant comme quand le matin est pur,

                J'aimerais à jouer dans l'herbe et la rosée,

                Puis retourner au nid où j'ai chanté !...

               

               

Avec âme .  .  .  .  .  .  .        Oh ! qui m'affranchira de ce triste esclavage ?...

Vivement pénétré.  .  .  .    Qui brisera les fers de ma captivité ?...

Tristesse, mais avec grâce.    Je souffre ; mais hélas ! je n'ai pas de langage

                Pour demander ma liberté.

 

 

 

 

    Tout ici doit être exprimé avec délicatesse ; tout est jeune, gracieux, et empreint d'une douce mélancolie. Cet exemple sera favorable à l'étude de l'articulation et des tons fins et légers.

 

Le poème présenté et commenté ci-haut se trouve dans l'œuvre de ROOSMALEN, Auguste de (18??-18??). Études littéraires, ou Recueil des chefs-d'œuvre de la littérature française, dans tous les genres : avec des annotations pour les bien lire, des remarques littéraires pour en apprécier le style et se former à l'éloquence, précédés de notices biographiques et de portraits, Paris, au bureau de l'orateur, 15, rue Suger, 1845, pp. 177-178. Cet ouvrage est tombé dans le domaine public.


Bien évidemment, cette réception d'autrefois est biaisée puisqu'elle néglige la portée principale du poème ainsi que la vie de Désirée Pacault. tout en choisissant ce poème, l'auteur Auguste de Roosmalen minimise l'importance du sujet traité par Désirée Pacault et sa signification symbolique. Cette réception met donc en lumière le talent poétique de Pacault à travers la légèreté et la finesse des tons sans toutefois lui reconnaître le pouvoir créatif de traiter des thèmes imposants et universels comme le font les poètes hommes. De nos jours, on interprète ce poème par le biais des notions comme la zoopoétique, l'ecopoétique, l'ecoféminisme, le féminisme, etc.

Les Archives Municipales de Beaune ont publié en 2020 sur leur site Web la notice biographique de l'artiste, compositrice et poète Désirée Pacault, veuillez la consulter par l'intermédiaire de cette adresse : https://archivesbeaune.wordpress.com/2020/06/23/desiree-pacault-artiste-beaunoise/

À lire aussi : 

 

​​​***​​​

 

Pour citer cette réception d'autrefois du poème de l'aïeule

 

Auguste de Roosmalen, « Le petit oiseau prisonnier par Désirée Pacault », extrait de ROOSMALEN, Auguste de (18??-18??), Études littéraires, ou Recueil des chefs-d'œuvre de la littérature française, dans tous les genres : avec des annotations pour les bien lire, des remarques littéraires pour en apprécier le style et se former à l'éloquence, précédés de notices biographiques et de portraits (1845), choisi, transcrit, corrigé & commenté brièvement par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 16 septembre 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no11/roosmalen-oiseauprisonnier

 

 

 

 

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12 septembre 2022 1 12 /09 /septembre /2022 12:37

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège / Poésie des aïeules

 

 

 

 

​​​​​

 

 

La fleur sans parfum

 

 

 

 

 

​​

 

 

Désirée Pacault (1798-1881)

Texte choisi & transcrit avec une photographie de la poète par Dina Sahyouni

 

 

 

 

 

© Crédit photo : . Dessin, portrait de Désirée Pacault. Photographie prise par DS. du recueil cité ci-dessous.

 ​​​​

​​​

 

 

 

Pourquoi dans ce vallon reste-je solitaire

Comme une fleur croissant à l'ombre d'un tombeau ?

Triste fleur qu'ici-bas la lune seule éclaire

        De son pâle flambeau !...


 

De même qu'une esclave au malheur asservie

Traîne seule, en pleurant, de pénibles liens,

Me faut-il à chaque heure ici porter la vie

        Sans jouir de ses biens ?...


 

Quand la dernière étoile, à l'aube matinale,

        Se retire des cieux;

Quand l'aurore, sortant de sa couche d'opale,

Vient répandre en mon sein ses pleurs silencieux,

Et qu'auprès de mes sœurs accourt la frêle abeille,

Sur ma tige, humble fleur, tristement je m'éveille !..


 

J'admire ces flots d'or, cet horizon si pur

Qui s'étend comme un lac derrière la colline,

Sur le front de laquelle un doux rayon s'incline...

......................................................................................

Si j'avais d'un oiseau  le plumage d'azur,

Comme je quitterais et l'herbe et la rosée,

Pour voler tout entière où s'en va ma pensée !...

 

 

Crédit photo : Une fleur violette dans un champ de fleurs orangées, Commons.

 ​​​​

 

Et je demande en vain à mes plus jeunes sœurs

Leurs parfums délicats et leurs grâces nouvelles !

J'invoque en soupirant ces vives étincelles

Qui rehaussent l'éclat de leurs fraîches couleurs ;...

Mais triste fille, hélas ! de la sombre vallée,

Sous la feuille qui dort je demeure isolée !!...


 

Et quand le voyageur, fatigué du soleil,

Vient s'asseoir et rêver sous cet épais feuillage,

Il me froisse en passant, pauvre fleur sans langage,

Qui n'ai pas de parfums pour charmer son réveil !...


 

Oh ! sur la terre où s'éveille l'aurore

        Faut-il pencher et me flétrir,

Lorsqu'un regard de l'astre que j'implore

        Pourrait m'empêcher de mourir !...


 

Si j'avais d'un oiseau le plumage d'azur,

Comme je quitterais et l'herbe et la rosée,

Pour voler tout entière où s'en va ma pensée !...

 

Et je demande en vain à mes plus jeunes sœurs

Leurs parfums délicats et leurs grâces nouvelles !

J'invoque en soupirant ces vives étincelles

Qui rehaussent l'éclat de leurs fraîches couleurs ;...

Mais triste fille, hélas ! De la sombre vallée,

Sous la feuille qui dort je demeure isolée !...


 

Et quand le voyageur, fatigué du soleil,

Vient s'asseoir et rêver sous cet épais feuillage,

Il me froisse en passant, pauvre fleur sans langage,

Qui n'ai pas de parfums pour charmer son réveil !...


 

Oh ! sur la terre où s'éveille l'aurore

        Faut-il pencher et me flétrir,

Lorsqu'un regard de l'astre que j'implore

        Pourrait m'empêcher de mourir !...

 

 

 

Le poème ci-haut se trouve dans l'œuvre de PACAULT, Désirée (1798-1881), Inspirations, poésies, Paris, Auguste DESREZ, Imprimeur-éditeur, 50 Rue Neuve-des-petits-champs, 1840, pp. 73-75. Ce ​​recueil de poèmes est tombé dans le domaine public.

Les Archives Municipales de Beaune ont publié en 2020 sur leur site Web la notice biographique de l'artiste, compositrice et poète Désirée Pacault, veuillez la consulter par le biais de cette page : https://archivesbeaune.wordpress.com/2020/06/23/desiree-pacault-artiste-beaunoise/

 

***​​​

 

Pour citer ce poème de l'aïeule

 

Désirée Pacault, « La fleur sans parfum », extrait de PACAULT, Désirée, Inspirations (1840) Texte choisi & transcrit avec une photographie de la poète par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 12 septembre 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no11/dpacault-fleursansparfum

 

 

 

 

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7 septembre 2022 3 07 /09 /septembre /2022 14:00

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège | Cuisiner en poétisant

 

 

 

 

​​​​​

 

 

 

Amaretto*

 

 

 

 

Irina Moga

 

Site Web :

http://www.irinamoga.com/

 

Tableau par

 

Tatiana Arsénie

 

Site Web : http://artwork-tatiana.blogspot.com/

 

 

 

© Crédit photo : Illustration par l’artiste berlinoise Tatiana Arsénie, peinture.

 ​​​​

 

 

I 

 

Il y a ces moments de désir

qui traversent, fluides, 

le matin

comme nos empreintes,

glacées

sur la cage en porcelaine 

du café : 

amaretto. 

 

À l’intersection du goût et des bourrasques

qui précèdent les mots.




 

II

 

La nature érotique des mots –

quand il n’y a plus de désespoir,

plus des décalages entre nos gestes

et la voix

de vieilles pages. 


 

 

III

 

 

Qui pourra accélérer l’effet du breuvage 

aux notes de noix vertes,

 

ses bandeaux de lumière et de fausse nonchalance sur nos yeux ? 

Le philtre que nous cherchons, à deux, 

ni spirale, ni bonheur – 

 

l’élixir du hasard.  


 

 

 

 

* L'« Amaretto » est un poème qui essaie de reconstituer le parfum de noix vertes. 

 

 

 

Biographies concises :


 

Irina MOGA est une écrivaine canadienne d’origine roumaine, membre de L’union des écrivains canadiens (TWUC). 

 

Son recueil de poèmes « Variations sans palais », publié aux Éditions L'Harmattan (France) en 2020 a reçu le prix littéraire « Dina Sahyouni » en 2022. 

Site web :

http://www.irinamoga.com

Twitter :

http://www.twitter.com/poesiecanada


 

Tatiana ARSÉNIE est une artiste berlinoise et autrice de deux livres. Ses créations ont fait partie de plusieurs expositions personnelles et collectives. 

Sa prochaine exposition ouvre le 18 septembre 2022 à Brose Haus à Berlin. 

Site web : http://artwork-tatiana.blogspot.com/



 

 

***​​​

 

 

Pour citer ces peinture & poème inédits 

 

Irina Moga, « Amaretto » avec une illustration de l’artiste Tatiana Arsénie, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 7 septembre 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no11/moga-amaretto


 

 

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26 août 2022 5 26 /08 /août /2022 17:50

N°12 | Poémusique des Femmes & Genre | Critique & Réception | Astres & animaux

​​​​​

 

 

 

 

 

 

Anne-Lise Blanchard

 

Qui entend le jargon de l’oie

 

Éclats d’encres, 2006, 47 pages, 12€

 

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

​​​​​

 

Crédit photo : Marie Petiet (ou Marie Du jardin Beaumetz, 1854–1893), Jeune fille aux oies, Wikimedia.

 ​​​​​​​

 

 

C’est le culte des saisons qui rythme le cycle de la vie.  Ainsi Anne-Lise Blanchard nous décrit chacune d’elles avec ses particularités, ses contrastes comme la « Lumière incertaine » de l’automne où un : « Très haut un vol d’oies » semble parler à  sa solitude  quand « le silence crépite ». Bel oxymore.  La présence des animaux de tous genres est  récurrente dans la poésie d’Anne-Lise Blanchard : animaux domestiques, symboles de fidélité et d'affection, animaux volants, symboles de liberté, les mouettes,  le merle, les grues ;  les poissons symboles de bonheur, n’est-ce pas qu’on dit : heureux comme un poisson dans l’eau ? Bref, la symbolique des êtres est très présente chez elle car :

 

« les mouettes dérivent vers la mer » en ce  « Temps ouaté de l’hiver »

où :

«  une grue blanche interroge

terre et ciel confondus ».

 

Comprendre le langage des oiseaux c’est se mettre à l’écoute de la nature aussi s’écrie-t-elle :

 

«  Qui entend le jargon de l’oie »

On a tant à apprendre de la nature par le biais de ses créatures ailées :

«  Céder au sourire

qui affleure de l’endormi

don de la mésange » 

 

La  vie nous offre de ces césures enchantées dont il faut profiter à tout jamais car on ne sait jamais de quoi sera fait demain : 

 

« Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :
Cueillez dès aujourd’huy les roses de la vie. »

 

 

Crédit photo : Des oies flamandes, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

En corollaire à cette pensée épicurienne, Anne-Lise Blanchard nous enseigne :

 

«  À l’abreuvoir des oiseaux 

faire sienne les courbes 

de la parenthèse de demain »

 

Mais que dire de ces :

 

« Choses tues de l’hiver

que les oies sauvages dispersent

préparant le printemps »

 

Ou de :

« Ces grues qui font halte

dans l’épais de la boue »

 

Elle revient toujours à l’enfance comme une rengaine ou une douce ritournelle  pour nous apprendre que :

 

«  Le rire de l’oiseau

À l’oblique des murs gris

Surprend en nous l’enfance » 

 

 

© Maggy DE COSTER

 

***

 

Pour citer ce billet inédit​​​​​​

 

Maggy De Coster, « Anne-Lise Blanchard, Qui entend le jargon de l’oie, Éclats d’encres, 2006, 47 pages, 12€ »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre » mis en ligne le 26 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/mdc-blanchard-jargondeloie

 

 

 

 

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