11 août 2021 3 11 /08 /août /2021 18:12

 

 

 

 

Lettre no 16

 

 

 

 

À nos ivresses & aux Bacchantes ! 

 

 

 

 

Crédit photo : "Bacchante", domaine public, Wikimedia. 

 

 

 

 

La Lettre n°16 vous propose de

 

nous parler de vos ivresses & des Bacchantes. 

 

Au plaisir de publier vos contributions :

 

 

articles, poèmes, nouvelles, contes, fables, pensées,

 

fragments, lettres, chroniques, transcriptions des textes

 

tombés dans le domaine public, traductions, extraits de

 

recueils, illustrations, chroniques, dessins, bandes dessinées,

 

entretiens, chansons, courts-métrages, etc.

 

 

 

La publication numérique des documents sélectionnés

 

se fait successivement au fil des jours

 

 

du 5 juin au 30 juillet 11 août compris.

 

 

La rédaction n'accepte aucune contribution

 

pour cette Lettre après le 28 juillet 2021.

 

Nous réservons comme d'habitude le choix de publier

 

une sélection de documents dans certaines

 

de nos nombreuses rubriques

 

 

 

Argumentaire

 

Les bacchantes (ou Ménades) sont les prêtresses du dieu de la vigne Bacchus (ou Dionysos) et célèbrent avec lui les Bacchanales. Ces figures féminines de l'Antiquité gréco-romaine représentent les furies, l'excès, mais aussi le dionysisme, et parfois l’hédonisme et l'eudémonisme.

 

Souvent décriées, elles deviennent parias et liées au mal dans l'imaginaire collectif... Les artistes et les poètes s'emparent très tôt de ces figures tantôt célébrées, tantôt détestées pour leurs prétendues débauches réelles et/ou fantasmées. Hautement érotiques, elles ont été d'emblée associées à la sexualité débordante, à la nymphomanie, à l'hystérie et aux orgies. Ainsi, elles sont régulièrement représentées avec des peaux de fauves et de félins.

Afin de tenter de les réhabiliter, de défaire le tabou sur les excès positifs ou négatifs et de comprendre l'attachement de certaines femmes et personnes LGBTQIA+, surtout parmi les poètes et artistes, aux addictions acceptables ou dangereuses (alcool, drogue, tabac, médicament, sexe, spiritualité, réseaux sociaux, militantisme exagéré, toxicomanie, etc.)*, on vous propose de penser toutes les ivresses poétiques, artistiques, amoureuses, spirituelles… qui vous permettent de découvrir et de dépasser vos côtés sombres et d'exprimer vos émotions les plus profondes…

 

 

 

* Attention, cela ne constitue aucunement une incitation à abuser de substances illicites, ni de persister dans ses additions... mais une invitation à se soigner et en parler lorsque l'on souffre d'une addiction nuisible à sa santé (mentale, physique, psychique, etc.)

 

[Problème technique de non réception de messages

Dans l'après-midi de ce dimanche 20 juin 2021, des  membres de la rédaction ont constaté l'existence d'un problème technique de rejet des messages depuis le 18 juin, on reçoit en effet les courriels adressés à contact@pandesmuses.fr mais pas ceux envoyés aux autres adresses électroniques. Nous avons tout de suite signalé ce problème à la plate-forme qui héberge ce site. Nous vous prions de bien vouloir accepter toutes nos excuses pour ce dérangement et si votre message a été rejeté, merci de nous le renvoyer à l'adresse électronique qui fonctionne encore en attendant le rétablissement du fonctionnement habituel des autres adresses électroniques du site. À bientôt !

 

On remplace l'adresse contact.revue@pandesmuses.fr par une : ADRESSE ÉLECTRONIQUE DE REMPLACEMENT POUR L'ENVOI DE VOS CONTRIBUTIONS

 

Commentaire rédigé et posté par David SIMON le 20 juin 2021, 19h00.

Ajout d'adresse de remplacement le 21 juin 2021.

 

Crédit photo : Marche des Fiertés LGBT+, image libre de droits, photo ajoutée le 26 juin 2021.

 

 

Festival organisé par 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES

Réalisation technique 

David & Aude SIMON

Direction

Rédaction de la revue LPpdm

Contacter la rédaction :

contact@pandesmuses.fr ou

contactlppdm@pandesmuses.fr 

contactcontact.revue@pandesmuses.fr

 

Comité de rédaction : Camille Aubaude, Maggy de Coster, Éric Guillot, Mario Portillo Pérez, Dina Sahyouni, Aude Simon, David Simon, Françoise Urban-Menninger,...

 

 

Rappel utile : comme vous le savez bien cher lectorat la revue LPpdm (dans ses versions électronique et imprimée) décline toute responsabilité juridique concernant le contenu publié par elle parce qu'elle considère que chaque auteure/auteur est libre dans le respect de sa charte déontologique, par conséquent, est l'unique responsable du contenu de son texte, de son image, etc.

 

En poésie avec vous ! 

​​​​

 

Sommaire

 

 

Éditorial 

 

Dina Sahyouni, « À vos poésies ! » 

 

 Bémols artistiques

 

Mustapha Saha, « Chronique d’occupation de l’Odéon. Un violent désir de bonheur » 

 

 

 

Poétextes thématiques 

 

Charlène Lyonnet, « Les cases » & « Les folles aux chats »

 

Ciela Asad, « Extraits de "Un toro en la garganta del jilguero »/ Un taureau dans la gorge du chardonneret" », traduits en français par Maggy De Coster

 

Françoise Urban-Menninger, « Une musique si légère », illustré par un tableau inédit de l'artiste Joseph Edreï

 

Sarah Mostrel, « Prophétesse enchanteresse »

 

Martine L. Jacquot, « Les temps fauves (extraits) » 

Maggy De Coster, « Un vieillard cuvant son vin » 

 

Yvan Robberechts, « Mémoires », « Mélancolie »

Madeleine Amidieu (aïeule), « Soir de juin » 

Louise Fournier (aïeule), « La fièvre » & « Adieux à la poésie »

Michel Orban, « Ivresse des profondeurs » 

Irina Moga, « Comment sécher des herbes »

Leo Zelada (poète), Maggy de Coster (traductrice), « Balada oscura para Jim Morrison / Ballade sombre pour Jim Morrison »

 

Renée Vivien (aïeule), « L'automne », « Velléité », « Locusta » & « Vers d'amour »

Barbara Polla, « Ma vulve » (poème dionysiaque, érotique) 

Michel Orban,  « Pluie de caresses » 

Nada Skaff, « Ivresse » & « Identité »

Aurore Nivelle, « L’ivresse »​​​​

Evelyne Charasse, « Mon addiction »​​

Thibault Jacquot-Paratte, « Poèmes de faim de vie (extraits) » & « Douze chants hérétiques, chant second »

Dina Sahyouni, « À lui, je suis addicte » 

 

Varia de poétextes

 

Djurdja Raskovic, « Pesanteur » 

Nessrine Naccach, « Acte de (dé)naissance géo-senti-mentale » 

Mariem Garaali Hadoussa, « Charme andalou »

Mona Gamal El Dine, « Chante l’amour » 

 

Astres & animaux 

 

Françoise Urban-Menninger, « Une musique si légère », illustré par un tableau inédit de l'artiste Joseph Edreï. 

Maggy De Coster, « J’ai vu »

Yvan Robberechts, « Nature », écopoème 

Renée Vivien (aïeule), « Les arbres »

 

Biopoépolitique*

 

© Concept protégé de DS. 

 

Barbara Polla, « Ma vulve »

 

Réflexions féministes sur l'actualité

 

Françoise Urban-Menninger, « Bikini réglementaire pour les championnats d'Europe de Beach-Handball !!!» ​​​

 

Sourires & rires féministes

 

Mme Veuve Landrieu (aïeule), «  Le vin et la fillette (Air : Vrai sans chagrin) »

​​​​​​

 

Poésie audiovisuelle

............. 

 

Poésie & musique 

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES, « Mika donne un concert virtuel ce soir. "#SoundtrackOfEmpathy" »

 

 

Revue poépolitique

 

Mustapha Saha, « Chronique d’occupation de l’Odéon. Le communisme selon Bernard Friot », reportage photographique inédit par Élisabeth et Mustapha Saha. 

M. L. C. D. V., « Adresse au beau sexe ; relativement à la Révolution présente »

 

 

Handicaps & diversité inclusive

Yvan Robberechts, « Le S. D. F. »

Dina Sahyouni, « À lui, je suis addicte » 

 

Revue des métiers du livre (a remplacé la Revue des éditrices & éditeurs)

..............

 

Muses au masculin

 

Michel Orban, « Fausse ivresse » 

Didier Colpin, « Similitude... » 

Yvan Robberechts, « Coquelicot »« Le S. D. F. » 

 

 

Poésie des ancêtres

 

La Bacchante..., « Petit blanc (chanson créole) » 

Madeleine Amidieu, « Soir de juin » 

Louise Fournier, « La fièvre » & « Adieux à la poésie »

Renée Vivien, « L'automne », « Velléité », « Locusta », « Vers d'amour » &  « Les arbres »

 

Travestissements poétiques

 

LANDRIEU, Mme Veuve (aïeule), «  Le vin et la fillette (Air : Vrai sans chagrin) »

 

Poésie érotique

 

Yvan Robberechts, « Coquelicot »

Barbara Polla« Ma vulve »

​​​​

Poésie de circonstance

 

Faits divers & catastrophes 

 

Dêva Koumarane, « Après la pandémie » 

Fanny Forestier (aïeule), « inondation de 1856 »

 

Revue culturelle d'Europe

 

Mustapha Saha, « De l’art de construire un navire du XVIIème siècle à Gravelines »« Chronique d’occupation de l’Odéon. Un violent désir de bonheur » 

 

Revue culturelle d'Orient & d'Afrique 

 

 

Revue culturelle des Amériques

 

 

Philosophies & sagesses en poésie 

Michel Orban, « Fausse ivresse »

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES, « Invitation à lire : Nataneli, Poison & Antidote. Vulgarisation poétique du "Tout à l'égo", Essai sur la poésie, Édilivre, 2020 »

Ahcène Mariche, « La toile d'araignée »

 

Croyances, religions & mysticismes en poésie 

 

Maggy De Coster, « J’ai vu »

 

Mon mémoire en dix mille caractères 

(Nouvelle rubrique de 2021) 

................. 

​​​​

S'indigner, soutenir, lettres ouvertes, hommages

​​​​​

Mustapha Saha, « Hommage photographique pour le centenaire d'Edgar Morin », « Hommage pictural à Louis Armstrong (1901-1971) » 

 

 

Réception d'autrefois &

Presse, média, femmes & genre 

 

Madeleine Amidieu, « Soir de juin »

Paul Smith, « Premier bouquet poétique par Mlle Fanny Forestier » 

 

 

Annonces diverses

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES, « Actualité poéartistique de Catherine Gil Alcala »,  « Invitation à lire : Nataneli, Poison & Antidote. Vulgarisation poétique du "Tout à l'égo", Essai sur la poésie, Édilivre, 2020 »

 

Service de presse

Nous avons reçu les revues

  • Florilège, N° 183, Juin 2021 ;
  • Libelle

 

Cuisiner en poétissant

Irina Moga, « Comment sécher des herbes » 

 

 

Actions en faveur des femmes & genre

 

SIÉFÉGP, « Première édition du Salon des livres des lettrées 2021 » 

 

 

Événements & manifestations avec des membres de notre équipe 

Agenda poétique 

 

 

 

Soutenir nos actions en faveur des femmes & genre 

 

Vous avez la possibilité de soutenir nos actions en faisant un don de

 

_ 1€ ou plus, nous ajoutons votre nom à la page des Mécènes sous la section "Personnes donatrices".

12 € ou plus, vous recevez sous trois semaines en remerciement de votre don un exemplaire papier gratuit du Calendrier 2021 de la revue LE PAN POÉTIQUE DES MUSES pour lutter contre les violences faites aux femmes et particulièrement le féminicide.*

 

_ 12 € ou plus, vous recevez sous trois semaines en remerciement de votre aide un exemplaire papier gratuit du recueil "Équinoxe" la revue LE PAN POÉTIQUE DES MUSES.*

 

*Dix exemplaires du calendrier et dix exemplaires d'"Équinoxe", éd. 2020 sont disponibles. Pour éviter de faire un don sans avoir votre exemplaire, veuillez demander le nombre d'exemplaires qui restent en stock avant de faire votre don en France métropolitaine.

 

Voilà le lien pour soutenir l'association SIÉFÉGP :

 

 

Le Pan Poétique des Muses (LPpdm)

 

Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques

 

 diffusée en version électronique (apériodique) & en version imprimée suspendue suite à un cas de force majeure de 2018 à 2020, reprise de l'édition imprimée dès 2021.

 

 

ISSN numérique : 2116-1046

 

(4 numéros par an dont un Hors-série & un Numéro spécial)

La reprise de la parution imprimée se fait en 2021 

 

ISSN imprimé : 2492-0487

 

ISSN imprimé Hors-série : 2554-8174

© Créditphoto : Logo de la revue par DS.

 

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Page de présentation créée le 6 juin 2021 par Aude & David SIMON 

 

Dernière mise à jour le 11 août 2021 

11 août 2021 3 11 /08 /août /2021 18:11

 

Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | Éditorial

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À vos poésies ! 

 

 

 

 

 

 

Dina Sahyouni

 

Poéticienne, éditrice, lyreuse & fondatrice de la SIÉFÉGP

 

 

​​​​​

 

Crédit photo : "In an Alcove" 1901, Helen Margaret, Madge Spanton, domaine public, Commons. 

 

 

 

Cette gazette poétique remercie chaleureusement toutes les personnes qui ont eu le courage de partager avec nous leurs ivresses et addictions. La Lettre n°16 s'achève aujourd'hui et la priorité revient désormais à la publication des numéros de l'été et l'automne 2021.

 

Parlons un peu de la Lettre n°16 intitulée « À vos ivresses & aux Bacchantes ! » et qui ose traiter un sujet qui scandalise beaucoup de gens. Ainsi, parler des addictions bonnes ou mauvaises, de la toxicomanie, de l'ivresse alcoolique et d'autres problèmes de ce genre chez les femmes en général et chez les auteures et artistes en poésie suscite le rejet immédiat chez beaucoup d'individus.

En parler, est en effet très pénible et reste difficile parce qu'il s'agit d'un tabou mettant à mal l'image que l'on peut avoir d'une femme, d'une mère, d'une artiste, d'une écrivaine. Ce tabou exige de nous les féministes de lui consacrer régulièrement un espace médiatique afin de libérer les femmes de la culpabilité qu'elles peuvent avoir à cause de leurs addictions considérées souvent comme des travers et des défauts rédhibitoires dans des sociétés où l'on exige toujours d'une femme de donner le meilleur d'elle-même.

 

Cet essai fait de vos bleus et des nôtres est un hommage à vous, à votre courage, à votre capacité de vous libérer de vos soucis et du regard normatif sur les femmes et sur les poètes et artistes en général.

Peu abordé, peu étudié et commenté, le thème de cette lettre soulève le voile sur la difficulté de trouver des témoignages et poèmes de poétisantes et artistes sur ce point. S'agit-il d'une autocensure chez les femmes pour éviter d'être blâmées ? La question demeure pour le moment sans aucune réponse satisfaisante.

 

À vous, à votre santé mentale, psychique, physique, ... !

À vous chères lectrices, pour les Bacchantes et pour toutes les femmes et les personnes LGBT+ !

À vos poésies !

Excellent été à vous, demeurez avec nous en poésie,

© DS.

 

 

***

 

 

Pour citer cet éditorial 

 

Dina Sahyouni, « À vos poésies ! »,  texte inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16, mis en ligne le 11 août 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/lettreno16/ds-avospoesies

 

 

 

 

 

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Retour à la Lettre n°16  

10 août 2021 2 10 /08 /août /2021 15:15

 

Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | Poétextes thématiques | Handicaps & diversité inclusive

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À lui, je suis addicte

 

 

 

 

 

Dina Sahyouni

 

Poéticienne, éditrice, lyreuse & fondatrice de la SIÉFÉGP

 

 

​​​​​

 

 

Crédit photo : "Bleu dans la nature", domaine public, Commons. 

 

 

 

 

 

Au bleu, à Bleu, l'ami de toujours

 

 

 

Son sourire me transforme

en colombe blanche, 

en arc-en-ciel, 

en danseuse de flamenco

en vestale d'antan 

et parfois en poète héroïque, 

son beau visage me rend

allègrement euphorique 

Pour lui, lui, je deviens lyrique

À lui, à lui, je suis addicte

 

 

Sa douceur me rend

empathique, et souvent emphatique, 

Pour lui, lui, je deviens lyrique

À lui, à lui, je suis addicte

 

 

Son sourire enfantin, cristallin 

soutire du moi autistique, 

et gaiement mélancolique, 

la noirceur mélodramatique

et étrangement pathologique

des idées suicidaires...

sans drogues, ni alcools,

j'suis vraiment euphorique

Pour lui, lui, je deviens lyrique

À lui, à lui, je suis addicte

 

 

Lui, avec sa bonté angélique, 

il me rend vraiment euphorique, 

lui, mon bleu, le bleu azur, 

mon éternelle basilique 

Pour lui, lui, je deviens lyrique

À lui, à lui, je suis addicte

 

 

Grâce à la beauté authentique

de sa douce voix mélodique 

au ton bellement homérique, 

j'suis vraiment euphorique.

Pour lui, lui, je deviens lyrique

À lui, à lui, je suis addicte*

 

 

 

* © DS, poème issu de "Bleutée d'Autisme", écrit cet été 2021. Cette chanson ou litanie est marquée par des répétitions accentuées et rimes internes et finales répétitives, telles en "ique", "thique", "tique"...qui renvoient aux langages répétitifs des personnes avec autisme et/ou atteintes de tics et/ou toc.

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème sur l'amitié 

 

Dina Sahyouni, « À lui, je suis addicte »,  poème inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16, mis en ligne le 10 août 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/lettreno16/ds-addicte

 

 

 

 

 

Mise en page par David Simon

 

 

 

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Retour à la Lettre n°16  

9 août 2021 1 09 /08 /août /2021 16:57

 

Lettre n°16 | À nos ivresses  & aux Bacchantes | Muses au masculin | Handicaps & diversité inclusive

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le S. D. F. 

 

 

 

 

 

 

 

Yvan Robberechts

 

 

 

 

Crédit photo : "Homeless on Paulista Avenue, São Paulo city, Brazil, Wikimédia, domaine public​​​​​​. 

 

 

 

 

Sous la pluie, blotti sur le trottoir, vissé dans le bitume.

Tes jambes repliées dans ton imperméable en guenilles et tes chaussures ouvertes

te font ressembler à un canard mouillé.

Tu pues la vinasse, la pisse aigre et la mélancolie.

Tu regardes par le trou de tes yeux, derrière les barreaux de ta tête,

les gens passent comme des miradors.


 

Peut-être que tu ressasses ton passé,

tes rêves de chiffons rouges encornés par la vie.

Peut-être que tu arpentes des souvenirs égarés dans une salle des pas perdus.

Ou peut-être que dans ta tête il n'y a déjà plus que du sable.

Un sablier qui efface et fond vers l'oubli.

Dans ton portefeuille tu gardes un photomaton de toi jeune homme,

du temps jadis, du temps d'avant.

Avant cette trogne de gargouille.

Avant d'être cabossé, éreinté, déchu, entarté par la vie.


 

Avant d'être livré à ton ombre de bitume.

Tu t'es levé.

En gueulant.

Tu es passé devant moi sans me voir.

je t'ai regardé t'éloigner

et à cet instant précis j'ai vu,

sur tes épaules,

le diable,

assis en souriant.

 

 

 

© Robberechts, janvier 2021.

 

 

 

***

 

Pour citer ce poème philanthropique 

 

 

Yvan Robberechts, « Le S. D. F. », poème philanthropique inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16, mis en ligne le 9 août 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/lettreno16/yr-lesdf

 

 

 

 

 

Mise en page par David Simon

 

 

 

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Retour à la Lettre n°16  

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm Poésie philanthropique
8 août 2021 7 08 /08 /août /2021 16:36

​​​​​​

Lettre n°16 | À nos ivresses & aux Bacchantes | Poésie des ancêtres | Poétextes thématiques

 

 

 

 

 ​​​​

 

 

Poèmes de faim de vie (extraits)

 

 

&

 

 

Douze chants hérétiques,

 

chant second

 

 

 

 

Thibault Jacquot-Paratte

 

 

Crédit photo : Photographie d'une actrice en "Bacchante Profil de femme avec couronne. Commons.

 

 

 

 

Poèmes de faim de vie (extraits)

 

 

 

Brume citadine mêlée de l'écume de mon souffle

aux boulevards continus où ma vision s'engouffre 

labyrinthe de destinées où l'issu est passage

et profiter de ses errants sans l'devenir j'envisage

et soufflant dans le froid qui s'acharne bruine et pluie

l'orage bientôt en neige ; faire suivi

de ses mots, de ses sacres

de ses moissons de prières

des lueurs de longues nuits

du désespoir le massacre

de vins chauds, d'ambrées bières

engouffre-le chéri,

le passage des fêtes 

et encore faire suivi

continu du pavé c'est tout droit

éternelle marche aveuglée la vaguelette de buée 

le temps qu'il faudra pour ne pa(nne)s essoufflé

qui s'engouffre dans les recoins de creux et de grottes 

creusées où construites en parois nos maisons

et la neige en orage s'évanouissent flocons 

inonde-nous courant, de lieux

chez eux, nuages plancton et flocons, chez eux

ressenti que nous-mêmes l'on retombe en gouttelettes

heurtant à l'air la plage s'érode

s'emporte.

 

*

 

Santé à tous et vous-mêmes,

ceux pour qui vous buvez.

À qui les pas mènent titubants

sombres dans l'obscurité

à la coque fragile coquille

d'œuf en crâne

folie à la routine voit au voyage

l'organisme fonctionner tout seul ;

les courants bougent et décident

les vagues rongent les côtes

les mains palpent les seins de l'amour malhabile

sautent de nos bras et hors de nous les vins

années qui ne nous tiennent plus debout

marionnette de circonstance, 

mais les rois en habits robustes

de qui l'on peint portraits et gravent bustes

savent se défendre mieux que quiconque

et mirent sans zieuter et trinquant

aspirent confiance pour dérouter

et dans les voiles prédire les vents

et craquent coquilles faisons brouiller

sur une assiette voulez-vous votre petit déjeuner?

Il est aussi disponible dans la poêle, dans une feuille

dans du papier journal.

 

*

 

Quand c'qui a eu des beaux massacres

tout le monde a bien mangé

tu t'assois dans ton fauteuil

un cigare à fumer.

Des bains de sang qui coulent à flots

qui forment rivières dans l'caniveau

qu'on draine par aqueduc avec l'eau de nos toilettes

avec quoi on arrose nos plantes.

 

*

 

Image rendue d'une huile parfumée

qui ne reste seule au mur accrochée

qui m'entoure de ses traces, ses mouvements si charmants

elle existe et donc fou elle me rend

la réalité si belle de faveur des lumières

dans la cour de sa f'nêtre je chante air sur air

et en air flotte l'appel tiède de sa chair

aux joues rosées, à la fine figure

toutefois indicible dans son cadre quand est vue

et tableau restera, peinture d'idéaux

qui enjoue autant qu'interne est torture

une autre dose de telle dope; l'on court dans la rue

recherchant une idée vive et douce peau.

 

*

 

La seule drogue qui puisse une emprise sur moi

je ne peux chasser ta présence de mon envie

Quelle est la meilleure façon d'incendier?

Par des mots ou par des gestes ?

D'un aveu ou d'un baiser?

Je n'ai jamais tant voulu tant essayer

la défonce à ne plus voir rien d'autre

mes veines n'ont jamais tant appelé

que mon cœur batte !

Aucune piqûre ne frétille, plus

fumée n'a d'odeur telle

portant à perdre tout sens

et déraison,

à réfléchir d'une autre façon

à qu'est c'qu'a quelle importance.

 

*

 

pourquoi je me drogue alors que je suis

induit en erreur

la paranoïa la plus sincère guide mes actes.

Je remets en cause ce dont je croirais n'être jamais capable 

et pour une raison ou une autre j'aimerais me faire mal.

Je bois, je me drogue

il est tard et je suis fatigué, mais je continue

me force à danser, essaie de m'approcher

de ce qui me fait étrangement du bien

induit en erreur alors que je sais

ce dont je ne serais jamais capable remis en doute.

 

*

 

se connaître soi-même

et masque, ce que l'on ne veut montrer aux autres

les défauts qui nous tourmentent

qui nous transforment en un si faible pour cent de notre capable être.

Je ne boirai pas, je ne prendrai pas de drogue

je refuse de perdre contrôle 

et risquer d'extérioriser mes démons...

À moins que ces vices ne soient la solution ?

 

   

douze chants hérétiques, chant II

 

On buvait des bières en écoutant d'la country

le Québec c'est du beau pays, même s'ils sont arrogant des fois

par endroit y'avait des restes de neige

les premières, les dernières,

il faut faire de la route pour que tout d'un coup

les contrées aient l'air aussi désertes qu'on les voudrait

il sont arrogants des fois ; c'est parce qu'ils s'aiment beaucoup aussi

mais au Québec tout se fait tranquillement, pas vite

la terre a une révolution plus lente

toutes les Maries de l'église catholique

Montréal c'est pas trop mal

mais l'Amérique

c'est pas un continent de villes

décalages

rêves d'où l'on ne se réveil pas

lents

passants

impressionnés par la forme

impressionnés par le désir de l'être

allant du centre-ville au plein air

pour une poignée de billets

ne daignerait pas

pionniers,

aller au lieu de naissance

d'aspirations dépassées

éclatera un jour

bientôt ? Lointain ?

J'espère pour bientôt

la désillusion

mais je suis optimiste

 

fusillé

j'ai ri un grand coup

je suis allé voir ailleurs, et j'y étais

j'ai parcouru le Québec par tous les bouts

toutes les boutes

sauf Anticosti

Ant-

-i-

-(que)-

-(c)-

-(h)osti(e)

qui fut presque vendu aux nazis en 1937

et qui fut vendu au pétrole en 2014.

Tout ça pour un misérable 60% de profits.

À ce prix là,

pas besoin de condoms ! 

C'était un soir au Québec que je m'étais fait traiter de radin car je ne donnais pas l'argent que je n'avais     pas moi-même !

Quelque part, le Québec me rappelle beaucoup l'Afrique.

Comment généraliser un si grand continent !

Tant-pis, je m'y lance – 

c'est vrais qu'en générale partout dans le sud,

les gens vivent plus les uns sur les autres.

Il fait chaud

on est dehors,

on se rencontre dehors

on passe nos journées ensemble

on voit tout ce qu'on fait

on va se voir

globalement, y'a moins d'espace personnel

on s'attend toujours à avoir des points communs 

on se veut des points communs

on en trouve

on en crée 

on en cherche

on en demande !

On s'attend à aimer les même choses

vouloir les même choses ;

le Québec, pour moi, est trop conformiste

je n'déteste pas la mode, mais je n'suis pas commerciale 

La mode au grand M

la mode dans les arts

les coutures vivantes, formes, broderies...

c'est joli, c'est tout.

Au Québec le regard se projette sur notre apparence pour en déterminer le groupe sociale

« T'es tu un... »,

et on tend facilement la main

Dans Mandabi d'Ousman Sembéné

où les gens cherchent leur partie, cherchent à recevoir

où l'on se concerne de ce que pensent les autres

*

 

Santé à tous et vous-mêmes,

ceux pour qui vous buvez.

À qui les pas mènent titubants

sombres dans l'obscurité

à la coque fragile coquille

d'œuf en crâne

folie à la routine voit au voyage

l'organisme fonctionner tout seul;

les courants bougent et décident

les vagues rongent les côtes

les mains palpent les seins de l'amour malhabile

sautent de nos bras et hors de nous les vins

années qui ne nous tiennent plus debout

marionnette de circonstance, 

mais les rois en habits robustes

de qui l'on peint portraits et gravent bustes

savent se défendre mieux que quiconque

et mirent sans zieuter et trinquant

aspirent confiance pour dérouter

et dans les voiles prédire les vents

et craquent coquilles faisons brouiller

sur une assiette voulez-vous votre petit déjeuner?

Il est aussi disponible dans la poêle, dans une feuille

dans du papier journal.

 

*

 

Quand c'qui a eu des beaux massacres

tout le monde a bien mangé

tu t'assois dans ton fauteuil

un cigare à fumer.

Des bains de sang qui coulent à flots

qui forment rivières dans l'caniveau

qu'on draine par aqueduc avec l'eau de nos toilettes

avec quoi on arrose nos plantes.

 

*

 

Image rendue d'une huile parfumée

qui ne reste seule au mur accrochée

qui m'entoure de ses traces, ses mouvements si charmants

elle existe et donc fou elle me rend

la réalité si belle de faveur des lumières

dans la cour de sa f'nêtre je chante air sur air

et en air flotte l'appel tiède de sa chair

aux joues rosées, à la fine figure

toutefois indicible dans son cadre quand est vue

et tableau restera, peinture d'idéaux

qui enjoue autant qu'interne est torture

une autre dose de telle dope; l'on court dans la rue

recherchant une idée vive et douce peau.

 

*

 

La seule drogue qui puisse une emprise sur moi

je ne peux chasser ta présence de mon envie

Quelle est la meilleure façon d'incendier?

Par des mots ou par des gestes?

D'un aveu ou d'un baiser?

Je n'ai jamais tant voulu tant essayer

la défonce à ne plus voir rien d'autre

mes veines n'ont jamais tant appelé

que mon cœur batte!

Aucune piqûre ne frétille, plus

fumée n'a d'odeur telle

portant à perdre tout sens

et déraison,

à réfléchir d'une autre façon

à qu'est c'qu'a quelle importance.

 

*

 

pourquoi je me drogue alors que je suis

induit en erreur

la paranoïa la plus sincère guide mes actes.

Je remets en cause ce dont je croirais n'être jamais capable 

et pour une raison ou une autre j'aimerais me faire mal.

Je bois, je me drogue

il est tard et je suis fatigué, mais je continue

me force à danser, essaie de m'approcher

de ce qui me fait étrangement du bien

induit en erreur alors que je sais

ce dont je ne serais jamais capable remis en doute.

 

*

 

se connaître soi-même

et masque, ce que l'on ne veut montrer aux autres

les défauts qui nous tourmentent

qui nous transforment en un si faible pour cent de notre capable être.

Je ne boirai pas, je ne prendrai pas de drogue

je refuse de perdre contrôle 

et risquer d'extérioriser mes démons...

À moins que ces vices ne soient la solution?

 

 

Douze chants hérétiques, chant second

 

 

 

On buvait des bières en écoutant d'la country

le Québec c'est du beau pays, même s'ils sont arrogant des fois

par endroit y'avait des restes de neige

les premières, les dernières,

il faut faire de la route pour que tout d'un coup

les contrées aient l'air aussi désertes qu'on les voudrait

il sont arrogants des fois ; c'est parce qu'ils s'aiment beaucoup aussi

mais au Québec tout se fait tranquillement, pas vite

la terre a une révolution plus lente

toutes les Maries de l'église catholique

Montréal c'est pas trop mal

mais l'Amérique

c'est pas un continent de villes

décalages

rêves d'où l'on ne se réveil pas

lents

passants

impressionnés par la forme

impressionnés par le désir de l'être

allant du centre-ville au plein air

pour une poignée de billets

ne daignerait pas

pionniers,

aller au lieu de naissance

d'aspirations dépassées

éclatera un jour

bientôt ? Lointain ?

J'espère pour bientôt

la désillusion

mais je suis optimiste

 

fusillé

j'ai ri un grand coup

je suis allé voir ailleurs, et j'y étais

j'ai parcouru le Québec par tous les bouts

toutes les boutes

sauf Anticosti

Ant-

-i-

-(que)-

-(c)-

-(h)osti(e)

qui fut presque vendu aux nazis en 1937

et qui fut vendu au pétrole en 2014.

Tout ça pour un misérable 60% de profits.

À ce prix là,

pas besoin de condoms ! 

C'était un soir au Québec que je m'étais fait traiter de radin car je ne donnais pas l'argent que je n'avais     pas moi-même !

Quelque part, le Québec me rappelle beaucoup l'Afrique.

Comment généraliser un si grand continent !

Tant-pis, je m'y lance – 

c'est vrais qu'en générale partout dans le sud,

les gens vivent plus les uns sur les autres.

Il fait chaud

on est dehors,

on se rencontre dehors

on passe nos journées ensemble

on voit tout ce qu'on fait

on va se voir

globalement, y'a moins d'espace personnel

on s'attend toujours à avoir des points communs 

on se veut des points communs

on en trouve

on en crée 

on en cherche

on en demande !

On s'attend à aimer les même choses

vouloir les même choses ;

le Québec, pour moi, est trop conformiste

je n'déteste pas la mode, mais je n'suis pas commerciale 

La mode au grand M

la mode dans les arts

les coutures vivantes, formes, broderies...

c'est joli, c'est tout.

Au Québec le regard se projette sur notre apparence pour en déterminer le groupe sociale

« T'es tu un... »,

et on tend facilement la main

Dans Mandabi d'Ousman Sembéné

où les gens cherchent leur partie, cherchent à recevoir

où l'on se concerne de ce que pensent les autres

 

Sembéné, il s'en préoccupait aussi

ça le préoccupait

en fumant sa pipe

l'individualisme, on le lie souvent à l'égocentrisme,

à la méchanceté, au manque de sympathie,

en bref, au capitalisme.

Mais les risques liés au manque de soi-même

de différences,

Pff ! Je souhaiterais qu'on en parle plus

comme je souhaiterais que tout le monde discute

ensemble

on a construit des tours

des barrages

des civilisations

on a rempli des musées

(que l'on visitera plus en criant « last call »)

mais quelqu'un les a conçu !

Moi personnellement, je ne mélangerai pas Égo et identité

Idée

entité.

 

J'ai parcouru le Québec de plein de façons

en pouce, à pieds, en voyages payés,

mais comme toujours pour voir l'Amérique du nord,

faut y aller en voiture

mais comme peuvent en témoigner bien des gens

au Québec de nos jours, on trouve parmi les meilleures bières au monde

entre l'Éphémère, la Maudite, l'Eau Bénite

Trois Pistoles, à Chambly

celles de la Nouvelle-France

comme la Claire Fontaine

et pourtant on y trouve tout de même de la Bush, de la Cinquante et de la Blue Label

va savoir !

De toutes façons, je préfère le cidre.

 

 

***

 

Pour citer ces extraits 

 

Thibault Jacquot-Paratte, « Poèmes de faim de vie (extraits) » & « Douze chants hérétiques, chant second », poèmes inédits, Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°16, mis en ligne le 8 août 2021. Url : 

http://www.pandesmuses.fr/lettreno16/tjp-faimdevie

 

 

 

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