Description : « […] les événements, dans leur différence radicale avec les choses, ne sont plus du tout cherchés en profondeur, mais à la surface, dans cette mince vapeur incorporelle qui s’échappe des corps, pellicule sans volume qui les entoure, miroir qui les réfléchit, échiquier qui les planifie. […] C’est en suivant la frontière, en logeant la surface, qu’on passe du corps à l’incorporel. Paul Valéry eut un mot profond : le plus profond, c’est la peau. » (Gilles Deleuze, Logique du sens)
Titre : Surfaciel
Ce poème est inspiré directement de la phrase « le plus profond c’est la peau » de Paul Valéry et le passage cité ci-dessus de Gilles Deleuze.
Vidéo-art : expérimental
Réalisation : Trihn Lo & Cristina Rap
Musique : Trihn Lo, "Surfaciel", pour piano, percussions et électronique
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Pour citer ce court-métrage
Trihn Lo & Cristina Rap,«Surfaciel», Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°12, mis en ligne le 25 octobre 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/10/surfaciel.html
Qui oublions vite les rigueurs de l’asphalte et des rivages
Regard passant de la faim nous brûle
L'aile d'un oiseau migrateur dans le ciel fait naufrage
Se brise au mur de l’illusion
Murs des rives, et ruines
En mille langues, la joie ne s’écrit plus
Il n’y a plus d’abri contre la violence
La mer s’effondre entre les univers
Les fragiles s’agrippent aux récifs
Recueillent les brasses de naufragés
Tu scrutes depuis le port les bateaux, les hauts fonds
Point d’ancrage pour les barges
Les vagues se brisent anonymes
Comme les sacrifiés de la famine
Appelle les jours de paix
les nuits ardentes,
la proximité des anges
la fidélité à tes rêves
pour qu’à la prochaine rencontre
tu ne te sentes pas étranger
18/10/2017
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Pour citer ce poème
Nicole Barrière, « Conscience », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques: Événements poétiques|Les voix de la paix et de la tolérance, mis en ligne le 22 octobre 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/10/conscience.html
Événement poétique 2017 Les voix de la paix et de la tolérance Publication successive du 18 avril au 18 décembre 2017 ISSN numérique : 2116-1046 Revue féministe, internationale & multilingue...
Ce matin là, je m’éveillai tôt avec une curieuse impression. J’étais dans ma chambre mais j’avais la sensation que quelqu’un y était entré cette nuit. Un cendrier sur la table de nuit ne me semblait plus à sa place et on apercevait des traces de doigt dans la poussière de la commode. Après réflexion, je me dis que j’avais sans doute rêvé. Rien ne manquait. Aucun tableau, aucun bijou. J’ouvris la fenêtre pour aérer et en me penchant vers le jardin je m’aperçus qu’une rose avait été arrachée au rosier placé en dessous. C’était la plus belle, d’une couleur mordorée. Ce n’était pas le vent : il n’y en avait pas. Elle avait été coupée au sécateur. Qui donc pouvait bien en vouloir à mes roses ? Je passais en revue tous mes voisins :
Les retraités d’en face ? Ils n’en avaient pas besoin. Leur jardin regorgeait de fleurs en tout genre, toutes plus odorantes les unes que les autres. Le café du coin de la rue ? Paulo le patron passait ses journées derrière son comptoir à servir des bières à des ivrognes pendant que sa femme s’affairait en cuisine avec la Chinoise du restaurant d’à côté qui venait de faire faillite. Que ferait-il de ma rose ? Pendant que je menais ce long palabre avec moi-même, j’aperçus une femme d’un certain âge, brune, les cheveux longs et bouclés qui franchissait la passerelleau-dessus de la voie ferrée en face de ma fenêtre. Elle tenait à la main un bouquet de roses mordorées Je me sentis entrer dans un état jubilatoire, de ceux que je ressentais quand j’étais encore flic et qu’une séquence d’enquête allait bientôt se clore, à la faveur d’un nouvel élément. Je me sentis résolu à agir. J’enfilai ensemble slip, pantalon, pull et je me jetai rapidement dans la rue. La femme ne marchait pas vite. Heureusement ! Et je n’eus pas de mal à la rattraper. Plutôt que de l’aborder, je décidai de la suivre. Elle se déplaçait lourdement, comme si une arthrose sournoise l’empêchait d’avancer. Elle longea un moment la voie ferrée puis s’engagea dans une impasse. J’hésitai un instant mais l’Appel fut plus fort. Je mettais mes pas dans son ombre jusqu’à atterrir devant un pavillon de banlieue entouré d’un jardin dissimulé aux regards des passants par une haie de cannisses beiges. Ma guide avait disparu. À un endroit, quelques bambous avaient troué cette légère clôture ; j’écartais les tiges malléables et mobiles. La femme se trouvait là, assise sur une chaise longue aux allures marines rayée de bleu et de blanc ; ses cheveux s’étalaient sur le dossier en boucles soyeuses. Son visage semblait respirer le soleil du matin encore un peu pâlichon. Elle avait troqué ses vêtements contre sa simple nudité et sa peau blanche, laiteuse, auréolait la pelouse du jardin de sa lumière pâle ; Il se dégageait de son corps mou étalé sur la chaise longue, offert, une sensualité suave dont je ressentais l’appelqui allait m’aliéner.
Je restai longtemps ainsi à la regarder ; le temps passa ainsi que les passants ; je ne sais si elle m’avait vu mais cela ne semblait pas la gêner outre mesure. Enfin l’heure avançant, je remplaçai mon activité de voyeur pour une autre plus prosaïque : aller manger au restaurant du quartier.
L’après-midi se passa sans problème ; je m’étais engagé à illustrer le livre d’un ami et je m’adonnai à mon passe-temps favori : l’aquarelle. Je mêlais savamment l’eau et les couleurs afin de laisser passer un maximum de lumière ; mes portraits ressemblaient un peu à des poupées de porcelaine mais cela collait tout à fait au texte de mon commanditaire. Le soir tomba.
Je me mis à la fenêtre pour observer le coucher du soleil. Alors que le disque de feu allait disparaître derrière la cheminée de la maison voisine, je l’aperçus devant la grille du jardin. Elle me regardait. J’eus besoin du soutiende la rambarde pour ne pas vaciller en avant ; des sentiments contradictoires se mêlaienten moi. Que venait-elle encore faire ici ? Son regard sombre semblait m’implorer. Je lui fis un signe de la tête ; Elle poussa la grille, entra et se dirigea vers le perron, toujours de ce pas lourd et traînant que j’avais remarqué. Elle devait monter les trois étages. Une petite voix me disait n’ouvre pas mais ce fut plus fort que moi. Elle se retrouva sur le palier et je la fis entrer. Elle inspecta la pièce où un chevalet traînait. Elle me demanda de la peindre ce que j’acceptai.
J’installai ma palette de couleur. Pour elle j’avais choisi la peinture à l’huile qui rendrait mieux à mon avis la densité de sa peau sensuelle. Elle se déshabilla ; elle ne semblait éprouver aucune gène et prit la pose le plus naturellement du monde sur le canapé de cuir violet acheté bon marché dans une brocante ; je me mis à la dessiner. Les contours furent rapides et précis. Sa blancheur me posait des problèmes. Comment rendre toutes les nuances de sa carnation et donner de la chaleur à cette non-couleur qui était la sienne et qui pourtant irradiait ? Le temps passa, fébrile ; l’œuvre prenait forme ; je commençais à en être content. Tout à coup on frappa violemment à la porte.
_ « Estrela, je sais que tu es là. Ouvre ! »
Son regard m’implora. Elle mit un doigt sur sa bouche : « chut ! »
Je ne savais que faire ; c’était sûrement son mari qui venait la chercher. Il hurlait et tambourinait de plus en plus fort.
J’hésitais encore lorsque le coup partit. Une violente douleur me saisit au thorax tandis que je m’affaissais sur la toile. Mon sang se mêla au blanc de sa peau pour lui donner enfin cette couleur vivante que je n’arrivais pas à rendre. Je quittai alors ce monde pour le paradis blanc.
FIN
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Pour citer ce récit
Pascale Rabesandratana Coutoux, «Histoire de rose et de couleurs»,Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°7 | Automne 2017 « Femmes, poésie & peinture » sous la direction de Maggy de Coster, mis en ligne le 19 octobre 2017. Url :http://www.pandesmuses.fr/2017/10/rose.html
Pascale Rabesandratana Coutoux,«Couleurs»,Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°7 | Automne 2017 « Femmes, poésie & peinture » sous la direction de Maggy de Coster, mis en ligne le 21 octobre 2017. Url :http://www.pandesmuses.fr/2017/10/couleurs.html
D’abord Le Pan Poétique des Muses vous remercie de nous accorder cette brève discussion autour de la parution de votre ouvrage espèce, pourriez-vous nous parler de la genèse du recueil ?
FGL – Au commencement d’espèce il y a comme pour tout début d’écriture un moment d’absence. Ce moment où l’on n’écrit plus, ce moment où l’on écoute le monde, où l’on va chercher dans le moindre recoin de la parole recroquevillée, quelque chose qui peut nous relier au globe dont on s’est absenté. Pour qu’un livre débute, il ne faut pas de première pierre comme pour bâtir une maison solide, durable, sur laquelle on pourra investir. Non, pour qu’un livre débute, il faut un tout petit caillou, un gravier, une brisure minérale imperceptible, qui s’introduit dans la chaussure et rend la marche impossible. Il faut s’arrêter, retirer le soulier, prendre le temps de chercher dans l’obscur, ce fragment de montagne. La semelle tournée vers le haut, la miette tombe dans la main, et le chemin qu’on allait prendre, nous paraît dérisoire. Ce ne sont pas les rochers qui ont interrompu nos pas, c’est cette petite chose pâle, insignifiante.
Le petit caillou qui a donné vie à espèce, c’est d’abord une histoire entendue à la radio. Celle d’un jeune alsacien enrôlé de force dans l’armée du Reich pendant la deuxième guerre mondiale. La guerre prend fin, il revient. Aux autres, il ne peut raconter ce qu’il a vu. Il ne parle pas, demande seulement à changer de nom. Pas son patronyme, seulement son prénom. Un tout petit changement, un e en plus, à la fin. Ainsi, il devient femme.
Et puis, c’est une photographie de Timur Kacharava, jeune homme de vingt ans, militant antifasciste assassiné à Pétersbourg par des néonazis dont le procès n’a pas eu lieu. Il revenait d’une distribution de repas vegans qu’il préparait chaque semaine avec ses camarades, pour les indigents de la ville.
Les poèmes en prose d'espèce sont répertoriés sous sept gestes, pourquoi le chiffre sept ? Cela fait-il référence aux sept jours de la création du monde selon la bible ?
FGL – Le 3 et le 7 sont des chiffres auxquels je me sens liée.
Bien sûr, le 7 nous fait tout de suite penser aux 7 jours de Béréchit, au récit de la création. D’autant plus que le livre s’ouvre sur les tohus-bohus, ces objets du monde réel, comme le cœur ou la neige, réfractaires au calcul de la géométrie euclidienne.
Ce qui me fascine, c’est qu’on retrouve ce chiffre, dans pratiquement tous les récits de création du monde, des Dogons aux Tatars en passant par les indiens Pueblo ! Mais on a tendance à l’associer trop souvent avec l’idée d’un parfait accomplissement. Le 7, en effet, est bien la fin d’un cycle, cependant le 7 est un grand anxieux, il ne se repose jamais vraiment car c’est lui, le véhicule de la vie. Après un cycle accompli, il faut qu’un autre vienne… le 7 ne sait jamais de quoi demain sera fait, le 7 c’est l’intranquille.
Et puis pour moi, il reste largement attaché à des œuvres que j’ai aimé et que j’aime toujours : Blanche Neige et les 7 nains, les 7 boules de cristal et aussi, un de mes films culte
7 ans de réflexion !
Votre ouvrage relève de la poéthique, il est composé de chroniques poétiques de la généalogie du cosmos et des faits du quotidien, comment peut-on comprendre votre engagement poétique à rendre ce qui est « évident » et de ce qui est « presque invisible » ? s'agit-il d'une pensée philosophique du monde et/ou d'une description de ses coulisses ?
FGL – L’écriture est un geste alors peut-être qu’espèce est un geste que je tente vers le monde pour me le rendre moins insupportable.
espèce c’est un poème qui accompagne le cheminement de ceux qui refusent l’adhésion à l’exploitation de formes de vie dites inférieures au profit d’autres, considérées comme supérieures. Les formes animales, végétales, minérales sont concernées par l’exploitation, tout autant que les formes humaines.
Quand j’écris espèce, je suis accompagnée par l’impérialisme du même surl’autre de Lévinas*. Tout ce processus de la connaissance qui consiste à ramener l’inconnu au connu, le différent au même. Et ce qui résiste au même, l’animal en nous, doit à tout prix céder à la domestication. Il faut contenir ce qui ne peut l’être, le classer, le trier, en genres et espèces. Certes Lévinas nous parle du rapport à l’Autre-humain. Je franchis cette frontière-là, j’écris aussi pour l’Autre caillou, l’Autre cochon, l’Autre vague scélérate, l’Autre patate… J’écris ce passage incessant entre le visible et l’invisible, le mystère de cet évident-évidant qui ne nous livrera jamais qu’une part infime de l’invisibilité des liens qui nous lient au reste de l’univers sous toutes ses formes, de la masse noire au sombre coléoptère.
Oui je pense que l’écriture est une petite entreprise, pas cotée en bourse, sans siège social, qui travaille à démurer. Elle rentre dans les murs, les retourne, ils deviennent le support de ce qu’ils avaient pour mission d’empêcher.
Êtes-vous antispéciste ? espèce est-il une poésie antispéciste ?
FGL –L’idée de la séparation des espèces a été fondée par un système de domination d’un groupe sur un autre. La domestication animale, la société patriarcale et l’oppression des femmes sont apparues en même temps. Je conçois l’antispécisme comme une pensée du monde, issue de courants anarchistes du 19e siècle, qui ont beaucoup œuvré pour la libération des femmes mais aussi pour la libération animale. Élisée Reclus était légumiste et dénonçait l’exploitation capitaliste du sol et du sous-sol. Louise Michel ne militait pas que pour les droits humains, elle a lutté activement contre la corrida et les expérimentations sur le corps animal. On a totalement occulté ces combats liés à l’histoire du mouvement ouvrier et à l’histoire de la Commune. Ces combats internationalistes et universalistes qui œuvraient pour l’abolition de toutes les frontières. En cela, je me sens proche de l’antispécisme et du post-humanisme.
Par contre, en ce qui concerne mon écriture, elle n’est ni blanche, ni noire, ni mâle, ni femelle… Elle n’est pas plus antispéciste.
L'absence des marques hiérarchiques et de la ponctuation dans votre écriture exprime-t-elle une manière d'interroger les assignations et les frontières normatives imposées par la langue et de s'en défaire ?
FGL –espèce ne comporte pas de majuscules, pas de points non plus pour fermer les frontières. Entre les propres et les communs, les rapports de force sont abolis. La langue agit de façon minuscule. espèce n’obéit pas à la voix de ses maîtres mais assemble des voix multiples. Des voix de femmes et d’hommes mais aussi des voix de bras morts, de carottes, de vieux chiens marrons…
Comme l’affirme Peter Szendy dans son essai sur la ponctuation, le point est une meurtrissure. Le texte est découpé selon une logique, mais pourquoi cette logique serait-elle la mienne ? Pourquoi me livrer à ce découpage, ces meurtrissures sur le texte ? Je préfère rendre visible sa discontinuité, par des blancs, des trous que seul le lecteur, dans sa singularité, est apte à combler ou laisser vide. Le point a pour fonction de diviser, de mettre des cloisons, des séparations. La ponctuation est un fléchage dans le couloir du langage, pour nous empêcher littéralement de nous égarer. Mais moi au contraire je tiens à cette perte, cet égarement dans le blanc. Je ne tiens pas à signaler au lecteur quand il devra s’exclamer, se questionner, quand il devra commencer ou finir. Le poème est un lieu de liberté, pas d’asservissement. La ponctuation, moi je la fais en clignant des yeux, et en respirant. Mais chacun respire et cligne des yeux à sa manière.
Qu’est-ce que la poésie ? Et que peut la poésie dans notre vie ?
FGL – « Je ne sais pas du tout ce qu’est la poésie mais assez bien ce qu’est une figue. » disait Francis Ponge.
Voici un poème (une variante du poème) que j’avais envoyé à Nadine Agostini pour le numéro 0 de la revue Bébé consacré à cette belle question :
Déplacée parmi les déplacés depuis tout le temps indocile
indomiciliée elle s’étire sort des bouches humaines bête noire
de la somme des mots langue chargée on suspecte la contagion
elle se rebiffe refuse les soins protège les enfants de l’œil malveillant
des adultes humiliant celui fatigué par sa journée d’école qui
pour jouer prononce les sons sens dessus dessous
on apprendra à se taire à tourner sept fois le morceau de carne
maté domestiqué pour ne dire plus que des termes utiles
jusqu’à ce que la cavité se remplisse de mots négligés mal formés
mal prononcés dévêtus vacants en fin de droits
dans cet obscur là la langue œuvre
entraîne le troupeau l’aide à s’égarer maintenant elle va s’écrire
l’enfant se tait sait où ses mains ne doivent se poser où sa langue
doit cesser jusqu’à ce que la mâchoire bâille
laissant libre le passage aux vocables parasites inusités clandos
de toutes sortes maintenant elle s’écrit ça y est
pas forcément dans le livre souvent à ses côtés sur le corps d’une lettre
d’une image d’un son d’une performance d’une pellicule d’un
mur en tout cas pas là où on croyait la serrer
Quant à ce qu’elle peut, eh bien, simplement déposer du gravier dans nos pompes. Nous empêcher d’accepter la mise au pas, la marche forcée. Et ainsi, dans l’accueil inédit des débris du monde, nous disjoindre de l’acceptation muette et de la collaboration distraite.
* Voir Emmanuel Levinas, Totalité et infini, sous-titré « essai sur l'extériorité », Nijhoff, La Haye, 1961.
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Pour citer cet entretien
Le Pan Poétique des Muses (LPpdm), « Entretien avec Frédérique Guétat-Liviani à l’occasion de la parution de son recueil espèce aux éditions le Temps des cerises», Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°12 & Hors-série 2017, mis en ligne le 20 octobre 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/10/entretien-guetat-liviani.html
RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION !
Cette section n'a pas été mise à jour depuis longtemps, elle est en travaux. Veuillez patienter et merci de consulter la page Accueil de ce périodique.
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