7 janvier 2020 2 07 /01 /janvier /2020 17:46

 

 

Lettre n°14|Être féministe

 

 

 

 

L'image de la femme

(Extrait de

Pour un humanisme éclairééditions

Au Pays Rêvé)

 

 

 

 

Sarah Mostrel

 

Site : www.sarahmostrel.online.fr 

Facebook www.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

 

© Crédit photo : Sarah Mostrel, Dame noire.

 

 

 

À la une des magazines, la femme est fréquemment représentée dans des états qui ne la reflètent pas, à moins qu’on ne la considère que par son allure et dans une tranche d’âge limitée.

 

Souvent mise en avant quand elle est jeune, mince (voire anorexique), sexy (de préférence vêtue d’habits luxueux, ce qui ne correspond absolument pas au budget moyen de la population), elle fait encore trop souvent office de femme-objet : objet de regard, de désir faisant vendre de célèbres marques de voitures (rouges de préférence) ou servant à valoriser… l’homme qui est à ses côtés. Cet emblème récurrent en faire-valoir n’aide pas à son émancipation, laquelle a pourtant commencé depuis plus de 40 ans. « Comment gérer boulot et famille ? », titrent les journaux, « Comment être une « superwoman, multitâche et belle, de surcroît ! »

 

Ce statut définissant la femme « en fonction de », « au regard de », dans une apparence privilégiant la forme au fond ou dans une performance de mère assumant tout, carrière et gamins, dévalorise la gent féminine.

Car cette image est insidieuse et favorise encore la discrimination. Non, il ne faut pas trouver les recettes pour que la femme soit plus compétitive, mais parler à l’être (tout comme pour l’homme d’ailleurs), avec ses envies, ses possibilités, ses capacités, sa personnalité.

 

Ce qui lui accordera une parfaite intégration dans un monde plus juste, plus égalitaire et qui lui donnera plus de chance en s’adaptant à ses spécificités (grossesse, enfants etc.). Ce sujet ne devrait-il pas toucher tout un chacun, puisque la survie de l’espèce en dépend ? L’homme est aussi ravi d’être père que la femme d’être maman. D’autres pays, notamment scandinaves, réussissent bien mieux à valoriser chacun des genres et à mener une bonne répartition des tâches.

 

 

© Crédit photo : SM, Femme.

 

 

Et que vaut la parité, si l’on n’éduque pas, dès le plus jeune âge, les filles à aller au bout de leur ambition, leur inculquant, preuves à l’appui, qu’elles peuvent exercer ce que bon leur semble si le système s’y ajuste, naturellement ? Que vaut l’aménagement du temps de travail quand on constate que les hommes sont si peu à se porter volontaires pour un congé parental ?

 

C’est l’approche envers le deuxième sexe qu’il faut réviser, en plus des lois que personne n’applique, ou si peu…

C’est un constat, la femme reste cataloguée et n’est pas à son avantage, même dans nos pays occidentaux. Ne parlons pas de sa condition dans beaucoup de pays totalitaires, où l’actualité nous montre le pire : viols, traites, trafics, prostitution, esclavagisme, condamnations à mort, lapidations, obligation de se voiler totalement, excision... Attention chez nous à ne rien céder sur les droits de la femme à être, tout simplement.


©SM

 

***

 

 

Pour citer ce témoignage

 

Sarah Mostrel (texte & dessins), « L’image de la femme  (Extrait de « Pour un humanisme éclairé », éditions Au Pays Rêvé) »Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 7 janvier 2020, Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/imagefemme

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm
5 janvier 2020 7 05 /01 /janvier /2020 16:12

Lettre n°14|Textes poétiques

 

 

 

Dans

 

la cité des

 

jasmins

 

 

 

 

Mariem Garali Hadoussa

 

Peintre poétesse

Présidente de lassociation "Voix de femme nabeul"

 

 

 

 Crédit photo : Jasmins, image libre de droits, domaine public, wikimédia.org (commons). 





Dans la cité des jasmins,

Sous le regard bienveillant 

D’une belle lune,

Dans le labyrinthe du théâtre

De la vie et de la mort,
Le doux chuchotement de la mer nous berce.
Je t’enlace mon beau jardin céleste
Et je m’engouffre dans tes sentiers fleuris,
Quand se réveille le papillon des nuits
Et me vole un baiser qui me chatouille l’âme

Avec ses ailes soyeuses !

Mais tu t’en vas papillon des nuits ?
Tu n’oses pas réveiller la douce houle
D’une mer dormante,
Sous la caresse d’une lune souveraine,
Complice de tous les amoureux ?
Tu rentres chez toi papillon des nuits,
En emportant mon doux parfum sur tes ailes,
Tu t’en vas tisser avec les  fils de ma vie,
L’étoffe de tes jours,
Tendre jardin céleste, douce cité des jasmins !

 

***

 

Pour citer ce poème
 

Mariem Garali Hadoussa« Dans la cité des jasmins », poème inéditLe Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 5 janvier 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/jasmins

 

 

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Rédaction de la revue LPpdm - dans La Lettre de la revue LPpdm
29 décembre 2019 7 29 /12 /décembre /2019 19:15

 

Lettre n°14|Textes poétiques

 

 

 

Sourdine

 

 

 

Dina Sahyouni

 

 

Crédit photo : roses blanches, domaine public. 

 

 

 

Le cœur pleure, 

Les yeux prient, crient, 

La bouche voit, l'horreur... 

Et les mémoires marchent, avancent dans les ténèbres du monde.

Le cœur pleure, les yeux crient, la bouche close se pose sur le précipice...

Lasse, la lumière de l'aube me couvre de joies. 

La nuit de l'être s'empêtre puis s'en va...

 

***

 

​​Pour citer ce poème

Dina Sahyouni, « Sourdine », poème inéditLe Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 31 décembre 2019. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/sourdine

 

 

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Rédaction de la revue LPpdm - dans La Lettre de la revue LPpdm
25 décembre 2019 3 25 /12 /décembre /2019 17:49
Roses de Noël. Source : Commons, Wikimédia.

Roses de Noël. Source : Commons, Wikimédia.


Sensation

 

 


Arthur Rimbaud, 

poésies complètes​​​​​... voir URL

 

 

Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, 

Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :

Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. 

Je laisserai le vent baigner ma tête nue. 

 

 

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien ;

Mais l'amour infini me montera dans l'âme,

Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien

Par la Nature, - heureux comme avec une femme. 

Mars 1870

 

 

Chères Amies, chers Amis, 

 

Nous avons encore des ennuis techniques pour récupérer vos courriels pour y répondre, mais nous espérons les résoudre rapidement. Soyez, s'il vous plaît, patientes/patients. 

 

Avec nos amitiés poétiques, 

LPPDM

 

Le Pan Poétique Des Muses,

Semainier Des Muses,

Iris & Mêtis Messagères

Bleues Des Muses

& l'association

SIÉFÉGP* vous

souhaitent de 

 

joyeuses

fêtes de fin

d'année

 

2019 ! 

 

 

 

* Est le sigle de la Société Internationale d'Études des Femmes & d'Études de Genre en Poésie.

 

 

Au plaisir de vous lire et de vous publier !

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16 décembre 2019 1 16 /12 /décembre /2019 15:51

 

Lettre n°14 | Être féministe | Critique & réception

 

 

 

Le bleu

 

des Rêves 

 

 

 

Dina Sahyouni

 

 

Catherine Gil Alcala, La Foule Divinatoire Des Rêves, poésie, Éditions La Maison Brûlée, mars 2018, 15 € ISBN 979-10-93209-04-3 : http://www.editionslamaisonbrulee.fr/foule-divinatoire/

 

© Crédit photo : image de la 1ère de couverture illustrée par Catherine Gil Alcala. 

 

 

 

 

Séduisante étrangeté d'un rien,

d'une vision qui se pâme...

Un javelot lancé dans le vide avec un message,

Un rendez-vous de l'autre côté du monde. 

[...]

Je le suis dans de longs couloirs.

L'être du soupçon et de la surdité,

une murène ensorcelée apparaît

dans le miroitement d'un piège...

sa peau est auréolée des gouttes d'eau

de milliards d'yeux.

"Rêve 18" , pp. 62-63 

 

 

Le recueil de poèmes de Catherine Gil Alcala est composé de trente-neuf poèmes et dix-huit dessins en noir et blanc qui illustrent assez bien le propos. Présenté humblement sans table des matières ni autre annexe par les éditions La maison Brûlée, l'ouvrage reste très intéressant et se lit d'une traite. J'avoue que la lecture de ce recueil était à la fois un moment de grâce et de peine.

Par ailleurs, on ne sort pas indemne d'une telle lecture... Quelque chose nous change au fil des pages et des rêveries oniriques teintées d'une nouvelle caractéristique du lyrisme qui n'est que ce que j'appelle Le mouvement dansant du geste créatif: il s'agit du retournement psychédélique du moi envers le soi universel du vivant. Ce mouvement dansant  du geste créatif naît ici de l'usage purement délibéré de la fatrasie surréaliste des rêves1 et du bleu comme procédés lyriques. Ce bleu fluide, limpide de l'inconscient est celui de la matrice Eau, de l'imaginaire des poètes. Le recueil se révèle être un hommage à la matrice, au matriarcat, à l'eau vivifiante, créatrice... Même la bestiaire de l'autrice/auteure, qui mérite d'ailleurs une étude sérieuse, semble décrire le premier cri cosmique de l'homo sapiens sapiens sur cette terre. Cette bestiaire retrace également les fantasmes et les fétiches de la femme-poète en schémas scéniques où évolue au gré des pages une vie allégorique des symboles de l'écriture et de la poésie par le biais des protagonistes égrenés ici et là sur le chemin des vagabondages oniriques. 

L'inconscient est la matrice dont parle la poète dans une danse onirique des mots, lignes et dessins. Tout transpire le symbolique, les références à la psychanalyse et aux découvertes freudiennes. Toutefois, la poète s'en détache en quittant sa peau théâtrale de Poétesse par l'écart qu'elle place entre l'Esse (être) et la poésie comme matrice pure du mouvement et des expressions variées de la matière. Au-delà donc du genre social, il s'agit dans ce recueil d'expérimenter à travers une fatrasie onirique le territoire du geste créatif qui devient un lyrisme des bleus de l'Inconscient collectif des femmes où les violences se colorent du sang et de la folie supposée des sorcières, aliénées, hystériques, psychosées et de toutes les femmes qui osent écrire...

La poète se territorialise dans la géographie du geste créatif, dans l'écriture poétique ; cette encre bleue-noire est bleutée de la condition des femmes artistes (ex. Les bas-bleus). L'écriture est liquide et mouvement chez Catherine Gil Alacal, l'écriture est aussi une lutte et un érotisme de l'être. Ce bleu des Rêves est donc celui de la poésie matricielle du vivant et de la femme créatrice.

Entiché de références mythologiques et freudiennes sous la forme d'une fatrasie lyrique salvatrice, le recueil se dresse ainsi en porte allégorique entrouverte sur l'inconscient de la créatrice, sur un imaginaire qui défie le bleu cadavérique de la mort sous tous ses aspects.

L'écriture poétique est un chemin parsemé du sang et du vagabondage dans les bleus des mots. Elle est aussi le lieu d'un écart salutaire entre le réel et l'imaginaire.​ Comme Antonin Artaud, Catherine Gil Alcala se glisse dans l'abîme béant de la dualité folle du corps et de l'âme renvoyant à celle du féminin-masculin qui sape la poésie de l'humain pour en ressortir entièrement créatrice. Je recommande vivement la lecture de ce recueil.

 

Mars 2018

 

 

Note

1. Il s'agit en fait d'une adaptation de la vision surréaliste de la "Fatrasie" faite par la poète qui use de plusieurs figures de style (comme les adynation, allégorie, amplification, métaphore, exagération, répétition, personnification, catachrèse, antonomase, épizeuxe, etc.) et d'autres procédés stylistiques pour y parvenir. Voir également l'article de Michael Randall, "Des « fatrasies » surréalistes ?" dans "Littérature", n°108, 1997, pp. 35-50 : https://www.persee.fr/doc/litt_0047-4800_1997_num_108_4_2449 ou 

https://doi.org/10.3406/litt.1997.2449

 

 

***

 

​​Pour citer ce texte

 

Dina Sahyouni, « Le bleu des Rêves », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 16 décembre 2019. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/reves

 

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