12 mai 2025 1 12 /05 /mai /2025 15:24

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Dossier mineur | Articles & témoignages | S'indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages

 

 

 

 

 

 

 

Albert Strickler, poète

 

de la grâce & de la lumière

 

 

 

 

 

 

Hommage / texte élégiaque par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

Photographie par

 

Claude Menninger

 

 

© Crédit photo : Claude Menninger, à gauche Etienne Troestler, directeur du FEC (Foyer des étudiants catholiques) où se déroulait la soirée & Albert Strickler lors de l’hommage en 2022 au poète Marc Syren †.

 

 

Dans chacun des ses recueils de poèmes ou journaux, on pourrait mettre en exergue ce vers d’Albert Strickler « Je traverse le temps dans l’écume de la lumière », cette lumière le poète la puise dans sa proximité avec les auteurs et autrices qu’il évoque telles « ces deux folles de Marina et d’Emily », il nomme ainsi affectueusement Emily Dickinson et Marina Tsvetaeva ou encore Nicolas Dieterlé, Reiner Kunze, René Char et bien d’autres qui reprennent vie entre les lignes de ses ouvrages.

 

Mais c’est dans l’écrin du Tourneciel sur les hauteurs de Sélestat que l’auteur tutoie le ciel en écoutant, comme il nous le confie, des sonates de Bach ou en feuilletant les carnets d’Haldas dans une fête toujours renouvelée. On gardera comme un trésor cette magnifique métaphore filée qui renvoie à la feuille blanche « la neige des cygnes qui fond au fil de l’eau » tirée de son journal « Au-dessus du brouillard ».

 

L’esprit d’Albert Strickler m’accompagne quand je découvre un poète dont je suis sûre que ses écrits lui auraient plus, c’est ainsi qu’en lisant la traduction inédite d’un livre d’Elisabeth von Arnim, j’ai écrit un poème qui les réunit dans la lumière.

 

Cette quête de la lumière culmine dans son recueil « Et toucher doigt nu la pulpe de la lumière », la feuille de gingko biloba qui illustre la couverture de ce livre et que l’on doit à Olivier Klenklen, est particulièrement éclairante dans ce cheminement où le poète évoque les figures d’Odile, la patronne de l’Alsace ou Sainte Lucie….
Il nous écrit « Mais tu quitteras la terre / comme tu es venu au monde/ affamé de lumière » et c’est bien cette lumière qui nous réunit, elle fusionne avec la grâce dans « Le diamant et le duvet » où le poète nous invite à appréhender dans un flocon de neige « le sceau de la merveille », voire « la rivière de diamants de la neige ».

Et quand il fond son âme dans un flocon, il s’écrie « j’habite une verrerie d’art », cette symbiose avec les éléments naturels Gaston Bachelard l’a célébrée dans son livre « L’intuition de l’instant » où le poète au bord du monde appréhende «  l’harmonie préétablie dans les choses quand la force du temps se condense dans l’instant ».

 

C’est cette faculté d’émerveillement qui donne toute sa puissance à cette poésie intemporelle. Dans ses journaux, nous percevons cette  même musique qui nous invite à accompagner le poète dans un voyage intérieur  qu’il renouvelle tous les jours.

Mais cette tâche, dont il dit lui-même qu’il ne saurait s’en défaire, le fait parfois douter, dans le même temps, « Pourquoi écrire ? », se demande-t-il.

 

On songe à Sylvia Plath et à bien d’autres poètes authentiques dont le doute fait partie intégrante du travail d’écriture, de la quête et de la transcendance de soi. Sylvia Plath écrivait qu’elle voyait l’infini dans un grain de sable, on a envie de rapprocher cette définition de la poésie de celle d’Albert Strickler qui nous offre dans l’écrin de ses recueils  ses «riens somptueux » qui orchestrent la beauté et la musique du monde.

 

 

© Françoise Urban-Menninger, mai 2025. Ce texte rend hommage au poète Albert Strickler disparu en novembre 2023, une photographie l’accompagne, elle a été prise par Claude Menninger lors d'un hommage, un an plus tôt en 2022, au poète Marc Syren, lui aussi trop tôt disparu...

 

 

À lire aussi le poème élégiaque en hommage au poète Albert Strickler :

 

Françoise Urban-Menninger, « Le cœur étincelant d’un joyaux », illustration photographique par Claude Menninger, URL. https://www.pandesmuses.fr/noi2025/fum-coeuretincelant

 

***

Pour citer ces images & texte élégiaque inédits en hommage au poète Albert Strickler

 

Françoise Urban-Menninger, « Albert Strickler, poète de la grâce et de la lumière », illustration photographique par Claude Menninger, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 12 mai 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/noi2025/fum-graceetlumiere

 

 

 

 

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10 mai 2025 6 10 /05 /mai /2025 17:58

Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles » | Critique & réception | « Poésie volcanique d'elles » | Articles & témoignages 

 

 

 

 

 

 

 

Il ne faudra plus raconter des histoires,

récit de Sandrine Weil sous-titré Le livre de Jean, 1942-1945, un enfant dans les camps paru chez L’Harmattan dans la collection Graveurs de Mémoire

 

 

 

 

 

 

Critique par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée de l’œuvre de Sandrine Weil « Il ne faudra plus raconter des histoires. Le livre de Jean, 1942-1945, un enfant dans les camps », Éditions L’Harmattan dans la collection Graveurs de Mémoire, avril 2025.

 

 

 

S’il ne faut « plus raconter des histoires » et surtout « faire des histoires », écrit Sandrine Weil, elle ajoute qu’« elle ne se taira plus maintenant » car sa grand-mère Odette, fière d’avoir une petite-fille qui intègre une première littéraire, lui avait « commandé » le récit de leur histoire familiale qu’elle reprend par l’écriture « à son compte / conte » en redonnant une voix aux disparus.

 

Née à Paris en 1972, Sandrine Weil est professeure de lettres modernes et de cinéma à la Flèche et au Mans. Elle écrit depuis l’adolescence, réalise des courts métrages, anime des émissions pour Radio Prévert et témoigne dans ce premier ouvrage de « L’histoire de Jean Weil », son père déporté à Bergen-Belsen à l’âge de 4 ans avec sa mère Odette et sa sœur Josette, âgée d’à peine sept mois.

 

 

© Crédit photo : Première & quatrième de couverture  de l’œuvre de Sandrine Weil « Il ne faudra plus raconter des histoires. Le livre de Jean, 1942-1945, un enfant dans les camps », Éditions L’Harmattan dans la collection Graveurs de Mémoire, avril 2025.

 

 

Ce drame familial, qu’elle met en lumière, s’inscrit dans la grande Histoire et croise d’autres destins comme celui de Rudolf et Marga qui, par leur incroyable mariage à Auschwitz, « transforment la haine en amour pur. »

 

Cet « amour pur », s’incarne tout au long de ce récit en la figure féminine d’Odette, la grand-mère de Sandrine, mère exemplaire qui, dans les camps, au comble de l’horreur veille sur ses deux enfants, tente de les préserver du mal en veillant sur leurs progrès, en notant leurs bons mots qu’elle transmet à Marcel Weil, son époux, prisonnier de guerre qui, depuis son STALAG réussit à leur faire parvenir des colis qui leur sauveront la vie.

 

Grâce aux traces écrites de Marcel et au récit oral d’Odette, Sandrine revient sur la tragédie impensable vécue par les siens et qui les ont tous marqués dans leur chair et leur âme. Le fil rouge de ce récit n’est autre que la mort de Josette, empoisonnée « après avoir mangé un vrai repas » alors qu’elle venait de regagner la liberté avec son frère et sa mère. Sandrine comprend la détresse de cette dernière « qui avait tué sa fille en croyant bien la nourrir . » Et d’ajouter plus loin « Sa mort restera une honte pour l’humanité tant qu’elle n’aura pas été racontée. »

 

© Crédit photo :  Une image récupérée par la critique où l'on voit Sandrine Weil dans le studio de Radio Prévert.

 

 

Nul doute que Sandrine Weil lui confère avec son livre une tombe nimbée de luminescence où l’image de la petite fille revêtue de la robe en laine rose, confectionnée par sa mère pour son retour, restera ancrée dans la mémoire du lecteur touché en plein coeur.

 

D’autres images transcendent les mots, celle de Jean, heureux de recevoir le dessin d’un autobus en guise du jouet qu’il avait souhaité se voir offrir par son père. Plus tard, il écrira une nouvelle, bien évidemment symbolique, intitulée Le train où il évoque « le retour dans des wagons à bestiaux. »

Tous les fantômes qui hantent le livre de Sandrine Weil viennent à leur tour interpeller le lecteur qui reste fasciné par la dignité d’Odette, une femme remarquable, admirée de tous dans les camps.

 

Sandrine Weil déborde le récit de l’histoire de ses proches pour aborder de nombreuses questions restées à ce jour sans réponses tel « l’aveuglement oedipien du grand rabbin » ou encore celui de Gustave Nordan...Preuve s’il en fallait qu’ « il ne faudra plus raconter des histoires » mais bien affronter cette « réalité qui dépasse la fiction » et qui n’a jamais cessé de tarauder Jean Weil, écrivant dans sa nouvelle, Les verres de Cristal, à propos de sa sœur Josette « ...il la cherchait partout. Où était-elle ? », « Les preuves objectives étaient rares : deux photos jaunies, des habits, mais plus que cela, sa présence dans la mémoire des vivants. »

Et c’est bien cette présence parmi les vivants que Sandrine Weil a réactivé avec magnificence car la véritable mort n’est autre que l’oubli.

 

© Françoise Urban-Menninger, mai 2025

 

***

Pour citer ce texte illustré & inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « Il ne faudra plus raconter des histoires, récit de Sandrine Weil sous-titré Le livre de Jean, 1942-1945, un enfant dans les camps paru chez L’Harmattan dans la collection Graveurs de Mémoire »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles » & Distinctions 2025, mis en ligne le 10 mai 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/megalesia25/noii/fum-sandrineweil-recit

 

 

 

 

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5 mai 2025 1 05 /05 /mai /2025 16:51

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet  | Dossier majeur | Florilège 

 

 

 

 

 

 

Le Déjeuner sur l’herbe

de Manet

 

 

 

 

 

Poème féministe de

 

Nicoletta Chiodi

Écrivaine, poète féministe, lesbienne & américaine

 

 

Crédit photo : Édouard Manet (1832–1883), « Le Déjeuner sur l’herbe » (intitulé précédemment « Le Bain » ensuite « La Partie carrée » 1863), peinture tombée dans le domaine public, Capture d’écran de l’image libre de droits du site Commons.

 



 

 

Quand j'étais adolescente 

J’ai mis une copie de Le Déjeuner sur l’herbe de Manet

Á côté du lit dans lequel j’ai dormi. 


 

J’ai aimé ce tableau 

Surtout la femme nue

Non nommée

Qui s’ennuyait de ces hommes

À ses côtés

Plutôt, elle a regardé dehors de la peinture

Dans mes yeux


 

Elle me disait de ne pas avoir peur des hommes

Et leurs regards

Elle m’a parlé d'une sorte de pouvoir 


 

Et maintenant

Quand je vais parmi les vieillards

Et leurs regards lubriques 

Et j’ai peur d’eux

J’imagine que je suis elle 

Leurs yeux glissent sur moi

Et je regarde à l'extérieur de la peinture.

 

© Nicoletta Chiodi 

 

Notice biographique

 

 

Nicoletta CHIODI est écrivaine et poète féministe lesbienne américaine. Ses poèmes bilingues traitent des expériences lesbiennes et des femmes. Ses poèmes paraîtront, en anglais, dans les prochaines éditions de Sinister Wisdom et Femme Dyke Zine. Elle habite aux États-Unis, près de Washington, DC, avec son épouse et leur chat. 

 

***

Pour citer ce poème féministe, engagé & inédit

 

Nicoletta Chiodi, « Le Déjeuner sur l’herbe de Manet»Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 5 mai 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/noi2025/nchiodi-ledejeuner

 

 

 

 

 

 

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11 avril 2025 5 11 /04 /avril /2025 16:38

Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles » | I — « Rêveuses » | Florilège | Astres & animaux / Nature en poésie 

 

 

 

 

 

​​​​

​​

 

L’apparition de mon arc en ciel


 

 

 

 

 

 

 

Poème printanier & photographie de

 

Louise Hudon

 

 

​© ​​​Crédit photo : Portrait photographique de Louise Hudon. 

 

 

 

Tant de belles couleurs dans mon ciel !

Un changement très providentiel !

Disparaissez nuages trop noirs,

Vous qui avez marqué mon histoire.

 

 

Près de chez moi, la pluie a cessé.

Malade, fragile, on m’a blessée.

Mon corps suit cette température.

Je me sens sauvée par la nature.

 

 

Nous devons vivre nos changements

En combattant le mal grandement.

Continuer le bénévolat

En faisant pour le mieux jusque-là.

 

 

Le soleil, les fleurs et mes tomates,

Je les regarde et je constate

Le graphique de ma vie sur terre,

Réflexions plutôt humanitaires.

 

 

© Louise Hudon, 3 septembre 2024

 

 

***​​​​​​

  

Pour citer ce poème printanier, psychique & inédit

 

Louise Hudon (poème & photographie), « L’apparition de mon arc en ciel »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles », mis en ligne le 11 avril 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/megalesia25/noii/hudon-apparition

 

 

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8 avril 2025 2 08 /04 /avril /2025 16:43

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet  | Dossier majeur | Florilège | Poésie, mode & Haute couture

 

 

 

 

​​​​

​​

 

la jupe plissé soleil

 

 

 

 

 

 

Poème par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

 

Crédit photo : Une jupe plissé soleil, bleu marine, capture d'écran de la photographie libre de droits du site Depositphotos, image no 1.

 

 


 

ma mère avait le don

de me faire aimer

les vêtements que j’abhorrais

 

 

une jupe bleu marine ordinaire

se parait de splendeur

quand elle évoquait son plissé soleil

 

 

une robe en lainage quelconque

se métamorphosait en tenue d’apparat

grâce à son imprimé pied-de-poule

 

 

quant au col Claudine blanc cassé

il m’apparentait à l’autrice

dont les lectures m’enivraient

 

 

ma mère avait le don

de faire passer un bout de chiffon

pour une soierie infiniment précieuse

 

 

des bottines qui prenaient l’eau

chinées sur un marché

me donnaient un petit air de tsarine

 

 

Crédit photo : Une jupe plissé soleil, à pois jaune et bleu marine, ornée de volants, capture d'écran de la photographie libre de droits du site Depositphotos, image no 2.

 

 

une jupe à pois ornée de volants

me faisait tourner en tapant du pied

comme une danseuse de flamenco

 

 

hiver comme été

ma mère empruntait

à la poésie des mots choisis

 

 

pour offrir à mes tenues

la part de rêve dont le plissé soleil

m’enchante encore aujourd’hui


 

© Françoise Urban-Menninger, avril 2025

 

***​​​​​​

  

Pour citer ce poème gnomique, inédit en hommage à sa mère

 

Françoise Urban-Menninger, « la jupe plissé soleil »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 8 avril 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/noi2025/fum-lajupeplisse

 

 

 

 

 

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