Écrivaine, poétesse, docteure en littérature française
& rédactrice régulière des périodiques de la SIÉFÉGP
Une écriture transgressive et nécessaire
La romancière, poétesse et performeuse Paloma Hermina Hidalgo va bientôt participer au Festival international de poésie de Bucarest. Elle va y présenter Féerie, ma perte, un recueil où se mêlent cruauté, baroque, conte et mystique. Comme dans ses œuvres précédentes, elle va explorer les territoires de l’orphelinisme, de la psychose, de la mémoire traumatique et de l’inceste, tout en transformant la douleur en une matière littéraire d’une rare intensité.
Hidalgo va poursuivre son travail autour de la figure maternelle, décrite comme une matrice d’amour et de destruction, où l’enfant-objet devient sujet par l’acte d’écriture. Comme elle l’explique dans un entretien à Diacritik, elle va s’inventer « à partir d’une position d’objet », réinscrivant le corps et le vécu dans une fiction où le réel se fissure. Les poupées, figures centrales de son imaginaire, vont apparaître comme des doubles ambivalents, mi-vivants, mi-symboliques, porteurs à la fois du traumatisme et de la revanche poétique.
À Bucarest, Paloma Hermina Hidalgo ne se limitera pas à une simple lecture. Elle va incarner ses textes sur scène, dans une performance où le verbe et le corps se rejoignent. Déjà saluée par Zone Critique pour « sa présence sublime et terrible qui redouble le magistral de son œuvre », elle va imposer une intensité rare : une poésie qui se vit autant qu’elle s’écoute.
Son œuvre a déjà suscité de nombreux éloges. Le magazine Marianne la décrit comme un « génie intempestif », la revue Europe a qualifié Matériau Maman de « chef-d’œuvre romanesque », tandis que Esprit a affirmé à propos de Cristina : « On ne va guère plus écrire de la même façon après l’avoir lu. » Sa radicalité est souvent rapprochée de celle de Jean Genet, dont elle partage l’intransigeance et la puissance baroque.
Si elle a récemment refusé le Prix Méditerranée 2024 pour Rien, le ciel peut-être, attribué par la mairie de Perpignan, liée au Rassemblement National, ce refus va confirmer à Bucarest la cohérence politique et éthique de son parcours. Hidalgo ne sépare pas l’art de l’engagement, ni l’écriture de la nécessité vitale.
La participation de Paloma Hermina Hidalgo va ainsi s’imposer comme un moment fort du festival. Entre lecture, performance et dialogue avec le public, elle va offrir une expérience poétique brûlante, dérangeante et sublime, qui interrogera notre rapport au corps, à l’enfance et à l’indicible. Le Festival de Bucarest va, en l’accueillant, réaffirmer sa vocation : être un lieu où la poésie n’orne pas le monde, mais l’ouvre, le blesse et le transforme.
Hanen Marouani,« Paloma Hermina Hidalgo au Festival international de poésie de Bucarest (cinquième épisode) », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet & Revue Orientales, « Libres », n°5, volume 1, mis en ligne le 19 septembre 2025. URL :
Paris. Vendredi, 4 octobre 2024. Les éditions de Minuit republient Liberté de Paul Éluard, de son vrai nom Eugène Grindel (1895-1952), également connu sous les pseudonymes Didier Desroches, Jean du Haut, Maurice Hervent. Il fallait bien brouiller les pistes pendant la résistance.
Été 1941. Paris sous occupation allemande. La destinataire initiale du poème est Nusch Éluard (1906-1946), de son nom de naissance Maria Benz, alsacienne, muse incomparable des surréalistes. Paul Eluard lui dédie, après sa mort, ces vers terribles, gravés sur la stèle de sa tombe au cimetière du Père Lachaise : « Vingt-huit novembre mille neuf cent quarante six. Nous ne vieillirons pas ensemble. Voici le jour en trop. Le temps déborde. Mon amour si léger prend le poids d’un supplice ». L’auteur explique la genèse de Liberté : « En composant les premières strophes, je pense révéler, pour conclure, la femme que j’aime. Mais, je m’aperçois rapidement que le seul mot qui se présente à mon esprit est liberté. Ainsi la femme que j’aime incarne un désir plus grand qu’elle ». Le poème, entamé en 1941, est achevé en mai 1942. Le manuscrit est confié à Max-Pol Fouchet, directeur de la revue littéraire et poétique Fontaine à Alger, foyer de l résistance intellectuelle. Le poème est publié, pour la première fois, en juin 1942 sous le titre Une seule pensée pour éviter l’interdiction. Max-Pol Foucher reçoit néanmoins un avertissement des autorités pétainistes : « La Censure centrale remarque depuis longtemps que votre revue, de caractère strictement littéraire, publie des poèmes, des contes, des analyses critiques où l’on trouve des allusions transparentes aux événements politiques, allusions nettement hostiles ».
Liberté est également publiée à Paris, en septembre 1942, par le groupe La Main à plume, dans une plaquette de vingt-huit pages, tirée en cinq mille exemplaires, clandestinement distribuée dans les universités, les lycées, les usines. Le poète, menacé d’arrestation, quitte son domicile. De novembre 1943 à mars 1944, Nusch et Paul Eluard se réfugient dans l’hôpital psychiatrique de Saint Alban en Lozère. Ils rentrent à Paris au printemps 1944. Paul Eluard fonde, avec Louis Parrot, L’Eternelle Revue avec l’exergue : « Une fois de plus, la poésie mise au défi se regroupe, crie, accuse, espère ». De santé fragile, le poète est foudroyé par une crise cardiaque à l’âge de cinquante-six ans. Le gouvernement français, engoncé dans les guerres coloniales, refuse de lui accorder des funérailles nationales.
Dès décembre 1942, Liberté est reproduit, en France et à l’étranger, dans de nombreuses publication, dans la revue France Libre à Londres notamment. Le poème est souvent repris sans nom d’auteur. Il gagne d’emblée le domaine public. Il est illustré par des artistes de renom, mis en musique par Francis Poulenc. Pendant l’été 1943, le compositeur crée Figure humaine, cantate pour double chœur mixte a capella. Jean Lurçat réalise une tapisserie aujourd’hui conservé au Centre Beaubourg Paris. Le service britannique Political Warfare Executive publie Liberté dans la Revue du Monde Libre et le largue par avion sur la France dans le cadre des opérations Nickel Raid. Deux aviateurs y laissent la vie.
Cinq dessins Liberté, j’écris ton nom, encre, gouache et graphite sur papier, commandés en 1953 par l’éditeur Pierre Seghers à Fernand Léger (1881-1955), un an après le décès du poète, donation de Louise et Michel Leiris en 1984, sont visibles au Centre Beaubourg Paris. Paul Eluard est représenté pensif, coloré de vert, de bleu, de jaune et de rouge. Fernand Léger réalise un livre accordéon, imprimé au pochoir, en tirage limité de 212 exemplaires. En novembre 2016, l’ouvrage reparaît à l‘identique. Au cinquième étage du siège du Parti communiste français, construit par Oscar Niemeyer place du colonel Fabien à Paris, trône le poème Liberté illustré par Fernand Léger, une tapisserie tissée en avril 1963 dans les Atelier Tabard Frères à Aubusson.
Paul Eluard s’engage tout au long de sa vie contre le colonialisme. Il soutient les marocains pendant la guerre du Rif (1921-1927). Il s’oppose, à l’exposition coloniale de 1931, dirigée par le maréchal Hubert Lyautey, honorée de la présence du sultan du Maroc, Mohammed Ben Youssef. Le pavillon marocain est un palais avec une porte monumentale, entouré de patios. L’orientalisme dans son expression la plus caricaturale. J’ai visité récemment le château d’Hubert Lyautey dans le petit village lorrain de Thorey, à une trentaine de kilomètres de Nancy, grande demeure surchargée de tableaux pittoresques, d’objets artisanaux, de photographies avec les deux sultans de l’entre-deux-guerres. Au dernier étage, une peinture géante représentant Moulay Youssef, un salon marocain archaïque, désuet. Des personnages pathétiques veillent sur l’héritage.
Tract Ne visitez pas L’Exposition Coloniale. « Brigandage colonial. On a envoyé en Afrique, en Asie, des navires, des pelles, des pioches pour créer du travail contre un salaire misérable, comme un don fait aux indigènes. Il est donc naturel, prétend-on, que le labeur de ces millions d’esclaves nous rapporte des montagnes d’or. Nous tenons les zélateurs de cette entreprise pour des rapaces. Les Hubert Lyautey, les Jacques-Louis Dumesnil, les Paul Doumer, qui tiennent le haut du pavé dans la France du Moulin Rouge, ne sont que des figurants du carnaval des squelettes. Les promesses de l’affiche de recrutement des troupes coloniales sont éloquentes : une vie facile, des négresses alléchantes, des pousse-pousse tirés par les indigènes. Rien n’est épargné pour la promotion. Un sultan chérifien en personne bat la grosse caisse à la porte de son palais en carton-pâte. Les conquérants des paradis coloniaux s’enorgueillissent du Luna-park de Vincennes. Contre les discours patriotiques, les exécutions capitales, exigez l’évacuation immédiate des colonies et la mise en accusation des généraux, des fonctionnaires responsables des massacres du Maroc, d’Annam, du Liban » (André Breton, Paul Eluard, Benjamin Péret, Georges Sadoul, Pierre Unik, André Thirion, René Crevel, Louis Aragon, René Char, Maxime Alexandre, Yves Tanguy, Georges Malkine).
Une contre-exposition s’intitule La Vérité sur les colonies. L’artiste allemand John Heartfield, de son nom d’état civil Helmut Herzfeld (1891-1968), ami de Louis Aragon, réalise un photomontage de deux poings levés, noir et blanc, couverture de la revue Social Kunst, n° 8, 1932, préfiguration des luttes pour l’indépendance. Prolétaires de tous les pays, unissez-vous. Une photographie de Man Ray est publiée dans le magazine Vogue de mai 1926 sous le titre Visage de nacre, Masque d’ébène. L’égérie Kiki de Montparnasse pose avec un masque africain. Le négatif décline des spectres. Aux lendemains de l’exposition coloniale, des œuvres déshabillent l’imaginaire occidental. Se tournent en dérision les fantasmes esclavagistes. Le magazine Vu publie, en 1934, un hors série sur la colonisation. Sur une d’Alexandre Liberman. un colosse noir porte la civilisation occidentale sur la tête. Projection délirante. Force physique, mollesse cérébrale. Victor Hugo lui –même, concepteur de la colonisation africaine, anti-esclavagiste convaincu, raciste avéré, n’appelle-t-il pas les noirs les pieds plats. Années trente, les génies du jazz se révèlent. Se célèbrent les métissages, au nez et à la barbe du suprématisme. En 1934, Nancy Cunard publie à Londres Negro Anthology, avec 250 textes d’auteurs de 155 autrices et auteurs africains, caraïbéens, américains. L’ouvrage de neuf cents pages n’est traduit en français aux éditions du Sandre qu’en 2023.
Je reçois, aujourd’hui même, un opus d’une vingtaine de pages signé Raoul Vaneigem, titré Abolir la prédation, redevenir humain, Appel à la création mondiale de collectivités en lutte pour une vie humaine libre et authentique, éditions Grevis. L’incipit, d’une formule percutante dont le philosophe a le secret, résume l’enfer actuel. « Nous avons fait de l’homme la honte de l’humanité. Du plus lointain des temps à nos jours, aucune société n’atteint le degré d’indignité et d’abjection attesté par une société agro-marchande qui passe, depuis dix-mille ans, pour la civilisation par excellence. Ce qui s’impose ainsi, en fait, c’est la dénaturation de l’être humain. On chercherait en vain parmi les carnassiers les plus impitoyables, une cruauté aussi délibérée, une férocité aussi inventive. L’opinion publique préformée prend parti pour l’un ou l’autre belligérant, comme s’il s’agissait d’un match de football. Les paris sont ouverts. Les hourras des spectateurs couvrent les hurlements des foules massacrées. Les rapacités financières orchestrent la dénaturation humaine, rythment les apathies, ponctuent les frustrations, déchaînent la haine meurtrière ».
Manque, pour comprendre cette traversée des ténèbres, la pensée percutante, turbulente, du philosophe Gilles Deleuze. « Nous vivons dans un monde plutôt désagréable, où non seulement les gens, mais les pouvoirs établis ont intérêt à nous communiquer des affects tristes. Les affects tristes diminuent notre capacité d’agir. Les pouvoirs établis ont besoin de nos tristesses pour faire de nous des esclaves. Les tyrans, les preneurs d’âmes, ont besoin de nous persuader que la vie est dure et lourde. Les pouvoirs ont moins besoin de nous réprimer que de nous angoisser, d’administrer nos petites terreurs intimes, de neutraliser les surgissements de la vie. Leur arme de dissuasion est la mort. Les vampires ne nous lâcheront pas tant qu’ils ne nous auront pas communiqué leur névrose, leur angoisse, leur castration, leur ressentiment, leur immonde contamination » (Gilles Deleuze).
Les humains perdent leur créativité. Ils ne pilotent plus leur destinée. Les ethnocides, les liberticides engouffrent l’insoutenable, l’invivable dans des régions entières. Le génocide le plus atroce, le plus brutal, le plus sanglant se justifie par des raisons sécuritaires. Qui vole aujourd’hui au secours des palestiniens en dehors des indignations de la rue ? Des voix juives intelligentes, courageuses, s’élèvent, au sein de l’impérialisme américain, contre l’ignominie sioniste. Légitime défense du pot de fer contre le pot de terre. Les discours fascistes, les actes monstrueux, les arguments fallacieux trouvent échos favorables dans les grands médias. Les consciences dévoyées s’abreuvent au spectacle des civils abattus à bout portant, des villes rasées par les bombes au phosphore blanc. Le profit prospère dans la destruction. La vie est un crime aux yeux des exterminateurs, des sociopathes détenteurs de pouvoir étatique. Contrairement aux psychopathes qui se défoulent sur des souffre-douleurs particuliers, les sociopathes ciblent des collectivités entières. Le massacre se digitalise. La boucherie se rentabilise. Les gouvernances décrédibilisées, noyées dans leur emphatique ignorantisme, aspirées par le vide, se militarisent faute d’autres moyens de s’imposer. Le pire se professe comme une fatalité. C’est la mort qui se démocratise. Je me dis : l’humanité touche le fond, elle ne peut que remonter. Je constate que le fond se creuse encore plus. Les incultes deviennent les maîtres, les charlatans les gourous, les intellectuels médiatiques les marionnettes. Les jeunes sous tutelle. Les vieux sous curatelle. La peur, une drogue populaire. Que revoit-on aujourd’hui dans plusieurs capitales européennes ? Des défilés de chemises noires, des revenants phalangistes, des spectres fascistes.
Dans ce monde à la dérive, déshumanisé, technocratisé, déconscientisé, robotisé, le salut ne peut venir que de l’art et de la poésie. Comme en Mai 68. Nous avons chanté, le temps d’une fête révolutionnaire, pacifique, le désir de liberté et la liberté des désirs. Les graines semées tardent à refleurir. Les monstruosités déculpabilisées, des dévastations décriminalisées sont de retour. Le poème est plus vital, plus salutaire que jamais. Réciter Liberté de Paul Eluard. Regarder Guernica de Pablo Picasso. Combiner leurs variations allégoriques. Leurs correspondances métaphoriques. Et l’âme étincelle de mille espérances.
Mustapha Saha, « Un poème peut transformer le monde », photographie par Élisabeth Bouillot-Saha, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet & Revue Orientales, « Libres », n°5, volume 1, mis en ligne le 26 août 2025. URL :
Crédit photo : Artiste anonyme, allégorie de la « Paix », peinture tombée dans le domaine public. Capture d'écran faite par LPpdm de la photographie libre de droits du site Commons.
Genèse du poème
C’est un poème de veille.
Écrit dans une nuit d’insomnie face à la guerre, il ne cherche pas à dénoncer, mais à veiller.
Il parle du décalage entre ceux qui meurent et ceux qui vivent, de la honte de regarder sans pouvoir agir, et de l’amour silencieux qu’on porte à distance.
Ce n’est ni une prière, ni un manifeste. C’est une veille obstinée, une tentative de tenir la mémoire quand tout s’effondre.
Je ne vous sauve pas
Je ne dors plus. Je ne peux pas.
Pas pendant qu'on ramasse des lambeaux d'enfants dans la poussière d'une route éventrée.
Pas pendant qu'on filme. Leurs pleurs, leurs plaies, leurs os secs et brisés,
Qu’on regarde, s’insurge, zappe, et oublie.
Moi je suis là. Avec indécence, je vis. Dans une maison intacte entourée d’enfants vivants.
Et pourtant, un feu intérieur me brûle. Parce que les vôtres vous ne les reverrez plus.
Parce que nous les tuons, à ciel ouvert, à sol fermé, Avec nos armes, Nos lunettes noires nos ventres pleins.
Oh non, je ne débats pas. Je me bats. Avec les mots que j’ai et le courage que je n’ai pas.
Je pleure avec les mères, vidées de leurs larmes, dépossédées de leurs voix, mortes de tirs ou de chagrin.
Des mères qui enterrent une semelle brûlée, un membre identifié, ou juste un nom. Hurlé. sur la terre imbibée de sang.
Ils auront vécu cinq minutes, cinq semaines, ou cinq ans. Ont levé les yeux vers le ciel, Ont vu les étoiles s’écraser.
Et puis, la lumière s’est éteinte. Pas doucement, non. Dans le bruit, la fureur et la rage.
Je vous écris parce que mon humanité crie et que le monde m’empêche d’hurler.
Je vous écris des mots que vous ne lirez jamais Vous suppliez des noms Que notre silence tait. Et moi, je ne vous sauve pas
Kristen FRA SKOVEN est le nom d’écriture d’une autrice franco-lusophone.
Née ailleurs, élevée ici, elle traverse les langues comme on traverse une perte.
Son écriture parle de soin, d’effondrement, de mémoire, de maternité, et de justice.
Elle publie à sa manière, hors des grands circuits, mais au plus près des plaies du monde.
Elle écrit sans étiquette, sans carte d’entrée, mais avec une boussole intérieure.
***
Pour citer ce poème engagé & pacifique
Kristen Fra Skoven,« Je ne vous sauve pas », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 11 août 2025. URL :
Henri Rousseau
(dit Le Douanier Rousseau, 1844-1910)
Crédit photo : Henri Rousseau
(dit Le Douanier Rousseau, 1844-1910), «La guerre », peinture tombée dans la domaine public, capture d'écran de l’image libres de droits du site Wikipédia. Illustration choisie par la poète.
Pour citer ce poème pacifique, politique illustré & inédit
Françoise Urban-Menninger, «les charniers de l’humanité » avec une peinture par Henri Rousseau (1844-1910), Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2025 | NO III NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES », 1er Volet, mis en ligne le 11 juin 2025. URL :
Crédit photo : Barbara Regina Dietzsch (1706-1783), illustration des fleurs de jasmin écloses, et en boutons avec leurs feuilles et un papillon, peinture tombée dans le domaine public. Capture d'écran faite par LPpdm de la photographie libre de droits du site Commons.
ياسمين الجسد ينادي الولد
ينادي الوطن المجروح
هذا الطفل الحبيب
الذي يتألم وينثر اللآ لىء البيضاء على الأحياء والأموات
Pour citer ce poème inédit, bilingue, masculin/féminin & d'espoir
Dina Sahyouni, « ياسمين الجسد/Le jasmin du corps », poème bilingue arabe-français, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet&Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 2 avril 2025. URL :
RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION !
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