La VIIe édition du Festival « Du haut des Cimes de Ménilmontant » aura lieu du 5 au 15 juin 2025. C’est un grand événement parisien qui rassemble des poètes francophones, des comédiens, des musiciens, des chanteurs, des metteurs en scène, des éditeurs, des libraires en partenariat avec des médiathèques et des bibliothèques. Comme à l’accoutumée, les organisateurs de ce festival se soucient « d’offrir au plus grand nombre le meilleur de la poésie d’aujourd’hui dans l’est parisien » en orchestrant des déambulations poétiques notamment dans les lieux les plus insolites.
À l’ouverture du festival un hommage sera rendu au poète belge Jean-pierre Verheggen et par la suite à Jacques Roubaud, membre de l’Oulipo, décédé en 2024
Le poète et écrivain Charles Pennequin comptera parmi les poètes invités.
Ce quartier bohème du 20e arrondissement qui a su garder son atmosphère de village dans Paris, a également nourri « Les rêveries du promeneur solitaire » de Jean-Jacques Rousseau.
Ainsi l’association Belles absentes, par ce festival a su faire graver la Poésie dans le marbre du présent.
Pour citer ce texte inédit sur cet l’événement poétique
Maggy De Coster, « Quand la poésie grimpe la colline de Ménilmontant dans l’est parisien ! », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles », mis en ligne le 20 mai 2025. URL :
MDC — Sarah Mostrel, comment êtes-vous arrivée à la poésie puisque votre profession (ingénieur) de départ n’avait rien à voir avec la poésie ?
SM — La poésie m’est tombée du ciel ! J’avais déjà une sensibilité artistique par la musique, et en particulier le piano, que j’ai pratiqué toute mon enfance. Vinrent ensuite les mots, qui m’ont permis de déposer sur le papier des sentiments, des états d’être, des révoltes aussi que j’avais en moi. Le verbe m’est venu et m’a transportée dans les sphères de la poésie, qui permet d’exprimer le plus profond de soi, mais aussi la beauté du monde, perceptible à tout moment.
MDC — Selon Paul Valéry « L’essence de la poésie est la recherche de la poésie même ». Cette assertion trouve-t-elle sa justification dans votre poésie ?
SM — Le langage poétique est un art et comme tout art, il décrit, dénonce et tente d’éveiller le lecteur, auditeur, à une certaine finesse de la vie. C’est en tout cas dans cette esthétique, voire éthique, que j’écris. Décrire le fond de l’être, tenter de trouver des réponses ou au moins de poser les bonnes questions fait partie de mon processus créatif. La recherche du bon mot, du bon assemblage, non sans une association d’images souvent, est un travail ontologique qui part de la nature des choses vers son analyse.
MDC — Selon Cioran « Les poètes sont inutiles mais indispensables », ne pensez-vous pas que c’est plutôt la poésie qui est utile au poète ?
SM — La poésie est indispensable et j’ose espérer qu’elle l’est pour tous les humains. C’est une façon d’être, d’approcher la vie. Elle met un peu de délicatesse dans ce monde brutal. Il faut dire aussi que la poésie est diverse. Elle peut être engagée, tentant d’émettre un message politique, lyrique, romantique (en cela, elle est formidable car elle permet tous les excès), satirique, didactique, ludique. Elle est en fait un moyen de transmission, et est nécessaire pour le poète qui la manie bien sûr, mais surtout pour le monde, qui a besoin de cet essentiel…
MDC — Je veux croire que ce recueil de poèmes est de circonstance. Mais qu’est-ce qui vous l’a inspiré ?
SM — Les événements de la vie. La perte de proches. Ma quête vers la lumière, même dans les moments obscurs. Je m’accroche au Beau, même si dehors il fait gris et que dedans aussi, parfois. Emerger de la peine, donner une lueur d’espoir est le propre du poète qui est un passeur en quelque sorte. Je m’attèle aussi à rétablir l’inversion des valeurs de notre société contemporaine qui part à vau-l’eau.
MDC — À quelle fréquence écrivez-vous ?
SM — J’écris tout le temps, tous les jours, et parfois la nuit. Journaliste, j’écris tout d’abord dans le cadre de mon travail, dans la presse magazine. Ecriture bien sûr différente que l’écriture personnelle. La poésie, mais aussi les autres genres littéraires que je pratique (fiction dans le roman ou les nouvelles, prose dans les essais ou plus récemment le théâtre) sont de formidables moyens d’expression pour décrire, s’épancher, créer des personnages proches ou à l’opposé de ce qu’on est. La littérature ouvre sur les Autres.
MDC — Avez-vous un moment privilégié pour écrire ?
SM — Il fut un temps où j’écrivais essentiellement la nuit, lorsque mes enfants, petits, dormaient. Aujourd’hui, dès que j’ai un peu de temps ou d’ouverture sur mon temps personnel, je m’y mets. Je priorise mon expression artistique selon les échéances que je me fixe ou que l’on me fixe. J’aime le challenge et je réponds à beaucoup de propositions. Il faut alors parer au plus urgent. Restitution d’un manuscrit, réalisation d’une œuvre pour une expo (photo ou peinture), préparation d’un concert (j’ai notamment sorti six albums) etc. Beaucoup de travail, et de plaisir...
MDC — Question subsidiaire : Connaissez-vous des passages à vide qui vous plongent dans l’inquiétude ?
SM — Pas trop. Je n’ai pas le syndrome de la page blanche (ou de la toile blanche, dirais-je). Beaucoup de choses m’inspirent. La vie est d’une richesse infinie. La nature offre son éventail de beauté en permanence. Lorsque j’ai un passage à vide, je me ressource avec mes amis, je vais marcher, je voyage, je profite de l’offre culturelle qui ne manque pas. J’aime le théâtre, le cinéma, les musées, la musique. Je puise dans mes ressources, dans mon intérieur. La création m’est indispensable. L’art est un bien précieux.
MDC — Avez-vous éprouvé un sentiment de satisfaction après avoir terminé ce recueil et le voir publié telle une mission accomplie ?
SM — Oui, bien sûr. La concrétisation d’un travail me met toujours en joie. Et même si ce n’est pas mon premier ouvrage édité (j’ai dû publier une trentaine de livres), je suis toujours impatiente du résultat. L’objet est important. Je ne parlerais pas vraiment de mission accomplie, tout texte est perfectible et mettre le mot « fin » à un ouvrage n’est pas simple. Mais il est une étape. Son contenu est le reflet de la maturité acquise au moment où le livre est publié, de mon appréhension du monde que j’ai envie de partager à ce moment précis. J’ai eu la chance — et je remercie à cette occasion les Éditions du Cygne — d’orner ce recueil de mes dessins et encres. C’est une autre de mes facettes, et elle m’est chère. Elle est un plus dans l’entendement du livre. Je tiens aussi bien sûr à vous remercier, Maggy de Coster, ma préfacière, talentueuse poète et amie.
J’ai été à la fois touchée et flattée de faire la préface du recueil de ce recueil de poèmes car j’ai trouvé que c’était une marque de confiance de la part de Sarah Mostrel et je voulais lui prouver que j’étais digne de sa confiance comme les vingt-quatre auteurs précédents de tous genres littéraires confondus dont j’ai préfacé les livres.
Pour citer ce méta entretien poétique, inédit & illustré
Maggy De Coster, « Interview avec Sarah Mostrel » avec des illustrations des autrices, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 2 avril 2025. URL :
« J’ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure. » Hippolyte Taine
Le chat a toujours occupé une place dans la littérature même s’il a été persécuté du Moyen Âge à la Renaissance. Chez les Égyptiens, il était un symbole divin. L’amour de la Reine Victoria pour l’Égypte l’avait porté à adopter deux Persans bleus et depuis, le chat du statut de suppôt de Satan au Moyen Âge à celui d’animal de compagnie en Europe.
À part La Fontaine, beaucoup de poètes et écrivains comme de Baudelaire, Guillaume Apollinaire, Paul Éluard et bien d’autres ont rendu hommage au chat. À cela s’ajoute Éliane Biedermann avec son nouveau recueil « Scènes de Chats » où les félins sont campés comme de vrais personnages. Ce sont des chats de caractère qui ont leur langage propre à eux que l’auteure en bonne observatrice a su si bien décrypter. Y a-t-il sur terre quelqu’un de plus propre qu’un chat ? La réponse est contenue ou insinuée dans les vers suivants :
« Après ses escapades
toilette minutieuse
du chat sur mon lit »
Nul endroit n’est sans doute inconnu à un chat, donc le lit de sa maîtresse ne subit guère l’exception. Aucune place ne saurait lui être interdite par amour.
La poète sait également décoder la signification de tous les ronronnements de ses différents compagnons à quatre pattes.
« Coups de patte insistants
ronronnement
le chat a faim »
N’est-ce pas que les chats éprouvent des sentiments comme les humains ?
Il est indéniable que la jalousie n’est pas propre qu’aux humains. C’est ce que dénotent les vers suivants :
« À la vue du chat jaune
mon chat se hâte de rentrer
Jalousie »
Offrir son premier trophée à sa maîtresse n’est pas chose futile. Il va sans dire que le félin éprouve de la fierté en cette circonstance. Et Éliane Biedermann de convenir :
« Première souris
Apportée sur le perron
Fierté du chat »
Mais il y a un moment malheureux qui est consigné dans ce recueil de haïkus : c’est quand la Camarde est venue lui ravir sa compagne tant aimée :
« La mort t’a emportée
petite chatte
dans l’infini du cosmos »
Éliane Biedermann a su décrire les chats dans tous leurs états : chat mélancolique, chat en méditation, chat interrogateur, chat aux aguets, chat dormant, chat circassien. Mais chat alors !
Le chat épargne de la solitude, apaise les maux, sa présence aide à vivre avec mais ne les guérit pas. C’est ce que l’on peut comprendre à la lecture de recueil de Haïkus intitulé : « Scènes de Chats ».
Scènes de chats Format : 15 X 21 Nombre de pages : 64 ISBN/EAN : 978-2-38638-150-8 13 euros Eliane Biedermann Chat aux yeux d'ambre après sa course nocturne vient dormir près de moi Chaton vif e...
Maggy De Coster, « Éliane Biedermann, « Scènes de Chats », Haïkus, Illustrations de Iza Bouvier, Éditions Unicité, 2025, 62 p. 13€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 2 avril 2025. URL :
Sarah Mostrel a plusieurs cordes à son arc, après avoir été ingénieur, elle s’est reconvertie dans le journalisme et mène en parallèle plusieurs activités artistiques. Cela dit, elle est poète, auteure-compositrice-interprète, peintre, romancière, essayiste et photographe.
Elle a plusieurs publications à son actif, tous genres confondus et a reçu plusieurs prix tant sur le plan national que sur le plan international.
Ce soir, c’est de son recueil de poèmes intitulé « Gris de peine » publié aux Éditions du Cygne, recueil que j’ai eu l’honneur et le plaisir de préfacer, que nous allons parler.
Sarah n’est pas allée trop loin pour trouver le titre de son recueil car en tant qu’artiste peintre, elle s’est inspirée de l’appellation chromatique « gris de Payne » qui est un gris foncé, à tendance bleue, très utilisé notamment à l'aquarelle. C’est le cas de dire qu’entre la poésie et la peinture il n’y a qu’un pas.
Elle ne décrit pas les faits de but en blanc mais les brode tout en finesse.
Certaines constructions verbales attirent notre attention comme l’emploi des vers elliptiques du verbe, il s’agit de propositions nominales qui sont d’une force très puissante (cf. 21) :
« Nulle phrase
Nulle gorge
Nuls regards
Nulle posture
Un cheminement
Sans aboutissement (programmé)
Vers la rencontre inopinée
La sente des sentiments »
Elle s’impose quelques injonctions positives par le mode l’impératif : « Vis et deviens / Ce que tu es/Ce que tu seras/Change de pas » (voir p.12.)
Là, on peut dire qu’elle cherche à conjurer sa peine et l’emploi du tutoiement remplace un je qui peine à s’affirmer ou bien c’est une stratégie d’évitement de l’emploi de la première personne.
On retrouve cet emploi du tutoiement dans les pages 53 et 56 :
« Tragédie de l’enfer via le paradis
Quel est ton choix en fait ?
Enjamberas-tu le gouffre, l’abîme antagoniste
Suivras-tu la parole ou l’allégorie ? »
« Mots de la page qui se retourne
Qui te fait voir l’avenir »
« Maintenant tu fonces
Tu fonces
Tu te dépêches de lire ce qui surviendra
Et les ailes te poussent
Tu franchis l’épilogue
Tu marques la page
Le but s’éclaircit
La fin est prometteuse »
Disons que ces extraits du poème intitulé Feel-good book augure d’un bon présage car il se termine sur une note positive. La résilience se révèle en dépit de tout le fer de lance de la nature humaine.
L’emploi de l’infinitif est manifeste à la page 28. Sarah dresse le procès verbal de la poésie; chaque vers semble être autonome; il y a une particularité dans la construction qui est très subtile : c’est l’inversion (intentionnelles ou non intentionnelles) des propositions par l’auteure. Les propositions infinitives se succèdent indépendamment et la proposition principale se trouve à la fin.
« Réhabiliter le verbe
Dire, écrire, combler les non-dits
Taire le silence
Le changer en murmures, en cris de survivance »
À cela sert la poésie »
Ce dernier vers aurait pu être est la proposition principale qui amène les propositions infinitives qui lui sont subordonnées.
Quant au dernier tercet de la page 29, il résume l’esprit profond de « Gris de peine », en ce sens qu’il explicite et justifie le choix titre.
Cela fait penser un peu à Victor Hugo dans « Les Feuilles d’automne » :
« Vieillir enfin, vieillir! comme des fleurs fanées
Voir blanchir nos cheveux et tomber nos années
Rappeler notre enfance et nos beaux jours flétris
Boire le reste amer de ces parfums aigris,
Etre sage, et railler l'amant et le poète,
Et, lorsque nous touchons à la tombe muette,
Suivre en les rappelant d'un œil mouillé de pleurs
Nos enfants, qui déjà sont tournés vers les leurs ! »
Parlons maintenant des illustrations :
La plupart des personnages qui illustrent les poèmes sont esseulés. Il y a un couple qui déambule dans une rue déserte. Les femmes ont le regard livide et sont toutes habitées par la tristesse. Il y a un homme qui fait un plongeon dans le vide. Pas de légende en dessous des images, elles parlent d’elles-mêmes.
Maggy De Coster, « Présentation de « Gris de peine » de Sarah Mostrel, Éditions du Cygne, 2024, le 4 mars 2025 au Café de la Mairie, Place Saint-Sulpice », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 31 mars 2025. URL :
Ce recueil de poèmes est divisé en quatre parties : « J’en appelle à la nuit », « J’en appelle à la mer », « Les contrées », « Les pénombres ».
Quatre parties pour évoquer ses souvenirs dans cette « Chanson a deux bouches » où l’amour et le sentiment amoureux occupent une place prépondérante. Chacune des quatre parties qui composent le recueil recèle une étape de la vie amoureuse de l’auteure, un cheminement qui en dit long sur les hommes qui ont compté dans sa vie. Elle ne procrastine pas en amour. Elle est cette amante qui sait oser. Qu’on lui applique ces vers de Ronsard, extraits de Sonnets pour Hélène :
« Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain :
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie, »
Les amours sont multiples donc elles ne se vivent pas toutes de la même manière car « L’homme ne se baigne jamais dans le même fleuve » nous enseigne Héraclite. Ces amours n’ont pas toutes les mêmes cachets. Il y en a un qui se révèle pour elle bien « singulier ».
Ce sont « des nectars de baisers mouillés » qui lui confèrent un bonheur tellement ineffable qu’elle aimerait que le temps soit suspendu pour revivre les différentes phases de sa vie amoureuse :
« À l’automne avancé il faudrait tant de vies
pour faire le tour de cette joie
qui nous monte aux lèvres »
Devant la fuite inexorable du temps, Lamartine ne s’écrie-t-il pas dans son fameux poème « Le Lac » :
« Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices,
Suspendez votre cours !
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours ! »
Les satisfactions et les déceptions s’alternent, la vie est ainsi faite, il faut savoir les accepter pour gagner en maturité même avec « un couteau dans le cœur ».
Sous l’empire de l’amour, elle évoque sans filtre son « nid de souvenirs » baignés dans « l’écume des désirs » :
« J’aimais le dur de l’homme »
Ou encore :
« Lait d’homme dans ma bouche
mains affolées sur ma soie »
Elle est cette femme amoureuse de l’amour et animée par le feu ardent du désir. Pour corroborer notre assertion, citons ces vers où elle se reconnaît :
« une femme avivée
qui se donne pour rien »
Le don de soi n’a rien de répréhensible. Il vaut mieux trop que pas assez. Cela dit, Domi Bergougnoux se sent en adéquation avec ses sentiments, n’ayant nulle faille narcissique à colmater. Elle se sent libre de donner libre cours à ses penchants sans avoir à choisir entre la satisfaction d’un besoin personnel et l’accomplissement d’une obligation morale :
« Jamais coupable d’avoir trop aimé »,affirme-t-elle.
« Passagers de mon corps
vous m’avez traversée comme on traverse un rire »
Domi Bergougnoux a gardé en mémoire « le corps sculpté des amants » et a su avec des mots retranscrire la partition de cette « Chanson à deux bouches » :
Pour citer ce texte inédit sur l'amour & les désir et plaisir féminins
Maggy De Coster, « Domi Bergougnoux, « La chanson à deux bouches », Éditions du Cygne, 2025, 94 p., 15€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 16 février 2025. URL :
RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION !
Cette section n'a pas été mise à jour depuis longtemps, elle est en travaux. Veuillez patienter et merci de consulter la page Accueil de ce périodique.
N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Annonces diverses / Agenda poétique Actualités poétiques à ne pas manquer en juin ! (suite...) La rédaction de ce périodique a sélectionné pour vous les événements artistiques & poétiques...
N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Critique & Réception | Poésie & littérature pour la jeunesse Le récit « Souvenirs de Chine » écrit & illustré par Marie-Jeanne Langrognet-Delacroix vient de paraître aux Éditions Astérion...
N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Florilège Annonces diverses / Agenda poétique Avis de parution du nouveau recueil bilingue français-espagnol d’Aurélie-Ondine Menninger : La sangre de las aves / Le sang des oiseaux...