17 février 2025 1 17 /02 /février /2025 18:12

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & Témoignages | Astres & animaux | Nature en poésie 

 

 

 

 

 

 

 

Vagabondages lyriques & romantiques

 

du poète Stephen Blanchard

 


 

 

 

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Critique par

 Dina Sahyouni

Poétologue, fondatrice & présidente de la SIEFEGP & de ses périodiques

 

 

 

Crédit photo : Chen Shu, « Wisteria and Rose », peinture tombée dans le domaine public, capture d'écran d’une image libre de droits.  Photographie temporaire en attendant la première de couverture illustrée du recueil de poèmes à paraître en mars 2025.

 

 

 

Ce vingt-septième recueil de poésie classique du poète Stephen Blanchard (à paraître en mars 2025) s'inscrit dans le mouvement lyrique de la poésie romantique française et européenne. Il réactive par ses multiples invocations aux muses et aux figures du poète romantique, bucolique et lyrique le succès de la poésie romantique française, sa puissante charge symbolique auprès du lectorat et sa force créative et émotionnelle. Le poète y versifie ses vagabondages lyriques, bucoliques et romantiques sous la forme d'un périple élégiaque et extra et « métapoétique ». Ce périple méditatif et introspectif par le biais des poèmes, quarante et un précisément, peut avoir lieu grâce aux vagabondages de la plume svelte du poète lyrique, voyageur et navigateur. Or, ce choix de revenir vers la poésie romantique classique pour s'y abreuver et y retrouver sa puissance créative démontre à quel point la poésie romantique classique et lyrique reste indémodable indépendamment de sa valeur poétique sûre, en ce siècle-ci, elle continue d'être le refuge ultime des artistes de la poésie et l'une des sources de leur force créative.

Le poète Stephen Blanchard, ce Chevalier dans l'Ordre des Arts et des Lettres, ce messager et mécène infatigable de la poésie, qui n'est plus vraiment à présenter au lectorat, a déjà acquis plusieurs titres prestigieux et a pu faire connaître en France et ailleurs dans le monde sa passion pour la poésie et son fervent engagement à la défendre, toutefois sa poésie, qui regorge de richesses insoupçonnables, demeure à découvrir métamorphosée, ravivée dans les flammes de l'Olympe poétique dans chacun de ses nouveaux recueils. Et ce vingt-septième recueil n'y échappe pas. Il a ainsi habitué, au gré des années, son fidèle lectorat aux nombreux travestissements et métamorphoses poétiques de sa plume.

Ce recueil composé de quarante et un poèmes lyriques composés de quatre quatrains pour chacun d'entre eux, sauf un, oui, un poème échappe à cette éternelle ritournelle poétique pour nous offrir un sonnet traditionnel en deux quatrains suivis de deux tercets dans le poème-clé pour la compréhension de cet ouvrage (ou plutôt sa colonne vertébrale) « Dans mon jardin secret » où le poète confesse son doux plaisir de poétiser en usant de la métrique comme l'alexandrin et des rimes féminines et masculines comme les rimes croisées. En fin poète, il entremêle les saveurs, sens et sonorités des mots dans une synesthésie romantique pour déployer ses ailes du poète lyrique. Il nous avoue avec une infinie délicatesse son amour impondérable de la poésie qui le met à nu, lui procure « le bonheur parfait » et le « désarme » par ses richesses, musiques et beautés.

Le schéma du recueil actuel dessine un carré poétique presque parfait puisque le poème « ce soir, je fais le point » revient en une variante pour former quarante et un poèmes au lieu de quarante et le poème sonnet fait l'exception à la règle de quatre quatrains symbolisant les quatre éléments naturels de l'univers : la Terre, l'Eau, l'Air et le Feu. Le poème sonnet déploie le vœu du poète de trouver dans le sonnet le cinquième élément de l'univers et qui représente la poésie... Ainsi, ce carré poétique presque parfait symbolise – d'après plusieurs poèmes décrivant le processus de la versification classique – la finitude et difficultés du poète lyrique et romantique en quête de la versification rimée parfaite.

 

Ce poète traite de la poésie, en parle en vers, en strophes, en poèmes, en oxymores, en rimes et métriques, c'est ce que des spécialistes de poésie nomment de la « métapoésie »(voir par exemple au sujet de la « métapoésie » les recherches de Pascale Gaulin, tout particulièrement sa thèse intitulée « « Métapoésie et poésie française au XXe siècle », Université d'Ottawa, Canada). En fait, comme bien d'autres poètes de tous les genres et cultures, Stephen Blanchard est un métapoète, autrement dit, un poète dont le thème principal est la poésie, ses contrées et rôles en lui et hors de lui. Il est un métapoète parce qu'il se focalise aussi sur les types et portraits des poètes et le processus de la création poétique, ses sources d'inspirations externes et internes On retrouve également ce même sujet de prédilection dans des œuvres poétiques de plusieurs de nos contemporains et contemporaines (je souligne par exemple les ouvrages de Camille Aubaude, Françoise Urban-Menninger et Maggy de Coster).

Le poète s'adonne dans ce recueil à la poésie classique, s'embarquant au fil de la métrique et des rimes vers des contrées lointaines et intimes de son for intérieur. Inlassablement, en découvreur, en voyageur, il tisse tel un navigateur les fils de ses aventures pittoresques. Dans les sillages de ces vagabondages lyriques, on découvre plusieurs facettes du poète et des figures mondaines des poètes. Ses poèmes satiriques par exemple dressent des portraits différenciant les vrais des faux poètes dans entre autres : « Je connais les poètes », « Le destin du poète » et « Le poète n'a plus sa fougue ». Il se confesse aussi individuellement pour mieux nous faire rencontrer les poètes tels qu'ils sont : des messagers, prophètes, visionnaires, maudits, tourmentés, philosophes, enfants terribles, etc. Et il y explore non seulement sa solitude du poète face au monde et l'au-delà mais il nous entraîne peu à peu en alternant les oxymores formés grâce aux adjectifs, adverbes, vers entiers, strophes entières et de poèmes entiers d'affects tristes et joyeux dans un périple lyrique et universel du poète éthique face à lui-même, à son insuffisance, à sa finitude d'humain et d'artiste des mots et des sons éphémères.

C'est en revisitant toutes ou presque toutes les figures du poète qu'il arrive à transformer ce périple individuel en odyssée universelle de n'importe quel artiste authentique de la poésie vivant d'ombres et de lumières, de joies et de peines, de pages blanches et colorées, de pages vides, d'attentes et de pages pleines dues aux déluges des mots et vertiges émotionnels.

Ce recueil de poèmes est assez représentatif du romantisme lyrique grâce aux thèmes et vocabulaires caractéristiques du romantisme et du lyrisme de ses poèmes (voir par exemple « J'ai mal de vivre », « Je me souviens », « Le dernier passage » « Sous  mes vers esseulés » etc. pour une présentation du « Romantisme », je vous renvoie à l'article « Romantisme » par Henri Peyre dans le Dictionnaire des genres et notions littéraires, Nouvelle édition augmentée, préface de François Nourissier, Paris, éditions Encyclopædia Universalis et Albin Michel, collection Encyclopædia Universalis, 2ème édition, 2001, pp. 736-756).Les thèmes récurrents abordés par ce métapoète lyrique et romantique sont le for intérieur, la vie intérieure, les états d'âme du poète (cf. : « Au gré de mes humeurs, ma plume vagabonde » dans le poème intitulé « Au fil du temps », le bonheur, la mélancolie, la poésie, la poétisation, la versification, la quête de la rime heureuse, de la belle métrique, des poèmes courts et élégiaques nous dévoilent la complexité de l'âme romantique, lyrique du poète tourmenté par ses amours, passions, sensations, sentiments et affects comme dans le poème « Dans mon jardin secret » où on le retrouve enivré par la poésie entonnant : « Je sillonne les champs avec la rime en fleur »

C'est une rime printanière, une rime bourgeonnante, enfantine, espiègle pleine de rondeur et d'ingéniosité. « Dans son jardin secret », il se dévoile solitaire, fragile, romantique, engagé et vivant dans l'obstination, en quête de la Muse salvatrice qu'il invoque et s'en enivre tour à tour. Cette énième « Muse », inspiratrice, célébrée en fanfare de rimes, cette aurore du bonheur qu'il aperçoit enfin dans le dernier poème qui clôt le recueil sur une note d'espoir, sur le bonheur d'être un faiseur de poèmes, un aède d'autres temps, un troubadour d'antan et un citharède d'autrefois au chevet de la poésie dans « Quel ravissant bonheur » : le seul soleil qui réchauffe son cœur et lui apporte tout l'amour et le bonheur dont il a besoin dans ce monde. Sa soif de mots s'étanche grâce à l'amour de la poésie et l'amour de versifier. La poésie est l'amour et l'amour n'attend pas, il se vit comme il se savoure, le voici esquissant son autoportrait du poète en citharède :

 

Qu'importe les douleurs quand brûle tant d'amour

Si l'indicible mot me rend trop solitaire,

Car le vers luit en moi comme un vrai troubadour

Captivé par les sons de son luth solitaire.

 

 

Le poète Stephen Blanchard se métamorphose donc dans ce métapoème en citharède romantique du XXIe siècle s'embarquant sur son voilier solitaire de la poésie lyrique et romantique, chantant en métrique et en rimes la beauté et la grâce volcaniques des mondes poétiques externes et internes allant jusqu'à l'exploration géopoétique des confins les plus secrets de son être.

Lisez-le, il vous emporte dans sa belle quête lyrique et authentique de l'amour des Muses. Lisez-le en savourant lentement son doux-amer périple lyrique.

 

 

© Dina Sahyouni, 31 janvier 2025, cet article issu d'un projet de préface du recueil de poèmes devient par une impérieuse nécessité éditoriale une réception brève de l'ouvrage à paraître. Bonne lecture !

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Pour citer ce texte inédit en avant-première autour du lyrisme romantique

 

Dina Sahyouni« Vagabondages lyriques et romantiques du poète Stephen Blanchard », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 17 février 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/noi2025/ds-vagabondages
 

 

 

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11 février 2025 2 11 /02 /février /2025 17:41

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Dossier majeur | Florilège | Poésie & littérature pour la jeunesse & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Créations poétiques

 

 

 

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e muet

 

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Poème féministe pour la jeunesse

Dina Sahyouni 

 

 

Crédit photo : Barbara Regina Dietzsch (Barbara Regina Dietzsch (1706-1783), illustration d'une rose éclose, un bouton de rose avec leurs feuilles et une coccinelle, peinture tombée dans le domaine public. Capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

Perdues sur les feuilles jaunies par le temps 

les voyelles et leurs couleurs

perdus les sons des langues maternelles et paternelles

perdues sur les feuilles de l'automne de sa vie 

les voyelles de son cœur en pleurs 

elle pleure des sons

et toutes ses consonnes se vident

en e muet

 

© DS., 10 février 2025.

 

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Pour citer ce poème inédit, féministe & engagé pour l'égalité des sexes

 

Dina Sahyouni, « e muet », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 11 février 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/noi2025/ds-emuet

 

 

 

 

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30 janvier 2025 4 30 /01 /janvier /2025 14:52

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & Témoignages | Astres & animaux / Nature en poésie

 

 

 

 

 

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Méas Pech Métral, « Nuages»,

 

 

préface de Sophie Davant, ​​​​​Éditions

 

du Cygne, 2024, 90 pages, 15€

 


 

 

 

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Texte par

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de poèmes de Méas Pech Métral, « Nuages », Éditions du Cygne, 2024.

 

 

Méas Pech Métral transforme ses maux en parcelles de rêves qu’elle cultive à travers les pages de ce recueil de poèmes. Elle leur donne du sens en les transformant en une source limpide dans laquelle elle invite ses lecteurs à s’abreuver. 

 

Elle habite la langue de Molière comme elle habite La France, son pays d’accueil. Elle est la preuve vivante que l’amour d’une langue d’adoption peut être aussi fort que l’amour de sa langue maternelle. Donc, écrire dans une langue est une question de confort et d’aise. Aussi, le français se révèle-t-il pour elle un idiome dans lequel elle s’épanouit en donnant corps à ses pensées, ses fantasmes, ses lubies, ses manques, ses peines et ses joies. Il lui a sans doute insufflé une seconde vie. 

Elle s’est réconciliée avec elle-même en recouvrant sa part d’humanité sacrifiée, quand, enfant, elle affronta les souffrances imposées par les Kmers Rouges. 

Aussi nous délivre-t-elle ce message, en signe de liberté retrouvée :

 

« Courir le soir dans le noir

Dans l’ombre sous les lumières

Au bord de la Seine en hiver. »

 

L’univers de Méas Pech Métral est un univers coloré, multiforme, hétérogène. Rimbaud et Verlaine ne sont jamais loin, ils ne quittent jamais ses pensées. 

Elle est cette fille attachante au cœur tendre dont les souvenirs résonnent dans la tête comme le son persistant d’une cloche qu’on martèle.

 

«  Tu es venue hier

Magicienne dans un cirque d’hiver

Tu as changé mon univers. »

 

Elle est animée par l’envie, la force de vivre et le dépassement de soi. C’est une âme aguerrie qui vole plus haut que les nuages. 

Dans ce recueil de poèmes sont consignés des amitiés qui se tissent, des liens fugaces, des espoirs avortés et aussi des manques : 

 

« Le manque est partout

Et partout, quelqu’un manque à quelqu’un. »

 

Sur ces manques se greffent des nuages car elle nous rappelle que:

 

« La  vie comme les nuages

Qui passent et repassent

Et les nuages c’est jamais les mêmes. »


 

Son champ onirique est vaste et peuplé d’êtres ailés comme les oiseaux, les papillons, de belles âmes, à part les bardes français comme Rimbaud, Verlaine, Hugo, Apollinaire, il y a aussi des personnes vivantes avec lesquelles elle a des atomes crochus, comme Mélissa qui lui a promis « des rêves et des voyages » et aussi Gabrielle dont les fleurs sont des émules. 

Une poésie habillée de rêves. 

 

© Maggy DE COSTER

 

URL de référence aux éditions du Cygne :

https://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-meas-pech-metral.html


 

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Pour citer ce texte illustré & inédit

 

Maggy De Coster« Méas Pech Métral, « Nuages », préface de Sophie Davant, Éditions du Cygne, 2024, 90 pages, 15€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 30 janvier 2025. URL :

https://www.pandesmuses.fr/noi2025/mdc-mpm-nuages

 

 

 

 

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9 janvier 2025 4 09 /01 /janvier /2025 16:45

N° I | HIVER 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Dossiers majeur & mineur | Florilèges | Astres & animaux/Nature en poésie | Poésie politique & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Créations poétiques

 

 

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Hirondelle Parestoo

 

 

 

 

Poème engagé & féministe par

 

Noun

 

Poète engagé pour la liberté d'expression

 

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 Poème pour la liberté d'expression

 

 

Hirondelle blessée, aux ailes vibrantes de liberté 

Oiseau pourchassée pour un chant

Uniquement de beauté

Tu défies les gardiens de ta prison 

Maîtres de l’Iran depuis la révolution. 

 

 

Il suffit d’un chant d’hirondelle

Pour être nommée rebelle 

Menacée et mise derrière les barreaux 

Par des mollahs devenus bourreaux 

 

 

Hirondelle, j’entends ton émotion La soif de liberté comme passion

Je l’entends, faite de mots persans Autant que de ton sang. 

 

 

Hirondelle j’écoute ta chanson 

Celle qui fait peur aux Maîtres de la prison

Ils ont enfermé comme mort tout un pays

Aussi ont-ils peur de tout ce qui vit ! 

 

 

Ils ont peur de ton apparence  

Car ils dominent par la terreur et la souffrance 

Ils ont peur de ces mots  

Hirondelle parestoo*

 

© Signé Noun 

 

* Ému par l'histoire de la chanteuse iranienne Parestoo arrêtée après un concert virtuel car sans voile, j'ai souhaité écrire et partager ce poème intitulé « Hirondelle parestoo ». Parestoo signifie hirondelle en persan et mon nom d'auteur Noun se traduisant par liberté dans cette même langue.

 

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Pour citer ce poème féministe, inédit & engagé pour la liberté d'expression, l'égalité des sexes & l'élimination des violences faites aux femmes en Iran

 

Noun (de son vrai nom : Jean-Valéry Martineau), « Hirondelle Parestoo », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 9 janvier 2025. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/noi2025/noun-parestoo

 

 

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