5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 17:32

N° I | HIVER 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier majeur | Florilège

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Je suis la seule

 

 

 

 

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Nada Chaar

 

 

 

Crédit photo : Bouguereau, « Seule au monde », peinture, capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

Le poème « Je suis la seule » exprime la place sociale des femmes, entre transmission, résignation et relégation domestique. Il articule le sentiment intérieur de la solitude à la réalité sociale de l’enfermement dans toutes ses dimensions.

 

 

Restée

 

Je suis

 

 

L'abandonnée

 

 

Au bout du fil

Au bout du monde

Après la pluie

Après les jours

Au bout des nuits

 

 

Je suis l'espace

Sans mouvement

 

 

La rivière

Sans le bruit

De l'eau sans les galets

De la rive sans pont

 

 

Je suis l'image

Sans le son

 

 

Je suis

 

 

La naufragée

 

​​​​​​De tous les ports

Du bord de l'âtre

 

Et à jamais

 

 

Le nez collé

Contre une vitre

Les yeux rivés

À l’horizon

 

 

Je suis l'ange

 

 

Sans les ailes

La douceur

Sans ciel

La douleur

Et le miel

 

 

Je suis

 

Le nid

De l'hirondelle

 

 

Je suis

 

 

Le porche

De la maison

Et la rosée

Sur le gazon

 

 

Je suis le marchepied

 

Je suis le paillasson

 

 

De mère

En fille

De filles

En mères

D'hommes

En mer

De fils partis

 

En guerre

 

 

De génération

En génération

 

© Nada Chaar

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème féministe & inédit

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Nada Chaar, « Je suis la seule », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 5 mars 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/nchaar-jesuislaseule

 

 

 

 

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 N° I | 2024

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24 février 2024 6 24 /02 /février /2024 19:33

N° I | HIVER 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier mineur | Florilège & Revue Orientales | O | N°3 | Créations poétiques

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Goule & Pénélope

 

 

 

 

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Nada Chaar

 

 

 

 

Crédit photo : Anna Maryniak, « Loneliness II », peinture, dimensions 70x100 cm, capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

La Goule, monstre de la mythologie arabe et Pénélope, figure mythique de la culture européenne et universelle, symbolisent le fil qui relie les femmes opprimées par-delà les frontières.

 

 

Goule  

 

 

De la dernière miette 

De la dernière goutte

 

De tes chairs

Je me repaîtrais

De ton sang 

M’enivrerais

  

Des cendres

De tes os 

Je ferais mon fard

  

Sous la glace  

De tes yeux

 

Le froid 

De ton regard

 

Quand de moi 

Tu essaies 

De te détacher

 

Ton souffle 

Un tremblement 

De tes mains

 

Tout ton corps 

Je le vois bien 

M’en implorent

 

Mais  

Parce que

Je t’aime 

Je t’épargnerai

 

On dit 

De moi

 

Que j'attends 

Le long des chemins 

Noire

Que vienne le chaland 

 

Que mes dents 

Acérées 

Déchirent sa peau blanche 

 

Quand en moi 

Il se perd 

Quand en moi il se prend

Quand de moi 

Tu t'éprends

 

Courbée

Sur les couffins

J'ai fleuri 

Les tombeaux 

J'ai soigné les années

 

De mon sang

Chaque lune

Reverdit

Le pré 

 

Et moi

Qui 

M'a aimée ?

 

 

 

 

 

Pénélope

 

 

Crédit photo : Francesco Primaticcio, « Pénélope & ses suivantes tissant », peinture, capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

 

À son métier

 

Tissait

Tissait 

 

Ulysse 

Revenu 

 

Son périple 

Achevé 

 

Ulysse 

Retourné 

 

Les prétendants 

Éliminés 

 

Argos 

Inhumé 

 

Pénélope

S'en est allée 

 

Son chemin 

A croisé

Une île 

Où déposer 

Une vie d'espérances

 

Déçues 

Et de regrets 

 

Ici elle a creusé 

Semé ses pilotis

Les graines d'un demain

Et son jardin fleurit

 

Et dans l'herbe 

 

Grasse

 

Des festins

Des jours 

 

Elle livre la peau 

Vierge

 

De ses années 

 

À la langue moelleuse

Des rayons assoupis

 

On la dit magicienne

Les enfants la craignent 

Et les parents surtout 

 

Elle est 

L'empoisonneuse

 

Celle qui a dit non

Merci 

 

Elle a torché 

Les gosses 

Et lavé 

Les torchons 

 

Elle a gercé ses doigts 

Rougis 

Dans les lessives 

 

Elle a frotté les murs

Ressuscité les fleurs

 

Et

Épongé

Les heures  

 

J'ai brisé

Le métier 

J'ai arraché

Les fils

J'ai enfoncé mes crocs

Dans la trame des jours 

 

Prends tes jambes 

À ton cou

Cours

 

 

© Nada Chaar

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Pour citer ces deux poèmes féministes, inédits & inspirés des figures légendaires

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Nada Chaar, « Goule » & « Pénélope », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet & Revue Orientales, « Conteuses orientales & orientalistes », n°3, volume 1, mis en ligne le 24 février 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/orientalesno3/noi/nchaar-goule-penelope

 

 

 

 

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N° I | HIVER 2024

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17 février 2024 6 17 /02 /février /2024 18:00

N° I | HIVER 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & Témoignages 

 

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Céline De-Saër, « Tremblement d’Éther », 

 

 

Éditions Unicité, 2024, 72 pages, 13€

 

 

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Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© Crédit photo : Première de Couverture du recueil de Céline De-Saër, « Tremblement d’Éther », Éditions Unicité, 2024.

 


 

L’autrice semble être en résonance avec le subtil, car le poète est celui qui a une conscience totale de la réalité et en a une perception plus fine que le commun des mortels. De ce fait, peut-on dire que le poète est avant tout un être hyper-lucide ?

Céline De-Saër semble accaparée par son environnement. On connaît le tremblement de terre qui est un phénomène naturel courant mais le tremblement d’éther ne peut sans doute être vécu et ressenti que par des êtres hors du commun. C’est peut-être le cas de notre poète : « l’air suintait des visages surgis ».

Chaque mot employé revêt une signification bien particulière qu’il faut placer dans son contexte pour éviter toute méprise. C’est le ciel qui est « crevé de colère » quand tremble l’éther, encore un phénomène observable par notre poète qui ne cesse d’apprendre et de nous apprendre à apprendre. Aussi est-elle celle qui donne des consignes claires par l’emploi du mode infinitif :

 

« Dormir contre la flotte

vers la pluie, au lieu d’elle, en échange de, en face de la

mer par la vitre. »

 

Les ancêtres sont ceux et celles qui nous précèdent mais Céline De-Saër évoque « les ancêtres à venir ». Que faut-il entendre par là ? Rien n’est statique : le futur deviendra le passé. Grammaticalement parlant on aura affaire à un futur antérieur et un futur simple. Elle sous-entend sans doute la génération future et la génération postérieure à cette dernière. 

Le vent, c’est de l’air en mouvement, donc tout se meut dans son monde, ça palpite. Quand tremble l’éther tout est inversé. Non seulement : 

 

« La membrane de l’air s’est déchirée

par le sel : premier matin de la nuit. »

 

Mais encore :

 

 « La lumière est en chemin

quand je suis allée la voir pour sa pleine mer

Le vent attend son chemin. »

 

Son rapport à l’eau n’est pas sans rappeler que la vie vient de là.

« La perte des eaux » nous rappelle la rupture de la poche des eaux de la femme « en couches ». Et pour elle : « La mer est une salle de travail » et de là découle la vie. De l’ombre à la lumière, il n’y a qu’un pas : « Le puits de lumière se retourne en moi. ». Elle  convient également : « Samain a tracé ton passage dans mon corps »

La nuit monte et la lumière descend pour enfin devenir poussières. Cette lumière  n’est-elle pas celle de l’esprit qui nous anime avant qu’on ne redevienne poussière. La nuit, c’est sans doute la finitude de l’être : « La lumière renversée en poussières »

 

Dans ce recueil sont présents : l’air, la mer, la terre, la lumière. Ces éléments sont en unicité dans l’espace-monde qui caractérise l’existence.

 

 

© Maggy DE COSTER

 

URL. https://editions-unicite.fr/auteurs/DE-SAER-Celine/tremblement-d-ether/index.php

 

 

 

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Pour citer cet article inédit

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Maggy De Coster, « Céline De-Saër, « Tremblement d’Éther », Éditions Unicité, 2024, 72 pages, 13€ », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 17 février 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/mdc-desaer-tremblementdether

 

 

 

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N° I | HIVER 2024

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8 février 2024 4 08 /02 /février /2024 19:06

N° I | HIVER 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier majeur | Florilège | Poésie, musique & art audiovisuel | Réflexions féministes sur l'actualité 

 

 

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La bohème

 

 

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Floriane Martin

 

Crédit photo : Image de FJZEA, « Illustration numérique des mains jouant une guitare acoustique en dégradé de couleurs », photographie choisie par la poétesse, photographie libre de droits du site Depositphotos.

 

 

Une pensée pour les femmes agricultrices bien souvent invisibles car non salariées.*

 

 

 

Sa guitare chante des images roses,

ses cordes envoûtent et entrelacent

sens et pensées sur son passage

aux influences des pensées j'oses**.

 

C'est  la grande avancée des jours colorés de liberté

 

Et sa guitare sème ses chansons

fait des détours sur les sentiers,

par ci, par là, cultive un son

n'a jamais su où se fixer. 

 

c'est la grande avancée des jeux colorés de liberté

 

Sa guitare sillonne les alentours,

chante l'envol des cigognes

son aventure se savoure

au diapason de nos campagnes.

 

C'est la grande avancée des rêves colorés de liberté

 

Sa guitare, bien souvent caméléon

éveille d'heureux présages,

bohème, arpente les arpèges

sous la lumière blafarde des néons.

 

                                    

© Floriane Martin (2023).

 

* En lien avec la situation actuelle sur l'agriculture.

** C'est une licence poétique formée par une lettre supplémentaire au verbe « oser » pour rimer avec « Roses ».

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème inédit sur la solitude en musique

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Floriane Martin, « La bohème », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 8 février 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/martin-laboheme

 

 

 

 

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Dernière modification de l'image : 12 février 2024.

 

 

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N° I | HIVER 2024

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1 février 2024 4 01 /02 /février /2024 17:54

N° I | HIVER 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier majeur | Florilège 

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Les pensées lumineuses prendront forme

 

& Dictée d'amour

 

 

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Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

Crédit photo : Jane Atché, « Le Houx », illustration tombée dans le domaine public, capture d'écran par LPpdm de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

 

Les pensées lumineuses prendront forme 

Dans la grange de l’aurore

Et les corbeaux cesseront de transporter

De sinistres messages

 

 

Au soleil s’évaporeront les pleurs 

Des anonymes qui dissolvent leurs plaintes

Dans le vin liquoreux de la solitude 

Mais dans le silence tumultueux des vagues

De l’été on percevra le cri de détresse 

Des espèces sous-marines*

 

 

*Extrait de Maggy DE COSTER, « À fleur de mots », Éditions du Cygne, 2021.

 

 

 

DICTÉE D’AMOUR

 

 

Le vent emporte les plaintes

des voyageurs fatigués

Et l’éclat du soleil

sur la baie transcende

la solitude des parias

 

 

Un réseau de lumière s’infiltre

dans les catacombes

à l’heure où l’araignée

retisse sa toile ajourée

par la pression du temps

 

 

Sur l’émeraude des jours

s’étale une goutte de rosée

comme la larme du pénitent

qui cherche une parcelle

d’espérance

dans la géographie du présent

 

 

Et je cherche un segment de joie

pour colmater les cœurs ébréchés

un zeste de raison pour conjurer

le sort des martyrs

une fontaine d’amour

pour abreuver les mal-aimés**
 

 

**Extrait de Maggy DE COSTER, « Comme une Aubade », Éditons du Cygne, 2007

 

 

© Ces deux poèmes sont reproduits dans cette revue avec l'aimable autorisation de Maggy DE COSTER, et des Éditions du Cygne.

 

 

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Pour citer ces poèmes lyriques sur la solitude

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Maggy De Coster, « Les pensées lumineuses prendront forme » & « Dictée d'amour », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 1er février 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/mdc-penseeslumineuses

 

 

 

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