Dans le recueil « Éclats de rêves », publié cette année aux Éditions l’Harmattan dans la collection « le Scribe l'Harmattan » dirigée par Fatima Guemiah, Françoise Khoury el Hachem opère un glissement de la création poétique à l'amour humain, puis à l’amour universel.
De cette liberté de créer du poète au nœud de l'enchaînement amoureux, il y a une femme Françoise Khoury el Hachem, une poète et l'attrait qu'elle suscite, les fils invisibles qu'elle tisse. Est-elle une fée ? Une Parque ? Ou est-elle une grâce ou tout en même temps ?
La poésie de Françoise Khoury el Hachem est charnelle, elle évoque le trouble, les craintes, les gestes, la caresse ou l'accident qui suggère la rencontre, la faille...
Femme, Françoise Khoury el Hachem est éclat, oiseau, rose, papillon, goutte de rosée, neige, rivière, feu, lumière, voix. Voix de l'amour, voix du poème.
Il faut l'entendre déclamer ses poèmes d'amour et conquérir le public, transmettre avec une élégance primesautière l'aveu, le songe, la lumière, la brûlure ; il faut l'entendre murmurer ses éclats de pudeur, la grâce jusqu'à l'infini, jusqu'à l'invisible.
Elle a cette « passion sauvage, cette soif inconnue » des grandes amoureuses jusque dans les situations tragiques de la guerre. Mais que valent les serments des fous amoureux dans la guerre ?
Comment restaurer la paix dont elle rêve dans « le chant des souvenirs », qu'elle pleure sur « le fil de l'histoire » ?
De ce retour dans le temps, le temps qui passe, germent l'incertitude, les faux miroirs qu'elle sait débusquer « entre l'être et le paraître ».
Françoise Khoury el Hachem nous entraîne dans la complexité des êtres, leur dualité qu'elle nomme le Diable et Dieu comme l'endroit et l'envers d'un même tissu. Elle nous emmène ainsi dans les univers parallèles du monde Moyen Oriental et l'être se confond avec le monde et devient « poudrière ».
Est-ce que seul l'amour sauve? Est-ce que seules la douceur de la vie et la vieillesse rendent la vie acceptable ? Apaisée ?
Cependant rien n'empêche la passion de resurgir en transe érotique, pour se rencontrer encore et encore malgré le silence ou l’absence car « derrière le voile de tristesse, une force renaît, une promesse » en confiance, en preuves d'amour.
Ce recueil nous emporte comme une marée, en vagues successives dont le ressac transmet les « émotions ravageuses » l'intimité du désir et de l'interdit jusqu'à « la victoire de l'amour ».
Cette victoire de l'amour se mêle au triomphe de la paix comme si chez Françoise Khoury el Hachem le désir puissant de la vie et la foi pouvaient élever l'humanité à plus de justice et de paix.
Elle nous donne ce rendez-vous unique, amoureux de la parole où les âmes se joignent, où l'amour éternel est fait de « languissante séduction et d'érotisme insubmersible ».
Merci Françoise Khoury el Hachem pour cet hymne à l'amour, à la paix et à la vie.
Nicole Barrière, « Françoise Khoury el Hachem, Éclats de rêves, Éditions l’Harmattan, collection le Scribe l'Harmattan, 2025 », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | NO II Hors-Série | Festival International Megalesia 2025 « Rêveuses » & « Poésie volcanique d'elles » & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 15 avril 2025. URL :
Sur le plateau des Châteliers, entre deux remparts gallo-romains (en marron sur le plan) se trouvent les fondations d’un grand temple, et d’un second plus petit.
Le premier rempart est dans le parc de la Maison des Pages.
La maison adossée à la falaise prolonge et clôt le rempart.
Des fouilles successives ont mis à jour ces temples païens.
Ils furent actifs probablement depuis la guerre des Gaules menée par Jules César et jusqu’à la christianisation des Gaules menée par Sainte Geneviève.
La destruction d’un temple païen à Amboise est attestée au IVè siècle dans les Dialogues (III, 8) de Sulpice Sévère1.
C’est un lieu immémorial relié à la Maison des Pages. Durant des siècles, des cérémonies de nature politique ou religieuse se sont déroulées dans cet enclos sacré.
Juste une cité gallo-romaine : Die, commune de la Drôme où le poète plasticien Yves Bergeret (langue.espace@gmail.com) affin de la Maison des Pages, installe ses œuvres.
À Die, les preuves du culte de la Grande Déesse Cybèle sont établies (an 250).
Cette religion n’aurait pas dépassé le nord de la ville de Lyon.
Le ressourcement qu’apporte la Maison des Pages se fait en silence.
Peu enclin au bavardage, le mythe d’Isis se nourrit comme l’Hydre géante
par la somme d’innombrables versions.
Le chapitre II va en recueillir quelques-unes.
Note
1. Le passage de Sulpice Sévère relatant les événements survenus à Amboise au IVè siècle (Dialogues, III, 8) :
"In VICO autem AMBATIENSI, id est CASTELLO ILLO VETERI, quod nunc frequens habitatur a fratribus, idolum noveratis grandi opere constructum. Politissimis saxis moles turrita surrexerat, quae in conum sublime procedens, superstitionem loci operis dignitate servabat. Hujus destructionem Marcello, ibidem consistenti Prebystero, vir beatus saepe mandaverat. Post aliquantum tempus regressus, increpat Prebysterium, cur adhuc idoli structura constiteret. Ille causatus, vix militari manu et vi publicae multitudinis, tantam mol lem posse subverti, nedum id facile putaret per imbecilles clericos. aut infirmos monachos quivisse curari. Tum Martinus recurrens ad nostra subsidia, nocte totam in orationibus pervigilat. Mane orta tempestas, aedem idoli usque ad fundamentum provolvit. Verum haec Marcello teste dicta sint."
« Dans le bourg d’Amboise (c’est-à-dire dans le vieux château, maintenant habité par un grand nombre de moines), on voyait un temple d’idoles élevé à grands frais. C’était une tour bâtie en pierres de taille, qui s’élevait en forme de cône, et dont la beauté entretenait l’idolâtrie dans le pays. Le saint homme avait souvent recommandé à Marcel, prêtre de cet endroit, de la détruire. Étant revenu quelque temps après, il le réprimanda de ce que le temple subsistait encore. Celui-ci prétexta qu’une troupe de soldats et une grande foule de peuple viendraient difficilement à bout de renverser une pareille masse de pierres, et que c’était une chose impossible pour de faibles clercs et des moines exténués. Alors Martin, recourant à ses armes ordinaires, passa toute la nuit à prier. Dès le matin s’éleva une tempête qui renversa le temple de l’idole jusque dans ses fondements. Je tiens ce fait de Marcel, qui en fut témoin. »
(Transmis par Jean-Marie Laruaz, archéologue)
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Pour citer ce premier épisode illustré & inédit de ce chronique-feuilleton des inspiratrices
Chères amies / Chers amis de la poésie et des arts de la scène,
Nous sommes ravies de vous annoncer la sortie tant attendue de la nouvelle œuvre de la poète et performeuse tunisienne Selima Atallah, intitulée « Au Pieu », qui est déjà disponible en librairie depuis le 14 février 2025.
Selima Atallah, reconnue pour sa voix unique et son approche audacieuse de la poésie, nous invite à plonger dans un univers riche en émotions et en réflexions. Avec « Au Pieu », elle explore des thèmes universels tels que l'amour, la mémoire et l'identité.
Ne manquez pas cette occasion de découvrir une œuvre qui promet d'être à la fois touchante et provocante. Préparez-vous à être transportés par les mots de Selim-a, qui, à travers sa plume, nous rappelle la puissance de la poésie pour transcender les frontières et toucher nos âmes.
Date de sortie : 14 février 2025
Titre : Au Pieu
Artiste : Selim-a Atallah
Éditions : La Contre Allée
Voir également la présentation officielle de l'ouvrage pour par la maison d'édition en PDF ci-joint :
Dossier pour la presse de la présentation de l'ouvrage « Au Pieu »»
Entrevue
Voici l’entretien réalisé avec l’artiste lors de la sortie de son recueil et des supports visuels :
H.M — Qu'est-ce qui vous a inspirée à écrire ce nouveau recueil ? Y a-t-il des expériences personnelles qui ont influencé votre écriture ?
S.AC — Je ne pense pas qu'il y ait eu vraiment d'inspiration, plutôt une forme de nécessité d'écriture, sans que j'aie au début de direction. Je sortais d'une période assez compliquée où j'avais eu des problèmes de papiers à la fin de mon séjour d'études aux Etats-Unis pour cause de visas refusés et avais été bloqué.e à New York à cause du covid à l'époque des QR codes et des passeports santé. Cela m'avait beaucoup impacté.e et à mon retour à Paris, j'avais passé un long moment à ne pas faire grand-chose d'autre que regarder des séries, manger, jouer à des jeux vidéos, sans arriver à dépasser cette expérience. Ce texte, écrit juste après, revient sur ces moments où j'étais aux prises avec l'appel du vide - que je connais bien - tout en ressentant une forme de saturation de la pensée qui m'engluait dans l'immobilité.
H.M —Comment décririez-vous l'évolution de votre style poétique depuis vos précédents écrits jusqu'à ce recueil ?
S.AC — Ce texte est un poème-fleuve, comme mon précédent livre. Mais là où le premier, paru chez 10 pages au carré, faisait dix pages, celui-ci à la Contre Allée en fait un peu plus de cent. Même si c'est un flux continu, il y a plusieurs mouvements, et je me suis autorisé.e dans ce texte à introduire des onomatopées, quelques expressions en anglais, et à faire des expérimentations spatiales : à certaines pages il n'y a qu'un ou deux vers et d'autres sont très saturées ou adoptent des formes. Je pense qu'il y a dans ce livre, une liberté plus grande dans la langue, et certains passages qui sont principalement guidés par le rythme, ce qui est sans doute le reflet de l'affirmation de ma pratique de la performance accompagnée de musique électronique.
H.M —Pouvez-vous nous parler encore plus du processus de création de ce recueil ? Avez-vous suivi une méthode particulière ?
S.AC — Ce texte a été écrit de manière très fluide et naturelle. À l'origine, il s'agissait de prises de notes sur mon téléphone pendant mes trajets en métro à Paris, sans que j'aie d'intention véritable, ou le désir de chercher quelque chose de précis en écrivant. C'est ensuite quand, voulant soumettre un texte à un prix littéraire, j'ai voulu reprendre ces notes, que je me suis rendu.e compte qu'elles faisaient déjà plus d'une trentaine de pages. Après les avoir retravaillées, j'ai fait comme d'habitude, lu à voix haute jusqu'à ce que le rythme soit fluide, laissé reposer quelques jours/semaines, et repris cette lecture à voix haute pour voir si le texte tenait toujours. Je modifie le manuscrit en suivant cette méthodologie, jusqu'à ce que plusieurs lectures faites à distance les unes des autres continuent à me donner cette impression de fluidité, de facilité de lecture. Je considère alors que je suis allé.e aussi loin que je peux seul.e et soumets le textes à des personnes en qui j'ai confiance et le modifie à nouveau selon leurs retours, en appliquant à chaque fois cette méthode de la lecture à voix haute jusqu'à atteindre une forme stable. Je pense que la confiance dans un groupe de pairs me vient de mon Master de création littéraire ou j'avais suivi de nombreux ateliers d'écriture et appris à soumettre mon écriture à un regard critique avant de chercher à la faire éditer ou à la montrer au public.
H.M —Quelle place la musique occupe-t-elle dans votre travail ? Comment a-t-elle influencé tes lectures sur scène ?
S.AC — La musique occupe une place essentielle dans mes performances, qui sont elles-mêmes indissociables de mon rapport à la poésie. Je vois la poésie sur scène comme une opportunité de toucher un public différent, plus large, en essayant de l'approcher par le biais d'autres codes, qui peuvent faire un peu moins peur qu'ouvrir un livre de poésie. En plus de mes performances, j'ai co-fondé un collectif d'écopoésie, fœhn, et nous organisons des soirées où nous invitons des poetes.ses à lire de la poésie engagée sur de la musique, le plus souvent électronique. C'est assez naturel pour moi de mêler poésie et musique car j'ai commencé à lire mes textes sur des scènes ouvertes où il y avait des musicien.nes jazz, des pianistes, des guitaristes ; je compose moi-même des tapis sonores pour mes textes et adore improviser avec des musicien.nes. La lecture à voix haute est aussi le guide qui me permet de retravailler mes textes jusqu'à ce qu'ils sonnent juste.
Ma pratique prend un tournant de plus en plus musical depuis trois ou quatre ans où j'ai commencé à travailler avec de la musique électronique et ai fini par co-fonder le groupe Mooja, entre poésie, musique électronique et vidéopoésie. Après beaucoup de DJs sets poétiques improvisés, Paul Leverrier et Adrien Amiot, producteurs et DJs sous le nom de Housecall ont commencé à composer des morceaux pour mes textes, et Zohra Mrad a créé des vidéos qui accompagnent la performance, pour proposer une expérience la plus immersive possible. L'énergie de ce concert-spectacle est saturée, et oblige le public à lâcher prise sur la compréhension rationnelle des textes, car je pense que la poésie nécessite une écoute sensible, qui dépasse le sens, pour se laisser traverser par les mots, l'énergie, la rencontre dans l'instant, et c'est ce que nous avons essayé de proposer pour le lancement du livre au Centre Pompidou pendant le festival Effractions.
H.M — Y a-t-il un poème ou un passage en particulier que vous aimeriez mettre en avant et expliquer à votre public ?
S.AC — En voici un extrait :
mirlababisurlababo
souvenir du temps d’antan
ça manque le temps d’antan
où l’on croyait devenir grand
quelque chose d’autre
d’ontologiquement différent
catégorisation radicale
le monde des adultes le monde des enfants
découvrir
pendant que le temps file s’effile que le fil s’effiloche
que c’est pareil
qu’il faut tenir
juste tenir
être adulte c’est ça
tenir
ne pas laisser tomber
ne pas se laisser tomber
tous les jours bras levés
vivace comme cyprès
contre les vents traîtres
et si ça tombe
si ça casse
si ça crame
si ça coule
se lever se relever
gonfler le ventre comme on l’a appris en cours de yoga
gonfler les poumons âcres qui se décomposent jour à
jour
et recommencer
Le postulat de ce texte est de réfléchir aux manières avec lesquelles on tient quand la vie devient difficile à vivre, car c'est facile de tenir quand on va bien, que notre vie roule toute seule. Mais ce texte se demande comment on fait pour se relever quand on tombe, continuer quand ça semble impossible, qu'on est attiré par une inertie incoercible tout en ayant le désir d'être "vivace comme le cyprès" de Baudelaire, et je pense que ce passage propose des réponses que tout le livre cherche. Il suffit d'essayer, de mettre un pied devant l'autre chaque seconde-minute-jour, jusqu'à ce qu'on se soit sorti du trou.
H.M — Comment espérez-vous que les lecteurs réagiront à votre recueil ? Y a-t-il des émotions ou des réflexions que vous souhaitez susciter chez eux ?
S.AC — J'espère que mes lecteur.ices trouveront le livre facile à lire, dans le sens de la fluidité de l'écriture car je sais que les thématiques abordées peuvent être difficiles, même s'il y a beaucoup d'autodérision et d'humour. J'espère juste qu'il ne les impressionnera pas par ses verbiages, qu'il n'exclura pas un.e lecteur.ice tombé.e dessus par hasard, car je n'aime pas que la littérature écrase par son érudition. Je veux au contraire que ce texte libère la curiosité, la créativité, les interprétations, qu'il donne même envie d'être modifié, tant qu'il suscite chez l'autre le désir de soi-même faire quelque chose qui traverse, que ce soit écrire ou n'importe quoi d'authentique. C'est ce que me permet la poésie, d'avoir la sensation que je suis traversé.e par les mots, que je suis exactement moi-même quand j'écris ou que je suis sur scène. J'espère aussi que les lecteur.ices auront envie de le lire à voix haute. C'est le retour de plusieurs personnes déjà, et c'est le plus beau compliment qu'on puisse faire à mon écriture, car mes poèmes préférés sont ceux que j'ai eu d'emblée l'envie de clamer à voix haute, dans ma chambre ou devant d'autres, et j'essaie d'écrire d'une manière où le rythme qui se dégage peut être retrouvé, mis en voix par toute personne qui le désire pour qu'elle puisse aussi prendre part à la performance.
H.M — Quels sont vos projets futurs après la sortie de ce recueil ?
S.AC — Le plus important pour moi, c'est de trouver des manières de tenir, de faire corps ensemble en tant qu'artistes, poetes.ses, écrivain.es, citoyen.nes, dans un monde de plus en plus violent et ce sans se laisser décourager. Cela passe pour moi par la programmation d'évènements artistiqus pluridisciplinaire durant lesquels des personnes d'horizons divers se rencontrent, discutent, s'émerveillent tout en ayant conscience de la nécessité de résister et de tenir pour des causes plus grandes que soi. Il nous faut trouver l'équilibre entre la nécessité d'être ému.es par la violence, la souffrance qui nous entoure et ne pas la laisser nous écraser dans la peur qui ne fait que nous fermer aux autres. C'est ce que j'essaie de faire avec mon collectif écopoétique fœhn et avec mon collectif décolonial et féministe bruxellois xeno_ : créer des espaces pour tenir ensemble. Avec mon groupe Mooja nous travaillons aussi à l'enregistrement de notre premier EP car ce projet mûrit depuis plusieurs années et il est temps de le partager avec d'autres, pour, encore une fois, donner un accès à des textes engagés à un public autre que littéraire. Évidemment, dans le cadre de la promotion d'Au Pieu, il y a des performances, des rencontres en festivals et en librairies, j'irai à Bruxelles, Lille, Bordeaux, Barjols etc... Et puis, bien sûr, de temps en temps m'isoler pour avancer sur l'écriture d'un roman sur l'amitié et d'un recueil de poèmes sur l'amour filial auxquels je travaille.
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Pour citer ces images & entretien inédits
Hanen Marouani, « Avis de parution du recueil « Au Pieu » de Selim-a Atallah Chettaoui suivie de l’entretien réalisé avec l’artiste », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 17 mars 2025. URL :
Crédit photo : Barbara Regina Dietzsch (Barbara Regina Dietzsch (1706-1783), illustration d'une rose éclose, un bouton de rose avec leurs feuilles et une coccinelle, peinture tombée dans le domaine public. Capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.
Perdues sur les feuilles jaunies par le temps
les voyelles et leurs couleurs
perdus les sons des langues maternelles et paternelles
Pour citer ce poème inédit, féministe & engagé pour l'égalité des sexes
Dina Sahyouni,« e muet », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet &Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 11 février 2025. URL :
RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION !
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