25 septembre 2024 3 25 /09 /septembre /2024 16:21

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Dossiers majeur & mineur | Articles & témoignages | Critique & réception 

 

 

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Insomnies perpétuelles,

 

poèmes de Mona Azzam. Recueil paru

 

aux Éditions Ex Aequo

 

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Critique par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de poèmes « Insomnies perpétuelles » de Mona Azzam.

 

 

 

Née en 1962 en Côte d’Ivoire, cette enseignante en lettres modernes possède la passion des mots qui la possèdent à leur tour ! À l’instar d’Emile Cioran ou d’Albert Camus qui affirmaient que leur vraie patrie était leur langue, l’autrice fait sienne cette assertion. En témoignent ses écrits autour de Dante, Camus mais aussi ses nombreux recueils où la poésie n’est autre qu’un « éblouissement perpétuel ».


 

Citant un vers de René Char « La poésie vit d’insomnie perpétuelle », elle le reprend au pluriel dans l’intitulé de son nouveau recueil dont l’illustration de la couverture, s’apparentant à un tourbillon, voire à un vortex, exerce déjà un pouvoir de fascination hypnotique sur le lecteur.

 

Puis la poète de nous plonger dans un songe éveillé où elle nous avoue qu’elle aurait voulu « déployer les ailes du temps » et « retrouver la pierre de l’enfance ».

 

 

© Crédit photo : Portrait photographique de la poète Mona Azzam dans une librairie.

 

Nul doute que le voyage à l’intérieur de soi est véritablement cet « ailleurs » dont nous entretenait Arthur Rimbaud. Mona Azzam détient l’art de sonder les mots, d’en jouer et d’en appréhender les limites qu’elle explore car les mots sont « Un défi au temps. Aux morts. Aux vivants ».

 

Elle aborde ainsi les frontières de l’indicible et de l’invisible « tel un inconnu parvenu au bout de l’errance » pour nous octroyer la splendeur de vers éblouissants dont la magnificence suspend l’instant :

 

            « Câline comme une cascade

           Crucifiée, se farde l’églantine

           D’un soupçon de muscade. »

 

Plus loin : 

 

« Un lambris de verbe

          S’étourdit pour éclore »

 

Et dans l’un des derniers poèmes de ce recueil, Mona Azzam, dans une parfaite symbiose avec la nature, de la laisser entrer et pénétrer ses vers dans d’éclairantes et lumineuses images :

              

« L’amandier s’éveillant de son sommeil

          A mis sur mes rimes un brin de soleil. »

 

La poésie de Mona Azzam, à la fois mélancolique et radieuse, se condense tout entière dans un oxymore qui n’est autre qu’une ode perpétuelle à la vie, un charme envoûtant opère, se propage et se prolonge au-delà du recueil refermé car cette écriture singulière ne cesse de nous ensoleiller !

 

© Françoise Urban-Menninger, septembre 2024.

 

 

 

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Pour citer ce texte ensoleillé & inédit 

 

Françoise Urban-Menninger, « Insomnies perpétuelles, poèmes de Mona Azzam. Recueil paru aux Éditions Ex Aequo », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet, mis en ligne le 25 septembre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiii/fum-azzam-insomnies

 

 

 

 

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23 septembre 2024 1 23 /09 /septembre /2024 17:27

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Dossier majeur | S'indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages | Revue poépolitique

 

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Mais où est donc passée notre humanité ?

 

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Lettre ouverte par

Mona Azzam

 

 

 

Crédit photo : W. B. Richmond, « The Crown of Peace », peinture tombée dans le domaine public, 

 

 

(Mona Azzam)


 

Il est des moments où prendre la plume devient un acte nécessaire, un acte dicté par une responsabilité dont l'on se sait investi au nom de son humanité. 

L'on ne peut s'affirmer camusienne sans se révolter. 

Prendre la plume, un acte de révolte.

Se révolter parce que “nous sommes”.

Nous sommes responsables de “nommer les choses”. De dénoncer ce qui se doit d’être dénoncé. 

 

Je prends la plume ce jour, après avoir opté longtemps pour le silence face à la banalisation de la violence et les massacres de populations innocentes, entraînés par toutes ces guerres qui se suivent et se ressemblent, tel un feuilleton pitoyable et lassant que des médiocres scénaristes s’entêtent à nous faire subir. 

 

Je romps aujourd’hui avec mon “habituel” silence qui est souvent ma réponse à l’injustice et à la violence et qui, jusque-là, était la seule expression de ma révolte. 

Un silence inefficace. Parce qu’il ne nomme pas les choses. Alors que plus que quiconque, je ne suis sans ignorer que « mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » 1.

 

Ce monde miné par son lot quotidien de massacres me tourmente au plus haut point, me plonge dans un tel état que j’ai la sensation, par moments, d’être une extra-terrestre. Ou une brebis galeuse se refusant à suivre le troupeau. 

Suis-je une extra-terrestre ? 

Suis-je une marginale ? 

À quel moment l’humanité a-t-elle disparu de nos horizons, emportant avec elle la décence, l’empathie et la solidarité ?

À quel moment la paix a-t-elle cessé d’être notre seule et unique préoccupation ? 

 

Quelle tragédie, que notre Histoire “moderne” qui s’écrit à coup de publications instantanées  sur X ou Y et sur des réseaux sociaux par des “spécialistes” de la guerre qui, de la guerre, ignorent tout et surtout l’essentiel ! 

Que savent-ils de cette ignominie qu’est la guerre, alors qu’ils sont à l’abri derrière les écrans de leurs téléphones ? 

Quelle tragédie que notre Histoire “moderne” dont les pages sont, de seconde en seconde, de minute en minute, d’heure en heure, emplies de mots et de réactions instantanées qui font la part belle à la violence et à la mort d’innocents ! 

Tant d’innocents…

Trop d’innocents. Dont les voix se sont tues et ce, ensevelies dans un linceul de silence.

 

Face à cette histoire “moderne”, je ne peux que me révolter. M’insurger. Au nom de mon humanité et des valeurs qui me sont chères. 

Je m’insurge et prends la plume. Et, puisqu’il me faut « nommer les choses »…





 

Je dis que la guerre est un fléau qui dévaste tout sur sa trajectoire, tuant sans distinction de nationalité ou de religion des innocents. 

Les innocents, les seuls perdants de toute guerre. 

Quant à la victoire, je doute qu’une guerre puisse être victorieuse dès lors qu’UNE seule victime innocente a perdu la vie. 

Je dis que nul ne peut se réjouir de la mort d’autrui, ni applaudir une quelconque guerre. 

Je dis qu’aucune guerre n’est juste. 

Je dis qu’aucune guerre ne se justifie.

Je dis que les victimes innocentes ne sont pas de simples dommages collatéraux. Ce sont des êtres humains. Qui avaient des rêves…et une vie.

Je dis que la guerre n’est pas une virtualité que l’on peut s’autoriser à commenter de manière légère. Et inconsciente. 

Ce n’est pas une succession d’images qui défilent sur un écran pour que l’on les aime ou pas.

Je dis que la guerre est une réalité. La plus abjecte qui soit. De celles qui nous laissent sans voix, nous privent de sommeil ; nous coupent l’appétit. 

Jusqu’à nous pousser à nous révolter. Surtout quand la guerre est une réalité. Connue. Vécue. 

Ceux qui l’ont vécue savent de quoi je parle. 

Car qui a vu, ne serait-ce qu’une seule fois, le corps d’un enfant innocent déchiqueté par des obus ou par une mine, sait que la guerre est une réalité insurmontable. Et que l’on garde en mémoire à jamais cette réalité que l’on voudrait ne jamais avoir vécue. 

 

Je dis. 

Suis-je pour autant une extraterrestre ? 

Serais-je encore plus extra-terrestre si, de par le monde, sur toutes les toiles, dans tous les espaces réels et virtuels, naissait une chaine gigantesque ralliant tous les peuples – sans distinction de nationalité ni de religion – à une seule cause, celle de la paix, « le seul combat qui vaille d’être mené » ? 2.

 

Extraterrestre, marginale ou idéaliste ? 

Qu’importe le mot. Pourvu qu'on ait la PAIX, en lieu des guerres et que l'on emplisse les pages de l’Histoire, d'humanité. De notre humanité. 

La PAIX. Le seul legs digne d'être laissé en héritage, aux générations futures.

 

 

 

Notes

1. Albert camus, Sur une philosophie de l’expression.

2. Albert Camus.




 

 

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Pour citer ce billet engagé, gnomique & inédit 

 

Mona Azzam, « Mais où est donc passée notre humanité ? », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet, mis en ligne le 23 septembre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiii/monaazzam-notrehumanite

 

 

 

 

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11 septembre 2024 3 11 /09 /septembre /2024 17:18

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Spiritualités poétiques | Handicaps & diversité inclusive

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​​Mon mal de l’âme

 

 

 

 

 

Poème & photographie de

 

Louise Hudon

 

 

​© ​​​Crédit photo : Portrait photographique de Louise Hudon assise & fourni par elle-même.

 

 

Dédié à celles et ceux qui souffrent

 

 

 

J’ai si mal, et ce, sans savoir pourquoi.

Comme moi, il y a des québécois

Qui comprennent de quoi je parle au juste.

Ce n’est pas la question d’être robuste…

 

 

Mon âme me cause de gros soucis.

Pourtant, mon entourage s’adoucit.

Mes amis m’aident régulièrement.

Ce malheur, bien présent, c’est alarmant.

 

 

Fragile et sensible en prenant de l’âge,

Des personnes noircissent mes nuages.

Ce temps noir et ma vie très solitaire

S’ensoleille malgré tout sur la terre.

 

 

Ma spiritualité bien présente

Avec mes réflexions satisfaisantes

Me donnera du courage demain

Et j’ai un grand ami avec sa main.

 

 

Un lâcher-prise en connaissant nos peurs,

Trouvées souvent avec grande stupeur.

Les rejets, injustices ou trahisons…

Une analyse pour la guérison.

 

 

© Louise Hudon, 2 septembre 2024.

 

 

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Pour citer ce poème vécu, réaliste, psychique & inédit 

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Louise Hudon, « Mon mal de l’âme », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet, mis en ligne le 11 septembre 2024. URL : 

http://www.pandesmuses.fr/noiii/hudon-monmaldelame

 

 

 

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10 septembre 2024 2 10 /09 /septembre /2024 14:41

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Dossier majeur | Florilège | Nature en poésie / Astres & animaux | Handicaps & diversité inclusive & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Créations poétiques

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​​L'extraterrestre incomprise ?

 

 

 

 

 

Écopoème de

 

Mariem Garaali Hadoussa

 

Artiste plasticienne & poète

Présidente de lassociation « Voix de femme nabeul »

 

 

​​​​Crédit photo : Affiche du film « L’Incomprise », capture d'écran d'une image libre de droits prise de l'affiche officielle et diffusée sur les réseaux sociaux.

 

 

 

Je suis l'incomprise

Celle qu'on n'enferme pas dans des moules figés

Celle qui s'élève dans un espace enchanté

Une funambule !

 


 

Aux esprits hermétiques

Aux esprits obtus

Aux scientifiques cloisonnés

Dans leurs découvertes et pensées confuses,

Je dis :

Vous n'avez rien saisi

Vous vous égarez

Vous avez inversé le monde

Vous limitez l'univers à vos pensées étriquées

À vos idées saugrenues

Vous ne m'enfermerez pas

Je ne serai jamais ce que vous souhaitez que je devienne

Je refuse !

Oui, j'aurai tout le monde sur le dos

Sauf l'univers qui me soutient

Il m'a façonnée

Je vibre au son de la faune et de la flore

Je danse sur les notes fluides des eaux

L'enfant en moi rit et pleure 

Au son de la flûte enchantée

 


 

Et même si je suis une extraterrestre,

Je suis heureuse, bien à ma place

Je reste humble

Égale à moi-même.

 

 

 

© Mariem Garaali, nouveau poème, août 2024.

 

 

 

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Pour citer cet écopoème féministe, floral & inédit

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Mariem Garaali Hadoussa, « L'extraterrestre incomprise ? », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 10 septembre 2024. URL : 

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/2024/noiii/mgh-extraterrestre

 

 

 

 

 

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6 septembre 2024 5 06 /09 /septembre /2024 17:44

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Dossier majeur | Florilège | Nature en poésie / Astres & animaux

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​​Miroir & labyrinthe

 

 

 

 

 

Poème au parfum de l’hyacinthe par

 

Irina Moga

 

Site Web :

http://www.irinamoga.com/

 

 

 

​​​​Crédit photo : Gabrielle Hope (1916-1962), « Fruit and Flowers », 1951. Capture d'écran du site Commons.

 

 

 

Tant de belles solitudes, jusqu’au néant des jours

Cherchent l’égal de notre esprit dans le miroir d’un labyrinthe.

De l’équilibre de l’amour ne reste qu’un faux contour

Illuminé par le parfum oblique et mal-aimé de l’hyacinthe. 


 

Tes yeux en amande, la promesse d’un carrefour

Qui me guette, le fil d’Ariane, toujours en attente 

À la sortie d’une hypothèse plate et à rebours

Qui brouille les pistes de nos joies et de nos craintes. 


 

Et je postule que l’effet du miroir englouti tour à tour

Par nos pas qui tournent en rond sur des voies adjointes

Ne fait qu’approfondir l’abîme entre réalité et désir, sans recours,

Importun Minotaure, caché dans la glace de nos étreintes.


 

© Irina Moga

 

***


Pour citer ce poème floral inédit

 

Irina Moga, « Miroir & labyrinthe », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet, mis en ligne le 6 septembre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiii/irinamoga-miroiretlabyrinthe

 

 

 

 

 

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