19 juillet 2024 5 19 /07 /juillet /2024 16:07

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Dossier majeur | Florilège | Astres & animaux & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Créations poétiques

 

 

 

 

 

 

انا في طريقي إليك​​​​​​

 

و

 

 

 لما يصرخ البط حين يطير؟

 

 

 

 

 

 

 

آمنة الوزير/Emna Louzyr

 

 

 

 

Crédit photo : « Olivier en fleurs ». Capture d'écran de l'image libre de droits du site Commons.

​​​​​​

انا في طريقي إليك

 

 

انا في طريقي إليك

فهلا فتحت لي الطريق؟

 

أنا في طريقي إليك

والطريق قبل الوصول إليك

ألغى كل معاني الطريق

فهلا فتحت لي المدى؟

 

أنا قادمة إليك

فانتظرني على شفى دفق الليالي

حتى أشرب من راحتيك

 

كزيتونة عمر مبتغى

تورف ظلالا لأعين التعبى

وتنأى دون الوصول إليك

 

وانتظرني في القصيد 

وأشعل لي نجمة أو نجمتين

حتى لا أتيه في صحراء ذاتي

وآتية في الطريق إليك.

 

Crédit photo : « Olivier ». Capture d'écran de l'image libre de droits du site Commons.

 

لما يصرخ البط حين يطير؟

 


عاد الصيف
وعاد جيلبارت
وكلبه
وصراخ كلبه
و انا في مكاني
بيني و بين قشة النجاة
مسافات الرعود
وأمطار
وصمت


عاد الصيف
وجيلبارت
وكلبه ونباح كلبه
رفيق الأرق
كم من ورقة على شجرة اللبخ؟
لما يصرخ البط حين يطير؟
وهل أكلت الكلاب السائبة بقية غدائي؟


عاد الصيف
و جلبة الشوارع
فرحة بعودة الشمس
وبيني وبين نفسي
وعد صيف
ونباح

 

© آمنة الوزير

 

___________

 

 

Pour citer ces poèmes inédits en arabe 

​​​​

آمنة الوزير/Emna Louzyr, «» & « لما يصرخ البط حين يطير؟ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 19 juillet 2024. URL : 

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/2024/noiii/el-2poemes

 

 

 

 

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18 juillet 2024 4 18 /07 /juillet /2024 17:44

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Dossier mineur | Florilège  & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Créations poétiques

 

 

 

 

​​​

 

 

 

Inclinaison :

 

 

I. Berceau & II. L’abat-jour

 

 

 

 

 

 

Emna Louzyr

 

 

 

Crédit photo : « Sunset seascape morning ». Capture d'écran de l'image libre de droits du site Depositphotos.

 

 

I. Berceau

 

 

Je regarde par la fenêtre. Une rue passante. Il est 13h. Un moment comme un autre de cette journée interminable. Le grand bougainvillier du quartier danse avec le vent, presque malgré lui. Ses feuilles se ramollissent, jaunissent et finiront par tomber.

On sonne à la porte. Un vieux monsieur vient récupérer le berceau en bois massif. La girafe y est toujours accrochée. Elle a perdu un œil et a le cou légèrement tordu. 

Mon berceau…

Je n’aime pas ce monde.

Depuis  le cocon et jusqu’à l’aube à la lumière hésitante. Depuis le berceau en bois à bascule dans lequel on m’avait posée en pensant que ce dernier aurait des vertus protectrices et relaxantes. J’avais le tournis. Une sorte de vertige de naissance. Plus je pleurais, plus mes tendres mères, car je pense que j’en ai eu plusieurs, s’adonnaient à cœur joie dans l’art  de la balance. Je transpirais et les draps en soie rose  fleuris me collaient à la peau. La chambre sentait le talc, la rose et le lait en poudre. Une girafe multicolore accrochée au dessus du lit, pour assurer l’éveil de mes sens, me regardait. Elle louchait légèrement. 

L’été on enveloppait mon berceau en bois massif d’une moustiquaire de chine. Ce bout de tissus donnait une autre allure aux visages des taties et des tontons qui se penchaient, toujours souriants, pour admirer mes gigotements. Je n’en pouvais plus. Exaspérée, j’ai appris à parler très jeune pour exprimer mon mécontentement après de longs  mois de souffrance et de silence. Personne ne comprenait d’où venait mon caractère coriace contracté à la naissance. C’était un instinct de survie. Je ne me sentais pas, et ne me sens toujours pas en sécurité avec les adultes.

Je n’aime pas ce monde depuis le premier jour. 

Je regarde par la fenêtre. Une rue passante. Il est 13h. Un moment comme un autre de cette journée interminable…

 

 

II. L’abat-jour

 

La nuit arrive lentement. La lumière est déjà allumée comme pour raviver un matin qui ne respire plus.

Le chapeau de cet abat- jour gothique, appartenant à une autre vie, est incliné.

Mille fois j'ai tenté de le redresser. Il revient à chaque fois à sa posture initiale. Il est moche. Exactement comme la lumière qu'il propage et autant que cette fin de journée.

La télé diffuse un reportage sur les tueurs en série.

Tout semble banal ici : la colère, les inclinaisons, les incertitudes...

C'est laid un abat -jour gothique avec un chapeau incliné.

 

© Emna Louzyr

 

___________

 

 

Pour citer ces poèmes inédits en prose

​​​​

Emna Louzyr, « Inclinaison : I. Berceau et II. L’abat-jour », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 18 juillet 2024. URL : 

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/2024/noiii/el-inclinaison

 

 

 

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13 juillet 2024 6 13 /07 /juillet /2024 18:56

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Dossier majeur | Florilège

 

 

​​​​​​​

 

 

 


je suis partie

 

​​​​​

 

 

 

​​

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

Crédit photo : Gustav Klimt (1862-1918), « Jardin de campagne »/« Bauerngarten », peinture tombée dans le domaine public. Capture d'écran de l'image libre de droits du site Commons. 

 

 

 

je suis partie

avec pour tout bagage

ma mort invisible

cousue de fil blanc

dans le ciel de mes pensées

 

 

je suis partie

avec ma broderie

au point de tige

dans ce jardin refleuri

où rêve l’infini

 

 

je suis partie

pour un jour revenir

mon cœur tissé

dans la trame du poème

une fleur d’âme à la boutonnière

 


 

© Françoise Urban-Menninger, juillet 2024.

 

***

 


Pour citer ce poème fleuri, & inédit 

 

Françoise Urban-Menninger, « je suis partie », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet, mis en ligne le 13 juillet 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiii/fum-jesuispartie

 

 

 

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12 juillet 2024 5 12 /07 /juillet /2024 17:19

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & témoignages 

 

 

 

​​​​​​​

 

 

 

Emma Filao, « Un crachat de givre »,

 

 

Éditions du Cygne, 2024, 70 p., 15€

​​​​​

 

 

 

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil « Un crachat de givre » par Emma Filao aux Éditions du Cygne, 2024.

​​​​​​

 

La mémoire est une faculté qui oublie, dit-on. Cependant l’oubli n’est jamais total : il y a toujours des faits qui refont surface, après avoir été enfouis dans le subconscient. Il y a aussi la mémoire du corps car le corps garde l’empreinte des traumas, c’est ce qu’Emma Filao, victime d’inceste dans son enfance, révèle dans ce recueil de poèmes. :

 

« mon corps se tord

dans la douleur de l’autre en moi

qui frappe à ma mémoire »

 

« Ce corps à tout prendre que tant ont pris 

dans la violence d’un souffle irrespirable »

 

Et c’est à la lueur de l’insaisissable qu’elle tente de défaire le nœud de ce silence qui nouait sa gorge pour raconter son calvaire d’enfant violée, cherchant refuge dans la mort.

Se défaire de ce passé qui lui colle à la peau et qu’elle continue de vivre au présent comme un cauchemar :

 

« qu’est ce qui m’emporte

un viol

un viol primordial

ce crime qui me poursuit »

 

Elle est devenue cette femme révoltée qui ne veut plus rester bouche cousue mais retrouver le souffle pour conjurer son enfance douloureusement volée et « transformer  ce qui blesse »  « et ce qui reste » ; conjurer ses nuits d’insomnie.

Grâce à la poésie, elle a fini par exorciser ses visions d’images « au goût de sang » et laver son corps souillé par l’inceste. 

Comme le phénix elle renaît de ses cendres et un sang nouveau coule à présent dans ses veines. Elle a repris goût à la vie :

 

« et me voilà

avec cette de

parole délivrée et

cette absurde

envie de vivre

enfin »

Pari gagné : Vive la femme régénérée, évoluant dans l’affirmation de soi. 

 

 


© Maggy DE COSTER

 

À consulter aussi

*la page d’autrice aux Éditions du Cygne, URL.

http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-emma-filao.html

**la page du recueil aux Éditions du Cygne, URL.

**http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-crachat-de-givre.html

 

***

 


Pour citer ce texte inédit, engagé & féministe pour l'élimination des #VSS

 

Maggy De Coster, « Emma Filao, « Un crachat de givre », Éditions du Cygne, 2024, 70 p. 15€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet, mis en ligne le 12 juillet 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiii/mdc-ef-uncrachatdegivre

 

 

 

 

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12 juillet 2024 5 12 /07 /juillet /2024 15:35

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & témoignages & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Critiques poétiques & artistiques 

 

 

 

​​​​​​​

 

 

 

Coralie Akiyama, « Éternelle Yuki »,

 

 

Éditions du Cygne, 2024, 55 p., 12€

 

​​​​​

 

 

 

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée ​​​​​​du recueil de Coralie Akiyama, « Éternelle Yuki » aux Éditions du Cygne, 2024..

​​​​​​

 

« Quand la main écrit, c’est le cœur qui parle et qui soupire. » Alfred de Musset.

C’est le cri d’un cœur saignant de douleur.  C’est le dit d’un être mal aimé par son pays d’adoption, le pays du soleil levant, aux us et coutumes implacables.

Son cœur bat la chamade quand elle pense à appelle «  ma grande murée adorée », « ma silencieuse » : 

« Mon enfant prisonnière, d’un royaume épais […] Je t’aime plus que tout tant j’écris pour toi sur un balcon étranger aux oiseaux de cuivre et feuilles rondes plus il y a de douleur et plus il y a d’oiseaux. »

S’adapter ou retourner au bercail pour réapprendre à être soi-même car il est impossible d’accepter d’être autre que soi-même. Se fondre dans le décor, s’effacer et devenir la grande muette tel était le sort de Coralie Akiyama, Française d’origine, laissant malgré elle sa fille au Japonais : 

« Je suis le je (u) qui s’efface, tu as gagné ». S’effacer au profit du collectif car l’individu n’existe pas.

En dépit de sa grande souffrance, elle sait faire la part des choses : 

« Cruauté, tu n’enlèves rien à la beauté des couloirs de portes vermillon dans les montagnes. »

Elle ne peut s’empêcher de s’extasier devant la beauté de ce pays. Aussi évoque-t-elle : 

Le « Mirifique vol blanc de papillon dans l’eau »

Le paroxysme de la froideur et le silence gagnent même le sentiment amoureux et les relations conjugales : 

«  Trois ou treize ans sur une pierre j’ai craqué mes dernières allumettes de paroles et tu ne me tends pas de briquet mon mari est d’or l’amour silence un métal froid. »

« Le silence est grand ; tout le reste est faiblesse ». Alfred de Vigny in  « La mort du loup ».

C’est peut-être dans le silence que ce peuple puise sa force. Il y a peut-être aussi une alchimie à découvrir, donc il convient de percer les arcanes de la culture japonaise. 

« On parlait saison, on parlait cuisine » dit-elle.

Les saisons rythment la vie et la cuisine utilise les fruits de la terre pour nourrir les êtres humains et les maintenir en vie, donc il y a une harmonie entre les saisons et la cuisine. Manger les fruits de saison est un mot d’ordre salutaire. Cela dit, les êtres humains intègrent les saisons tout comme l’art culinaire dans le maintien de leur vie.

Elle n’oublie pas que dans ce pays, les relations c’est comme « les neiges éternelles » car « elles ne s’éteignent jamais ».

Ses considérations sur la gent masculine portent sur leur discrétion :

Ils sont  « de(s) trésors peu photogéniques en éblouissements/ juste comme il faut/ tu passeras à côté si tu passes »

Le Japon, «  ce pays qui ne se laissera pas prendre dans les bras » semble vouloir être un parangon de stoïcisme et de perfection ; pas de juste milieu, « le reste du monde […] un lit défait. 

C’est pour ne pas « finir sublime anesthésiée d’harmonie molle comme la mort des belles endormies » qu’elle se sauve de ce pays paradoxal qui lui offre à la fois beauté et cruauté mais le cœur serré d’avoir laissé sa fille qui n’est là que pour écouter et rester docile.

 

© Maggy DE COSTER

À consulter également

*la page d’autrice aux Éditions du Cygne, URL.

http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-coralie-akiyama.html

**la page du recueil aux Éditions du Cygne, URL.

http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-eternelle-yuki.html

 

————

 


Pour citer ce texte inédit 

 

Maggy De Coster, « Coralie Akiyama, « Éternelle Yuki », Éditions du Cygne, 2024, 55 p., 12€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet, & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 12 juillet 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/noiii/mdc-caeternelleyuki

 

 

 

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