18 avril 2024 4 18 /04 /avril /2024 15:32

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier mineur | Florilège | Astres & animaux 

 

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Perdue dans la brume

 

 

 

 

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Louise Hudon

 

 

 

​​​​​Crédit photo : Nuages, capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

 

 

Voilà que la maladie m’a surprise

Et que de mon corps, je perds la maîtrise.

Certains médicaments pour m’en sortir…

Conséquences : organisme à affaiblir.

 

 

Mes projets en cours me causent problèmes.

Avec ma fièvre, je suis assez blême.

Absence de ceux qui pourraient m’aider.

Dois-je annuler ou alors procéder?

 

 

Trop perdue dans une brume sans fin.

Épuisement, je n’ai vraiment pas faim.

Angoisses et panique pour le futur.

Je cherche refuge dans la nature.

 

 

Stress psychologique d’où l’anxiété.

Dernièrement, trop de contrariétés,

Battante comme je suis, pour surmonter,

Tout accomplir avec ma volonté.

 

 

Si mon cerveau se transforme en nuages,

Mon extérieur perd beaucoup son plumage.

En effet, la maladie me vieillie.

Un repos après m’être recueillie.

 

 

© Louise Hudon, 10 avril 2024.


 

 

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Pour citer ce poème inédit

 

Louise Hudon, « Perdue dans la brume », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  HIVER-PRINTEMPS 2024 | NO I « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 18 avril 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/hudon-perduedanslabrume

 

 

 

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26 mars 2024 2 26 /03 /mars /2024 16:00

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Muses au Masculin | Revue culturelle d'Europe​​​​​​​

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Vernissage de l’exposition photographique :

 

« Sur les traces de mon père »

 

à la Mairie du 8e arrondissement de Paris

 

 

 

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Reportage photographique

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Deux images de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

 

 

La France n’a jamais cessé de fasciner et de séduire ses visiteurs de tous horizons. Cela dit, en été 1958, un jeune Suédois prénommé Erling Fransson est parti de Suède en voiture pour découvrir la France. Aussi a-t-il immortalisé des rues emblématiques de la Capitale comme Saint-Germain-des- Prés, Rue de L’Université, Le Quai d’Orsay, L’Avenue Charles de Gaulle entre autres par la magie de son objectif photographique. Cinquante ans plus tard, son fils Erik Wickström est revenu sur ses traces pour lui témoigner sa gratitude, en faisant le même geste. Une façon de rendre hommage à ce père qui lui a transmis un héritage inestimable : ses valeurs altruistes.

 

© Crédit photo : Une image du carton d'invitation du vernissage de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

 

Cette exposition met en miroir les photographies du père, Erling Fransson et du fils, Erik Wickström sur les mêmes lieux à cinquante ans d’intervalle.  Erling Fransson portait un regard sensible sur la vie parisienne avec des personnages en situation. Le temps a passé et les lieux ont évolué.  « Ô temps suspend ton vol… ! »

 

© Crédits photos : Images de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

 

En bas chaque photo on peut lire les savoureux textes poétiques du poète Christian Morel de Sarcus en guise de commentaires.

L’exposition dure du 5 au 16 mars 2024.

 

© Crédit photo : Images de l’intérieur de la Mairie du 8e arrondissement de Paris, la deuxième photographie montre une statue des trois Grâces.

 


Suite du reportage photographique 

 

 

© Crédit photo : Une Photographie par Ingrid Hoffmann, « Christian Morel de Sarcus » de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 © Crédit photo : Le père & le fils dans l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

© Crédit photo : Un des poèmes commentant la photographie dans l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

© Crédit photo : Présentation biographique des trois personnalités exposées dans l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

© Crédit photo : Itinéraire parisien du père et du fils, image de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

© Crédits photos : Des images prises lors du vernissage de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.Photo avec les deux hommes, de gauche à droite:  Erick Wickström et Christian Morel de Sarcus

 

 © Crédits photos : De gauche à droite : Erick Wickström et Christian Morel de Sarcus dans l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8e arrondissement de Paris.

 

 

© Maggy DE COSTER, mars 2024.

 

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Pour citer ce reportage photographique inédit

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Maggy De Coster (texte & reportage photographique), « Vernissage de l’exposition photographique : « Sur les traces de mon père » à la Mairie du 8arrondissement de Paris », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 26 mars 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/mdc-vernissage

 

 

 

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N° I | 2024▼ Lien à venir

17 février 2024 6 17 /02 /février /2024 17:59

N° I | HIVER 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Revue des métiers du livre / S'indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages

 

 

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Lutte des bouquinistes parisiens. Épilogue

 

 

 

 

Tribune 4 par

 

Mustapha Saha

 

Sociologue, poète & artiste

 

Photographie par

 

Élisabeth Bouillot-Saha

 

Photographe

 

 

 

© Crédit photo : Mustapha Saha chez les bouquinistes des quais de Seine,  image par Élisabeth Bouillot-Saha, septembre 2023.

 

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Mardi, 13 février 2024. Coup de théâtre. J’apprends l’annulation du déplacement des bouquinistes par la présidence. Une dépêche de l’AFP annonce la décision élyséenne : « Constatant qu'aucune solution consensuelle et rassurante n'a pu être identifiée avec ces acteurs, le président de la République a demandé au ministre de l'Intérieur et au préfet de police de Paris que l'ensemble des bouquinistes soient préservés, et qu'aucun d'entre eux ne soit contraint d'être déplacé ».

 

La presse étrangère se réjouit du rétropédalage du pouvoir. Des médias européens, américains, asiatiques ont réalisé des reportages sur place tout au long des sept mois de lutte. Le soir du simulacre du test de démontage, des télévisions japonaise et sud-coréenne étaient présentes. Le journal bavarois Süddeutsche Zeitung écrit « Bonne nouvelle. À la surprise générale, le président français décide le maintien des boîtes de bouquinistes, authentiques monuments culturels,  sur leurs parapets. L’art et la manière de gagner des points de popularité à bon compte. L’opinion publique est largement acquise aux bouquinistes. Une pétition de soutien a réuni 184 000 signatures. Des voix nombreuses se sont indignées contre la liquidation de l’âme de la Seine ».

 

La résistance a payé. Dès juillet 2023, nous nous sommes mobilisés, avec Élisabeth, pour les bouquinistes des quais de Seine. J'ai publié une douzaine de chroniques. Je prépare un livre sur cette question sous le titre Les Bouquinistes parisiens, Ad vitam aeternam. Je reçois plusieurs messages jubilatoires de bouquinistes. Prochaine étape, immortaliser le témoignage.

 

© Mustapha Saha

 

 

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Pour citer ce texte inédit

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Mustapha Saha, « Lutte des bouquinistes parisiens. Épilogue  », photographie par Élisabeth Bouillot-SahaLe Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 17 février 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/ms-bouquinistesparisiens4

 

 

 

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N° I | HIVER 2024

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17 février 2024 6 17 /02 /février /2024 17:53

N° I | HIVER 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Revue des métiers du livre / S'indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages

 

 

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Fétichisme olympique & folie des grandeurs

 

 

 

 

Tribune 3 par

 

Mustapha Saha

 

Sociologue, poète & artiste

 

Photographie par

 

Élisabeth Bouillot-Saha

 

Photographe

 

 

 

© Crédit photo : Mustapha Saha chez les bouquinistes des quais de Seine,  image par Élisabeth Bouillot-Saha, septembre 2023.

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Paris. Vendredi, 9 février 2024. Pérégrination rituelle sur les quais de Seine. Discussion avec Jean-Pierre Mathias, ancien professeur de philosophie, bouquiniste depuis trente cinq ans sur le quai Conti. Bouquiniste n’est pas uniquement un métier, un gardien de la tradition médiévale de la boutique permanente dans la rue, c’est une vocation. Pour être un honnête bouquiniste, il faut avoir une culture éclectique, une insatiable curiosité intellectuelle, une prédilection pour la communication et surtout une santé à toute épreuve. Au bord du fleuve, les éléments s’apaisent ou se déchaînent. L’hiver est toujours rude. Le vent fouette les arbres et les présentoirs. Les bourrasques malmènent les livres. Le printemps apporte les brises consolatrices. L’été attire les flâneurs et les fureteurs.

 

Le programme sécuritaire des Jeux Olympiques, prévoyant le déplacement des bouquinistes,  draine les rumeurs et les contre-rumeurs. Mercredi 31 janvier 2024, réunion à l’Élysée pour examiner des alternatives si la cérémonie d’ouverture devait être empêchée. La Maire de Paris rêvait d’une fiesta nautique avec un million de personnes. La façade de l’Hôtel de Ville exhibe des panneaux promotionnels tapageurs, aberrants, risibles. Les Jeux camelotés comme une foire du trône. Le design et le marketing sans signification imposent leur post-vérité, leur cancel culturel. Sur les boîtes des bouquinistes de nouveaux slogans en langue anglaise, War on culture, Culture kills

Les bouquinistes des quais de Seine, en attendant, sont ballotés entre fausses promesses et vrais menaces. Les réunions avec les autorités municipales et préfectorales, auxquelles ils se prêtent à contrecœur, exaspèrent  la mésentente. Le pouvoir ne démord pas de sa volonté de  déloger les bouquinistes coûte que coûte. La rencontre du lundi 15 janvier 2024 s’est soldée par un désaccord total. Vendredi 19 janvier 2024, les bouquinistes décident de saisir le tribunal administratif. Ils demandent le maintien de leurs boîtes ou, en ultime recours, une indemnisation qui compense leur manque à gagner et sauvegarde leur dignité.

Mardi, 6 février 2024. Conseil de Paris. L’intervention du représentant écologiste relève de l’accrobatie rhétorique. « Les écologistes estiment que la Ville devrait accompagner les bouquinistes dans leurs contentieux avec les instances étatiques. Nous pensons qu’il ne faut pas déplacer les boîtes. Nous sommes dans l’incertitude. Y aura-t-il finalement une cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques sur la Seine ? On se retrouverait dans une situation paradoxale si on annule l’événement à la dernière minute après avoir évacué les caisses. Nous trouvons que les questions de sécurité sont un prétexte pour se débarrasser des bouquinistes. La Ville de Paris met trop d’argent dans les Jeux Olympiques. Le financement devrait être intégralement pris en charge par le Comité d’Organisation. Par rapport aux bouquinistes et leur déplacement éventuel, comment on va financer cette opération ? » Comprenne qui pourra le soutien sans soutien. Pour Aristote, la sophistique est une sagesse superficielle,  trompeuse. La sophistique élude les questions essentielles. Elle ne s’attache qu’aux effets oratoires. Elle escompte les rentabilités matérielles. Sous apparence de vérité, le mensonge sème ses nocivités.

Les Jeux olympiques bouleversent de fond en combe la vie sociale, économique, culturelle. Les compétitions sont prévues au cœur de la ville, aux abords des monuments historiques, Louvre, Pont de la Concorde, Tour Eiffel, Grand Palais… Circulations  bloquées. Accès interdits. Contrôles drastiques. La navigation sur la Seine sera prohibée une semaine avant la cérémonie d’ouverture du 26 juillet 2024 et interrompue pendant les épreuves de nage. Seule la sécurité prime. Les pollutions passent sous silence. La filière céréalière redoute un été catastrophique. Le fret fluvial assure 20% des transports de marchandises. Pendant les moissons, 25 péniches sont chargées de 1 500 tonnes de grains, l’équivalent de 1 250 camions. 4 400 exploitations agricoles d’Île-de-France seront impactées. 800 000 tonnes de céréales risquent la destruction faute d’être acheminées.

 

Dimanche, 11 février 2024. Inauguration de la salle polyvalente, modulaire, multisports L’Arena de 8 000 places à la Porte de la Chapelle. Gadgets écologiques : récupération des eaux de pluie, toiture végétalisée, sièges en plastique recyclé. En sous-sol, une usine de production de froid permet le rafraîchissement de la salle. La machinerie sert également à chauffer les habitations du quartier. La Maire supplie les parisiens de ne pas fuir la ville. Elle déclare dans un emportement lyrique : « Cette inauguration, c’est un peu le début du commencement de la magie olympique. Paris va être magnifique. Ne partez pas pendant les Jeux. Ce serait une connerie. On va vibrer ensemble ». Tel est le niveau discursif du langage politique en vigueur. Juste avant l’arrivée de l’édile, une manifestation des sans-papiers, Pas de papiers, pas de Jeux Olympiques sur banderole. Un contrat avec la Mairie autorise l’équipementier allemand Adidas d’accoler son nom sur l’édifice pendant cinq ans. Le sport business contamine toute la société. Tout se vend. Tout se marchandise. Tout se privatise. Le patrimoine culturel, les bibliothèques, les musées, les écoles, les squares… Jamais les affaires publiques et capitalistes n’avaient fait aussi bon ménage.  La Porte de la Chapelle demeure un lieu de détresse. Sous le pont traversant le boulevard Ney vivotent sans logis et toxicomanes. Un slogan tagué sur le mur rappelle : La Chapelle, porte de l’enfer. Des réfugiés ignorés par les institutions meurent de faim, de froid. Des crackers se livrent à des trafics misérables. Violences du dénuement. Les migrants affamés, épuisés, malades  sont érythréens, irakiens, afghans, maliens pour la plupart. Certains sont marocains.

La folie des grandeurs bute sur la faisabilité. La jauge de spectateurs est d’ores et déjà rabaissée de 600 000 à 300 000 par le ministère de l’Intérieur. 100 000 personnes ont  payé leur place sur les quais bas pour assister au spectacle fluvial, jusqu’à 2 700 pour les mieux placées. L’interrogation lancinante,  la vulnérabilité des athlètes embarqués sur une centaine de bateaux face à une éventuelle attaque terroriste,  revient obsessionnellement  dans chaque tour de table. La gouvernance technocratique ne comprend toujours pas l’incompatibilité de la fête et de la sécurité. Les principaux dirigeants du Comité olympique sont dans le collimateur de la justice. Le Président de Paris 2024 et trois collaborateurs sont visés par des enquêtes judiciaires pour favoritisme, infractions financières, prises illégales d’intérêts, irrégularités relatives aux marchés publics, recels. Les procédures pénales s’accumulent.

Je ressors une vieille note. La folie des grandeurs est la maladie commune de tous les tyrans, à quelqu'échelle qu'ils sévissent, du despotisme municipal au césarisme mondial. L'autocrate se place d'emblée au-dessus des lois pour imposer sa seule et unique volonté. Le monde n'existe que parce qu'il s’en proclame le maître. Il accapare tous les pouvoirs. il persécute les détenteurs du savoir. Il traite ses alliés comme des corsaires, ses amis comme des adversaires. Et quand il est gavé d'omnipotence, il dégorge ses déboires sur ses derniers serviteurs, creuse sa propre tombe et, par avance, édifie un mausolée à sa gloire.

 

 

© Mustapha Saha

 

 

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Pour citer ce texte inédit

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Mustapha Saha, « Fétichisme olympique et folie des grandeurs  », photographie par Élisabeth Bouillot-SahaLe Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 17 février 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/ms-bouquinistesparisiens3

 

 

 

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N° I | HIVER 2024

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