Crédit photo : Alfred Stevens « Automne », 1877, peinture tombée dans le domaine public, capture d'écran réalisée par LPpdm d'une image du site Commons.
Bois de Saint-Cloud
Je ris à nouveau de tes rousseurs ferventes
Dans le revenant automnal
Je salue la surprise de tes sentiers
Invitant à la désertion de tes larges allées
Je frissonne dans le feuillage de ta forêt
Bois de Saint-Cloud, étang alangui
Terre de mes amours et de mes solitudes
Éclair des nappes d’eau sous l’empire du soleil
Miroirs offerts aux bulles lumineuses
Pour le promeneur somnambule
Canards à leur provende s’adonnant
Et tout cela, n’est-ce pas ?
Dans le format des destins mesurés
Poursuite des vœux et des vies en dépit
Des vices, des vilénies, des victimes
Des rapaces et des guerres
Voici un chant d’oiseau pacifique dans la lumière du jour
Jean-François Blavin, « À pas comptés », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 15 | AUTOMNE 2023 « Poétiques automnales » & N° 15 | AUTOMNE 2023 « Poétiques automnales », volume 1, mis en ligne le 10 décembre 2023. URL.
Crédit photo : Paul Cézanne, « L’Automne », peinture tombée dans le domaine public, capture d'écran réalisée par LPpdm d'une image du site Commons.
XVII. Chant
Déjà dans l'air plus gris s'amassent des nuées ;
Le soir est plus rapide et le matin moins clair :
Les heures chaque jour s'en vont diminuées
Sur la colline près la mer.
Quelle douceur du ciel ! quelle paix tiède et bonne !
C'est une rêverie où n'entre rien d'amer ;
Le cœur est imprégné des caresses d'automne
Sur la colline près la mer.
J'ai songé près des flots, j'ai songé dans la brise,
Sous les hauts peupliers du vallon qui m'est cher ;
J'ai longuement prié seule en la vieille église
Sur la colline près la mer.
Ô pacifique automne ! ô bienfaisante automne !
Halte, sérénité suprême avant l'hiver !
Je n'aime, ne regrette et n'attends plus personne
Sur la colline près la mer.
Viennent sans me troubler la rafale et l'orage !
Rien ne peut effleurer mon bouclier de fer ;
J'ai puisé ce repos, j'ai trouvé ce courage
Sur la colline près la mer.*
* BLANCHECOTTE, Augustine-Malvina (1830-1897), Les Militantes, [poésies, par Mme A.-M. Blanchecotte.], Paris, Alphonse LEMERRE éditeur (31, Passage Choiseul), MDCCCLXXV/1875. Cet ouvrage appartient au domaine public et on peut le télécharger par l'intermédiaire du site Gallica de la Bibliothèque nationale de France.
***
Pour citer ce poème automnal de l'aïeule
Augustine-Malvina Blanchecotte, « Chant », texte choisi & transcrit par Dina Sahyouni de BLANCHECOTTE, Augustine-Malvina (1830-1897), Les Militantes (1875), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 15 | AUTOMNE 2023 « Poétiques automnales », volume 1, mis en ligne le 10décembte 2023. URL.
Crédit photo : Jacek Malczewski, « In Autumn », peinture tombée dans le domaine public, capture d'écran du site Commons.
Parler de poésie en ce temps de prose effrénée ! parler d'un doux poète amoureux de sa flûte tranquille et d'une pauvre haridelle qui n'a rien à voir au concours hippique ! ah, madame ! Que d'archéologie, êtes-vous donc antédiluvienne ?
Non, chers inconnus de qui suis si profondément ignorée, je n'ai rien du tout d'excentrique et je suis une contemporaine. La poésie est la chose éternelle : c'est l'actualité de chaque heure et de toute minute. Vous qui en toute conscience vous croyez épris de naturalisme, eh, bien, au rebours de Mr.. Jourdain qui sans le savoir pratiquait la prose, sans le savoir, davantage vous pratiquez-vous , la divine, l'impérissable, l'inéluctable poésie !
Pourquoi, ô foule anonyme, vous pressez-vous chaque dimanche aux superbes orchestres des grands concerts ?
Pourquoi, dès le premier rayon d'Avril, vous précipitez-vous vers les gares ? Pourquoi battez-vous des mains au récit héroïque d'un beau dévouement, d'un fier sauvetage accompli dans l'angoisse du flot qui gronde, de l'incendie qui monte ?
Pourquoi choisissez-vous pour compagne terrestre l'ange aux yeux bleus qui d'une main offre un lys, de l'autre porte une coupe de miel ? Pourquoi couronnez-vous des rosières ? Pourquoi, aux grands mots d'honneur, de patriotisme, de courage, faites-vous si allègrement le sacrifice de votre vie ? Pourquoi enfin rendez-vous à Victor Hugo les honneurs divins du génie ?
Poésie, poésie, poésie !
C'est-à-dire cette chose sublime, essentielle, vitale qui vous met chaque jour au-dessus de vous-même, au-dessus des instincts vulgaires. Avec cet étendard du Bien et du Beau, la poésie n'a qu'à dire, oui, même en ce temps de positivisme : « qui m'aime me suive, » il y aura derrière elle des multitudes. Ombres de Lamartine, de Béranger, du délicat et poétique Ste Beuve,n'en savez-vous point quelque chose ?
Et voilà qu'en ces lignes rapides je n'aurai rien dit d'Olivier Goldsmith : aussi bien, le rare et célèbre écrivain n'a point besoin d'introducteur. Il va dans cette esquisse se présenter suffisamment lui-même. L'Hermit, le Traveller repose avec sérénité en compagnie des rois ; et de ce Poet's Corner de l'abbaye de West-minister son clair regard sourit aux autres et semble dire à tous ses frères :
Ô doux poète errant,
Épris de songerie,
Dans ce monde si grand
Tu n'as point de patrie ;
Mais que te fait d'ailleurs
La gloire ou sa fumée ?
Tu gardes sous les fleurs
Ta flûte bien-aimée.
Paris, ce 1er Mai 1882.
A. M. BLANCHECOTTE*
*BLANCHECOTTE, Augustine-Malvina (1830-1897), Olivier Goldsmith [par A.-M. Blanchecotte], Paris, Imprimerie BÉCUS et PYOT (124 bis, Boulevard de Vaugirard), 1882, pp.V-VIII/5-8. Cet ouvrage appartient au domaine public et on peut le télécharger par l'intermédiaire du site Gallica de la Bibliothèque nationale de France.
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Pour citer ce texte de l'aïeule
Augustine-Malvina Blanchecotte, « Avant-Propos », texte choisi & transcrit par Dina Sahyouni de BLANCHECOTTE, Augustine-Malvina (1830-1897), Olivier Goldsmith (1882), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 15 | AUTOMNE 2023 « Poétiques automnales », volume 1, mis en ligne le 1er décembte 2023. URL.
Fatma GADHOUMI (Fatmina) est née le 16 août 1988. Artiste peintre et ingénieure. Elle décrit son univers artistique par ces propos : « Je crée un univers enchanté, qui s'inspire des visions du paradis, de l'enfer et de la psyché humaine. En ce temps de crise, mon art cherche à guérir l'âme du monde et non uniquement à exprimer les névroses et l’absurdité de la condition humaine. Ma mission est d’offrir au monde un message de sagesse, d’amour et de beauté, une porte vers une autre réalité où on parle d’Humain, en faisant abstraction de l’âge, du sexe, de la religion…, un voyage où le spectateur est amené à ressentir l'expression du sujet, mais aussi est invité à trouver sa propre perception de cette réalité, un univers où on chante une symphonie de couleurs et de formes idéalisées, et d'Amour. »
المنمنمة الفارسية ليست تصورا لما تراه عيوننا بل هي رسم لما تعيه قلوبنا، هي رسم لعالم من النور : اذ ان الرسومات
تعتمد على صبغات من الذهب و الفضة ( في الاصل استعمل المنمنمة الفارسية الاحجار الكريمة ايضا)
« En associant Héritage, Art et Culture, notre association Abbas Moayeri : Héritage, Art et Culture, a pour ambition de promouvoir en France, l’art de la Miniature Persane à travers l’œuvre d’Abbas MOAYERI et l’enseignement qu’il a transmis.
Elle assure l’organisation d’expositions, d’enseignement et de toutes autres activités assurant la promotion de la Miniature Persane et d’activités culturelles et artistiques plurielles. »
Abbas Moayeri, un nom qui résonne dans le monde de l'art et de la culture. Plus qu'un maître d'art et un grand maître de la miniature persane, c'est un Homme dont le talent et la passion ont illuminé notre vision du monde. Avec sa maîtrise exceptionnelle des techniques de la miniature persane, il nous a transportés dans un univers magique, rempli de détails exquis et d'histoires envoûtantes. Sa contribution remarquable à l'art traditionnel et son dévouement à préserver cet héritage précieux en font une figure incontournable de notre époque. Laissez-nous vous raconter l'histoire captivante de cet artiste exceptionnel et vous inviter dans son monde artistique extraordinaire.
Qu'est-ce qu’est la miniature ?
« Dans un monde islamique où la figuration / l'image est interdite, le peintre crée un monde intérieur, qui n'est pas dans l'imitation du visible (à ses yeux), mais dans la révélation du réel. Tout ce qu'on voit, ce qu'on croit appréhender, ce qu'on croit comprendre n'est qu'une image déformée par nos biais de subjectivité. Le miniaturiste crée une réalité du cœur qui se substitue à la réalité des yeux.
Les traditions sacrées telles que l’art de la miniature sont des réservoirs prodigieux des métaphores du mystère. Elles font entrevoir la source, la rencontre avec le miracle, la seule et unique expérience qui exprime aux yeux de l’homme le drame de la création.
L’apparence de l’illustration n’est donc pas l’enveloppe du mystère, mais le signe de sa possibilité. Mani, le peintre « Messager » persan, fondateur de la religion manichéenne au 3ème siècle, utilisait ce moyen pour propager sa doctrine.
Selon la tradition manichéenne, l’art pictural est le reflet d’un monde invisible dont les artistes matérialisent la pureté et la lumière par une utilisation abondante de métaux précieux.
L’expérience de l’Islam a, certes, provoqué de grands changements mais n’a point interrompu l’évolution de cet art. La peinture persane est avant tout la logique des formes et des couleurs, rassemblées dans un certain ordre. Le sujet n’est qu’un prétexte au miniaturiste pour exposer à travers la pureté des formes et des couleurs, sa conception mystique du monde et de la nature.
Les miniatures sont généralement exécutées sur une structure préétablie : la spirale, qui organise au mieux l’espace. La composition devient alors aussi belle, aussi musicale et mathématique que possible.
La spirale est en quelque sorte la représentation du microcosme par rapport au macrocosme. C’est aussi le mouvement de la montée de l’homme vers le ciel.
En ce qui concerne la technique de la miniature persane, elle repose sur le dessin, la dorure et l’emploi de l’argent. Les différentes parties de la scène se passent apparemment sur le même plan ; pourtant les figures proches sont peintes en bas de la page et celles qui sont loin, à la bordure supérieure. Les couleurs ne sont définies que par leur valeur dans la structure générale. Leur place est déterminée au profit des nécessités autonomes des formes et de leur impact dans l’ensemble de la miniature. »
Fatma Gadhoumi
Pourquoi la miniature persane ? Le peintre crée un monde intérieur, qui n'est pas dans l'imitation du visible (à ses yeux), mais dans la révélation du réel. Tout ce qu'on voit, ce qu'on croit appréhender, ce qu'on croit comprendre n'est qu'une image déformée par nos biais de subjectivité. Le miniaturiste crée une réalité du cœur qui se substitue à la réalité des yeux, et s'inspire notamment de récits mythologiques fantastiques et de poèmes. La miniature est alors, non seulement une image, mais aussi une "Poésie Spirituelle".
Comme disait le Petit prince : « L’essentiel est invisible aux yeux ».
Dans un monde rongé par le capitalisme, la recherche de la conformité, l’absence de sens,
Dans un monde obnubilé par les apparences et les images véhiculées par les médias, et où nous sommes confrontés depuis quelques mois à une guerre contre un ennemi invisible, nous nous sommes données une mission :
Celle de nous libérer, renoncer à la certitude du monde sensible (le monde des réalités que nous percevons par nos sens), et sonder, avec nos peintures, notre monde intelligible - au sens platonicien - où règnent la beauté, l’harmonie, la lumière et l’Amour.
“Il n’y a pas plus de vérité à l’extérieur qu’à l’intérieur du monde que j’ai créé pour toi” The Truman show.
La technique de la miniature, riche en symbolique, libre de toute contrainte de ressemblance à la réalité visible (pas de perspective, pas de réalisme de couleurs ni de formes), était notre cheval de Troie en ce moment historique de retranchement et de recueillement. Nous créons des images poétiques qui interrogent et reflètent l’atmosphère onirique d’un monde enchanté.
Dans certaines sociétés contemporaines, les mariages forcés / arrangés demeurent le quotidien des femmes dans plusieurs cultures. La femme est kidnappée par un homme cheval, sous les yeux clos d’une société obnubilée par la matière, vide de sens, vivant dans le paraître.
L’artiste Fatma Gadhoumi a précisé à propos de cette miniature : « J'ai dessiné cette miniature après avoir lu le poème du poète égyptien Youssef Abd-Errahman (Il s'agissait d'une critique de la dictature et du retour du régime militaire en Egypte, après la révolution de 2011, et le printemps arabe.)
La tyrannie est fondée sur cinq (5) piliers et ces cinq (5) piliers de la tyrannie sont comme suit :
بُنِيَ الطُّغْيانُ على خَمْسِ
تَقْديمُ الذَّيْلُ على الرَّأْسِ
تَخْدِيرُ الحَاضِرِ بالأَمْسِ
توزيع الخوف مع اليَأْسِ
تَقْدِيسُ الشُّرْطَةِ والعَسِّ
وبَقَاءُ الجَحْشِ على الكُرْسِي
Elle a encore ajouté : « J’ai été inspirée par ce vers le 5ème pilier ; la Mule qui reste assise sur le trône. Cette miniature est une dédicace à tous les tyrans, les dictateurs, les gourous, et les religieux qui se remplissent le ventre, et s’assoient sur l’âne qu’est le peuple résigné.
À force d’accepter, le peuple / populace se transforme en un âne, et le gouverneur en dictateur. Mais la tyrannie n'est pas uniquement la tyrannie d'un dictateur ou d'un supérieur. Il s'agit d'abord de la tyrannie de notre égo hypertrophié (surtout avec les réseaux sociaux et les média). Ce narcissisme démesuré coupe chacun individu de la dimension collective de son existence. (Nous n’existons, en tant que personne singulière, qu’à travers le groupe qui nous précède et qui nous permet d’être ce que nous sommes). Par conséquent, en perdant la dimension collective, nous affaiblissons le sens de l’engagement politique et nous renvoyons chacun à sa responsabilité individuelle, ce qui est la meilleure façon de ne rien changer du tout.
« Il s'agit de l'image que j'ai des extrémistes religieux, qui implorent le vide, et qui n'osent pas/veulent pas regarder la vie réelle. Même dans cette symphonie de couleurs et de lumière qu'est la miniature persane, je vois ces religieux comme des vieillards fatigués, qui connaissent plus les lois du Ciel, que celles des Humains.
Elle a ajouté « Vieillirn'est pas d'avoir un an de plus, mais c'est avoir un rêve de moins. Ces vieillards ne sont vieux que parce qu’ils vivent dans les écrits moyenâgeux. »
En hommage au combat des femmes dans leur lutte pour un monde plus juste. J’ai mélangé des lettres arabes et lettres persanes qui entourent en halo la femme qui se fait étrangler par son dragon. Le dragon qui symbolise le soi et l’ego.
مع بيت لأبي القاسم الشابي الشاعر التونسي
إذا الشعب يوما أراد الحياة، فلا بُدَّ أن يستجيب القدر
« Au cœur de cette miniature, une femme, nue et vulnérable, lutte contre un dragon orange, incarnation de l'oppression. Son visage irradie la détermination face à un patriarcat implacable, tout cela dans le doux berceau d'un utérus bleu. Dans cette lutte, nous ne sommes jamais seuls. Tout autour de cette scène, des mots en or, à la fois en arabe et en persan, tissent un langage de résistance, donnant voix à la collectivité des femmes persanes et arabes. »
Le poème arabe de Abu Al-Qasim Al-Shabbi, "Quand un peuple aspire à la vie, le destin se doit de répondre" résonne dans chaque trait de cette œuvre. Il évoque la quête universelle de la vie et de la liberté face à un destin implacable.
Au centre de la toile, trois mots persans brillent comme des étoiles : "زن، زندگی، آزادی" (femme, vie, liberté). Ils symbolisent notre combat commun pour une existence libre.
Cette œuvre transcende les frontières culturelles, unissant le monde par sa créativité qui brise les chaînes de l'oppression. »
Et pour terminer avec nous en toute beauté, Fatmina a levé son slogan de toujours : « Ensemble, répondons à l'appel de la vie. »
Lien web permettant l'accès à la page de l’Association Abbas Moayeri Héritage Art et Culture a été créée suite au décès de l'artiste Ostad Abbas MOAYERI par ses disciples :
Hanen Marouani (texte), « La miniature persane et la poésie visuelle » avec des photographies fournies & œuvres artistiques par Fatma Gadhoumi, Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 15 | AUTOMNE 2023 « Poétiques automnales » & Revue Orientales, « Conteuses orientales & orientalistes », n°3, volume 1, mis en ligne le 30 novembre 2023. URL. http://www.pandesmuses.fr/orientalesno3/no15/hm-miniaturepersane
Mise en page par Aude
Dernière modification mineure apportée à ce texte par les autrices date du 2 décembre 2023.
RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION !
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