11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 12:29

 

Agenda poétique de votre revue

 

Contribuer au hors-série 2016

 

   Crédit photo : portrait d'Arthur Rimbaud âgé de 17 ans (1854-1891) par Étienne Carjat

(image trouvée sur commons.wikimedia.org, domaine public)

 

 

Date limite : 29 avril 2016  23 octobre 2016

Parution imprimée et électronique en décembre 2016

 

La rédaction vous propose de contribuer à son hors-série de 2015-2016 par des articles, critiques, enquêtes, entretiens, portraits, poèmes et illustrations sur les thèmes « Le féminin et les femmes dans la vie et l’œuvre de Rimbaud » et « La poésie et l’enfance ». Vous êtes entièrement libre d’en parler en vers, en prose, en dessin, en photos, dans la langue, le siècle (et chez le poète, la femme poète/poétesse pour le deuxième sujet) de votre choix. Merci de transmettre vos contributions de préférence inédites (d’une longueur entre 5000 et 35000 caractères pour les articles, critiques, notes de lecture et essais) à contact.revue@pandesmuses.fr. Les contributions qui ne respectent pas les normes usuelles et la charte affichées sur le site de la revue www.pandesmuses.fr ne seront pas examinées.

   

 

Pour citer ce texte

LPpdm, « Contribuer au hors-série 2016 », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 11 novembre 2015. Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/11/contribuer-au-hors-serie-2015-2016.html

 

 

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Dernière mise à jour : 15 septembre 2016

Le Pan poétique des muses - dans La Lettre de la revue LPpdm
11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 12:29

 

 

Poèmes

 

 

Les chiens & Sans grivoiserie
 

 

 

Audrey Chambon

    

 

 

 

Les chiens

 

« Âmes fragiles livrées aux chiens avides qui forcent sans vergogne les portes mal scellées de leurs cœurs en papier. »

À l’affût, les chiens ont déniché leur proie et s’élancent, frénétiques, vers ce nouveau Paradis.

Les fines violettes sont piétinées… Les ont-ils même aperçues alors qu’elles disparaissaient sous leurs griffes meurtrières ?

En vainqueurs, ils se débauchent dans le Plaisir, n’épargnant de leurs profondes entailles ni la chair, ni le cœur ni les entrailles.

« Qu’avez-vous gagné cerbères repus d’extase, vos hormones folles désormais apaisées ? »

Un bien-être éphémère… Jusqu’à ce que la flamme se ravive. Où iront-ils alors ?

Derrière eux la terre est ruinée, mais en bêtes insatiables, ils reviendront y lécher les dernières traces de cyprine.

Puis ils l’abandonneront définitivement, leur passage aura rendu les champs arides pour longtemps.

Enfin, pleins de vigueur grâce à la fièvre, ils repartiront en infatigables guerriers vers de nouvelles landes fertiles et vulnérables.

 

 

 

Sans grivoiserie

 

 

La tendresse de mes fesses

Rebondies de poétesse

En appelle à la caresse

De ta main pleine d’allégresse.

PS.

Puisque le cœur signe en finesse

Les courbes d’un cul de déesse

Je veux et j’ose avec hardiesse

Lier cœur et cul avec tendresse.

 

 

Poèmes reproduits avec l'aimable autorisation d'Audrey Chambon et diffusés sous Licence Creative Commons BY-ND pour respecter sa volonté.

 

Pour citer ces poèmes

 Audrey Chambon, « Les chiens » & « Sans grivoiserie », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 11 novembre 2015. Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/11/lchiens-sans-grivoiserie.html /Url :   

 

 

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Le Pan poétique des muses - dans La Lettre de la revue LPpdm
11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 12:29

 

 

Chronique

 

Céline

 

Camille Aubaude

Rédactrice de la revue LPpdm, membre du groupe de recherche de la SIEFEGP

responsable de la rubrique en ligne Chroniques de Camille Aubaude

 

 

En ouvrant La Cavale du Dr Destouche1, j’ai pensé trouver enfin une œuvre attentive au couple Lucette & Céline. Je n’ai pas été déçue. Lucette est là.

Ce couple truculent, avec son chat Bébert, part en cavale quand la France se libère en 1945. En un mouvement pictural vraiment irrépressible, la cavale du génial écrivain condamné à mort prend des allures de saga. On connaît les livres, Nord, Féerie pour une autre fois. Le défi était dur à tenir. Avouons-le, c’est une des raisons de lire cet album dont les dessins transcendent l’angoisse.

 

On y voit les conditions du traumatisme extrême. Activités fiévreuses, désolation et folie construisent l’esthétique des doubles dessinateurs, les frères Brizzi. Dans le Grand Trauma, la pensée se consume. Lorsqu’elle renaît, telle un phénix, qu’elle redevient agissante, elle tire sa force de l’abîme. On le constate dans les images. Ils fuient l’odieux destin que le caractère de Céline a tracé. Les expériences de souffrance furent en accord avec le ressenti indicible de l’écrivain, sans quoi elles n’auraient pas nourri plusieurs chefs d’œuvre. Est-ce la présence de Lucette, Céline ne pense pas au suicide, ne remet jamais en question la vie, elle-même abyssale, cette violente sur-vie, dans l’urgence qui procède du Grand Trauma de la guerre. Il veut vivre, être libre.

 

Le Voyage au bout de la nuit est aussi une évasion, l’échappée de la misère. Le drame de la guerre2, l’absence de rêve, la mise à l’écart de la poésie, pour se livrer au grand écart de la gymnastique du Mal, ferment à Bardamu l’entrée du Temple de l’art. Pas de thé du lettré, mais l’homme qui pisse. Trépané des rêves. Pas de jeux de mots, on s’y perd. Sa force est la foi dans le vrai sens des mots, avec la tentation de vaincre leurs sortilèges. Dans l’âme hallucinée de souffrance de l’errant, les sonorités s’entremêlent telles des cloches d’église, des harmonies autrefois régulières dans un temple finalement déconstruit, où les souvenirs s’émiettent, jusqu’à l’effondrement. L’union du Dr Destouches avec une femme à Quintin, la venue d’une fille, qui dira ce que ça lui a fait ? La joie, le défi, puis quand l’assomption a eu lieu, le retour des puissances obscures, et la fuite en Allemagne pour échapper à la prison.

 

On ne peut ignorer la Bretagne et le choix de Quintin. C’est le choix des fastes du passé, du goût aristocratique français, du naturel dans le mouvement artistique. Céline-Destouches s’est marié là où le riche passé concourt à donner une impression d’avenir, il s’est engagé à vivre avec une femme protégé par des monuments érigés sur un substrat animiste, druidique, ce qu’il est convenu d’appeler « oralité », anéantie par le livre.

Après l’amour, il a su à quoi s’en tenir pour observer les catastrophes, et leur fonction, peut-être. Comme pour le livre. Flaubert disait qu’un livre ne sert à rien mais qu’il domine superbement, comme les pyramides d’Egypte, à Guizeh, qu’il avait vues : un empilement de pierres. Bardamu est un cantonnier que son « père sperme » fait cogner au son des mots, aux vrais sons, en un mouvement de retour à la liberté sonore, enrichie de sa « petite musique ». L’oralité… Les forces obscures pourraient être converties en un nouveau bonheur. Lorsqu’ils ricanent sur la Grande Faille de l’Être, les mots céliniens ouvrent l’avenir nouveau. C’est « le miracle » Céline, écrit Julia Kristeva (Pouvoirs de l’horreur).

 

Céline donne le meilleur dans la démesure, Gide l’a souligné, à une époque favorable à la littérature. Céline s’insère dans ce climat, moraliste, misogyne et raciste. Il ne cherche pas à en sortir. Une épave ! qui retrouve le feu sacré en brillant dans l’outrance. Il se consume, va en dégueulant sa misère, fuyant l’immobilité où il n’entend que trop l’appel de la mort.

 Pour revenir à Gide, je souligne qu’il a, comme tant de ses pairs, soigneusement évincé les femmes dans l’écrit. L’Immoraliste fut compris par Lucie Delarue Mardrus, « une femme », s’est exclamé le « grand homme ». Pourquoi les violences faites aux femmes ne sont-elles pas traitées comme les vomissures racistes et antisémites ? Lucette a servi Céline, dans ce rôle assigné aux femmes, et que la plupart des femmes acceptent sans trop broncher, pour ne pas être trucidées3. Tant de danseuses, tant de chanteuses, de poétesses assassinées ! On cite l’apport des grands écrivains, Balzac, Rimbaud, Villon, Genet dans ce pays infernal qui fabrique des martyrs. On réclame de la discordance, sans questionner le système agresseur qui exclut les femmes de l’histoire littéraire.

 

Céline a donc construit ses remparts : les sons des mots, le métier de médecin, et ses deux alter ego, son épouse et son chat. Rien n’a empêché l’immolation, puisqu’il la désirait.

On le voit épave dans un monde en ruines aux prises avec des mots qui retiennent l’amour disparu. Ah ! le son cristallin des cloches de Quintin quand la vie était agréable... La beauté est saccagée, place aux bouffons ! Leur ardeur à paraître est bien là dans les dessins des frères Brizzi : c’est l’acteur Le Vigan, attaqué par un rat. Encore une épave dans les ruines de l’Allemagne, quand il faut accepter qu’il n’arrive plus rien, n’attendre de la vie que ruse et mensonge.

Et le veuvage.

Alors, le livre est un mirage qui trouble le désert laissé par le trauma. Un désert d’océan, les eaux bleuies par la mort. Sans vague, sans frisson, d’une inexorable violence.

 

 

Notes

 

  1. 1Dessins des frères Brizzi, scénario de Christophe Malavoy, Futuropolis, 2015.

  1. 2Voir ma chronique sur le film de Damien Odoul, La Peur.

  1. 3C’est aussi la « version » que servent les médias, comme « la femme qui a fait Michel Onfray », femme rongée par un cancer. Question : comment vit la femme qui n’est plus désirée, humiliée par les maîtresses du « grand philosophe », lequel en vient à s’accoupler au « grand poète », et chantre de la femme, Bobin ?

s des frères Brizzi : c’est l’acteur Le Vigan, attaqué par un rat. Encore une épave dans les ruines de l’Allemagne, quand il faut accepter qu’il n’arrive plus rien, n’attendre de la vie que ruse et mensonge.

Et le veuvage.

Alors, le livre est un mirage qui trouble le désert laissé par le trauma. Un désert d’océan, les eaux bleuies par la mort. Sans vague, sans frisson, d’une inexorable violence.


 

Pour citer cette chronique

Camille Aubaude, « Céline », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 11 novembre 2015.

Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/11/celine.html/Url : 

 

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Le Pan poétique des muses - dans La Lettre de la revue LPpdm
11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 12:29

 

 

Chronique

 

La Peur Film de Damien Odoul,

 

avec Nino Rocher

 

D’après le roman de

 

Gabriel Chevallier (1930) 

 

Prix Jean Vigo 2015 

 

Camille Aubaude

Texte reproduit avec l'aimable autorisation de l'autrice

Rédactrice de la revue LPpdm, membre du groupe de recherche de la SIEFEGP,

responsable de la rubrique en ligne Chroniques de Camille Aubaude

 

 

 

 

 

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© Crédit photo : Image fournie par Camille Aubaude

 

À la fin de la scène initiale, un type assis à une terrasse de café est laissé pour mort. Un coq marche près de lui.

La raison, s’il en faut une, est que l’homme ne s’est pas levé avec les autres. Les autres chantaient l’hymne national, debout et au garde à vous, car la France entrait en guerre. Les autres l’ont lynché.

Des gens banals sont poussés à la folie. Ils tuent. C’est tellement inexplicable que c’est une source inépuisable de spectacle.

Dès les premières scènes, le spectateur immobile dans son fauteuil se demande :

« Pourquoi ne se sont-ils pas enfuis ? — Pourquoi veulent-ils tuer ? »

Un personnage assène au milieu du film :

« La désertion, c’est la mort assurée ».

A la fin, tout ce qui compte est de fuir l’enfer :

« Si on pouvait, tout le monde foutrait le camp ».

La Peur montre une automutilation mais ne montre pas des déserteurs attachés au grillage par l’Armée française pour que les Allemands leur tire dessus. Ce que les Allemands n’ont pas fait.


 

La Peur est l’histoire tragique de gens comme vous et moi. La Peur est une scénographie travaillée avec minutie, selon les besoins du récit. La Peur est une photographie et une composition des plans qui doit tout à la peinture classique. Un jeune comédien, Nino Rocher porte le film. C’est son premier grand rôle au cinéma. Il faut savoir qu’il a débuté à dix ans en jouant Le Petit Prince, un autre grand texte d’initiation à la vie. Nino Rocher a l’âge du héros du livre, vingt-trois ans. Héros sans gloire et sans mensonge, il donne son naturel de comédien exceptionnel comme tant de jeunes héros méconnus ont donné leur vie. Beau et fin, il contraste avec le kapo épais et lourd. Le point d’orgue est la scène de danse parmi les soldats africains autour d’un feu de camp. Un soldat noir se met au garde à vous en état de transe. Nino Rocher entre dans la ronde en dénudant son torse. Dès lors, ma transe exprime l’enfer, l’aspect « vraiment dégueulasse de la guerre ». Cette scène sert d’affiche au film. Je n’ai pu la revoir sans pleurer à la sortie.


 

C’est banal d’écrire qu’il y a là une révélation d’un acteur parfaitement juste, incarnant un rôle très difficile à rendre juste, un rôle qu’il rend crédible jusqu’à la fin.

 

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© Crédit photo : Image fournie par Camille Aubaude

 

Le récit se déroule sous forme de tableaux dont la succession construit la représentation de la guerre qu’on attendait, et qui a lieu un siècle après les faits : l’utilisation d’un témoignage au service de tous les thèmes antimilitaristes.

Il n’y a pas de  scène insoutenable dans La Peur. C’est bien ce que l’on m’avait dit. Je fuis la violence dans l’art, et en même temps, j’y vais. Il ne s’agit pas d’hésitation mais bien de la division qui mène parfois à la création et plus sûrement à la ruine.

J’y suis allée en pensant retrouver une profondeur spirituelle comme dans Les Dieux et les Hommes, où il n’y a  pas une trace du sang des moines assassinés. Maniant au mieux la métaphore, Damien Odoul montre le sang dans un verre de vin lors d’une scène de permission. Le héros voit les civils boire du sang.

« Je buvais mon sang » est l’exact résumé du carnage qui engloutit la jeunesse. C’est une des rares pauses du film. A leur question :

« C’est comment au front ?»,  il répond : « On s’amuse bien. Tous les jours nous enterrons nos copains ».


 

Est-ce qu’un visage abîmé n’est pas insoutenable ?


 

La première scène vue par les jeunes gens juste enrôlés est un convoi d’estropiés. Que voient-ils ? Un défilé de visages blafards, un blessé aux jambes coupées dans une carriole, les moignons sanguinolents. Cette scène est une vision révélatrice de ce qui va suivre, où « il vaut mieux ne pas penser sinon on souffre trop ».


 

Le monde des hommes et le monde des femmes sont cloisonnés. Les lettres de Marguerite, la fiancée, font le lien entre l’impensable de la mort et l’impensable de l’enfantement, l’obscène : « En moi tout se vide ». « L’hyper violence », dit-on à présent.


 

Mon point de vue de femme vulnérable n’est pas le plus objectif, mais j’avoue n’avoir pu soutenir la vue d’un tiers des images. « Nous avons appris à ne plus être des hommes ». La poésie est souvent convoquée. La scène initiale montrant le client de café lynché, le coq qui se pavane près du corps allongé, peut-être mort, cède la place à une scène qui évoque « Le Dormeur du Val » : deux hommes enfants revêtus d’une casaque et armés, s’essayant à fumer dans un fossé. Ils toussent, et non loin d’eux, le poète Théophile supplie le ciel à genoux.






 

La scène des soldats blessés qui reviennent du front est plus insoutenable que les scènes de combat. Elle dénonce. Elle entre dans la mémoire des hommes-enfants tellement inconscients de ce qui les attend.


 

La Peur est leur apprentissage.


 

Quand Théophile achève son martyr à l’infirmerie, avec un tuyau de caoutchouc dans la bouche, je ne peux m’empêcher de penser au Saturnin d’Aurélia, ce jeune soldat de retour d’Algérie soigné dans la clinique psychiatrique du Docteur Blanche, avec lequel Gérard de Nerval réussissait à communiquer.


 

« Sois sage ! ô ma douleur » est un leitmotiv du scénario.


 

Ce film est insoutenable et important ; important et insoutenable. Même ceux qui ne peuvent regarder certains plans doivent voir cette succession de tableaux admirablement photographiés par Martin Laporte. Ils cernent les vagabondages de la pensée et construisent discours et témoignage.


 

Avec un sens pictural, de la lumière et du mouvement de très haute tenue, Damien Odoul réussit le tour de force de montrer l’horreur. Il fait réfléchir, en recourant à la poésie, sans fatuité, sans fioritures ; à savoir que « la guerre a tué Dieu aussi ».



 

© Camille Aubaude, oct. 2015

Publié : http://camilleaubaude.wordpress.com

 

 

 

Pour citer cette chronique

 Camille Aubaude, « La Peur (93 mn, 2014), Film de Damien Odoul, avec Nino Rocher, d'après le roman de Gabriel Chevallier (1930). Prix Jean Vigo 2015 », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 11 novembre 2015. Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/11/la-peur.html/Url :   

 

 

 

 

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