11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 12:29

 

Présentation

 

Préface de

 

Sonnets pour une autopsie

 

 

Mohammed Zeïd

 

Texte reproduit avec l'aimable autorisation de l'auteur et des éditions Stellamaris

 

 

 

Khris Anthelme est ce poète que les lecteurs ont connu à travers son œuvre lyrique : « Poémitude » publiée en plusieurs tomes ou recueils dont la clarté du style captive l’esprit que réjouit la pureté des vers et que charme la finesse du style.

Ce poète vient aujourd’hui enrichir le trésor de la poé­sie française par un recueil original : « Sonnets pour une autopsie » avec « autopsie » dans le sens philo­sophique : Examen objectif d’une chose ou d’un fait.

Original pour deux raisons :

1° Le recueil est composé de bout en bout de sonnets irrationnels.

2° Ces sonnets qui peuvent être lus séparément sont comme les maillons d’une seule et même chaîne : Chaque pièce commence par le dernier vers de la précédente : « Prête-moi les soleils cachés dans ton royaume… ! » lit-on à la fin du premier sonnet. Le suivant qui commence par ce vers-même, se termine par : « Injustement, vers où diriges-tu mes pas ? », vers que l’on retrouve au début du troisième et ainsi de suite.

L’invention du sonnet irrationnel revient à Jacques Bens (1931- 2001), l’écrivain mathématicien co-fondateur de l’Oulipo (Ouvroir de Littérature Potentielle) qui eut l’idée de répartir les quatorze vers du sonnet traditionnel selon la valeur approximative du nombre (pi).

Ce type de sonnet comprend donc cinq séquences : (3+1+4 +1+5). Le vers isolé figurant après le tercet est repris soit intégralement soit légèrement modifié après le quatrain et tient lieu de refrain. La pièce finit par un quintil.

L’enchaînement se poursuit telle une batterie de ques­tions/réponses. L’auteur interroge puis fait allusion à la réponse et semble inviter le lecteur à participer, à inter­préter à sa façon, à formuler lui-même la réponse qu’il juge adéquate.

Si la forme avec ses rimes bien choisies, ses rythmes va­riés, ses mots triés sur le volet, ses structures soutenues, laisse entrevoir un poète hanté du souci de la perfection, un poète qui paraît hors de son siècle, qui affectionne le vers classique respectueux de la prosodie parnassienne qui voit que la beauté d’un texte réside dans l’harmonie de ses composants ; si le fond avec ses dialogues perti­nents entre l’Être Créateur et l’être créé ou entre celui-ci et ses frères humains, avec son bon sens et la clarté des idées qu’il véhicule, avec ses images éloquentes nous fait pénétrer dans le vaste univers du poète mariant théo­logie et spéculation philosophique ; ce recueil, et par la forme des poèmes qu’il regroupe et par leur fond, ouvre au lecteur le chemin de l’introspection où il peut donner libre cours à son penser pour cerner la Vie en général et sa propre vie en particulier.

L’être humain dont les deux bouts de son séjour sur terre sont le berceau et le tombeau s’est toujours interrogé sur sa condition, sur sa vie où se mêlent le clair et l’obscur.

Cet être dont le physique en tant qu’enveloppe englobe l’affectif que se partagent l’Amour et la Haine, l’intellec­tuel dont les éclats peuvent être aussi bien éblouissants et bénéfiques que ternes et nuisibles, le social cette trame des relations que peuvent consolider l’entente et l’intérêt commun mais que peut déchirer le moindre vent de la discorde, le spirituel dont l’essence demeure élévatrice tant qu’elle garde sa pureté ; cet être, disais-je, est perçu par notre poète comme une terre lointaine, j’allais dire inexplorée, à parcourir en long, en large, en profondeur pour essayer de la connaître.

Cet être qui, dès le premier vers, précise le but de sa créa­tion :

-« L’on m’a créé pour le sort affronter » dit-il ; doit aller de l’avant pour franchir les maints obstacles jalonnant son parcours.

-« Quand vais-je m’arrêter » s’interroge-t-il !

Il sait donc qu’il doit s’arrêter ; mais quand ? Où ? Comment ? Ques­tions qui ont longtemps préoccupé et préoccuperont toujours « l’être pensant ».

Se sentant perdu dans les ténèbres de la vie, il prie, il implore :

 

- « Prête-moi les soleils cachés dans ton royaume »

De la rencontre d’un frère en l’humanité, il ne retient qu’un seul mot : L’univers fou où nous évoluons tous s’emplit d’illusions, ne cesse de s’obscurcir. L’Humain court en quête de lumière :

-« M’offrir deux ou trois rais pour calmer mes chimères… ! » demande-t-il.

Puis, plus il va son chemin, plus grandit sa soif ; et pour­tant !

 

 

Il disait, « L’ennui veille, alors moi je circule,

Mauvais ou mieux, plus rien ne me détournera,

Mon sein va puis s’arrête où l’amour le stimule,

N’ayant vu dans la nuit de meilleure formule ;

Quand il en aura marre, un feu l’arrêtera ! »

 

Là, il parle de «l’ennui qui veille », par ailleurs il parle de la crainte qui persiste, de la solitude qui se «prolonge» même quand il n’est pas seul mais une pensée, née de son courage, ne le quitte jamais :

 

- « Je ne m’arrêterai que si la faux s’exalte

En me croquant le pied, mon pas court sur l’instant…! »

 

Et la scène continue, tant que continue la vie, avec à chaque acte d’autres personnages, dans d’autres décors pour d’autres questions dont les réponses à peine effleu­rées restent en suspens.

Pareil à l’oiseau auprès de son nid gazouillant, l’auteur traduit sa rage par une prière :

 

« J’ai deux becs à nourrir, rageait-il, déverrouille

Tes desseins, ils sont bons ! .................................»

 

Cet Homme qui n’est pas seulement de chair, voit en sa douce moitié une main tendue pour alléger le fardeau, un coeur qui bat pour adoucir la peine, une âme sereine qui aide à supporter le froid des jours moroses :

 

« Effaçant les soupirs de grande solitude

Par le rapprochement d’une similitude,

Dans un projet refleurissant leur étendard. »

Un peu plus plus loin, jaillit l’espoir :

« Et trouver en chemin de plus beaux horizons ! »

 

Des horizons qui s’ouvrent sur la nature dévoilant ses merveilles devant des yeux avides des grâces de l’aube comme des charmes du crépuscule, des yeux que toute saison ravit.

 

« Je me suis imprégné les yeux d’une saison

Pour adoucir l’aurore et la nuit d’un silence. »

 

Et vont les ans, laissant des amas de souvenirs pouvant servir de belle pâture à l’esprit :

 

« C’est ainsi que j’ai vu mes pensers s’amasser

À travers les saisons pour encor m’en repaître ! »

 

Le rideau se baisse sur un appel de la nuit invitant au (dernier) voyage à dos de nuage :

- À cet instant, la nuit me dira d’un soupir :

« Poète, allez, ton tour est venu, ton nuage

T’attend, ferme les yeux, viens chez nous t’assoupir,

Limpides sont nos ciels,.................................. »

Je vous laisse «prospecter « ce recueil, ce récit versifié de la vie sous tous ses faciès pour y découvrir moult ri­chesses.

 

 

Pour citer cette préface

Mohammed Zeïd, « Préface de Sonnets pour une autopsie », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 11 novembre 2015.

Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/11/preface-de-sonnets-pour-une-autopsie.html/Url : 

 

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Le Pan poétique des muses - dans La Lettre de la revue LPpdm
11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 12:29

 

Parutions périodiques

 

Dernières parutions de la revue Poezibao

 

 

 

Sommaire

 


Dans la revue Sur Zone


(revue Sur Zone), n° 24, Oswald Egger, "Album Nihilum"  
 

 

Le Feuilleton


(feuilleton) "Terre inculte", par Pierre Vinclair, n°29. Fantôme 
 

 

Édition


(édition) Naissance d'une nouvelle maison d'édition, La Coopérative 
 

 

Anthologie permanente 


(anthologie permanente) Gérard Bayo (1936-) 


(anthologie permanente) Germont (1961-) 


(anthologie permanente) Marcel Migozzi (1936-)  
 

 

Notes de lecture


(note de lecture) Ariane Dreyfus, "Moi aussi", par Ludovic Degroote 


(note de lecture) Esther Tellermann, "Sous votre nom", par Christian Hubin 


(note de lecture) Gérard Cartier, "Le voyage de Bougainville", par Claude Ber 
 


Fiches bio-bibliographiques


(poètes) Gérard Bayo (1936-) 


(poètes) Germont (1961-) 
  

 

Et aussi 


(Agenda, liens, informations) Le Journal permanent de la poésie 


(Agenda, liens, informations) Le Journal permanent de la poésie 


 
[Poezibao a reçu] du samedi 7 novembre 2015 

 

 

 

Pour citer ces parutions

LPpdm, « Dernières parutions de la revue Poezibao », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 11 novembre 2015.

Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/11/parutions-Poezibao.html /Url : 

 

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Le Pan poétique des muses - dans La Lettre de la revue LPpdm
11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 12:29

 

Poème

L'extrême en Drôme !

 

 

Khris Anthelme

 


Comment ne pas sentir monter un haut-le-cœur

Lorsque vous apprenez un fait inconcevable

Dépassant de loin toute horreur imaginable

Laissant au plus profond comme un vent de terreur ?


Si je dis père, il ne l'est plus, quelle fureur !

Pendre ses deux enfants est pis qu'abominable.

Quand je dis que le monde est fou je suis aimable

N'ayant vu d'autre mot, de signe mesureur !


Quand même en m'appliquant, me forçant à comprendre

Ce geste, je n'ai pu qu'un écœurement rendre

Tant est amphigourique un tel acharnement !


Était-ce la folie, une rage suprême,

Était-il sous le joug d'un endoctrinement,

Encore j'en suis coi, distancé par l'extrême !


20 novembre 2013

 

 

Pour citer ce poème

Khris Anthelme, « L'extrême en Drôme ! »Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 11 novembre 2015.

Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/10/poeme-de-khris-anthelme.html /Url : 

 

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Poèmes

 

Le septième tome de Poémitude en extraits

 

 

Khris Anthelme

Poèmes reproduits du 7ème tome de Poémitude ; Entre muse et plume,

avec l'aimable autorisation de l'auteur et des éditions Stellamaris

 

 

 

À ma muse

 


Jongler avec les mots, frôler la frénésie,
Remettre dans leurs gonds les soupirs ressassés,
Déplacer quelques maux par un verbe chassés,
Le soluté répond au nom de poésie.
N’y voyez nul miracle à la rime choisie,
N’ont de valeur que les seuls traits bien embrassés ;
Ni d’autre oracle au fil des vers cadenassés,
Qu’une douce chaleur de peine dessaisie ;
Moins encore d’honneur dans la masse fondu,
Ni de reconnaissance au mètre bien pondu,
J’en passe et des meilleurs, est plein mon répertoire !
Mais deviner sa muse avec un brin d’esprit,
Apporte un gisement plus fort que bourse et gloire,
Constatez, ce n’est moi, c’est elle qui l’écrit !

 

 

 

Mes respects, Muse !

 


Il faut bien vivre avec son temps disent certains ;
Tout a changé, tout va plus vite et tout progresse,
L’ère est au modernisme. Oui, mais la politesse
Avance à vilains traits, pour ouïr des « Putains »

 

À longueur de journée ; un mot qui ne caresse
En rien les faux tracas ou les mauvais potins.
La prévenance est enfouie et les catins
À faire ont mieux que de panser une détresse !

 

Enfant, notre parler était respectueux,
Qui se serait permis d’être délictueux ?
Craignant le pied au cul ou le grand coup de latte.

 

De jour en jour se perd le clair et bon Français,
Deviendrais-je vieux jeu ? C’est ce que je pensais !
Mais que nenni, ma Muse encor ma langue flatte !

 

 

 

Mouwachah à Lise

 

 (À Élisabeth)

 

 

Élisabeth, te souviens-tu de ce village

 

Où nous vivions, toi dans ta vie et moi tout près

Au moulin, cependant proches dans un bel âge

Mais trop loin sur nos seuils entourés par les prés ?

 

Nous fréquentions les mêmes bancs, la même église,

Sans le savoir vraiment, comme le temps est gourd !

Ont coûté nos saisons pour qu’enfin il se brise,

Et se remémorer un souvenir trop court

Perdu dans une gare, au fond d’une valise

Où se trouvaient les mots des instants aboutis ;

Mais c’est en relisant un poème de Lise,

Qu’un virus s’est posé sur des vers engloutis.

 

Oui, c’est toi, grande Dame, et mince est mon langage

Pour t’offrir un bouquet de vers cueillis auprès

De Muse, mais elle est douce en coloriage

Pour te dire ô combien mes traits sont diaprés.

Car grand fut le plaisir, sans autre convoitise

Que d’écrire un mémoire entre Nord et Sud, pour

Partager ces moments sur une verve acquise

Dans un lycée où la tiédeur faisait le jour.

 

 

 

Partez, ma muse !

 


Ma chère, je vous sers un triolet,
Avec bel espoir qu’il ne vous déplaise,
N’ayant de temps pour vous instruire un lai,
Ma chère, je vous sers un triolet.
Ne me dites surtout qu’il est trop laid,
Vous m’en trouveriez bien fort mal à l’aise,
Ma chère, je vous sers un triolet

Avec bel espoir qu’il ne vous déplaise !

 

 

Il est vrai, j’aurai pu, d’un virelai
Vous servir mon ardeur sur une braise,
Mais le moment fait défaut au délai,
Il est vrai, j’aurai pu, d’un virelai …
Mais ma plume hier soir m’interpellait,
Asséchée hélas de cette fournaise,
Il est vrai, j’aurai pu, d’un virelai
Vous servir mon ardeur sur une braise !

 

 

 

Pour citer ces poèmes

 Khris Anthelme, « À ma muse », « Mes respects, Muse ! »,  « Mouwachah à Lise (À Élisabeth) »« Partez, ma muse ! », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 11 novembre 2015. Url :  http://www.pandesmuses.fr/2015/11/extraits-poemitude-entre-muse-plume.html/Url :   

 

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