1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Poèmes 

In the spring Japan,

 

 

Japanese mountaineer,

 

Japanese Spirit and Trees of Japan


Tatjana Debeljački

 

   http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/d8/Path_of_philosophy.jpg

Crédit photo : photo de Kyoto (Japan en avril 2004), trouvée sur Commons.


 

 

In the spring Japan 


 

A heavy mist rises

out of the valley

like gun smoke, rifling

the air, setting off a time piece

of timelessness.

This unmetered rural wetness

that meets me most mornings

ever since I’ve transported

to this mystic realm.

I can only hand this truth over to you

That the stars are still indifferent to us

As they wait for no one behind the lights

But their indifference is perfect

Like the last pieces of a dying artist

Who you swore you were going to meet.

But like these stars

Some night when a rare black out falls over the city

And the glare recedes from view

I will look for you

to find my way of timelessness.

 

 

 

Japanese mountaineer


 

Filled up with lust

to quench my thirst,

shocked through the rays

of the tired sun.

Revived by the breath.

Ignited, you wake me up,

you kindle during my sleep

the last signs

of recognition.

Every ground letter

You bring back written

In all languages

In the dark lair.

Smudge again

The colors across the dead

whiteness of the night, smash the dawn

before the sun.

From the night, the flowers bloom

And the morning is glittering in the horizon,

Under the veil of the morning.

The eyes of the mountaineer,

The light of the sun

Japanese mountaineer

naked in the moonlight.

 

 

Japanese Spirit

 

 

Forest Spirit is the master of woods and beasts, the shepherd whose stock consists of deer, roes and rabbits, which are looked after by wolves or lynxes. His cheeks are blue, his eyes are green, and his beard is long and green. Sometimes he covers himself with furs, and some of the legends depict him as wearing a mask and having horns. His left shoe is always on his right foot, he buckles his sheepskin on the wrong side. He does not have a shadow, his blood is blue. He is looking at something else. I don’t know what. Maybe soul? His look is blunt and his pupils are small. I kissed him in the neck, exactly the place where the Adam’s Apple is.


* * *

 

If you were living just across and if I were a tree

In that yard,

I’d delight you with fruit,

I’ll be watered with your glimpse,

just look at me in ardor,

I’d bear the sweetest fruit for you.

 

 

 

Trees of Japan


 

In some mysterious and wonderful way we are part of everything. And in that same mysterious and wonderful way, everything is a part. In order to experience this, we must be aware of how limited our senses are eyes, ears touch, smell, taste. These senses help us to function in the Seen World. What we see is interpreted by our minds and put inside our belief system, and this can become our reality. But there also exists an Unseen World. In this world we experience connectedness; we experience the mystery; and we experience another whole point of view. If we pay attention to both the Unseen World and the Seen World, our belief systems will print in our mind a new and wonderful reality. We will see and know we are a part of everything trees of japan

 


Pour citer ces poèmes


Tatjana Debeljački, « In the spring Japan », « Japanese mountaineer », « Japanese Spirit » & « Trees of Japan », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin 2013.  
Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-in-the-spring-japan-japanese-mountaineer-japanese-spirit-and-trees-of-japan-117752653.html/Url. 

 

Auteur(e)


Tatjana Debeljački, was born on 1967 in Užice. Writes poetry, short stories, stories and haiku. Member of Association of Writers of Serbia -UKS since 2004 and Haiku Society of Serbia - HDS Serbia, HUSCG – Montenegro and HDPR, Croatia. A member of Writers’ Association Poeta, Belgrade since 2008, HKD Croatia since 2009 and a member of Poetry Society  "Antun Ivanošić" Osijek since 2011. Deputy of the main editor (cooperation with magazines & interviews).

http://diogen.weebly.com/redakcijaeditorial-board.html

Editor of the magazine "Poeta", published by Writers’ Association "Poeta" http://www.poetabg.com/ 

Union of Yugoslav Writers in Homeland and Immigration – Belgrade, Literary Club Yesenin – Belgrade.

Up to now, she has published four collections of poetry: “A HOUSE MADE OF GLASS “, published by ART – Užice in 1996; collection of poems “YOURS“, published by Narodna knjiga Belgrade in 2003; collection of haiku poetry “VOLCANO”, published by Lotos from Valjevo in 2004. A CD book “A HOUSE MADE OF GLASS” published by ART in 2005, bilingual SR-EN with music, AH-EH-IH-OH-UH, published by Poeta, Belgrade in 2008.

Her poetry and haiku have been translated into several languages.

Poetic Interests poetry

Other interests Editor 

Web search www.poetabg.com/

Other   http://twitter.com/debeljacki

 

Traduction partielle

 

Tatjana Debeljački, est né en avril 1967 à Uzice. Elle est auteure et écrit des poèmes, des histoires courtes, des histoires et des haïkus. Elle est membre de :

  • l'Association des écrivains de Serbie-UKS depuis 2004

  • Haïku Society de Serbie — Serbie HDS, HUSCG — le Monténégro, la HDPR, la Croatie,

  • l'Association des poètes de Belgrade depuis 2008,

  • la Croatie depuis 2009 HKD

  • la société de poésie "Antun Ivanošić" Osijek depuis 2011. 


Elle est aussi rédactrice en chef du magazine Poeta. Elle a déjà publié quatre recueils de poésie : Un maison de verre, publié par l'ART-Užice en 1996 ; YOURS, publié par Narodna knjiga Belgrade en 2003 ; collection de poésie haïku « VOLCANO », publié par Lotos de Valjevo en 2004. Un CD Une maison de verre, publié par l'ART en 2005. Ses poésie et haïku ont été traduits en plusieurs langues. 

Le Pan poétique des muses - dans n°3|Été 2013
1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Poèmes

 

Jardins...

 

   Isabelle Voisin 

 

 

 

jardin 6 72

©Crédit photo : Collection Jardins par Claude Menninger


 

 

 

UN CHANT d’oiseau

comme une odeur d’humidité dans l’air

réveillent les jardins anciens

 

 

 

 

 

 

ORANGE Saint-Malo

Jaune-rosé Montmartre

Blanc le sang des campanules

 


 

      

 

 

À ROMPRE les fleurs fanées

l’illusion

éphémère

de retrouver le jardin mort

les parents disparus

 

   

 

Pour citer ce texte

 

Isabelle Voisin, « Jardins... », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin 2013.  

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-jardins--117752645.html/Url.

 

Auteur(e)


Isabelle Voisin, née en 1963. Vit et travaille à Paris où elle exerce le métier de professeur de lettres modernes. Elle participe en 1998 au Catalogue du mois off de la photographie à Paris. Publie entre 1998 et 2002 dans les revues de poésie Décharge et Comme ça et Autrement. Isabelle Voisin réalise une série de poèmes pour Les Ambassadeurs, recueil de photographies de Martial Verdier, actuellement en ligne sur le site de la revue TK-21, sous la rubrique “Livres en écriture” : http://www.tk-21.com/. Elle publie en mai 2012 une série de poèmes consacrés à la danse dans le numéro 1 de la revue Le Pan poétique des muses (http://www.pandesmuses.fr/). Deux poèmes à paraître dans la revue Décharge courant 2013. 

 

 

 

Le Pan poétique des muses - dans n°3|Été 2013
1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Poèmes d'une aïeule

 

Trois poèmes de

 

 

Jeanne Dortzal (1878-1943)

 

Jo Laporte

Sélection et présentation 

 

 

Crédit photo : La Muse française. Revue du mouvement poétique... ["puis" Revue de la poésie]
Source: gallica.bnf.fr

 

Présentation

 

 

Jeanne Dortzal fut l'une des "stars" des années 1900, mais elle sombra dans l'oubli à un point tel qu'on ne trouve plus trace d'elle à partir des années 30. Par chance, Sydney Serra-Reich a photographié à Oran les restes d'un monument qui lui fut consacré grâce auquel on peut enfin connaître l'année de son décès. Voici deux témoignages pour l'introduire. Celui de Paul Léautaud, sur le thème "Que sont mes amis devenus ? " :

 

« Qu'est devenue Jeanne Dortzal, jeune beauté ramenée d'Algérie par Pierre Guédy, ayant fait là-bas sa conquête ? Prix de beauté du Gil Blas, puis, Guédy mort fou, devenue poétesse, auteur de plusieurs recueils de vers souvent intéressants, ayant eu, je crois, un fils de Guédy, Pierre également. Qu'est-elle devenue depuis le jour où je lui fis visite, sur une lettre d'invitation de sa part, dans un appartement assez luxueux, rue Ampère ? Mais que sont devenues les prix de beauté du Gil Blas ? » (Paul Léautaud: Journal littéraire, lundi 6 décembre 1948). Et celui plus ancien et plus sensible de Massenet, qui a mis certains de ses poèmes en musique : « L'exquis poète Jeanne Dortzal aussi est un ami de ces félins aux yeux verts, profonds et inquiétants; ils sont les compagnons de ses heures de travail ! » (Massenet, mes souvenirs, 1912, ch 19).

 

 

Poèmes

 

 

 

Poème liminaire

 

 

 

Ma volonté fut d'un forçat. J'ai fait ce livre

Avec mon sang. Voilà mon pain de chaque jour.

J'ai tiré sur ce ciel qui fut mon Hard-Labour

Et l'orgueil a lavé ma face. J'ai pu vivre

En deçà du bonheur par la toute-puissance

De ces mots flagellés. Des pleurs jusqu'au poitrail,

J'ai bâti ce poème, et, femelle en travail,

Les flancs lourds de soleil, arc-boutée au silence,

J'ai senti tressaillir ta force, ô solitude,

Enfantement qui va de l'homme jusqu'à Dieu,

Qui vous prend en travers de l'âme et peu à peu

Rend l'oubli plus alerte et les instants moins rudes.

Labeur dont j'ai senti la poigne sur ma nuque,

Quand l'immobilité, retraçant mes sillons,

Faisait sourdre du Verbe où nous nous appuyons,

L'allégresse des mots que la douleur éduque.

J'aurai vécu comme ces hommes des montagnes

Dont l'épaule a gardé la marque des saisons,

Qui marchent, en faisant sonner sous leurs talons,

La rude liberté et le soleil qu'ils gagnent.

Attelée à ma force et labourant les heures,

J'ai poussé la lumière avec une âpreté

D'aveugle, le front nu, face au ciel emporté,

Tous mes instants roidis vers l'effort qui demeure.

 

(Jeanne Dortzal, « Poème liminaire »,  La croix sur le sable, 1927)

 

 

 

Soir, seras-tu assez vaste ?


 

Cynique, à force d'être chaste,

L''être affamé, jeunesse au vent,

Hé, invective, droit devant

Lui. Soir, seras-tu assez vaste

Pour contenir l'ivrogne-dieu

Dont les jurons et la bedaine

Tanguent, grincent dans la nuit pleine :

Vieux char dont la lune est l'essieu.

L'air est si neuf. Et j'imagine

Qu'au cabaret des sept couleurs

Le prisme, où roule sa douleur,

Lui tendra la perche en sourdine.

De visions en visions

Le ruisseau, où saigne sa joie,

S'élargit, s'incurve et déploie

Votre aile, ô constellations.

 

(Jeanne Dortzal, « Soir, seras-tu assez vaste »,  Le credo sur la montagne, 1934)

 

 

 

 

Un café maure

 

 

 

 

Clef d'or qu'un dieu jeta dans les décombres

Et qui m'ouvrit le soir.

Revoici les coussins, la lampe, le miroir,

Et le divan frileux que le silence encombre.

Savoure avec lenteur le breuvage parfait.

Nos corps drapés de myrrhe ont la splendeur de l'ombre ;

Le chant du muezzin, dont le bleu s'étouffait,

Monte comme un jet d'eau:

Laisse ouverte la porte et que sa voix chancelle

Comme un berceau.

Je suis celle

Qui pleure et qui renaît, car semblable au vaisseau

Que l'infini balance, ayant croisé mes ailes,

Je tangue vers l'oubli. Que ces murs qui m'étreignent

Deviennent l'oasis, que ce breuvage noir

Sur le mensonge règne,

Puisque nous voilà seuls dans le soleil du soir.

Blidah.

 

(Jeanne Dortzal, « un café maure », Les Versets du Soleil, 1921.)

 

 

 

 

Pour citer ces poèmes

 

Jo Laporte (sélection et présentation), « Trois poèmes de Jeanne Dortzal (1878-1943) », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin  2013.  

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-trois-poemes-de-jeanne-dortzal-1878-1943-117752639.html/Url.

 

Auteur(e)

 

Jo Laporte est professeur de Lettres ayant exercé au Lycée Renaudeau et au Lycée de la Mode de Cholet. Ce sont d'ailleurs les étudiantes de 1ère et de BTS de ce dernier lycée qui ont peu à peu fait sourdre en moi le regret de ne pouvoir conforter en elles l'idée que les femmes avaient été dans l'histoire aussi créatives que les hommes. J'avais si peu d'exemples à leur donner dans le domaine de la littérature. J'ai donc créé un blog consacré à la poésie féminine, "Poétesses d'expression française…" en m'appuyant surtout sur les ressources d'Internet (Gallica en priorité…). Autres activités sur la Toile : Site présentant l'intégralité de l'œuvre poétique de Maurice Courant (1919-2007). Site de François Riu-Barotte, pianiste et pianiste-accompagnateur. Site de Philippe Malgouyres, conservateur au Musée du Louvre.

 

Pour visiter les pages/sites de l'auteur(e) ou qui en parlent

 

http://poetesses.blog4ever.com/blog/index-393335.html

 

http://www.amisldm.org/liens/

 

Notices des invitéEs du calepin...

 

Le Pan poétique des muses - dans n°3|Été 2013
1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Annonce de parution 

   

Delphine Horvilleur,  En tenue d'Ève : 


 

Féminin, Pudeur et Judaïsme,  

 

 

 

  En tenue d'Eve

Crédit photo : Couverture illustrée de l'éditeur

 

Titre : En tenue d'Ève : Féminin, Pudeur et Judaïsme
Auteure : Delphine Horvilleur

Éditions : Grasset 

Parution : 8 mai 2013
Genre : Essai
N° Hachette : 3802592
Collection : Essais Français
Langue : Français
Format : Broché, 20,4 x 13 x 2,4 cm
Nombre de pages : 208 p.
ISBN-10: 2246787459
ISBN-13: 978-2246787457

Prix : 17

Url. http://www.grasset.fr/Grasset/CtlPrincipal?controlerCode=CtlCatalogue&requestCode=afficherArticle&codeArticle=9782246787457&ligneArticle=0

  

 

 

Présentation des éditions Grasset

 

 

« Les discours religieux fondamentalistes actuels expriment une obsession croissante de la pudeur des femmes. Réduite aux parties de son corps susceptibles d’éveiller le désir, la femme est « génitalisée » à outrance. Faut-il alors couvrir sa nudité ? Faut-il la renvoyer à son destin : le voilement ?

Delphine Horvilleur analyse successivement les sens de la pudeur et de la nudité, l'obsession du corps de la femme et sa représentation comme "être orificiel" pour proposer une autre interprétation de la tradition religieuse. Elle met à mal les lectures qui font de la femme un être tentateur, et de la pudeur l'instrument de sa domination. Ainsi nous montre-t-elle comment la nudité recouverte d'Adam, d'Ève ou de Noé, renvoie à une culture du désir et non à une volonté de le tuer. Comment le voile est à l'origine destiné, non à rejeter, mais à approcher l'autre. Comment le féminin concerne aussi les hommes qui endossent, dans la prière et la pratique judaïques, les attributs des femmes et du maternel. On découvre alors, dans cette plongée au cœur des grands monothéismes, un autre visage de la femme, de la pudeur, et de la religion. » 

 

 

Essayiste 

 

  

Delphine Horvilleur, femme rabbin libéral, est née en 1974 à Nancy.

 


 

Pour citer ce texte


LPpdm,  « Delphine Horvilleur, En tenue d'Ève : Féminin, Pudeur et Judaïsme, Grasset, 2013 », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin 2013. 

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-delphine-horvilleur-en-tenue-d-eve-feminin-pudeur-et-judaisme-grasset-2013-117752637.html/Url.



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