28 novembre 2015 6 28 /11 /novembre /2015 15:29

 

 

Critique & réception

 

Notes de lecture sur les recueils

Poémitude (7ème tome) et

Sonnets pour une autopsie

ou la vie d'un poète

 

 

 

Cyril Bontron

Rédacteur, directeur artistique de la revue LPpdm et membre de la SIEFEGP

Responsable d'une rubrique (en construction)

Avec l'aide d'Anna Perenna

Spécialiste en poésie, rédactrice en chef de la revue LPpdm

Responsable d'une rubrique (en construction)

 

© Crédits photos : Couvertures illustrées des recueils de Khris Anthelme aux éditions Stellamaris

 

Les recueils sont bien présentés malgré quelques hésitations sur la mise en page ici et là. on peut par ailleurs féliciter l'éditeur pour son travail élégant et épuré. Toutefois, certaines couvertures peuvent être améliorées par un résumé du livre.

Ce qui nous frappe dans l'écriture de Khris Anthelme, ce n'est pas le recours à la poésie dite classique (la métrique, la rime, la césure, la forme fixe, etc.), mais c'est l'empreinte nette d'une voix distincte. On peut entendre le timbre de sa voix, suivre ses inflexions et les mouvements de sa mémoire, voire presque entrevoir son âme lorsqu'on lit son recueil « Entre muse et plume » (7ème tome de Poémitude).

Si l'exercice de la poésie métrique n'est pas aisé, l'effort de la technicité ne transparaît pas dans ses écrits. Il nous semble qu'il existe un dialogue et une continuité entre la forme stricte, fixe, imposante et la légèreté apparente de sa poésie.

 

I- La poésie est l'acte fondateur du soi et du monde

 

Dans Entre muse et plume, la poésie devient l'acte fondateur du soi et du monde. La création à l'état pur poíêsis. Le poète créateur de lui-même et du monde nous rappelle la figure des poètes mythiques tels Musée et Orphée.

 

Dans l'écriture de Khris Anthelme, il y a une irruption de la subjectivité romantique, une réinvention d'une longue tradition poétique des formes fixes. Le poète est ce moi façonné par sa muse, par l'impitoyable poésie qui donne des joies et des moments d'exaltation mais se nourrit aussi des entrailles, de la chair du poète qui nous dit :

 

 

La poésie est acte et non un don de Dieu,

Suspicieux sur nos batailles

Il nous guide la main vers un juste milieu ! 

(cf. P. 4, Poémitude, 7ème tome, chapitre 1 "Je suis")

 

Voilà le poète qui s'éloigne formellement de l'origine sacrée de la poésie pour se forger un réel de contraintes. Oui, la poésie est un acte fondateur du soi (comme dans le poème cité ci-dessous) mais surtout du monde...

 

 

Je suis !

Mon vers n’est jamais trop blessant,

Simplement sa juste victime,

Ni non plus d’un trait trop savant,

Mon vers n’est jamais trop blessant.

Mais parfois, s’il devient froissant

C’est qu’une grande faim l’anime.

Mon vers n’est jamais trop blessant,

Simplement sa juste victime.

Je ne suis du temps qu’un passant,

Qui pas à pas sème sa rime

Sur un siècle hautain se lassant.

Je ne suis du temps qu’un passant

Au verbe alerte et fleurissant

Pour que l’instant veille et s’arrime.

Je ne suis du temps qu’un passant,

Qui pas à pas sème sa rime !

(cf. Voir ibid, p. 10)

 

II- La poésie demeure l'enfant mythique du merveilleux

 

Dans le deuxième chapitre « À ma muse », la muse du poète Khris Anthelme est bel et bien la Muse traditionnelle des poètes hommes. Elle renvoie à la poésie et au trait d'esprit. L'usage de l'alexandrin et du sonnet n'empêchent pas la présence de quelques nouveautés notamment dans le choix original de la chute dans un bon nombre de poèmes.

Quant aux rimes, l'utilisation des rimes est restreinte aux formes assez courantes comme les rimes croisées et plates. Le choix des rimes n'est pas vraiment original mais il y a toujours un trait d'esprit, une tournure du vers qui mettent en valeur la rime choisie. Ses rimes sont parfois répétitives et souvent des rimes anaphoriques. Le poète ne respecte pas toujours les règles de la versification classique notamment dans le choix de ses rimes.

Khris Anthelme rime et versifie facilement avec un rythme soutenu et une harmonie particulièrement appréciable. Quant à la césure, elle tombe régulièrement à sa place, le poète en joue pour accentuer le rythme du vers. Parfois, il a tort de chercher une expression familière ou une rime répétitive, facile et devinable aisément.

Khris Anthelme a tantôt le style de La Fontaine « Mes respects, Muse ! » , tantôt celui de Rimbaud, tantôt celui de Voltaire dans « Jalousie » (chaque strophe est composée de dix vers, rimes plates).

Ses poèmes sont un mélange assez joyeux et ludique malgré la part sombre et le fond romantique de la plupart de ses textes. 

Le poète navigue entre la poésie moralisante (comme la fable) et la poésie de circonstance des salons du XVIIIe siècle avec un trait d'esprit voltairien à l'instar du poème « Odeur de jasmin » dans les deux premiers vers qui se répètent : « Muse, quel est ce trait qui me fait me méprendre/ Me léguant une rime afin de me surprendre ? » ou dans le poème « Partez, ma muse ! » ou a affaire à une muse bien salonnière :

 

Partez, ma muse !

 

Ma chère, je vous sers un triolet,

Avec bel espoir qu’il ne vous déplaise,

N’ayant de temps pour vous instruire un lai,

Ma chère, je vous sers un triolet.

Ne me dites surtout qu’il est trop laid,

Vous m’en trouveriez bien fort mal à l’aise,

Ma chère, je vous sers un triolet

Avec bel espoir qu’il ne vous déplaise !

Il est vrai, j’aurai pu, d’un virelai

Vous servir mon ardeur sur une braise,

Mais le moment fait défaut au délai,

Il est vrai, j’aurai pu, d’un virelai …

Mais ma plume hier soir m’interpellait,

Asséchée hélas de cette fournaise,

Il est vrai, j’aurai pu, d’un virelai

Vous servir mon ardeur sur une braise !

 

Mais cette légèreté poétique enchanteresse semble se contraster avec la part d'ombre, la lourdeur romantique empreinte du classicisme romantique du XIXe siècle (dans une grande partie du recueil).

Quant aux poèmes humoristiques et ironiques « Muse lucide »  et « Que Nenni », ils  dessinent une ironie mordante semblable à celle de Voltaire.

Dans le poème « Elle me nargue », comme dans plusieurs autres poèmes, le poète s'attache à muse humaine, qui devient au fil du temps et des pages une amie, la femme aimée qui inspire et s'éloigne de la créature féerique d'antan. Elle échange avec le poète et lui transmet ses opinions. La muse inspiratrice se transforme en confidente avec qui le poète partage sa passion dévorante de la poésie et des mots.

Comme dans le 3ème chapitre, le poème mise au point : ''« ma Muse est temporelle » '', contrairement à la Muse du merveilleux et à la Muse classique, cette Muse est bien réelle et ancrée dans le temps, mais demeure dans la temporalité de la poésie. Dans le présent continu. La contradiction est donc juste formelle, elle ne concerne pas le fond.

En somme, la poésie comme ses créatures et son univers restent attachés aux origines traditionnelles de la poésie et au merveilleux malgré les nombreux ancrages urbains. Ce merveilleux poétique est donc original parce qu'il est entiché de la vie citadine et de l’hyper modernité.

 

III- Le poète romantique d'antan revu et corrigé

 

Confidences

Si j’existe, ce n’est qu’en tant que grand rêveur,

Je ne suis d’aucun institut,

Ni ne me prends non plus pour un sombre penseur,

Car mon âme est mon seul salut.

(cf. Ibid, p. 8 )

 

Dans Sonnets pour une autopsie ou la vie d'un poète, Khris Anthelme dessine plusieurs figures traditionnelles du poète parmi lesquelles, il y a la figure du poète errant et romantique. Cette figure d'antan est renouvelé, travaillé et actualisé dans une perspective universelle. Ici, on se réfère à la préface détaillée et importante de Mohammed Zeïd qui traite du lyrisme d'Anthelme. Ce lyrisme est influencé entre autres par le sonnet irrationnel de Jacques Bens. On peut également citer la figure du poète philosophe dont parle le préfacier :

 

avec ses images éloquentes nous fait pénétrer dans le vaste univers du poète mariant théo­logie et spéculation philosophique ; ce recueil, et par la forme des poèmes qu’il regroupe et par leur fond, ouvre au lecteur le chemin de l’introspection où il peut donner libre cours à son penser pour cerner la Vie en général et sa propre vie en particulier.

L’être humain dont les deux bouts de son séjour sur terre sont le berceau et le tombeau s’est toujours interrogé sur sa condition, sur sa vie où se mêlent le clair et l’obscur.

Cet être dont le physique en tant qu’enveloppe englobe l’affectif que se partagent l’Amour et la Haine, l’intellec­tuel dont les éclats peuvent être aussi bien éblouissants et bénéfiques que ternes et nuisibles, le social cette trame des relations que peuvent consolider l’entente et l’intérêt commun mais que peut déchirer le moindre vent de la discorde, le spirituel dont l’essence demeure élévatrice tant qu’elle garde sa pureté ; cet être, disais-je, est perçu par notre poète comme une terre lointaine, j’allais dire inexplorée, à parcourir en long, en large, en profondeur pour essayer de la connaître.

(voir p. 6).

 

Cette vision du poète philosophe se double de la figure du poète savant scientifique ou le poète alchimiste, découvreur du monde, du réel et du langage. Ces figures traditionnelles sont retravaillées et enrichies dans les recueils de Khris Anthelme. C'est surtout le dialogue établi entre les savoirs réels et fictifs au sein du merveilleux poétique qui attire notre attention et représente une originalité patente.

 

Nous vous proposons donc et sans tarder de lire les ouvrages de ce poète à la fois romantique (comme Lamartine) et ironique (à l'instar de Voltaire).

 

Pour citer ce texte

Cyril Bontron (avec l'aide d'Anna Perenna), «  Notes de lecture sur les recueils Poémitude (7ème tome) et Sonnets pour une autopsie ou la vie d'un poète », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 28 novembre 2015. Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/11/notes-de-lecture.html /Url : 

 

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Le Pan poétique des muses - dans La Lettre de la revue LPpdm
26 novembre 2015 4 26 /11 /novembre /2015 15:20
Le Pan poétique des muses - dans La Lettre de la revue LPpdm
26 novembre 2015 4 26 /11 /novembre /2015 15:20
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Critique & réception

 

 

Mon corps m'appartient !

 

Colloque de Strasbourg

 

 

Françoise Urban-Menninger

Rédactrice de la revue LPpdm et membre de la SIEFEGP

Responsable de la rubrique Lettres & Arts

© Crédits photos :   Mon corps m'appartient ! Le colloque en images,  photographies réalisées par Françoise Urban-Menninger, 2015.
© Crédits photos :   Mon corps m'appartient ! Le colloque en images,  photographies réalisées par Françoise Urban-Menninger, 2015.
© Crédits photos :   Mon corps m'appartient ! Le colloque en images,  photographies réalisées par Françoise Urban-Menninger, 2015.
© Crédits photos :   Mon corps m'appartient ! Le colloque en images,  photographies réalisées par Françoise Urban-Menninger, 2015.
© Crédits photos :   Mon corps m'appartient ! Le colloque en images,  photographies réalisées par Françoise Urban-Menninger, 2015.

© Crédits photos : Mon corps m'appartient ! Le colloque en images, photographies réalisées par Françoise Urban-Menninger, 2015.

 

C'est autour de ce slogan féministe lancé par le MLF que la Ville de Strasbourg a organisé son sixième colloque consacré aux « Violences faites aux femmes » le 17 novembre 2015.

 

 

Mine Günbay, adjointe au Maire en charge des droits des femmes et de l'égalité de genre, a ouvert cette journée par une minute de bruit dédiée aux femmes réduites au silence et victimes de barbarie.

Ce colloque, a-t-elle précisé, se doit d'être « une lueur d'espoir » pour toutes les femmes afin qu'elles puissent retrouver leur dignité.

 

Anne Cécile Mailfert a imaginé un retournement ubuesque de situation qui se situerait en 2050...Que se passerait-il si les femmes étaient au pouvoir et que dans un inversement des rôles, on implantait des utérus dans le corps des hommes pauvres?

Et d'expliquer que « les blagues sexistes, ça tue » de même que les publicités qui entrent dans « le continuum des violences ». L'exemple type en est celui de numéricable : « Téléchargez aussi vite que votre femme change d'avis ! », ou pire encore la vieille « réclame » vantant les vertus de Babette, une crème semi-épaisse : « Babette je la lie, je la fouette et parfois elle passe à la casserole »…

Et Anne Cécile Mailfert d'annoncer la nécessaire création de « La Fondation des Femmes » qui verra le jour le 8 mars 2016.

 

Le regard historique jeté sur les violences faites aux femmes, permet à tout un chacune de remonter jusqu'à la figure de Pénélope, femme passive par excellence et de saisir que dans la Grèce ancienne, le viol n'était pas un problème car la femme ne pouvait pas se refuser. L'on songe à la tragédie de Lucrèce qui, après avoir été violée, se suicide ou à l'enlèvement d'Europe.

Des gravures datant du 17e siècle attestent du fait avéré quant aux « corrections légitimes » dont les épouses étaient l'objet. Quant au 20e siècle, il a vu se développer la pratique des viols dans les conflits armés. C'est ainsi que bon nombre de femmes bosniaques ont été violées par les Serbes...L'on peut se remémorer également les scènes de défoulements collectifs où des femmes qui avaient « frayé avec l'ennemi et conçu des enfants illégitimes » ont été tondues après la guerre en France dans le même esprit que les chasses aux sorcières diligentées au Moyen-Age.

 

Marilyn Baldeck a mis en lumière la traduction juridique du consentement sexuel (ou non) notamment dans le code civil français où la parole de la victime n'a pas la même valeur que dans le droit anglo-saxon où le consentement explicite prime. Dans le droit français, les menaces doivent être concomitantes au viol, c'est à dire en clair que « céder, c'est consentir » ! Par ailleurs, la loi de 2010 instaure une présomption de consentement légal dans le mariage, rendant ainsi difficilement recevables les plaintes des épouses.

 

Florence Montreynaud, historienne, fondatrice des « Chiennes de garde » et de « Zéro Macho » a abordé sans détour les violences faites aux femmes dans l'espace public. Il n'existe pas à ce jour de jurisprudence concernant les insultes envers les femmes alors que les injures à caractère raciste sont réprimées !

Il en est de même pour les publicités qui donnent une image dégradante de la femme. Aucune censure n'existe dans ce domaine en France contrairement à ce qui a été mis en place dans d'autres pays! Voilà pourquoi certaines femmes sont entrées en résistance en dénonçant les slogans sexistes et en écrivant sur les affiches !

 

L'excision est un thème que Marie-Jo Bourdin a soulevé en rappelant qu'en 2007, on comptait 140 millions de femmes excisées de par le monde et qu'aujourd'hui une fillette est excisée toutes les 15 secondes…

Cette pratique, que l'on peut faire remonter dans l'antiquité, renvoie vraisemblablement au mythe de la bissexualité originelle. On a pu démontrer que Néfertiti avait été excisée et que les pays occidentaux avaient usé de cette pratique au 19e et au 20e siècles pour soigner l'hystérie et supprimer la masturbation !

 

Marie-Jo Bonnet a évoqué une autre forme de violence, celle dont les lesbiennes sont les victimes. Considérées parfois comme des « branches mortes » par leurs proches, certaines souhaitent faire congeler une partie de leurs ovules afin de pouvoir se les faire réimplanter plus tard mais pour cela, selon l'intervenante qui parle d'une nouvelle forme « d'industrialisation », elles deviennent également des « donneuses » car elles doivent se départir d'une partie de leurs ovules au profit de receveuses potentielles.

 

Monique Maitte, porte-parole du collectif des SDF de Strasbourg a littéralement bouleversé l'auditoire en témoignant des violences faites aux femmes SDF particulièrement vulnérables.

 

Dans le même esprit, Maudy Piot, psychanalyste, a éclairé le public quant au quotidien méconnu des femmes handicapées dont quatre sur cinq sont victimes de violence et les subissent le plus souvent sans en parler. C'est pour cela qu'elle a créé l'association FDFA , « Femmes pour le Dire, Femmes pour Agir ».

 

Les problèmes spécifiques aux femmes issues de l'immigration ont été explicités par Françoise Poujoulet, déléguée régional de la CIMADE.

 

Pour clore cet important colloque, une toute nouvelle association, la « Rue'L » implantée à Mulhouse, a dénoncé, par le biais de sa présidente, l'universitaire Patricia Legouge, le harcèlement de rue que l'on peut contrer, selon Yvette Palatino, par la self défense, c'est pour cela que cette championne de boxe anglaise a créé sa dynamique association intitulée « Allez les filles ! ».

C'est sur cette injonction, non dénouée d'humour, que le colloque s'est achevé avec quelques mots prononcés par Mine Günbay et Anna Matteoli appelant à préparer dès à présent la prochaine rencontre de 2016 !

 

Pour citer ce texte et ces images

Françoise Urban-Menninger (texte et photographies), « Mon corps m'appartient ! Colloque de Strasbourg », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°6 [En ligne], mis en ligne le 26 novembre 2015. Url : http://www.pandesmuses.fr/2015/11/mon-corps-m-appartient.html/Url : 

 

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