5 juillet 2023 3 05 /07 /juillet /2023 15:16

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Dossier majeur |  Florilège / Muses & féminin / Muses Symboliques |Voix-Voies de la sororité

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​​​​​​​​En sororité

 

 

 

 

 

 

Poème de

Louise Colet (1810-1876)

Portrait pictural par

Adèle Grasset (18??-18??)

Poème choisi, transcrit, légèrement rectifié, titre modifié, avec un commentaire & un portrait photographique par Dina Sahyouni

 

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Adèle Grasset, "Portrait de Louise Colet tenant sa fille peinture à l'huile du XIXème  siècle. Ce tableau de trouve au Musée Granet, image réalisée par DS.

 

L'extrait poétique ci-dessous provient de l'ouvrage – tombé dans le domaine public – de COLET, Louise (1810-1876), Ce qui est dans le cœur des femmes : poésies nouvelles ; [par Mme Louise COLET] suivies du Poème sur La colonie de Mettray, Couronné par l'Académie française dans sa séance du 19 août 1852, Paris, Librairie nouvelle (Boulevard des Italiens, 15, en face de la Maison dorée), 1852, pp. 63-65.

 

Cet extrait contenant une note s'adresse à madame Roger-Valazé et constitue une sorte de poème gnomique à l'attention des femmes par une femme ayant une certaine experience et un certain savoir dans le domaine de la condition féminine. Le poème sert ainsi du support moral décrivant la nécessité d'établir une solidarité et une entraide entre les femmes en matière de vie et d'éducation sentimentales. Tout le poème décrit ce que l'on qualifie de "sororité" ou de vie sororale qui protège une femme de se livrer corps et âme à un homme qui en usera, en abusera à sa guise et sans réserve. 

 

Par ailleurs, l'avertissement de Louise Colet est clair : une femme ne doit confier tous ses ennuis ou ses secrets qu'à une femme qui peut la comprendre sans la juger et jamais confier tout son for intérieur à un homme.

 

En fait, ce poème est un portrait poétique de la sororité comme une voie nécessaire de conduite sociale et sentimentale des femmes.

Le poème est composé en deux parties I et II, la première partie se développe en cinq strophes, quant à la deuxième, elle ne contient que quatre, ce qui donne neuf strophes au total et l'on sait que le nombre neuf symbolise entre autres les neuf Muses qui sont des sœurs... Chaque strophe se forme en un quatrain, mais je m'arrête là et vous laisse apprécier par vous-même cher lectorat ce portrait poetiquement gnomique. Bonne lecture !

 

© DS., juin 2023.

 

 



 

Titre original :

 

À Madame Roger-Valazé1

 

I

 

À notre fille, à notre mère,

À notre amie, à notre sœur,

À toute femme aimante et chère

Livrons sans voile notre cœur.


 

Mais à l'homme qui nous captive,

Qu'il soit amant, qu'il soit ami,

Dans nos pudeurs de sensitive,

N'ouvrons notre cœur qu'à demi.


 

Car il a ses secrets de honte,

Drame occulte, vie en-deçà.

De vos douleurs nous rend-il compte,

Ô pauvres sœurs qu'il offensa !


 

Comment espérer qu'il se lie

Au cœur qui chaste s'est donné,

Lui dont l'âme garde la lie

De tout un passé profané !


 

Nos flammes tombent étouffées

Dans des cendres d'où rien ne sort ;

Nos fleurs vivantes sont greffées

Sur l'aridité d'un bois mort.

 

II

 

Voilà ce qu'à toutes murmure

La secrète voix des douleurs ;

Mais à celle de la nature

Nous sourions malgré nos pleurs.


 

Sitôt qu'un regard la pénètre,

Sitôt qu'un désir l'attendrit,

La femme abandonne son être,

Son amour soumet son esprit.


 

Son cœur trahit sa conscience,

Sa faiblesse éteint sa fierté ;

Son éternelle déchéance

Se revêt de félicité.


 

Et, dans sa force reconnue,

L'homme resserre, triomphant,

Le servage qui continue

Pour la femme toujours enfant.

 

1852.


 

Note

1. Petite-fille de l'illustre girondin.

 

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème féministe de sororité & solidarité entre aïeules & ce portrait pictural peint par une aïeule 

 

 

Louise Colet, ​​​​​« En sororité », poème choisi, transcrit, légèrement rectifié, titre modifié, avec un commentaire & une image par Dina Sahyouni de COLET, Louise (1810-1876), Ce qui est dans le cœur des femmes : poésies nouvelles ; suivies du poème sur La colonie de Mettray... (1852), portrait pictural de Louise Colet tenant sa fille par l'artiste Adèle Grasset, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », mis en ligne le 5 juillet 2023. URL : http://www.pandesmuses.fr/no13/louisecolet-ensororite


 

 

 

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15 juin 2023 4 15 /06 /juin /2023 18:06

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 | Muses au Masculin | Critique & réception 

 

 

 

 

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Claude Luezior, Au démêloir des heures,

 

Éditions Librairie-Galerie Racine–Paris,

 

94 p., 2023, ISBN : 978-2-2430-4859-9

 

 

 

 

 

Texte de

​​​​​​

François Folscheid

 

Écrivain et fin lettré (Saumur)

 

 

Couverture illustrée par

 

Diana Rachmuth

 

Architecte & artiste-peintre d'origine roumaine

 

 

 

 

© ​Crédit photo : Première de couverture illustrée par Diana Rachmuth,  "installation" (à savoir la mise en scène d'un kimono) du recueil de poèmes Au démêloir des heures de Claude Luezior, Éditions Librairie-Galerie Racine–Paris.

 

 

 

S’il est vrai que l’être humain est fait d’eau de mer et de poussière d’étoiles, pourquoi le poète, aux antennes plus sensibles que le commun, n’entendrait-il pas la voix d’un « inconscient originel » ? C’est ce que semble nous dire Claude Luezior dans son nouveau recueil Au démêloir des heures, paru en avril 2023 aux éditions Librairie-Galerie Racine–Paris.

 

Mais pour s’aboucher au verbe primordial – qui est aussi béance et silence –, il faut passer par l’inconscient individuel, en franchir les espaces ténébreux, ce « carnaval de l’insensé » où « halète une part animale ». Et si Luezior s’abandonne à ce « trou noir / aux encoignures / d’enfer » et se laisse parfois emporter par les « meutes carnassières / des cauchemars inassouvis », il ne fait pas naufrage pour autant. Après tout, Orphée n’a-t-il pas réussi à traverser les épreuves de l’Enfer et à en ressortir indemne, quitte à se retrouver veuf à jamais de la bien-aimée ?

 

Car le pouvoir de la poésie est là, toujours, lueur phosphorescente dans la nuit de l’être : quand « là-bas se déhanche un poème », « démones aux rouges grimoires », « becs et hiboux carnivores » glissent sur le bouclier d’azur et le heaume de candeur du poète. Pouvoir de la poésie et pouvoir aussi de l’amour, car Luezior ne s’est pas retourné sur Eurydice : Elle est là, en filigrane, présence discrète, tantôt prenant le visage de l’aube, qui « anime ses fibres tièdes », tantôt revêtant « la pudeur d’une violette ». Si l’animus en lui ne saurait s’amputer de son anima, c’est sans doute pour mieux assurer sa mission d’explorateur de l’Inconscient et de questeur métaphysique : « sur les brisants / de nulle part / lier l’invisible / aux racines de l’être ».

 

La poésie de Claude Luezior est une poésie de combat – combat avec nos démons, nos habitudes mentales, nos phobies – et de quête d’une sérénité qui n’adviendrait qu’au bout d’un arrachement à nos malédictions et à nos « affres d’arrière-nuit ». Bâti sur le procédé de mise en page dont l’auteur est coutumier, le recueil nous offre cette alternance – visuellement agréable – de poèmes en vers libres et de mini-proses, produisant un effet de synergie poétique.

 

Épurée et maîtrisée, sans emphase excessive, avec juste ce qu’il faut d’abstraction pour ne pas glisser dans le larmier du lyrisme, cette poésie évite sans effort ces écueils de la poésie contemporaine que sont la perte du sens par noyade dans les mots, et l’amuïssement du chant par abus du cryptique.

 

Ainsi dans ce démêloir des heures, Luezior nous convie-t-il enfin, démons vaincus, à « un jour de sucre / de pulpe rare et de blés / manne pour fiançailles / où jubilent / des persiennes ouvertes ».

 

 

© François Folscheid, Saumur, juin 2023

 

***

 

 

Pour citer ce texte inédit​​​​​​​​​​​​​​​​​

 

François Folscheid, « Claude Luezior, Au démêloir des heures, Éditions Librairie-Galerie Racine–Paris, 94 p., 2023, ISBN : 978-2-2430-4859-9 », illustration de la couverture par Diana Rachmuth, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 « Étrangères », « Frontières du vivant », « Lyres printanières », mis en ligne le 15 juin 2023. URL : 

http://www.pandesmuses.fr/megalesia23/folscheid-luezior-audemeloirdesheures

 

 

 

 

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Retour à la Table du festival Megalesia 2023

8 juin 2023 4 08 /06 /juin /2023 17:36

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 | S'indigner, soutenir, Lettres ouvertes |  & hommages | Faits divers & Catastrophes | Varia de textes poétiques 

 

 

 

 

 

 

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​​​​poésie en berne

 

 

 

 

​​​

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

 

 

 

 

Crédit photo : Erato, gravure.

 


 

le soleil à peine levé

s'est ce matin recouché

avec ces tout petits

dans un parc poignardés


 

aujourd'hui ma poésie

est en berne et ma rime

saigne entre les lignes

car les mots ne consolent plus


 

seul le silence

sur la page blanche

où leurs cris d'ange se sont tus

me rapprochent des nues


 

© Françoise Urban-Menninger

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème inédit​​​​​​ 

​​​​

Françoise Urban-Menninger, « poésie en berne », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 « Étrangères », « Frontières du vivant », « Lyres printanières », mis en ligne le 8 juin 2023. URL : 

http://www.pandesmuses.fr/megalesia23/fum-poesieenberne

 

 

 

 

 

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Retour à la Table du festival Megalesia 2023

24 mai 2023 3 24 /05 /mai /2023 13:00

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Dossier mineur | Articles & Témoignages / Muses & féminin / Muses Symboliques | Revue Matrimoine | Réception d'autrefois 

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​​​​​​​​​​​Sarah Bernhardt ou le portrait de la

 

muse puissante de la mêlée symboliste

 

 

 

 

 

 

 

Ernest Raynaud (1864-1936)

 

 

Chapitre choisi, transcrit, légèrement rectifié, 

titre modifié avec une

précision par Dina Sahyouni

 

 

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Louise Abbéma (1844-1923), "Portrait de Sarah Bernhardt dans le rôle d’Adrienne Lecouvreur en 1880", peinture en huile sur toile, dimensions 22,2 x 16 cm. Ce tableau de trouve au Musée Carnavalet, image réalisée par LPpdm.

 

L'extrait ci-dessous provient de l'ouvrage – tombé dans le domaine public – de RAYNAUD, Ernest (1864-1936), La mêlée symboliste (1870-1890) : portraits et souvenirs, vol. I.,  Paris, La renaissance du livre (78, Boulevard Saint-Michel), 1920-1922, pp. 14-18. Je reviendrai sur ce texte intéressant pour l'annoter, le commenter et le traduire en arabe littéraire. Je qualifie ce texte d'intéressant parce qu'il explore brièvement un rôle spécifique peu exploré sur l'apport qu'une muse inspiratrice et influente peut jouer dans le développement et la renommée d'un courant poétique et ses pratiques.

 

 

 

 

Titre original :

 

Sarah Bernhardt

 

 

 

Mais si les poètes, à l'instigation de Sarah Bernhardt, se sont trop vite adaptés aux mœurs du théâtre il n'en est pas moins vrai qu'ils ont reçu d'elle, une secousse salutaire et qu'elle les a tirés de la torpeur de leur Tour d'ivoire où ils s'enfermaient trop volontiers, en leur rappelant qu'il y avait autour d'eux des oreilles attentives à conquérir. Elle leur a donné le sens de l'émulation. Ce n'est peut-être pas entièrement sa faute si certains, passant d'un extrême à l'autre, ont glissé si vite sur la pente des concessions, et ont déserté les hautes entreprises pour les spéculations commerciales. Ce qui demeure, à la louange de Sarah Bernhardt, c'est qu'elle a répandu le goût des beaux vers que transfigure la musique de sa voix, la flamme de son génie et la noblesse de son maintien. La nature l'a merveilleusement douée. Un statuaire grec, disait Banville, voulant symboliser l'Ode, l'eût choisie pour modèle. À l'heure qui nous occupe, elle vient de prendre possession avec éclat de la scène du Théâtre-Français. À triompher dans les rôles de Phèdre et d'Andromaque, elle nous fera aimer Racine qu'elle a sorti de l'exil où l'avait confiné l'anathème romantique et sèmera ainsi les germes d'une future renaissance classique. Comment cette femme admirable, d'une activité dévorante, artiste jusqu'au bout des ongles, ne se serait-elle pas imposée impérieusement à l'élite de son temps et n'y eût-elle pas marqué son empreinte ? Elle est vibrante, inquiète, nostalgique. On sent en elle le besoin de vêtir chaque jour une âme nouvelle, le désir d'écarter la Réalité navrante et de s'évader chaque soir

 

Vers les horizons bleus dépassés le matin.

 

Elle sera Doña Sol, Phèdre, Andromaque, Cléopâtre, Marguerite, Ophélie. Elle fera revivre aux yeux des foules le fantôme des héroïnes évanouies. Son temps haletant la suit et l'applaudira quand, pour résumer et sceller toutes les aspirations éparses de l'heure, elle évoquera les splendeurs du Bas-Empire, bâtira au milieu de nos brouillards industriels, un décor fleuri et somptueux de Byzance et dressera sur les imaginations éblouies l'image de Théodora, impératrice d'Orient. Là s'épanouira son souci de plastique, son goût des longs voiles, des tissus précieux, des dalmatiques et des étoles orfévrées qui va révolutionner la mode. Elle sera « l'Empire à la fin de la décadence », comme Verlaine, et les poètes nouveaux la suivront des yeux comme une éblouissante vision de rêve. La Poésie illumine tout ce qu'elle touche. Elle prêtera un cachet d'art même aux vulgaires affiches de son spectacle pour lesquelles elle mobilisera des talents neufs : Orazi, Grasset, Mucha. À son geste, on verra les murs éteints flamboyer d'un enchantement de couleurs. Elle y apparaîtra figée dans une pose hiératique d'idole, de sainte de vitrail, de panagia byzantine, les mains chargées de bagues, les bras de débordants de palmes et de fleurs. Musa inspiratrix, c'est le nom que lui donne Spindler dans cette icône où il montre de profil, vêtue du péplum antique, ses cheveux dénoués casqués de lauriers. C'est véritablement la Muse. Elle inspire à Edmond Rostand sa Princesse lointaine. Elle s'apparente, en image, à la Madone de Baudelaire, à l'Hérodiade de Mallarmé. Elle semble l'illustration vivante de tous ces poèmes, obsolètes, et polychromes, en train d'éclore de toutes parts, pleins de lys, d'alérions, de clairs de lune, de sphinx et de centaures, et elle captivera les chevaucheurs de nuées et de chimères par la grâce imprévue et troublante de ses travestis, évoquant la vision de l'Androgyne, du Surêtre asexué, de l'Ange impollu, ce qui lui vaudra l'hommage d'un poète exquis et précieux, l'arbitre des élégances, le nouveau Pétrone, l'un des adeptes de l'esthétique nouvelle, chez qui Hüysmans a pris l'idée de son Des Esseintes : le comte Robert de Montesquiou :

 

REVIVISCENCE I

 

Les Héroïnes disparaissent en cohortes

Comme si les chassait un étrange aquilon :

Sombre Lorenzaccio, pâle Hamlet, blanc Aiglon,

Un jeune homme renaît des jeunes femmes mortes.

 

Le Florentin éphèbe a des faiblesses fortes,

Le Sphinx du Danemark meurt sous un sort félon ;

Un sinistre palais du lugubre salon

Sur le blond fils de l'Aigle a refermé ses portes.

 

Une grâce de femme est dans ces trois enfants :

C'est que tous trois sont faits, vaincus ou triomphants,

Des grâces de Sarah qui fait toutes les femmes.

 

Et Phèdre et Jeanne d'Arc palpitent dans la chair

De ce Lorenzaccio qui prépare les lames

De l'Hamlet, Aiglon noir, de l'Aiglon, Hamlet clair.

 

Ainsi Sarah Bernhardt a joué un rôle dans l'évolution symboliste en se pliant à son esthétique symboliste et en la diffusant.

En attendant, les poètes de la Renaissance exaltent Baudelaire. On sent que sa mémoire leur est chère et l'emprise sur les cerveaux de ce génie, encore si contesté, et que les symbolistes brandiront comme un drapeau, s'avère chaque jour grandissante.

En 1873 parurent trois volumes auxquels d'ailleurs personne ne prit garde, mais qui auront une grande répercussion sur le mouvement symboliste :

 

Une Saison en enfer, d'Arthur Rimbaud.

Les Amours jaunes, de Tristan Corbière ;

Le Coffret de Santal, de Charles Cros.

 

En 1874, Cros publie la Revue du Monde nouveau, qui n'eut que quelques numéros, mais où collaboraient Stéphane Mallarmé, Léon Dierx, Villiers de l'Isle-Adam, Germain Nouveau, Zola.

 

Note

I. La Plume, n° 276.


 

 

 

***

 

 

Pour citer cet article de l'ancêtre 

 

 

Ernest Raynaud, ​​​​​« Sarah Bernhardt ou le portrait de la muse puissante de la mêlée symboliste », chapitre choisi, transcrit, légèrement rectifié, titre modifié & une précision par Dina Sahyouni de RAYNAUD, Ernest (1864-1936), La mêlée symboliste (1870-1890) : portraits et souvenirs, vol. I (1920-1922),  Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », mis en ligne le 24 mai 2023. URL :

 

http://www.pandesmuses.fr/no13/eraynaud-sarahbernhardt 


 

 

 

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