30 janvier 2023 1 30 /01 /janvier /2023 18:49

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège

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Chaconne

 

 

​​​

 

 

Irina Moga

 

Site Web :

http://www.irinamoga.com/

 

 

 

​​​​Crédit photo : Paul Schad-Rossa,  "Irène Sanden-Greenberg dans Chaconne", peinture, domaine public, capture d'écran de Commons.

​​​​

 

 

I

 

Tempête de neige qui brouille notre entendement, son équilibre 

sans façade,

ses étendues sans musique,

 

silence –

 

limite de la visibilité

démantelée

par les flocons

qui glissent sur une corde

faite de soie et de mémoires.

 

Nous sommes engloutis par la

chaconne des miroirs blancs.

 

II

 

Sous les rafales –

l’ambition d’aimer 

à tout prix

ce qu’on n’ose même pas nommer

dans l’opacité de l’hiver.  

 

III

 

Ton cœur est une fourmi de neige

qui traîne vers le frimas 

le rythme des amours oubliés,

plus lourd que son poids.

 

IV 

 

Nous sommes enfin advenus au passage 

de l’ardeur :

éclat des pas 

 

mi-insinuation – mi-danse,

vertige

 

sans syllabes

intercalées.

 

Le fruit rare de qui nous sommes

incarcéré dans des gousses d'air.

 

Tes gestes de nageur ont la syntaxe du désir

 

et je t’attends à bout de souffle

à la porte jaune du dernier dactyle. 

 

V

 

Envoi :

 

Ô, la folie,

l’ambition d’aimer 

à tout prix. 

 

© Irina Moga

 

 

***


Pour citer ce poème inédit

 

 

Irina Moga, « Chaconne », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 30 janvier 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/irinamoga-chaconne

 

 

 

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30 janvier 2023 1 30 /01 /janvier /2023 17:15

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Critique & réception

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​​​Anne-Emmanuelle Fournier,

 

« L’Offrande Aux Fantômes »

 

suivi de « Il y a longtemps que je t’aime… »,

 

Éditions Unicité, 2022,

 

68 pages, Format : 15 x 21, 13€

 

 

 

 

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Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© ​​​​Crédit photo : Première de couverture du recueil « L’Offrande Aux Fantômes » suivi de...

 

« L’Offrande Aux Fantômes » suivi de « Il y a longtemps que je t’aime… », Anne-Emmanuelle Fournier, Éditions Unicité, 2022, 68 pages, Format : 15 x 21, 13€.


 

Il y a des souvenirs qui sont tellement ancrés dans nos esprits qu’ils constituent une seconde nature donc ils sont éternels. Ce sont ceux qui ont trait à l’enfance, cette période charnière de notre existence au cours de laquelle les liens intergénérationnels comptent énormément. Ces souvenirs se déploient au fil de ce recueil de poèmes d’Anne-Emmanuelle Fournier intitulé : « L’Offrande aux fantômes ». Mais qui sont ces fantômes ? Ce sont ses aïeuls : grand-père et grand-mère dont les faits et gestes continuent de hanter l’esprit de la poète. Des repas de famille, tant de bons moments partagés en toute liberté dans la quiétude ou l’effervescence. Moments de confluence du bonheur de vivre dans la joie intense.

 

La figure du grand-père, ce lettré qui lui a tant appris est très prégnante. La transmission a été si bien faite que « la trace » de ce dernier est comme « une écorce douce, un courant paisible » qui perdurent en elle. Mais comment oublier les odeurs, les saveurs, les couleurs qui peuplent les jours d’été qui s’étirent tout doucement à la faveur de l’insouciance de l’enfance alors que ceux des aïeuls se rétrécissent ? 

C’est au tour de la grand-mère qui a survécu au patriarche de rendre l’âme, alors qu’elle s’accrochait à la vie malgré la progression de sa maladie. Encore une autre branche tombée de l’arbre généalogique de la petite-fille.

 

Fini le rite de la confiture aux groseilles et cassis, l’étreinte de l’aïeule, les balades nocturnes le long de la rivière, le partage d’un « plat odorant à l’ombre d’un platane ».

Vendue, la maison familiale – cette maison qui renferme la mémoire des ancêtres–, il y a donc des bruits familiers qu’on n’entendra plus : « le craquement du plancher », « le bourdonnement du frigo contre le carrelage », « le sifflement besogneux de la grand-mère », « la voix tonitruante des oncles », « le chant ténu des crapauds », « le vol de chauve-souris ». 

 

« Ainsi dans les contes périclitent les royaumes, lorsque meurent les Reines. », comme le souligne Anne-Emmanuelle Fournier. 

 

Voici un extrait du texte qui termine la première partie du recueil de poèmes :

 

« L’enfant qui fut n’est jamais repassée devant la bâtisse, depuis que celle-ci bat d’un autre sang. Non que cela ait été une décision. Peur inavouée qu’un royaume tant aimé soit devenu méconnaissable ? Ou que rien n’ait changé, peut-être. Une autre maison est venue nous chercher, et nous avons consenti à lui confier nos destinées. Elle avait déjà ses propres fantômes, reposant à quelques dizaines de mètres dans le grand songe de la terre.»

 

Après avoir célébré la mémoire de ses aïeuls, Anne-Emmanuelle se tourne vers les vivants. Voici venu le moment d’honorer sa moitié en le gratifiant d’un poème : 

 

« Et je cherche en vain une image pour te dire

Qui soit assez vraie

Pas un simple sortilège de mots 

Il n’y en a pas, sans doute

D’autre que ce second cœur

Que tu as planté dans l’offrande

De mon ventre. »

 

« Il y a longtemps que je t’aime » : cette deuxième partie du recueil de poèmes est un hymne à l’amour et à la vie. 

Quoi de plus palpitant qu’une vie qui évolue au creux de son être avec la complicité de son aimé ! C’est la célébration de l’amour maternel dans son immensité.  Anne-Emmanuelle semble avoie désiré le fruit de ses entrailles avant qu’il ne soit conçu. On dirait qu’il a été pensé avant même d’existé. Aussi clame-t-elle : 

 

« Je t’ai aimé

Longtemps avant que le monde ne murmure

La possibilité de ta venue

Je t’aimais déjà

Avant de dire je

Oh enfant

Cet amour est plus grand, plus ancien

Que tout ce que je crois être »

 

 

 

© Maggy DE COSTER

URL de référence : http://www.editions-unicite.fr/auteurs/FOURNIER-Anne-Emmanuelle/l-offrande-aux-fantomes/index.php

 

NDLR : Anne-Emmanuelle FOURNIER a étudié l’anthropologie puis la traduction. Elle travaille actuellement comme traductrice et interprète. Elle est également chanteuse et mélodiste dans le groupe Unseelie et s’accompagne à la harpe dans un projet musical personnel.


 

 

***


Pour citer ce texte inédit

 

 

Maggy De Coster, « Anne-Emmanuelle Fournier, « L’Offrande Aux Fantômes » suivi de « Il y a longtemps que je t’aime… », Éditions Unicité, 2022, 68 pages, Format : 15 x 21, 13€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 30 janvier 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/mdc-offrande 

 

 

 

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30 janvier 2023 1 30 /01 /janvier /2023 16:42

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Critique & réception

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Ô châteaux

 

 

poèmes de Denise le Dantec

 

Recueil publié aux éditions Sans Escale

 

 

 

 

 

 

 


 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de Denise le Dantec aux éditions Sans Escale.

 

 

 

Après « Ô saisons », Denise le Dantec complète le vers de Rimbaud « Ô saisons, Ô châteaux » tiré des Illuminations pour titrer son nouveau recueil « Ô châteaux » . Si l'on perçoit dans le vers de Rimbaud la sensation du temps qui passe  dans ce « Ô saisons », l'on pressent dans « Ô châteaux », celui de la rêverie intérieure car nul doute que pour l'autrice « le poème doit être capable de se recréer et de se compléter sans fin chez son auteur et les autres », comme l'affirmait Juarroz.

 

Pour se recréer, Denise Le Dantec a choisi d'emblée dans « Ô châteaux » de nous faire entrer dans la pleine lumière de la page blanche « Le cahier où j'écris / s'ouvre en fleur / qu'on dirait matière de neige ». Aussitôt, les mots et les images se mettent à floconner telle cette « rivière qui coulait devant la fenêtre ».

L'émerveillement est immédiat,  il nous tient dans un état de grâce  qui confine au pur enchantement « Car chaque mot est un flocon de mimosa ».

Comme chez Rimbaud, il ne semble pas y avoir de lien logique entre les phrases poétiques où les parataxes abondent et pourtant notre intuition et notre inconscient en connaissent le sens.

Quand Denise le Dantec écrit « la lèvre ébréchée d'une tasse brillait », nous nous souvenons avoir vu cette tasse, y avoir bu ici ou ailleurs, maintenant ou hier... Cette tasse à la lèvre ébréchée nous parle du bonheur d'être au monde car si l'autrice reprend dans ses recueils le premier vers d'un poème de Rimbaud dont le sujet n'est autre que le « Bonheur » avec un B majuscule « J'ai fait la magique étude / du Bonheur que nul n'élude », c'est pour nous en offrir dans son recueil la quintessence.

Le Bonheur, indéniablement, a partie liée avec le rêve « Ton rêve sortait de toi en un flux de lumière » et pourtant, l'autrice de nous confier « le soleil est / derrière moi » ou encore « le jour diminue / des choses qui tombent / des conflits arbitraires / des débris / _la pacotille de nos vies / (j'ai peine à dire ) »

Le blanc de la page laisse parfois place à des 'lieux vides » (Leerstelle) comme les appelait Wolfgang Iser. Dans ces lieux, le poème s'ouvre au monde « 1000 réfugiés attendent à l'aéroport », se referme sur « un vent d'olivier », se rouvre « les tours de verre explosent »... « Des éclats partout », reprend Denise le Dantec car la fameuse tour d'ivoire du poète n'est qu'une fable qui ne peut résister à cette réalité tangible dont les fausses notes troublent parfois la  musique du monde. Dans sa « Poétique de la rêverie », Bachelard n'annonçait pas autre chose quand il tentait d'approcher « la complexité humaine «  qui « mêle imaginaire et réalité ».

Dans un même esprit, Laurent Zimmermann, préfacier de ce recueil, nous éclaire à propos du rôle du poème « La seule chose dont il se soucie, et qu'il a pour charge de réactiver sans cesse, est le réel et notre emportement vers lui ».

Denise le Dantec  met sur le même plan « la floraison d'une petite rose/ dans les interstices du givre » que ce qu'écrit M.B : « le mieux est de déclencher/ l'inflation partout » car c'est la vie même, sa respiration qu'elle transcrit dans sa poésie sans fioriture.

La traversée du poème et celle de sa vie se conjuguent pour illuminer la page blanche où son âme ricoche pour appréhender « Une dimension d'éternité ». À nous d'en recueillir les flocons de lumière car toujours le Bonheur renaît dans cet ouvrage qui nous enivre de beauté et dont le dernier vers nous fait signe « Le dernier rayon de soleil est apparu à minuit ».

 

 

© Françoise Urban-Menninger

 

 

***


Pour citer ce texte inédit​​​​​​

 

Françoise Urban-Menninger​, « Ô châteaux, poèmes de Denise le Dantec. Recueil publié aux éditions Sans Escale »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », mis en ligne le 30 janvier 2023. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no13/fum-chateaux

 

 

 

 

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6 janvier 2023 5 06 /01 /janvier /2023 16:20

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossiers majeur & mineur | Florilèges​​​​​​

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​​​​Pourquoi la poésie

 

 

 

 

 

 

Barbara Polla​​​​​

 

 

 

 

Crédit photo : Salle Nollet, les Muses de la musique par Ernst Pasqual Jordan, 1890, domaine public.

 

 

À Giuseppe Merrone

 

 

 

Parce qu’elle est infinitésimale.
Parce qu’elle résiste au capitalisme. 
Parce qu’elle reste invendable.
Pour l’herbe entre les pavés.
Parce que Charlotte Delbo, qui dit
qu’elle est une arme pour témoigner
qui laisse l’ennemi désarmé
et ramène le lecteur
au secret de lui même.
Parce que son rythme nous emmène
Et dans le rythme les mots

 

vont au delà des mots
ils deviennent sensations
ils battent en brèche
les stéréotypes langagiers

 

Il faut lire la poésie à haute voix
dès l’aube et dans la rue
dans les vols de nuit
et lire la poésie
solitaire partagée
au lit à haute voix
sur les scènes du monde
alors, parfois, il advient que les mots

 

les mots deviennent paroles

 

La poésie est sans message
elle ne dit pas elle ne dit rien
elle est
et nous
elle nous porte en nous
là où se niche l’indicible
elle révèle l’occupation
les bas fonds et la boue
inhumaine des tranchées
puis les larmes
infinitésimales

 

la poésie

 

© Barbara Polla, 2021.



 

 

***


Pour citer ce poème inédit

 

Barbara Polla, « Pourquoi la poésie »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 5 janvier 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/bpolla-pourquoilapoesie

 

 

 

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30 décembre 2022 5 30 /12 /décembre /2022 18:43

Calendrier du matrimoine poétique 2022 & N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège 

 

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​​​​​Quatuor & Afrique

 

 

 

 

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Mona Azzam

 

 

 

Crédit photo : John Singer Sargent, "Lady Speyer", domaine public, capture d'écran via Wikipédia.

 

 

Quatuor

 

 

 

Danse aux accords entravés.

Symphonie grinçante des nuits

Froides et blêmes, je m'évanouis

Telle une oasis soudain occultée.


 

 

Octave monumentale, je serai

Le manchot malveillant

Qui lentement se refait.

 

 

Mandoline de mes rêves morts,

Joue pour moi une ultime fois

Cette douce harmonie qui dort

Aux tréfonds des obscurs bois.

 

 

Joue ! Libère-moi de la hantise

Qui me happe en ses rets

Quand le vers en moi s'enlise.

 

 

 

 

Afrique

 

 

 

Ton cœur bat au rythme des tambours

Ton soleil rejaillit, Afrique

Berceau de totems auprès des basses-cours.

Calebasse exquise aux odeurs mythiques,

 

 

 

Tu renfermes en ton sein la coque du jour.

Magicienne au pays des baobabs acides.

Afrique, tu me tiens dans ton ciel de vautours,

Éveillant en moi les éléphants perfides.

 


 

Tes entrailles se mêlent à la forêt vierge

Et ta savane m'envoûte, forêt sacrée

Où je me plais à rallumer des cierges


 

 

À la mémoire de Samory et de la Reine Pokou,

À la mémoire d'une enfance perdue,

À la vie, au soleil, au parfum de la boue.

 


 

Afrique aux senteurs des mangues sucrées,

Je te veux en moi tel un talisman

Qui renaît de ses cendres au cœur d'un mot sacré.

 

 

 

* © Extraits reproduits de Mona AZZAM, Le sablier des mots, Vibration Éditions, Strasbourg, 2020 avec l'aimable autorisation de l'auteure et sa maison d'édition, pp. 13 & 62.

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Pour citer ces poèmes inédits du matrimoine poétique

 

Mona Azzam, « Quatuor » & « Afrique »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poéféministes 2022 | « Calendrier du matrimoine poétique 2022 » & N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 30 décembre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/matrimoinepoetique22/mona-azzam-quatuor

 

 

 

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