1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Poèmes

 

Jardins...

 

   Isabelle Voisin 

 

 

 

jardin 6 72

©Crédit photo : Collection Jardins par Claude Menninger


 

 

 

UN CHANT d’oiseau

comme une odeur d’humidité dans l’air

réveillent les jardins anciens

 

 

 

 

 

 

ORANGE Saint-Malo

Jaune-rosé Montmartre

Blanc le sang des campanules

 


 

      

 

 

À ROMPRE les fleurs fanées

l’illusion

éphémère

de retrouver le jardin mort

les parents disparus

 

   

 

Pour citer ce texte

 

Isabelle Voisin, « Jardins... », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin 2013.  

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-jardins--117752645.html/Url.

 

Auteur(e)


Isabelle Voisin, née en 1963. Vit et travaille à Paris où elle exerce le métier de professeur de lettres modernes. Elle participe en 1998 au Catalogue du mois off de la photographie à Paris. Publie entre 1998 et 2002 dans les revues de poésie Décharge et Comme ça et Autrement. Isabelle Voisin réalise une série de poèmes pour Les Ambassadeurs, recueil de photographies de Martial Verdier, actuellement en ligne sur le site de la revue TK-21, sous la rubrique “Livres en écriture” : http://www.tk-21.com/. Elle publie en mai 2012 une série de poèmes consacrés à la danse dans le numéro 1 de la revue Le Pan poétique des muses (http://www.pandesmuses.fr/). Deux poèmes à paraître dans la revue Décharge courant 2013. 

 

 

 

Le Pan poétique des muses - dans n°3|Été 2013
1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Poèmes d'une aïeule

 

Trois poèmes de

 

 

Jeanne Dortzal (1878-1943)

 

Jo Laporte

Sélection et présentation 

 

 

Crédit photo : La Muse française. Revue du mouvement poétique... ["puis" Revue de la poésie]
Source: gallica.bnf.fr

 

Présentation

 

 

Jeanne Dortzal fut l'une des "stars" des années 1900, mais elle sombra dans l'oubli à un point tel qu'on ne trouve plus trace d'elle à partir des années 30. Par chance, Sydney Serra-Reich a photographié à Oran les restes d'un monument qui lui fut consacré grâce auquel on peut enfin connaître l'année de son décès. Voici deux témoignages pour l'introduire. Celui de Paul Léautaud, sur le thème "Que sont mes amis devenus ? " :

 

« Qu'est devenue Jeanne Dortzal, jeune beauté ramenée d'Algérie par Pierre Guédy, ayant fait là-bas sa conquête ? Prix de beauté du Gil Blas, puis, Guédy mort fou, devenue poétesse, auteur de plusieurs recueils de vers souvent intéressants, ayant eu, je crois, un fils de Guédy, Pierre également. Qu'est-elle devenue depuis le jour où je lui fis visite, sur une lettre d'invitation de sa part, dans un appartement assez luxueux, rue Ampère ? Mais que sont devenues les prix de beauté du Gil Blas ? » (Paul Léautaud: Journal littéraire, lundi 6 décembre 1948). Et celui plus ancien et plus sensible de Massenet, qui a mis certains de ses poèmes en musique : « L'exquis poète Jeanne Dortzal aussi est un ami de ces félins aux yeux verts, profonds et inquiétants; ils sont les compagnons de ses heures de travail ! » (Massenet, mes souvenirs, 1912, ch 19).

 

 

Poèmes

 

 

 

Poème liminaire

 

 

 

Ma volonté fut d'un forçat. J'ai fait ce livre

Avec mon sang. Voilà mon pain de chaque jour.

J'ai tiré sur ce ciel qui fut mon Hard-Labour

Et l'orgueil a lavé ma face. J'ai pu vivre

En deçà du bonheur par la toute-puissance

De ces mots flagellés. Des pleurs jusqu'au poitrail,

J'ai bâti ce poème, et, femelle en travail,

Les flancs lourds de soleil, arc-boutée au silence,

J'ai senti tressaillir ta force, ô solitude,

Enfantement qui va de l'homme jusqu'à Dieu,

Qui vous prend en travers de l'âme et peu à peu

Rend l'oubli plus alerte et les instants moins rudes.

Labeur dont j'ai senti la poigne sur ma nuque,

Quand l'immobilité, retraçant mes sillons,

Faisait sourdre du Verbe où nous nous appuyons,

L'allégresse des mots que la douleur éduque.

J'aurai vécu comme ces hommes des montagnes

Dont l'épaule a gardé la marque des saisons,

Qui marchent, en faisant sonner sous leurs talons,

La rude liberté et le soleil qu'ils gagnent.

Attelée à ma force et labourant les heures,

J'ai poussé la lumière avec une âpreté

D'aveugle, le front nu, face au ciel emporté,

Tous mes instants roidis vers l'effort qui demeure.

 

(Jeanne Dortzal, « Poème liminaire »,  La croix sur le sable, 1927)

 

 

 

Soir, seras-tu assez vaste ?


 

Cynique, à force d'être chaste,

L''être affamé, jeunesse au vent,

Hé, invective, droit devant

Lui. Soir, seras-tu assez vaste

Pour contenir l'ivrogne-dieu

Dont les jurons et la bedaine

Tanguent, grincent dans la nuit pleine :

Vieux char dont la lune est l'essieu.

L'air est si neuf. Et j'imagine

Qu'au cabaret des sept couleurs

Le prisme, où roule sa douleur,

Lui tendra la perche en sourdine.

De visions en visions

Le ruisseau, où saigne sa joie,

S'élargit, s'incurve et déploie

Votre aile, ô constellations.

 

(Jeanne Dortzal, « Soir, seras-tu assez vaste »,  Le credo sur la montagne, 1934)

 

 

 

 

Un café maure

 

 

 

 

Clef d'or qu'un dieu jeta dans les décombres

Et qui m'ouvrit le soir.

Revoici les coussins, la lampe, le miroir,

Et le divan frileux que le silence encombre.

Savoure avec lenteur le breuvage parfait.

Nos corps drapés de myrrhe ont la splendeur de l'ombre ;

Le chant du muezzin, dont le bleu s'étouffait,

Monte comme un jet d'eau:

Laisse ouverte la porte et que sa voix chancelle

Comme un berceau.

Je suis celle

Qui pleure et qui renaît, car semblable au vaisseau

Que l'infini balance, ayant croisé mes ailes,

Je tangue vers l'oubli. Que ces murs qui m'étreignent

Deviennent l'oasis, que ce breuvage noir

Sur le mensonge règne,

Puisque nous voilà seuls dans le soleil du soir.

Blidah.

 

(Jeanne Dortzal, « un café maure », Les Versets du Soleil, 1921.)

 

 

 

 

Pour citer ces poèmes

 

Jo Laporte (sélection et présentation), « Trois poèmes de Jeanne Dortzal (1878-1943) », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin  2013.  

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-trois-poemes-de-jeanne-dortzal-1878-1943-117752639.html/Url.

 

Auteur(e)

 

Jo Laporte est professeur de Lettres ayant exercé au Lycée Renaudeau et au Lycée de la Mode de Cholet. Ce sont d'ailleurs les étudiantes de 1ère et de BTS de ce dernier lycée qui ont peu à peu fait sourdre en moi le regret de ne pouvoir conforter en elles l'idée que les femmes avaient été dans l'histoire aussi créatives que les hommes. J'avais si peu d'exemples à leur donner dans le domaine de la littérature. J'ai donc créé un blog consacré à la poésie féminine, "Poétesses d'expression française…" en m'appuyant surtout sur les ressources d'Internet (Gallica en priorité…). Autres activités sur la Toile : Site présentant l'intégralité de l'œuvre poétique de Maurice Courant (1919-2007). Site de François Riu-Barotte, pianiste et pianiste-accompagnateur. Site de Philippe Malgouyres, conservateur au Musée du Louvre.

 

Pour visiter les pages/sites de l'auteur(e) ou qui en parlent

 

http://poetesses.blog4ever.com/blog/index-393335.html

 

http://www.amisldm.org/liens/

 

Notices des invitéEs du calepin...

 

Le Pan poétique des muses - dans n°3|Été 2013
1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Annonce de parution 

   

Delphine Horvilleur,  En tenue d'Ève : 


 

Féminin, Pudeur et Judaïsme,  

 

 

 

  En tenue d'Eve

Crédit photo : Couverture illustrée de l'éditeur

 

Titre : En tenue d'Ève : Féminin, Pudeur et Judaïsme
Auteure : Delphine Horvilleur

Éditions : Grasset 

Parution : 8 mai 2013
Genre : Essai
N° Hachette : 3802592
Collection : Essais Français
Langue : Français
Format : Broché, 20,4 x 13 x 2,4 cm
Nombre de pages : 208 p.
ISBN-10: 2246787459
ISBN-13: 978-2246787457

Prix : 17

Url. http://www.grasset.fr/Grasset/CtlPrincipal?controlerCode=CtlCatalogue&requestCode=afficherArticle&codeArticle=9782246787457&ligneArticle=0

  

 

 

Présentation des éditions Grasset

 

 

« Les discours religieux fondamentalistes actuels expriment une obsession croissante de la pudeur des femmes. Réduite aux parties de son corps susceptibles d’éveiller le désir, la femme est « génitalisée » à outrance. Faut-il alors couvrir sa nudité ? Faut-il la renvoyer à son destin : le voilement ?

Delphine Horvilleur analyse successivement les sens de la pudeur et de la nudité, l'obsession du corps de la femme et sa représentation comme "être orificiel" pour proposer une autre interprétation de la tradition religieuse. Elle met à mal les lectures qui font de la femme un être tentateur, et de la pudeur l'instrument de sa domination. Ainsi nous montre-t-elle comment la nudité recouverte d'Adam, d'Ève ou de Noé, renvoie à une culture du désir et non à une volonté de le tuer. Comment le voile est à l'origine destiné, non à rejeter, mais à approcher l'autre. Comment le féminin concerne aussi les hommes qui endossent, dans la prière et la pratique judaïques, les attributs des femmes et du maternel. On découvre alors, dans cette plongée au cœur des grands monothéismes, un autre visage de la femme, de la pudeur, et de la religion. » 

 

 

Essayiste 

 

  

Delphine Horvilleur, femme rabbin libéral, est née en 1974 à Nancy.

 


 

Pour citer ce texte


LPpdm,  « Delphine Horvilleur, En tenue d'Ève : Féminin, Pudeur et Judaïsme, Grasset, 2013 », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin 2013. 

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-delphine-horvilleur-en-tenue-d-eve-feminin-pudeur-et-judaisme-grasset-2013-117752637.html/Url.



Le Pan poétique des muses - dans n°3|Été 2013
1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Parution en poésie


Magnétique
 

 François Térrog 

 

 

  

©Crédit photo :  Couverture illustrée du livre Magnétique 

 

 

Titre :  Magnétique
Auteur : François Térrog
Couverture illustrée
Collection : Arabesque
Genre : Poésie
Éditions : François Térrog (éd.)
Imprimerie : The BookEdition (TheBookEdition.com)
Imprimé en France à Lille
Impression : Noir & Blanc
Référence : 88645
Parution : 2012
Format : Romantique (11x20cm)
Reliure : N/A
Nombre de pages : 113 p.
Prix :  9,85 € (version papier)
Pour commander le livre : url. http://www.thebookedition.com/magnetique-de-francois-terrog-p-88645.html

 

 

 

Résumé


Qu’est que la poésie ? Est-ce un voyage près des dieux ? Une vision de l’art ? L’auteur de ce livre a choisi de représenter la poésie à travers une histoire d’amour, un songe, qui l’a peut-être surpris une nuit. Une histoire faite de figures féminines, de musique, de peinture non loin s’il est possible de la lyre d’Orphée. Poésie, être initiatique comme ce char mystérieux courant au devant du soleil, franchissant arbres et montagnes. John Keats l’esquisse dans Sommeil et Poésie, Ovide nous le raconte dans Les Métamorphoses. Ici, se dessine ce chemin du poète. A-t-il tranché le nœud gordien évitant des brûlures mortelles ? Les muses entendant son chant d’âmes prisonnières lui ont-elles ouvert les songes? Voilà, l’histoire d'un poète avec ces lieux communs et ces vies aperçues

 

Auteur

François Térrog est trentenaire faisant usage de la plume depuis maintenant deux ans, j'ai commencé par le versant poétique, art qui à ma grande satisfaction est d'une richesse insoupçonnée. Après un premier ouvrage nommé Les Espaces Murmurants, composé de poésies chantant paysages et souvenirs. Voila l'arrivée d'un deuxième ouvrage, Magnétique en lien avec la mythologie. De mon écriture, que dire ? Elle est à ce jour influencée par les poètes des 16ème et  19ème siècles et commence petit à petit à s'intéresser aux postures techniques de la poésie contemporaine qui est plutôt foisonnante d'images métaphoriques ou d'empreintes d'images. Site web de l'auteur : url. http://terrog.blog.lemonde.fr

 

Pour citer ce texte 


LPpdm, « Parution en poésie : François Térrog (éd.), Magnétique », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin 2013. 

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-parution-en-poesie-fran-ois-terrog-ed-magnetique--117752626.html/Url.

 

Le Pan poétique des muses - dans n°3|Été 2013
1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:00

 

Poème d'un aïeul

 

 

François Villon,

 

« Ballade pour prier Notre-Dame  »

 

Texte transcrit, annoté et commenté par 

Ouattara Gouhe

 

 

 

Crédit photoLéonard de Vinci,  La Vierge aux rochers, wikimédia. 

 

 

 

 

Dame du ciel, régente terrienne,

emperière1 des infernaux palus2,

Recevez-moi, votre humble chrétienne,

Que comprise sois entre vos élus,

Ce nonobstant3 qu’onques4 rien ne valus.

Les biens de vous, ma dame et ma maîtresse,

Sont trop plus5 grand que ne suis pécheresse,

Sans lesquels bien âme ne peut mérir6

N’7 avoir les cieux. Je n’en suis jangleresse8 ;

En cette foi je veux vivre et mourir.

 

A votre fils dites que je suis sienne ;

De lui soient mes péchés absolus9 ;

Pardonnez-moi comme à l’Egyptienne10,

Ou comme il fit au clerc11 Téophilus12,

Lequel par vous fut quitte et absolus13,

Combien qu’14 il eût au diable fait promesse.

Préservez-moi de faire jamais ce15,

 

Vierge portant, sans rompure encourir16,

Le sacrement qu’on célèbre à la messe ;

En cette foi je veux vivre et mourir.

 

Femme je suis pauvrette et ancienne

Qui rien ne sais ; onques lettre ne lus.

Au moutier17 vois, dont je suis paroissienne,

Paradis peint, où sont harpes et lus18

Et un enfer où damnés sont boullus19 ;

L’un me fait peur, l’autre joie et liesse.

La joie avoir me fait, haute Déesse,

A qui pécheurs doivent tous recourir,

Comblés de foi, sans faim ni paresse :

En cette foi je veux vivre et mourir.

 

Vous portâtes, digne Vierge, princesse,

Jésus régnant, qui n’a ni fin ni cesse20,

Le Tout-Puissant, prenant notre faiblesse,

Laissa les cieux et nous vint secourir,

Offrit à mort sa très chère jeunesse ;

Notre-Seigneur, tel est tel le confesse21 :

En cette foi je veux vivre et mourir.

 

(François Villon, « Ballade pour prier Notre-Dame » , Le Testament, 1461.)

 

 

 

Notes 

 

 

1 Impératrice.

 

2 Les marais (palus) de l’enfer (infernaux) ; mélange de la mythologie antique et de l’au-delà chrétien.

 

3 Et ceci malgré le fait que.

 

4 Jamais.

 

5 Beaucoup plus.

 

6 Mériter.

 

7 Ni.

 

8 Menteuse.

 

9 Lavés, effacés.

 

10 Sainte Marie l’Égyptienne, sauvée par une intervention de la Vierge Marie.

 

11 Homme cultivé au Moyen Âge.

 

12 Il avait vendu son âme au diable, et fut sauvé, lui aussi, grâce à l’intercession de la Vierge.

 

13 Absous.

 

14 Bien que.

 

15 Cela.

 

16 « Sans encourir de souillure » ; la Vierge a pu mettre au monde Christ sans perdre sa virginité.

 

17 Monastère, Église.

 

18 Luths, instruments de musique à cordes.

 

19 Bouillis.

 

20 Synonyme de fin.

 

21 Le sens premier du verbe confesser était dire sa foi.

 

 

 

Commentaire

 

 

Choix d'une ballade d'un aïeul de renommé, François VILLON. J'ai choisi ce poème pour sa double adresse : il rend compte de la sincère confidence d'une aïeule, la mère du poète, à une Ancêtre du lyrisme, la Vierge Marie. De plus, l'envoi final de la ballade dévoile un "acrostiche" éponyme de VILLON par les lettres à l'initial des vers (J=I).

 

 

Ouattara Gouhe

 

 

Pour citer ce poème

 

Outtara Gouhe, « François Villon, ''Ballade pour prier Notre-Dame'' », poème transcrit, annoté et commenté par Ouattara Gouhe, Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Jardins d'écritures au féminin », « Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°3|Été 2013 [En ligne], (dir.) Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 1er juin  2013.   

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-n-3-ballade-pour-prier-notre-dame-117752622.html/Url.

 

Auteur(e)

Ouattara Gouhe

Le Pan poétique des muses - dans n°3|Été 2013

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