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Dans ce « nowhere » solitaire les matins lèchent le silence de nos mères quand une larme serpente la dorsale de leur rêve à l’affût des étangs grenouillards
femmes d'éternité leurs chevelures s'enroulent autour d'un chaud frisson quand la mémoire de leurs jambes se referme sur la tendresse dépôt de lumière dans la moelle du lit
Poème écrit en 2016 |
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http://www.pandesmuses.fr/2016/03/nowhere.html |