10 mai 2017 3 10 /05 /mai /2017 16:08

 

N°6 | Muses au masculin

 

 

 

 

La Supplique à l’enfant

 

 

 

Mustapha Saha

 

 

© Crédit photo : Mustapha Saha, photographié par Élisabeth Saha

 

 

"La Supplique à l’enfant" prend à contre-pied le célèbre « Tu seras un homme, mon fils » (1910) de Rudyard Kipling.

 

 

***

 

 

 

 

Tu recrées le monde d’un revers de pinceau

Traverses l’océan sur un rameau d’érable

Découvres l’Amérique au détour d’un ruisseau

Séduis les princesses immortelles des fables

Combats les pirates pour une agate noire

Enfermes ton butin dans une bonbonnière

Et guettes dans la tour de ton fictif manoir

Les fantômes vengeurs de tes nuits buissonnières

 

 

 

 

Si jamais tu coules ton arche imaginaire

Sabordes tes contes dans un mauvais réveil

Satures ton esprit de soucis ordinaires

Si tu jettes les clés de ta boîte à merveilles

Tu perds le souvenir de ton savoir étrange

L’invisible passage au royaume des muses

Le langage des fées légué par ton archange

Les secrets des elfes joueurs de cornemuse

 

 

 

Quand tu abandonnes ta cabane d’ermite

Tes gambades folles d’impertinent lutin

Ta lampe magique d’explorateur des mythes

Ta trompette orphique d’infernal cabotin

Ton pouvoir naturel d’invocateur d’oracles

Ton âme utopique d’indomptable mutin

Ton vase alchimique d’inventeur de miracles

Tu n’es qu’un adulte captif de ton destin.

 

 

 

***

 

 

Pour citer ce poème

 


Mustapha Saha, « La Supplique à l’enfant », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 10 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/supplique-enfant.html

 

 

© Tous droits réservés                      Retour au n°6|Sommaire

Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
10 mai 2017 3 10 /05 /mai /2017 14:47

 

N°6 | Poésie & musique

 

 

Les voix de mon poème /

 

 

The voices of my poem


 

 

 

Poème de

 

Françoise Urban-Menninger

 

Musique de

Gunter Scholler

 

Interprétation de

 

 Chorale  SATB

 

Ce poème mis en musique est reproduit avec

l'aimable autorisation des artistes et de l'auteure

ou

 

 

 

Voir aussi

 

Françoise Urban-Menninger, « Les voix de mon poème », in Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : « Le printemps féminin de la poésie », Hors-Série n°1 [En ligne], sous la direction de C. Aubaude, L. Delaunay, M. Gossart, D. Sahyouni & F. Urban-Menninger.

 

***

 

Pour citer ce poème chanté

 

Françoise Urban-Menninger (parolière), Gunter Scholler (musique de), Chorale SATB (interprète), « Les voix de mon poème/The voices of my poem », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 10 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/voix.html

 

 

© Tous droits réservés                       Retour au n°6|Sommaire

Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
10 mai 2017 3 10 /05 /mai /2017 11:12

 

Dossier mineur | Textes poétiques

 

 

Le chemin du poème

 

&

 

Sous la musique de la pluie

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

 

Illustration de

 

Camille Claus

 

 

Ce dessin reproduit a été spécialement réalisé par l’artiste pour accompagner les poèmes de Françoise Urban-Menninger publiés dans L’or intérieur paru chez Éditinter avec l'aimable autorisation des ayants droit, de Françoise Urban-Menninger et de la maison d'édition Éditinter à qui nous adressons nos sincères et chaleureux remerciements.

 

***

Le chemin du poème & Sous la musique de la pluie

© Crédit photo : Les oiseaux, dessin de Camille Claus.

 

 

 

Le chemin du poème

 

 

les morts occupent nos pensées

ils habitent la petite musique du silence

et dorment dans le lit du verbe


 

ils tracent en nous le chemin du poème

et sous la peau des mots on perçoit

leurs voix qui éclairent nos ténèbres


 


 

***

 

 

sous la musique de la pluie

 

 

 

 

 

sous la musique de la pluie

la rime coule de source

s'égoutte mot à mot

dans la bouche du poème


 

nous y buvons le verbe

dans le calice du jour

nous y noyons nos larmes

dans les draps de la nuit


 

nous avons pour la pluie

cette douce tendresse

qui nous berce

depuis l'enfance


 

nous avons pour la pluie

ces regrets de l'ombre

qui déjà nous ramènent

au bord de nous-mêmes

 

***

 

Pour citer ces poèmes

 


Françoise Urban-Menninger, « Le chemin du poème » & « Sous la musique de la pluie », illustration de Camille Claus, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 10 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/musique-pluie.html

 

© Tous droits réservés                             Retour au n°6|Sommaire

Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6 Musique
10 mai 2017 3 10 /05 /mai /2017 10:32

 

Dossier majeur | Textes poétiques

 

 

Entre les lignes,

 

 

La tête dans mon poème

 

 

& Épine de douleur

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Illustrations de

 

Camille Claus

 

 

Ces dessins reproduits ont été spécialement réalisés par l’artiste pour accompagner les poèmes de Françoise Urban-Menninger publiés dans L’or intérieur paru chez Éditinter avec l'aimable autorisation des ayants droit, de Françoise Urban-Menninger et de la maison d'édition Éditinter à qui nous adressons nos sincères et chaleureux remerciements.

 

 

entre les lignes

Entre les lignes, La tête dans mon poème & Épine de douleur

© Crédit photo : Narcisse, dessin de Camille Claus.


 

 

 

sur ma feuille blanche

des ombres parfois se penchent

elles sont d'encre et de chair

et leur peau est lumière


 

elles viennent entre les lignes

me faire d'imperceptibles signes

depuis cet autre côté

où la vie les a quittées

 

 

***

 

épine de douleur

Entre les lignes, La tête dans mon poème & Épine de douleur

© Crédit photo : Une femme, dessin de Camille


 

quand la rose ouvre sa paupière

sur la tombe nimbée de lumière

on respire dans son haleine

la fragrance de notre peine


 

et dans notre cœur en pleurs

que traverse une épine de douleur

nous rejoignons en pensée

ceux qui nous ont quittés


 

mais c'est aussi dans cette lumière

que le verbe se fait chair

et que la rose refleurit

en terre de poésie

 

***

 

 

la tête dans mon poème

 

Entre les lignes, La tête dans mon poème & Épine de douleur

© Crédit photo : Reflets, dessin de Camille Claus.

 

 

est-ce l'air qui frissonne

ou ma peau qui frémit

seul le vent d'automne

se fait l'écho de mes nuits


 

la tête dans mon poème

je défais les fils du silence

et tisse sur la page blanche

le linceul de mes rêves


 

mais seul le vent d'automne

pressent cette amertume

au goût âpre de pomme

qui affleure sur mes lèvres de brume

 

 

***

 

Pour citer ces poèmes

 


Françoise Urban-Menninger, « Entre les lignes », « Épine de douleur » & « La tête dans mon poème », illustrations de Camille Claus, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 10 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/epine-douleur.html

 

© Tous droits réservés                        Retour au n°6|Sommaire

Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
9 mai 2017 2 09 /05 /mai /2017 08:07

 

Dossier mineur | Textes poétiques

Poétesse orientaliste

 

 

 

L’œuf — entre les mains

 

 

des deux déesses de Denderah 

 

 

 

Camille Aubaude

Sites officiels : http://www.camilleaubaude.com/

& www.lamaisondespages.com/

Blog officiel : https://camilleaubaude.wordpress.com/

 

Illustration de

 

Gordan Ćosić

 

 

 

C'est un récit de rêve inédit dans un recueil intitulé Les Mystères de l’âme au petit matin.

© Crédit photo : Gordan Ćosić, Vkonj 1, 2016

 

 

Un œuf immergé dans une piscine éclate au ralenti. La coquille se marbre de fissures, comme le pare brise de la voiture dont j’étais passagère, au Caire. L’enseignante d’anglais du Lycée français de Maadi conduisait. Elle parlait à tort et à travers. En interprétant son thème astral, je lui avais prédit une mort violente. Elle a percuté un bus rouge et jaune qui nous a fait faire des tonneaux. Je venais d’être titularisée professeur de lettres modernes.

Les fragments de coquille s’éparpillent en silence. La fixité me fait l’effet d’une flèche entrant dans le cerveau où elle libère des données insensées. Le jour où les élèves du collège Évariste Gallois à Sevran m’ont gazée dans une salle d’étude, j’ai eu l’impression d’être la cible sur laquelle on tire. Une agression met à terre. À leurs yeux, j’étais apatride. « Des femmes comme vous… » ! Comment pouvais-je leur enseigner la langue française ? Condamné à errer dans le « politiquement correct », le professeur est désemparé — c’est le mot propre pour une mort dans les normes.

Les filaments jaunes de l’œuf ondoient dans l’eau et finissent par se dissoudre. Pourquoi souffrais-je autant de voir l’œuf perdre sa forme ? Je perçois certains signes à outrance, par excès de solitude. À terre, la douleur s’épanche. À l’assaut des songes, elle divague, défiant la logique.

Je ne suis pas restée longtemps à Sevran. J’ai emprunté les chemins de traverse. La flexibilité de ces voies hors normes donne des joies réelles, qui sont rarement celles que l’on espère. Mes demandes de congé pour ne plus être gazée par mes élèves n’ont pas abouti. Un psychiatre de l’Hôtel Dieu a profité de mon désarroi de femme agressée pour me déclarer « inapte aux fonctions d’enseignante ». C’est l’oppression de l’Éducation nationale sur ses salariés. L’un commande, l’autre subit, mais l’on s’aperçoit que l’un interagit sur l’autre. Celui qui déclare l’inaptitude manipule pour la rendre vraie. « C’était ce que vous vouliez ? » a affirmé doucement le docteur.

Les filaments de l’œuf dessinent un corps de femme qui a la beauté miraculeuse d’une divinité : cheveux noirs, peau blanche où se noie l’écume. La tête est coupée, hors de l’eau, mais des hommes jettent des pierres pour que l’idole meure — la guerre assure leur puissance. C’est une simulation de noyade. Ils ne lui laissent pas de répit. Ils rendent le monde d’autant plus sanglant que la femme est désirante : Isabelle Eberhardt, Camille Claudel, Marie Curie, Julia Berger, Muriel Cerf, retenez ces noms, et l’Isis de la Maison des Pages qui dépeint la Féminité céleste. Ce qui nourrit l’œuvre est une lecture de la société où les hommes se battent pour prendre femme, où ils se rassemblent pour qu’une jeune femme pose nue devant leurs chevalets, où ils portent leur regard de jocrisse sur « la Femme », prêts à lâcher les chiens quand elle a une personnalité énergique et hors normes.

Dans l’eau, dans l’air, en tous points de la terre naît une femme immense sans les leurres de la séduction. Sa musique n’est pas corrompue. Éclairée d’un rayon de soleil, elle nage pour atteindre le bord de la piscine. L’apparition devrait s’effacer, retourner dans l’œuf, mais elle s’élance, sort de l’eau comme elle entrerait dans la réalité, pulsive et forte, ardente et fine. L’abondance éblouit, la délicatesse console : par elles, nous nous faufilons dans l’éternité !

Le sol de sable est mouvant. Il s’enfonce, il remonte, se distend et s’effile dans le ciel pendant que la Nymphe ajuste sur elle un maillot bleu azur. Un bonnet jaune vif recouvre sa chevelure. Des lunettes de plongée cachent à moitié son visage. Elle met un pince-nez, marche sur le plongeoir, est prête à s’élancer. Soudain éclate une musique de fanfare.

Le froid s’abat comme un couperet. La Nymphe est déroutée par l’eau qui clapote autour elle. Le bain cosmique a lieu à un point précis du globe : l’île de Philæ que l’eau du lac Nasser a recouverte. Le Dieu Soleil savait les exigences d’Isis, la Déesse Trône. Le Disque embrasé monte de l’Horizon.

En une seconde, la surface de l’eau prend l’aspect fascinant d’un champ de ruines. Les limites sont des rives qui se métamorphosent en danseurs. Ils se pavanent, ni amusants, ni inquiétants. Soupçonneuse, je regarde les pierres du sol gris cendre.

Ce sont les ruines de Fosta, le centre originaire du Caire, le point précis où l’enseignement est né pour irriguer les maisons de son eau claire. « Savoir et savoir faire » dit le langage creux, qui rend tout miracle impossible. L’on sait que des fanatiques et des profiteurs ont martelé les scènes d’allaitement. Ils ont bâillonné les religions à Mystères. Le conquérant attaque ce qui nous satisfait follement dans la vie. Sa colère se reporte sur les rondeurs des femmes.

Les fondations en briques crues aux dimensions inconnues sont celles de la première enceinte, et des premières villas de l’Égypte aux Dieux qui ne nous importent plus.

Souviens-toi, ô Fille ! les murs des maisons étaient décorés de Gorgones, de mosaïques aux algues ondoyantes. De bienheureux mariages renouvelaient le temps. Quel « flagrant délice » les ablutions ! Les murs ont mué en femme grenouille, en femme poisson, en serpente fidèle d’amour au large de paysages disparus.

À Fosta, le Nil a changé son parcours. Le Dieu Fleuve épouse le mouvement de la Terre suivi par l’ibis et les poules d’eau. La ville ne pouvait plus se servir du fleuve ; elle a cherché à s’en délivrer, pour créer sa grandeur. Son Centre s’est déplacé, tel un cœur transplanté dans un autre corps.

Les vestiges de Fosta, la première cité ne ont à présent un champ de ruines dans un paysage naufragé. Le fleuve sacré infiltre le sable avec la puissance silencieuse de la mer.

Je suis allée voir le champ de brumes d’où a surgi l’Égypte. Des gens se sont aimés là où n’est plus qu’une boue sèche labourée de nuées blanches. Les figures des Dieux gravitent sur la face de la Nature. Pourquoi suis-je revenue à Fosta trois fois ? Nerval chassait sa mélancolie, pleine de ferveur mystique, en se promenant dans la forêt de pierre. L’œuvre doit affranchir des arcanes du Temps. Elle fermente, nouvel Osiris, dans la terre illuviale.

La Déesse plonge dans la ville sous les lueurs des siècles. Un mirage. Sous les lueurs des veilles des pauvres âmes qui se sont laissées prendre au piège de l’entre dévoration et ne chantent plus. Usure, oppression, désolation, qui peut le dire ?

Coup de tonnerre : la scène vole en éclats. Des morceaux de coquille crissent comme des oiseaux de papier qui s’envolent au ralenti pour atteindre la gangue du Soleil. Les ruines se recomposent en un rectangle d’une matière ferme.

Il est stable. C’est une stèle funéraire, l’accomplissement.

 

***

 

Pour citer ce récit

 


Camille Aubaude, « L’œuf — entre les mains des deux déesses de Denderah », illustration de Gordan Ćosić, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 9 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/deesses-denderah.html

 

© Tous droits réservés                           Retour au n°6|Sommaire

Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6

Bienvenue !

 

RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION ! 

LUNDI LE 3 MARS 2025

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES

Rechercher

Publications

Dernière nouveautés en date :

VOUS POUVEZ DÉSORMAIS SUIVRE LE PAN POÉTIQUE DES MUSES  SUR INSTAGRAM

Info du 29 mars 2022.

Cette section n'a pas été mise à jour depuis longtemps, elle est en travaux. Veuillez patienter et merci de consulter la page Accueil de ce périodique.

Numéros réguliers | Numéros spéciaux| Lettre du Ppdm | Hors-Séries | Événements poétiques | Dictionnaires | Périodiques | Encyclopédie | ​​Notre sélection féministe de sites, blogues... à visiter 

 

Logodupanpandesmuses.fr ©Tous droits réservés

 CopyrightFrance.com

  ISSN = 2116-1046. Mentions légales

À La Une

  • ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL | NO III
    . CÉLÉBRANT LES AUTRICES EXILÉES, IMMIGRÉES, RÉFUGIÉES... LE 8 MARS DE CHAQUE ANNÉE, LE PRIX LITTÉRAIRE DINA SAHYOUNI (PORTANT LE NOM DE LA FONDATRICE DE LA SIÉFÉGP ET DE CETTE REVUE) REDÉMARRE À PARTIR DU 14 JUILLET 2025 POUR L’ÉDITION DU 8 MARS 2026....
  • Éclats de mémoire archéologique gazaouie
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Revue culturelle des continents* & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Varia & Actualité Éclats de mémoire archéologique gazaouie Mustapha Saha Sociologue, poète, artiste peintre Sociologue-conseiller...
  • les charniers de l’humanité
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Catastrophes, faits de société & faits divers | S’indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages | Revue Poépolitique les charniers de l’humanité Poème anti-guerre par Françoise Urban-Menninger...
  • Actualités poétiques à ne pas manquer en juin ! (suite...)
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Annonces diverses / Agenda poétique Actualités poétiques à ne pas manquer en juin ! (suite...) La rédaction de ce périodique a sélectionné pour vous les événements artistiques & poétiques...
  • L’âme des choses
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Florilège | Fictions féministes | Astres & animaux L’âme des choses Récit par Françoise Urban-Menninger Blog officiel : L'heure du poème Peinture par Mary Cassatt (1844-1926) Crédit...
  • Vertille
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Critique & réception / Chroniques de Camillæ | Dossier Vertille Chronique féministe & photographies par Camillæ/Camille Aubaude https://everybodywiki.com/Camille_Aubaude Blogue officiel :...
  • Mary Cassatt (1844-1926)
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Articles & Témoignages | Revue Matrimoine Mary Cassatt (1844-1926) Notice biographique par Sarah Mostrel Site : https://sarahmostrel.wordpress.com Facebook : https://www.facebook.com/sarah.mostrel...
  • Suzanne Valadon (1865-1938)
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Articles & Témoignages | Revue Matrimoine Suzanne Valadon (1865-1938) Notice biographique par Sarah Mostrel Site : https://sarahmostrel.wordpress.com Facebook : https://www.facebook.com/sarah.mostrel...
  • Le récit « Souvenirs de Chine » écrit & illustré par Marie-Jeanne Langrognet-Delacroix vient de paraître aux Éditions Astérion
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Critique & Réception | Poésie & littérature pour la jeunesse Le récit « Souvenirs de Chine » écrit & illustré par Marie-Jeanne Langrognet-Delacroix vient de paraître aux Éditions Astérion...
  • Avis de parution du nouveau recueil bilingue français-espagnol d’Aurélie-Ondine Menninger : La sangre de las aves / Le sang des oiseaux
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Florilège Annonces diverses / Agenda poétique Avis de parution du nouveau recueil bilingue français-espagnol d’Aurélie-Ondine Menninger : La sangre de las aves / Le sang des oiseaux...