8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 08:23

 

Poème pour le Printemps des poètes

 

 

Femmes poètes de l’ombre

 

 

Françoise Urban-Menninger

Rédactrice de la revue LPpdm et membre de la SIEFEGP

Responsable de la rubrique Lettres & Arts

                             

 

Ce poème est dédié aux oubliées de la poésie du XXème siècle :

Marie Dauguet, Marie Nervat, Renée Brock, Lise Deharme, Claire Goll…


 

 

femmes poètes de l’ombre

oubliées dans les couloirs

de l’Histoire

 

avant que notre mémoire

ne sombre

revenez dans les coursives du poème

 

crier votre amour

ou votre peine

d’être nées poètes un jour

 

d’avoir été ces femmes

inspirées et oubliées

enviées et bafouées

 

d’avoir été ces femmes

qui nous ont prêté vie

et que l’on fête aujourd’hui

 

femmes de l’ombre

avant que le soleil ne sombre

offrez-nous la lumière

 

à travers nos écrits

nous porterons vos cris

qui renaîtront dans nos vers

 

et jusqu’aux plus hautes cimes

nous défendrons vos hymnes

dans chacune de nos rimes


 

 

Pour citer ce poème féministe 

Françoise Urban-Menninger, « Femmes poètes de l'ombre »Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°7 [En ligne], mis en ligne le 8 mars 2016. Url : http://www.pandesmuses.fr/2016/03/femmes-poetes-de-l-ombre.html

 

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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 08:00

 

   

Poème français/arabe

 

La nuit

 

ou

 

الليل

 

 

Dina Sahyouni

    

 

 

Poème contre la violence conjugale sur les femmes
 
La nuit,
libre de dire son angoisse
l'homme s'en va
le loup apparaît
 
 
La nuit,
libre comme la mort
il lui vole son sourire
lui arrache le cœur
émiette son être
 
la nuit,
le loup sourd
 

 

 

قصيدة ضد العنف المنزلي على النساء
 
 
الليل
 
 
 
الليل
 
حُرٌّ بِقَولِ قَلاقَهُ

يذهَبُ الرَّجُلُ

يظْهَرُ الذئب
 
 

الليل

حُرٌّ مِثل الموت

يسرقُ بسمتها

ينتزعُ قلبها

يفتِتُ كيانها
 
 
 
الليل
 
يظهر الذئِبُ

 

 

Pour citer ce poème féministe 

Dina Sahyouni (texte bilingue français-arabe), « La nuit » ou « الليل », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°4 [En ligne], mis en ligne le 23 octobre 2013. Url.http://www.pandesmuses.fr/article-poesie-souvenirs-120689810.html/Url.http://0z.fr/kgs0j

 

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 13:00
   

Poème reproduit


  Tes longues jambes dorées 


 

 

Anne-Marie Reine Le Pape 


 

Pour ma culture et mon humour

tu m'as épousé.

Pour tes longues jambes dorées

je t'ai adorée

pour ton sens de l'humour et ta gaieté

je t'ai épousée.

Dans ta pharmacie

nues sont tes longues jambes dorées.

Sur le danger je t'ai alertée

les microbes de tes clients

vont s'y accrocher

et nous attaquer.

Plus persuasif je me suis montré

un pantalon j'ai exigé.

Jamais tu n'en avais porté ?

Tes jambes sont ton bien-être et ta fierté ?

Pourquoi trembler, mon amour

où est resté ton sens de l'humour ?

Pour ta fête un pantalon je t'ai offert

à ta boutique en pantalon tu partais

mais, en jupe je t'y surprenais.

Les contrôles je multipliais

les allers et venues de tes clients

je vérifiais

sur une chaise je m'asseyais

toute embarrassée tu devenais.

Où est restée ta gaieté ?

Quand je rentrais tu dormais

sur les cachets tu forçais

à ta pharmacie ils abondaient.

Pour ta compagnie, je te secouais

de pire en pire tu abusais.

Pour ta compagnie

jusqu'à la douche je te traînais

même l'eau froide n'y parvenait

c'est le froid des carreaux qui te réveillait.

Seul je me retrouve.

Interdit de te visiter

en cure de sommeil tu es placée.

Nous sommes pourtant mariés

 

À quand tes longues jambes dorées ?

Seul je me retrouve.

Seules tes potions tu connais

la philosophie tu ne sais.

Cultivé je suis et je réfléchis :

« L'homme n'est pas un animal solitaire »

Mais je suis seul

si je ne suis pas un animal

suis-je un homme ?

 

 

*Poème reproduit avec l'aimable autorisation de l'auteure


                                                 

Pour citer ce poème 


Anne-Marie Reine Le Pape, « Tes longues jambes dorées »,  (poème extrait du recueil Je veux juste être tranquille), in Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : « Le printemps féminin de la poésie », Hors-Série n°1 [En ligne], sous la direction de C. Aubaude, L. Delaunay, M. Gossart, D. Sahyouni & F. Urban-Menninger, mis en ligne le 10 mai 2013.

Url. http://www.pandesmuses.fr/article-tes-longues-jambes-dorees-116293598.html/Url.http://0z.fr/lsVKh

 

Auteur/Autrice

 

Anne-Marie Reine Le Pape


L'auteure française Anne-Marie Reine LE PAPE, née en 1961, est avocate à Paris (France) depuis l'année 1985 et défend des femmes battues. À partir d'histoires réelles, mélangées et retouchées pour préserver les anonymats, elle a publié en 2012 en ebook sur le site Amazon un recueil de 25 poèmes sur la violence conjugale.

Le poème N° 22  « Tes longues jambes dorées »vient apporter sa contribution au Printemps féminin de la poésie 2013 sur les trois thèmes : la voix, le cri, la Journée internationale des femmes. En effet, comme souvent dans la violence conjugale, on entend :

  • un faible cri de la femme, victime, qui tente une révolte laquelle s'étiole en même temps que sa santé,

  • la seule voix de l'homme qui finit par se retrouver seul et, alors,déconfit, revient sur le déroulé de la vie du couple, depuis la rencontre jusqu'à la séparation.
    Comme peu souvent, il s'interroge sur son comportement, ce qui laisse un espoir.

Ce poème rappelle que la violence conjugale existe dans tous les milieux, ici en milieu aisé, montre l'emprise de l'homme violent sur sa femme, l'isolement de la femme victime de violences tant psychologiques que physiques, et l'impact de la violence sur la santé des victimes.


 

 

31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 07:00

 

 

 

 

Introduction à l’œuvre de maría castrejón :

 

 

du con au féminisme genderqueer


 

 

Claire Laguian

Université de Paris-Est

Marne-la-Vallée, LISAA (EA 4120)

 

  image claire2

©Crédit photo : maría castrejón

 

La première de couverturei du recueil volveré mucho más tarde de las doceii (je rentrerai beaucoup plus tard que minuitiii), provocatrice tout comme le premier vers « No me sale del coño » (« Ça ne me vient pas du con »), donne immédiatement le ton de la poésie de maría castrejóniv : une poésie écrite par une femme fière de l’être, une poésie dont les mots – souvent noirs – restent gravés dans nos corps en jouant subtilement avec le genre. Cela n’est donc pas anodin que l’auteur madrilène d’un essai sur le roman lesbien en Espagnev et d’une thèse (en cours) sur le transgenre littéraire, ait choisi pour la couverture de son premier recueil poétique de recouvrir son corps nu de mots utilisés par les romancières espagnoles pour symboliser l’organe sexuel féminin de manière métaphorique.

Il n’y a rien de métaphysique dans cette poésie du quotidien, mais des enchaînements de négations nous font oublier si nous sommes homme ou femme (et si nous aimons femme ou homme ?). Une rébellion permanente synthétisée dans le seul titre du recueil, une ode à la « nocturnité » et à une « bizzarattitude » souvent à la limite du destroy et du trash. Une déferlante de vers dans un rythme saccadé nous présente donc une contre-poétique provocatrice et sans ornementsvi, qui réussit à être en même temps un symbole de littérature féministevii et  queer en déconstruisant les catégories, les étiquettes et en criant la colère de la poète : une écorchée vive au milieu de cette société (de consommation) qu’elle dénonce notamment pour sa haute dose de superficialitéviii.

 

Cette poésie souvent polysémique et saphique, fantasmant sur les femmes d’âge mûrix ou les infirmièresx, s’affirme volontairement contre les poèmes d’amour sentimentaux. Cependant, la sensualité n’est pas exclue, notamment par l’obsession de la sueur et des aisselles fémininesxi ou par une tentative érotique de déjouer la servitude animale des femmes dans les mariages forcésxii. Le mélange des genres est particulièrement efficace dans « hadès » et « Fille n°6 », où la voix poétique s’assimile au dieu grec maître des Enfers ou à un individu de sexe masculinxiii : « comme si je soulevais ta jupe », « Je suis la fille qui veut juste te baiser », « et je te dis que c’est beau que tu me la suces lentement / que tu entrouvres tes jambes pour moi dans mon château ». La poète va même jusqu’au refus d’avoir un corps tout court (« anti corps »), ou un corps marqué par un genrexiv malgré les tentatives de réconciliation avec son corps grâce à des jeux de mots ou de sonorités qui fonctionnent particulièrement bienxv.

 

Nous ne pouvons conclure sans évoquer la musicalité de cette écriture, qui reste ancrée dans le rythme naturel de l’alexandrin espagnol (14 pieds) et du dodécasyllabexvi, et qui apparaît également dans l’unique rime assonante en –a- que l’on retrouve tout au long des poèmes : ce n’est bien sûr pas un hasard puisque la voyelle A est la marque du genre féminin en espagnol… Le seul poème où le son -o-, celui de la masculinité, est prépondérant est le premier texte où il est justement question de « coño », c’est-à-dire du « con », pourtant marque biologique du féminin ou quand les genres ne sont plus ce qu’ils croient être…

 

 

Notes


 

i. Cf. la photo présente au-dessous du titre et dans le texte « Yo, yo misma y mi musa » (« Moi, moi-même et ma muse », notre traduction) appartenant au même dossier consacré à la poète. 

ii. Recueil vainqueur du prix de littérature LGBT de poésie « Desayuno en Urano » en 2011 (après Juan Antonio González Iglesias en 2010) et publié chez Egales.

iii. Notre traduction (ici, toutes les occurrences poétiques et les titres en français sont de notre fait).

 

iv. Sans majuscules, volonté de la poète dans le but de « déhiérarchiser ».

v. Castrejón, María, …que me estoy muriendo de agua. Guía de narrativa lésbica española, Egales, Barcelone-Madrid, 2008.

vi. Sur ses divers blogs, la poète lutte fermement pour la « dépathologisation » de la poésie (http://porladespatologizaciondelapoesia.blogspot.fr/) afin que cet art soit mieux diffusé et à la portée de tous. Elle revendique la poésie comme une arme politique en temps de crise (http://periododereflexion.blogspot.fr/) et s’évertue à organiser des lectures poétiques ou performances, sans oublier de diversifier son activité par des collages ou des romans graphiques.

vii. La poète essaye même d’approcher les hommes au féminisme avec son annexe découpable « offres non-cumulables ». Il s’agit d’une nouvelle forme provocatrice de marketing pour que les hommes soient sensibilisés à ces revendications : « Les femmes peuvent lire gratuitement ce poème, / et pour les hommes ça leur coûtera moitié-prix / s’ils le lisent avec l’une d’entre elles ».

viii. Cf. la forme particulière du « poème à deux voix » qui illustre à merveille les problèmes de communication et le non-sens de nombreux échanges humains.

ix. « s’assied la femme / que réellement / tu désires et elle donne à manger / à son fils des croquettes de / jambon ibérique » (« poème à deux voix »).

x. « je déchire les pantalons des infirmières / (elles ont des culottes de gaze verte / et une épilation brésilienne). » (« le centre hospitalier »).

xi. « Lèche la sueur des aisselles […] / Une femme nettoie les boîtes aux lettres / en traçant des cercles avec ses doigts. / Je ne suis pas capable de m’approcher / pour vérifier ce que ça sent. » (« voix ou tape ») ; « je me plonge dans le fond de tes aisselles pour les fuir. » (« je n’écris pas de poèmes d’amour »).

xii. « Effleurez vos seins avec leur peau », « effleurez avec elles votre entrejambe », « Votre fils a besoin de bottes / et vous d’une jeune fille / qui vous accompagne, / Mary Jones / quand les hommes abandonneront / le tapis. (« Mary Jones »).

xiii. Alors que parfois elle rejette violemment les hommes : « Je suis dégoûtée par les chauffeurs de taxi qui / sans le vouloir embrassent / leurs femmes / sur les commissures des lèvres » (« Je suis le pôle opposé »).

xiv. « Je ne veux pas de corps / de stigmates de talons / ni de bite ni de con » (« anti corps »).

xv. « Me con-bocas » : ici le verbe « convocar » signifie « convoquer », mais en espagnol, les lettres –B– et –V- se prononcent souvent de la même manière, ce qui permet à la poète d’introduire le mot « boca » signifiant bouche (d’où notre traduction « tu m’inter-pelles », jouant avec le terme de « pelles » lié aux baisers).

xvi. Que nous avons systématiquement traduits par des alexandrins français, parfois avec l’aide du –e- muet prôné par Jacques Réda pour sa capacité de « tension-détente » qui fait que l’on peut ou non le compter.

 

 

 

 

Pour citer ce texte


Claire Laguian , « Introduction à l’œuvre de maría castrejón : du con au féminisme genderqueer », in Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Dossiers « Poésie des femmes romandes »,  «  Muses & Poètes. Poésie, Femmes et Genre », n°2|Automne 2012 [En ligne], (dir.) Michel R. Doret, réalisé par Dina Sahyouni, mis en ligne le 31 octobre 2012.

Url.http://www.pandesmuses.fr/article-introduction-a-l-oeuvre-de-maria-castrejon-du-con-au-feminisme-genderqueer-111767394.html/Url. http://0z.fr/kurqj

 

Pour visiter les pages/sites de l'auteur(e) ou qui en parlent

 

....

Auteur(e)


Claire Laguian est agrégée d’espagnol, doctorante et enseignante à l’Université de Paris-Est Marne-la-Vallée (LISAA EA 4120) travaille sur la poésie contemporaine espagnole, la linguistique, la traduction, notamment avec sa thèse en cours intitulée « Déconstruction et reconstruction langagières d’une voix poématique insulaire dans la poésie d’Andrés Sánchez Robayna ». Elle s’intéresse également de très près aux questions de genre et au silence dans la littérature de langues espagnole et catalane.

 


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