Louise Hudon, « Perdue dans la brume », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2024 | NO I « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet,mis en ligne le 18 avril 2024. URL :
Pour citer cet écopoème-manuscrit illustré & inédit
Mariem Garaali Hadoussa (écopoème-manuscrit illustré), « Mon amie », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 10 avril 2024. URL :
Crédit photo : George Lawrence, « Unterhaltung auf der Terrasse », peinture tombée dans le domaine public, capture d'écran par LPpdm de la photographie libre de droits du site Commons.
De l’adrénaline, de l’adrénaline, il en faut au quotidien pour des victoires enchaîner sinon on est déclaré hors-jeu.
Le temps est là pour trahir les champions d’hier à s’incliner aujourd’hui face aux prouesses des jeunes loups dans de nouvelles disciplines sportives.
Le mental est l’allié du physique car légion sont les faux-départs quand les calculs ne sont pas adaptés aux conditions physiques.
Il faut toujours s’encordercollectif pour arriver au sommet sans aucune perte car la solidarité est le terreau de la réussite.
Belle échappée pour cette équipe qui se prépare pour la saison olympique. Quand les joueurs auront tout donné sur le terrain de jeu il leur sera loisible d’alleraux oranges : il y en a toujours pour tout le monde.
* Texte écrit avec les dix mots de la semaine de la francophonie 2024 qui commence le 12 mars 2024.
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Pour citer ce texte poétique inédit
Maggy De Coster, « Des mots à profusion», Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 11 mars 2024. URL :
À propos du recueil de poésies intitulé « Renaître dans le poème » de Françoise Urban-Menninger , paru aux Éditions Astérion en 2024, note de lecture
Il y a dans l’œuvre poétique de Françoise Urban-Menninger et particulièrement dans ce nouveau recueil, un goût d’enfance, une rondeur gourmande qui nous donne à lire ses poèmes comme on s’assied sur la marche du bonheur, en croquant à pleines dents le fruit juteux de ses mots.
Le vent, la lumière, la musique du temps, le silence de l’infini dansent dans le feuillage de (son) enfance et le poème s’écrit à la pointe de l’âme.
Symphonie en bleu où vibrent l’infini et l’invisible qui, seuls, franchissent le seuil du temps et l’abolissent, cette poésie ouvre la porte du ciel pour faire éclore (l’)âme du poète dans son jardin d’écriture qui est le jardin intérieur où infusent les couleur(s) de (l’)âme de l’auteur.
De ce silence habité et recueilli germent les mots qui disent l’émerveillement devant la délicatesse de la nature et sa beauté mais aussi la part d’ombre qui se tient en chacun de nous et nous rappelle notre incontournable finitude…
Les poèmes de Françoise Urban-Menninger bourdonnent des bruissements de l’âme, ceux-là mêmes que nous laissent entrevoir les paysages de l’enfance ou la nature en sa maturité.
Il y a dans ce recueil, l’expression d’une infinie tendresse pour la vie, pour ceux qui nous ont précédés et nous tiennent secrètement la main, nous permettant de marcher notre vie, recouverts d’une peau de lumière comme une cape d’amour.
Dans ce beau recueil, les poèmes de Françoise Urban-Menninger ont assurément gardé ce goût d’âme/qui fait fondre le silence sous la langue.
Isabelle Poncet-Rimaud, « Françoise Urban-Menninger, un jardin de lumière », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 1er mars 2024. URL :
Pour sa 27ème édition, ST-ART accueillait 57 galeries dont 30% venues de l’étranger. Le hall d’accueil nous offrait toute la magnificence d’une lune opaline qui nous invitait à rêver aux nouvelles aventures de l’Industrie magnifique tandis que l’immense toile de Jean-Pierre Raynaud nous ramenait sur terre dans une confrontation avec celle de Picasso, Guernica, nous interpellant quant à la guerre en Ukraine.
La sélection des galeries par le tandem Rémy Bucciali et Georges-Michel Kahn mettait en avant un choix rigoureux ainsi que l’émergence de jeunes talents.
Pour sa première participation à Strasbourg, la galerie 40N2 venue des Pays-Bas, a donné à voir au public des œuvres travaillées sur bois signées par Olivier Julia ou encore de très fines et délicates impressions sur porcelaine de Kate Bretton ainsi que des créations en verre colorées de Freddie-Michael Soethout jouant avec la lumière à l’instar de kaléidoscopes.
L’ATM galerie de Berlin de Marc Scherer présentait des portraits d’Erness sérigraphiés sur des billets de banque, des toiles rayonnantes de clarté et de sensualité d’Anja Nürnberg. Toujours de Berlin, la galerie Z22 retenait le regard avec de superbes photographies grand format et en couleur, où une femme, sur l’une d’elles, semblait suspendre le temps en dégustant langoureusement un petit café... La galerie à l’intitulé fleuri « Quand les fleurs vous sauvent » invitait tout un chacun à l’émerveillement avec la transposition onirique des rêves de Maia Flore, les images mystérieuses de Brooke Didonato ou encore les peintures de Kanaria où pointaient les notes drolatiques d’un érotisme champêtre. On retiendra également, le tableau aux sept grenouilles cachées dans la luxuriance de la toile de Tarik Chebli !
Très poétiques, les photographies de Stéphane Aït-Ouarab, à la galerie Murmure de Colmar, exploraient des reflets dans des flaques d’eau alors que le peintre Frédéric Klein était en quête du nombre d’or. N’oublions pas les roses minuscules de Rose-Marie Crespin qui se nichaient dans de petits cadres aussi précieux que lumineux.
La galerie belge Guy Pieters revenait à Strasbourg avec des photographies d’emballages emblématiques de Christo, des sculptures de Niki de Saint Phalle et d’Arman ainsi que des dessins de Bernar Venet dont on connaît la sculpture Place de Bordeaux à Strasbourg.
À la galerie Ritsch-Fisch, on ne pouvait qu’être subjugué par l’installation « Ras Bord » de Laure André qui sera bientôt présentée lors de la nouvelle Biennale à Venise. Sur un lit, l’artiste a imaginé les strates qui renvoient au cycle de l’eau, des coussins de glace, entourés de flammes rougeoyantes en céramique, symbolisent la fonte des glaciers, l’eau s’écoule goutte à goutte nous renvoyant à l’urgence climatique qui ne cesse de nous impacter. Dans le même esprit, Apollonia présentait l’oeuvre de l’artiste italien Marco Baratti dont l’installation sur mousse « Moss » respirait et témoignait, grâce à 390 capteurs répartis sur la planète, de la pollution galopante qui nous asphyxie un peu plus chaque jour.
La galerie Kraemer de Strasbourg se distinguait par la présentation de trois artistes africains dont Saint-Étienne Yeanzi qui a participé à la Biennale de Venise, chez Chantal Bamberger, on retrouvait quelques gravures et dessins du plasticien et poète Titus-Carmel tandis que chez Sandra Blum, on pénétrait dans l’univers d’un bestiaire de sculptures étonnantes où les pieuvres tentaculaires de Solène Dums voisinaient avec les oiseaux fantastiques d’Antoine Halbwachs qui, pour leur part, faisaient écho aux photographies de Tina Merandon tandis que les peintures sur papier bambou de Thomas Henriot, réalisées à même le sol, apportaient leur touche d’exotisme.
À la galerie Aeden, les photographies de Francesca Gariti prises sur les pierres tombales d’un cimetière juif nous parlaient de l’empreinte du temps et des signes infimes, tels la pousse de lichens, qui témoignent de la reprise de la vie.
Pour clore cette pérégrination au gré des allées du hall d’exposition, un dernier coup de cœur donnait à apprécier la parfaite symbiose entre les paysages imaginaires de Sophie Bassot et les céramiques évoquant les vases Médicis de Philippe Sutter à la galerie strasbourgeoise M 5. Dans un élégant décor, savamment élaboré, les nuances de bleu se répondaient telles les notes de musique d’une partition à la fois poétique et silencieuse.
Les artistes émergents avaient été mis à l’honneur par la SAAMS, la société des amis des arts et des musées qui, comme chaque année, décernait le prix Théophile Schuler, remis cette année à Sarah Ménard pour ses silhouettes noires en papier découpé qui semblaient traverser le temps. Par ailleurs, une vingtaine de récipiendaires de ce prix avaient revisité pour le bonheur des visiteurs la toile iconique de Nicolas Largillierre, La Belle strasbourgeoise, chère au cœur des Alsaciens.
*Ce texte est une rétrospective d'une grande foire d'art contemporain qui a eu lieu fin 2023 à Strasbourg, l'article est agrémenté de quatre photos prises par Claude Menninger.
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Pour citer ce texte illustré & inédit
Françoise Urban-Menninger, « ST-Art 2023, la foire aux coups de cœur ! », illustré par le photographe Claude Menninger, Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :N° I | HIVER 2024 | « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 9 février 2024. URL :
RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION !
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