14 juin 2024 5 14 /06 /juin /2024 16:54

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | II. « Elles » | Articles & témoignages | Chroniques cinématographique de Camillæ | Poésie Audiovisuelle  

 

 

 

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Foudre, long métrage de

 

 

Carmen Jacquier, Suisse, 2024

 

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Camillæ (Camille Aubaude)

Sites officiels : http://www.camilleaubaude.com/

​​​​​​ www.lamaisondespages.com/

https://litterature-lieux.com/fr/guide/lieu/428-la-maison-des-pages-de-camille-aubaude

 

Blogue officiel :https://camilleaubaude.wordpress.com/ 

 

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Le premier long-métrage d’une talentueuse cinéaste suisse, Foudre, manie les thèmes de l’amour à mort et de la déesse mère, allégorie de la Nature. Je le dis d’emblée : j’eus préféré qu’il les remanie avec sprezzatura, plutôt qu’avec une maîtrise logique. À la différence du Smoke sauna, un dispositif sans faille montrant que la plus forte détermination de nos patriarcats est de s’approprier la jouissance féminine ne renouvèle rien. Ce dispositif narratif crée un nouveau conformisme, à l’aide d’images sublimes, de beaux paysages, d’acteurs envoûtants, comme dans le film de Terence Davies sur le poète Siegfried Sassoon, œuvre ultime qui use d’un formalisme de génie. Une autre comparaison s’impose : Romance de Catherine Breillat, qui montre en plus l’appropriation du sexe de la femme par la médecine.  Foudre est donc « un film de femme », formaliste et communautariste, montrant comment quatre sœurs peuvent s’unir contre la puissante adversité du monde patriarcal.

Déflorons un peu l’intrigue : c’est encore le thème de la sexualité féminine dont l’aboutissement serait le désir de posséder plusieurs hommes à la fois. Foudre manie à fond la culpabilité brassée par le prêtre et par le père, le prêtre étant l’hypertrophie du Père.

L’ancienne novice, Elisabeth, retrace en miroir le destin de sa sœur nommée Innocente. Cette « innocente » est traitée de « pute » et suicidée par amour, à la suite de relations sexuelles à plusieurs. L’irénisme est si grand qu’il est exclu d’employer certains mots vulgaires. Grande figure de la mise au tombeau des femmes : le prêtre interdit qu’un hommage, fut-ce une simple prière, soit rendu à cette âme satanique incarnée dans l’enveloppe charnelle d’une innocente. Or cette innocente écrit de la poésie. Secrètement, comme il se doit, et dans l’intention d’être lue par sa Sœur. La poésie d’Innocente révèle son désir du corps de l’homme et sa conviction de trouver de la sorte Dieu. 

 

Quand une femme écrit de la poésie si son mari est assassiné, elle est la principale coupable (voir Louise Weissmann). Autrement, c’est une mangeuse d’hommes, au statut revendiqué par Grise délice, poétesse nymphomane vendant ses services sexuels — je remarque qu’une « vendue » est soutenue par des écrivaines contemporaines, selon l’adage : qui veut faire l’ange fait la bête. Elisabeth, la novice, comprend le sens profond de la « pute » qui est le grand mystère de la Nature et de la Déesse Mère. S’ensuit le cliché de l’amour universel... L’ex novice reprend la voie de la sœur morte, contamine les deux sœurs plus jeunes, et se révolte de la sorte contre l’esclavage domestique de la mère, le bras servile de môssieur le père, l’homme « agrandi » (ou rétréci…) qui n’a de cesse d’imposer un destin de mère à ses filles. L’épouse coupe court à la jouissance féminine, qu’elle circonscrit, endigue, jusqu’à mener à la puissante image du cercueil en feu. Eh oui, nous brûlons les lettres des poétesses et des philosophes (voir Diderot et Sophie Volland, Balzac et Mme Hanska : « j’adore que les femmes écrivent mais elles doivent faire comme vous, brûler leurs lettres » — je cite de mémoire).

 

Le cahier de la morte ressortit au même conformisme. C’est bien qu’il y ait du texte. Un journal intime à l’écriture tourmentée, tout comme il faut… Et des chansons aussi, très bien faites. Tout est prêt pour la grâce, mais la grâce ne vient pas sur commande. Où est passé le zeste d’anarchie qui la nourrit ? Foudroyé ?

Il manque la prudence, la sagesse et la folie dans cette quête d’absulu. Carmen Jacquier donnera une grande œuvre si elle n’est pas empêchée par le système qu’elle dénonce. La grande leçon de la poésie est qu’on ne peut rien faire contre elle. 

 

À la fin du XIXè siècle, dans la jolie cité de Morzine, à la frontière suisse, dans le domaine de ski des Portes du Soleil, quand une petite fille se roulait par terre en hurlant, les autres l’imitaient. Aussitôt, les psychiatres décodaient un cas d’hystérie collective, que j’ai évoqué dans ma maîtrise de lettres sur « Stéphane Mallarmé et le stade du miroir ». 

Alors Foudre ou pas foudre…?

 

© Camillæ

 

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Pour citer ce texte inédit 

 

Camillæ (Camille Aubaude), « Foudre, long métrage de Carmen Jacquier, Suisse, 2024 »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 13 juin 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/camillae-foudredecarmenjacquier

 

 

 

 

 

 

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29 mai 2024 3 29 /05 /mai /2024 16:12

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​​​Les vertus de l’amante

 

 

 

 

 

Poème en prose & photographie

 

Pierre Zehnacker

 

Poète, nouvelliste & artiste peintre

 

 

 

 

© Crédit photo : Pierre Zehnacker, « Roses ». Image de nature morte prise dans son jardin.

 


 

 

   Commence à écrire quelque chose de frais, de beau, de pur, ne t'inquiète pas de terminer ta phrase... Est-ce d'enfance dont la douceur innocente te tourmente, ou la nostalgie du chant incessant des colombes ?... Dis-nous, en secret, de quel amour ton âme fut divisée, de quel aveuglement le destin ombrageux t'a rendu coupable...  Comme si la vie, parfois, nous invitait dans les jardins d'une fièvre inconnue, comme si le désir d'une femme éprise te rendait, pour t'avoir révélé la ferveur d'une extase inconnue, à la nuit la plus profonde... Comme si l'enfance au doux sourire avait cessé de régner sur ton âme inquiète, ouvre-toi au flot des sensations ardentes, renie sans remords la sage tranquillité des cœurs satisfaits...

    Dans les nids d'oiseaux se réfugient les rêves que la vie sans mesure éveille à la conscience d'un bonheur inaccessible. La parole, soudain émue, retrouve l'esprit de ces choses plus immenses, la promesse perdue de tous les miroirs, et, avec la douleur d'un peu d'angoisse, les vertus de l'amante et de la mer.

  Dis-nous à travers les réminiscences de quelle aurore inespérée, se sont échappés les chevaux de nos désirs. Quelque chose en moi s'attarde indéfiniment au souvenir de ton visage, et nous rappelle sans trouble les jours où la folie du cœur s'épanche. Et tes yeux s'éclairent délicatement, comme s'ils s'amusaient à vous promettre des plaisirs sans ombre.

     Certains sont enchaînés et ne savent pas pourquoi l'amour s'éloigne en silence, triste et accablé, ainsi qu'un enfant perdu.

 

 

© Pierre Zehnacker

 

 

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Pour citer ce poème en prose, mélancolique, illustré & inédit

 

Pierre Zehnacker, « Les vertus de l’amante », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 28 mai 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/pzehnacker-vertusdelamante

 

 

 

 

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15 mai 2024 3 15 /05 /mai /2024 17:29

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | Critiques & réception / Chroniques cinématographique de Camillæ | Astres & animaux 

 

 

 

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Le jardin qui bascule, de Guy Gilles

 

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Camillæ (Camille Aubaude)

Sites officiels : http://www.camilleaubaude.com/

​​​​​​ www.lamaisondespages.com/

https://litterature-lieux.com/fr/guide/lieu/428-la-maison-des-pages-de-camille-aubaude

 

Blogue officiel :https://camilleaubaude.wordpress.com/ ​​​​​​

 

 

 

Le jardin qui bascule est une figure de rêve. Ce rêve est fait par un tueur à gages, il le raconte aux trois quarts du film. Il est chargé d’éliminer Kate (Delphine Seyrig), destinataire de ce récit de rêve, qui compose le sens de ce film de 1975 qu’une copie avec des génériques rose vif fait revivre en 2024.

Je me serais passé de la cheville narrative du tueur* pour me laisser emporter par la poésie de ce film indéfinissable car d’une puissance émotionnelle jusqu’au-boutiste. Les personnages typiques des seventies ont un rythme lent comme dans les films de Marguerite Duras. La liberté d’après mai 68 est illustrée par les cheveux longs des jeunes hommes, et il n’est pas besoin d’insister sur les pantalons pattes d’éléphant, si datés qu’ils marquent le pouvoir déclinant de la révolution. Le beau blond de cette bande de « petits prolos », et de cette « chair fraîche condamnée à la défraîcheur », selon Jean-Louis  Bory** se sait filmé sous son meilleur profil. Alors il souffle sur sa mèche. Lui, il ne tue pas, mais il connaît déjà la prison modèle de Fleury-Mérogis : il vole des voitures pour payer une maison à ses parents... Pas besoin non plus d’insister sur les stéréotypes masculins, toujours les mêmes dans ces films d’hommes qui à travers une actrice divinisée donnent à voir leur désir comme de l’art brut, sans naturel. Eux déglingués. Elle distinguée. Tout la met en valeur, le récit, la technologie, le maquillage, et la violence imminente. 

Que ce soit ce film-là qui ressorte est pataphysique : il veille sur le danger ! Le temps qui passe et donne la mort s’élève à l’amour passion. Avant de basculer, la fraîcheur s’incarne dans la beauté d’une déesse qui lit. Nul besoin de préciser que Delphine Seyrig est éclatante et lumineuse pour ces corps d’hommes qui dodelinent avant que bascule le couperet. Elle dit qu’elle peut lire dix heures sans s’arrêter. A quarante ans passés, elle est retirée dans une maison au bord d’un fleuve. La liberté des seventies n’a rien à voir avec la prise de parole des femmes en 2014. Quarante ans : vieillesse. Jeune, « elle travaillait », comprenez qu’elle se prostituait, et elle devient un accessoire. Pouvons-nous parler de « féminicide » pour ces œuvres où la femme est mise à mort, tandis que l’homme travaille ? Gros travail, ces films…

Préservons la surréalité poétique ! Passer une vie à lire les classiques de l’Antiquité grecque et romaine, et quelques œuvres de la Renaissance est ce que nous pouvons faire de mieux parmi les fleurs et les arbres d’une Nature non aseptisée — il n’est pas question de « vert » en 1975... Laissons aux « petits soldats » les missions et les énigmes réductrices, et les ficelles de la narration, pour suivre le fil du temps. Lire et écrire. Et chanter, le front haut, la tête légère. Il y a dans Le jardin qui bascule une des meilleures prises de vues d’une chanson de Jeanne Moreau. Parole et visage illuminent le jeu des correspondances qui raniment la fidèle espérance. La maison de ce jardin est ce qui fait percevoir la beauté incertaine, où la chanson est l’exacte vanité de l’instant, sa grâce et son plaisir.

 

 

© Camillæ

 

 

* & ** voir URL. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Jardin_qui_bascule

 

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Pour citer ce texte inédit 

 

Camillæ (Camille Aubaude), « Le jardin qui bascule, de Guy Gilles », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 15 mai 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/camillae-lejardinquibascule

 

 

 

 

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30 avril 2024 2 30 /04 /avril /2024 13:54

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2024 | Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes / 1er Volet | Dossier mineur | Florilège | Poésie érotique 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Poème de printemps

 

 

 

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Nicole Barrière

 

Poète, essayiste, traductrice & directrice de la collection

« Accent tonique » aux éditions l’Harmattan

 

 

 

Crédit photo : Louise Ward  (1849–1930 alias Louise Dubréau : son pseudonyme), « Printemps », peinture de 1882, domaine public. Capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

 

 

VIVRE au bout de tes pas

Dans ton regard d’avril

tout près de la lumière

Là-bas.

 

Flux de fleurs dans la main

Entre les lignes de l’avenir

Caresse l’instant d’équilibre dans nos histoires

 

Hors l’amour

Perchées sur les sentiments

Des créatures à tire-d’aile viennent frôler le présent.

 

L’imparfait accroche un proverbe fatigué

Où martèlent des tambours nègres

chasse gardée des cultures !

on ne se rencontre pas

La liturgie spontanée des doigts

Les Parques filent l’instant des regards

 

Une éternité passe en nuages rétrécis

Le présent de l’amour file, 

 avec ses anciens mots de  soleil

  

Étoile indienne de la tribu

le cuivre rare des mains simples

cantiques solaires de l’espoir

Vérités, bouches, larmes, faims

Hors saison des hontes

Autant de ruées

dans la vigueur des résistances

 

Toujours à la face des bourreaux

Surgit le pays

Au cœur des mots des chants mémorables

Bâtir avec la patience et l'humilité de la feuille

le temps d'un bond

Où l’amour féconde mille visages

 

Sur mes lèvres, le plus noir sommeil

ton souffle

ta voix d'aurore touche la femme 

Au creux de tes paumes

ma terreur écolière

ses joies, ses silences d'aube.

 

Puis je brûle les herbes malades de l'errance

j’arrache les pierres fiévreuses

dans mes champs de caillasses

je sème les graines solaires

au cœur de l'été je fauche

le sillon 

nos aventures torrides et tendres

le sexe hanté de la même jouissance de naître 

 

Je brûle les étapes

j’incendie les comètes

Je hurle aux instants de semence

La joie vaste des aubes solaires 

Danse !

 

 

 

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Pour citer ce poème printanier & inédit 

 

Nicole Barrière, « Poème de printemps », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  HIVER-PRINTEMPS 2024 | NO I « Seules, seulettes : des poésies de nos solitudes », 1er Volet, mis en ligne le 30 avril 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi/nicolebarriere-printemps

 

 

 

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