26 août 2020 3 26 /08 /août /2020 11:51

 

PÉRIODIQUES | JOURNAL SDM | N°1 Spécial 2020 | POÉTESSE | Poèmes 

 

 

 

Parution en ligne en avant-première

 

 

 

 

Prêtresse poétique

 

 

 

 

 

Marine Albert*

 

 

Qui est une poétesse si ce n’est une envie 

D’offrir de la tendresse pour expliquer la vie ? 

Les mots passent au travers de son regard en prisme, 

Où s’ouvre un univers aux écrits de lyrisme. 

 

 

La nature lui transmet de puissantes vibrations, 

Qui tutoient les sommets en refrains de passion. 

L’eau est source de vie, la terre mère nourricière, 

Douces paroles suivies par une profonde lumière. 

 

 

Prêtresse des émotions, cœur à vif de l’humain, 

Confiant ses sensations, elle tient l’âme par la main,

Puis la guide en douceur vers son imaginaire, 

Empreint de jours meilleurs, sans angoisse ni colère. 

 

 

* Biographie à venir...

​​​​

 

Pour citer ce poème engagé

 

Marine Albert, « Prêtresse poétique », SEMAINIER DES MUSES, Journal anthologique, international, multilingue, féministe et paritaire de poésie« Poétesse », 1er numéro spécial 2020, mis en ligne le 26 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/periodiques/sdm/pretresse-albert

 

 

 

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JOURNAL SEMAINIER DES MUSES - dans JOURNAL SDM
26 août 2020 3 26 /08 /août /2020 11:41

 

 

PÉRIODIQUES | REVUE MDV | N°1 Célébration | DO (Dossier) 

 

 

 

 

 

Marceline Desbordes-Valmore

 

 

 

Jean-François Blavin

 

 

 

 

Crédit photo : Marceline Desbordes-Valmore, domaine public. ​​​

 

 

 

Traversant une ligne du temps, je m’efforce de rencontrer cette femme qui clame à tous vents :

« Suis-je une sœur tardive à tes vœux accordée ».1

Elle ne le sait, et comprend peu ce qui lui arrive. Les orages de la passion chavirent la malheureuse Marceline Desbordes-Valmore. Sa détresse se consume en de pathétiques élégies. Cette souffrance flotte autour de nous jusqu’à nous investir alors que nous nous demandons encore qui pouvait être cet amant dont le nom demeure en fin de compte problématique. L’énigme de cet amour en dérive fait corps avec l’énigme de son écriture poétique quand nous nous penchons sur son œuvre.

Pour ces jours jalonnés de deuils cruels, l’écriture si souvent lyrique a sauvé ou aidé la poète ; c’est en tout cas notre hypothèse et notre espoir fervent.

Reste, par ailleurs, une justice à lui rendre – essentielle ou dérisoire – pour l’histoire littéraire, elle fut la première, avant Rimbaud, avant Verlaine, à user de l’hendécasyllabe : l’impair allait advenir.

…« J’ai vécu d’aimer, j’ai donc vécu de larmes ;

Et voilà pourquoi mes pleurs eurent leurs charmes ; »2

 

Notes

 

1.  « L’attente » in  Les pleurs, 1833.

2. « Rêve intermittent d’une nuit triste » in  Poésies inédites – 1860

 

 

 

Pour citer ce témoignage

 

 

​​​​​

 

Jean-François Blavin, « Marceline Desbordes-Valmore »Marceline Desbordes-Valmore|Revue annuelle, internationale, multilingue & poéféministe (poefeminist)« Célébration », n°1, mis en ligne le 26 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/periodiques/mdv/no1/marcelinedesbordesvalmore-blavin

 

 

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REVUE MDV - dans REVUE MDV
25 août 2020 2 25 /08 /août /2020 09:49

 

 

PÉRIODIQUES | JOURNAL SDM | N°1 Spécial 2020 | POÉTESSE | Poèmes 

 

 

 

Parution en ligne en avant-première

 

 

 

 

Fonction du poè-te 2.0

 

 

 

 

 

 

Maxime Deprick*

 

 

Ce texte traite d'un avenir poétique féminin. Il est engagé et féministe, et c'est une réponse au texte de Victor Hugo "Fonction du poète" :

 

 

 

Les poètes de demain

Seront tout verts et tout poilus

Déborderont de graisse et de satellites ;

 

Ils ne comprendront rien non plus.

 

Les poétesses de demain

Seront de la plus pure espèce,

 

Elles seront merveilleuses et odieuses

 

Elles auront le flair des chiens,

Le cou des girafes,

Et l’intelligence des arbres.

 

Elles seront une toupie, une boussole, un compas,

Et nourriront de biens, de lumières et de gras,

Tous les poètes de demain.

 

Les poètes de demain

Seront de sales gamins

Qui n’en font qu’à leur tête

 

Ils chercheront encore

Dans leurs têtes étriquées

À faire voler les baleines

Et marcher l’homme au pas

 

Les poétesses de demain

Sauront faire voler les baleines et les hommes

Et ne demanderont pas leur reste

Quand elles auront écrit

Les chefs d’œuvres du genre.

 

Elles sauront faire pousser

Le lys et le chiendent

Sans se préoccuper

De savoir si et comment

 

Elles le font ; elles le feront.

 

Et tous les poètes de demain se demanderont :

Mais comment elles font ?!

 

Les poètes de demain

Sont de vils animaux

Et les poétesses de grandes entités

Que l’on aura bien du mal à catégoriser.

 

De terribles anges

Au service de chacun

Et il n’y aura pas un gamin

Sans sa poétesse attitrée.

 

De grandes lionnes talentueuses

Avec tous leurs bienfaits

Qui coulent de leurs mains.

 

Les poètes de demain ne serviront à rien.

 

 

Les poétesses de demain,

N’erreront plus au hasard

Dans les territoires imbéciles,

 

Elles n’iront plus à la chasse, 

Sans se préoccuper du retour,

 

Elles décrocheront les étoiles,

D’un seul coup magistral.

Et le lait des poètes sera bien rance

Quand celui des poétesses sera bien doux.

 

Et l’esprit des poètes, comme toujours, bien tordu,

Quand celui des poétesses sera bien droit, harmonieux,

Sans s’ôter le privilège de la bizarrerie.

 

Et la bile des poètes jaunes

Et le feu de la poétesse pure

Illuminera le ciel de tes yeux.

 

Demain, tous les poètes seront nuls

Et les poétesses géniales

 

Demain, tous les poètes verront rouge

Et les poétesses bleues

 

Et ce ne sera qu’un début,

 

La femme est indispensable,

L’homme est passager,

 

Et voilà bien mes amis,

 

Une douce vérité.

 

 

Et quand tous les poètes deviendront poétesses,

Nous aurons pour un temps, un art à son sommet.

 

 

* Biographie à venir...


 

​​​​

 

Pour citer ce poème engagé & féministe

 

Maxime Deprick, « Fonction du poè-te 2 », SEMAINIER DES MUSES, Journal anthologique, international, multilingue, féministe et paritaire de poésie« Poétesse », 1er numéro spécial 2020, mis en ligne le 25 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/periodiques/sdm/poete-deprick

 

 

 

 

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SEMAINIER DES MUSES - dans JOURNAL SDM
24 août 2020 1 24 /08 /août /2020 17:52

 

 

PÉRIODIQUES | JOURNAL SDM | N°1 Spécial 2020 | POÉTESSE | Poèmes 

 

 

Parution en ligne en avant-première

 

 

 

 

Poétesse

 

 

 

 

Véro Ferré

 

 

Je suis poétesse.

J’écris pour ne pas hurler

J’écris pour ne pas sombrer

J’écris pour mieux me taire

J’écris car, contre toute attente,  je suis encore vivante.

 

 

J’écris funambule et aussi sauvage

J’écris fragile, la marge et les lisières

J’écris sale et  cru à m’envoyer en l’air

J’écris atomisée la dissolution lente.

 

 

J’écris la domination du mâle, le désarroi des femmes

J’écris les couilles molles, le courage des guerrières

J'écris  comme un crachat dans la gueule des salauds

J'écris tel mon majeur à la face de ce monde.

 

 

J’écris comme un souffle dans l’air saturé

J’écris le baume sur ma peau écorchée

J’écris  une carapace de mots entrelacés

J’écris le délicat de notre humanité.

 

 

Je n’écris à  personne, j’écris au monde entier

J’écris aussi à un homme en particulier

J’écris les béances, l’amer, l’amour à mort

J’écris le brut, la sueur, la salive et le stupre.

 

 

J’écris la joie du feu qui couve dans mon bas-ventre

J’écris « regardez comme le sexe est une fête »

J’écris pour tenter de renaître en ce monde

J’écris pour jouir et pour ne pas crever.

 

 

 

Véro Ferré-Juillet 2020

 

 

Biographie

Véro FERRÉ. L'écriture s’est imposée à Véro Ferré sur le tard, comme une nécessité en lien avec son parcours de femme parfois douloureux. Elle fait aussi écho aux récits d’autres femmes (en l'occurrence des patientes rencontrées). Elle exerce le métier d’infirmière en hôpital psychiatrique, l'écoute et l'accompagnement des personnes en souffrance sont le cœur de son métier. Véro Ferré écrit de courts textes et de la poésie en prose pour témoigner, souvent sans détours, d’expériences humaines des plus difficiles au plus légères avec, bien souvent en toile de fond, la cause des femmes dans notre société. 

 

 

​​​​

 

Pour citer ce poème féministe

 

Véronique Ferré​​​​, « Poétesse », Journal anthologique, international, multilingue, féministe et paritaire de poésie« Poétesse », 1er numéro spécial 2020, mis en ligne le 24 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/periodiques/sdm/poetesse-ferre

 

 

 

 

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Ajout de la biographie : 6 octobre 2020. 

 

 

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SEMAINIER DES MUSES - dans JOURNAL SDM
21 août 2020 5 21 /08 /août /2020 15:46

Megalesia 2020 | Revue poépolitique | Articles et témoignages politiques

 

 

 

 

François Hollande, l’indéfinissable.

 

Journal d’une campagne présidentielle

 

(Extrait)

 

 

 

 

 

Mustapha Saha

Sociologue, poète, artiste peintre*

 

 

 

 

Cet extrait original porte sur la Campagne présidentielle de François Hollande et contient des photographies inédites :

 

 

François Hollande le confie lui-même, il vit la politique comme une vocation, un sacerdoce, une consécration. Une prêtrise sans soutane. Humanisme bourgeois et charité chrétienne. Imprégnation  durable  des années d’études chez les Frères des Écoles chrétiennes à Rouen. La politique, un chemin tracé dès l’enfance. Il se rêve Président de la République dans le berceau.  Il s’y consacre corps et âme, se faufile dans les coursives, brouille les pistes de sa trajectoire.  La consensualité et la  ténacité se conjuguent  singulièrement dans la silencieuse méthode. Et de fait, il existe chez cet homme paradoxal, une intelligence pragmatique, une perspicacité tacticienne, une subtilité florentine qui n’appartiennent qu’aux jésuites. Il fréquente le Lycée Pasteur à Neuilly, sanctifié par ses mythiques professeurs, Jean-Paul Sartre, Fernand Braudel… La philosophie lui tourne le dos. Son ami Bernard-Henri Lévy n’est pas le meilleur instructeur.  L’histoire lui ouvre un passage, il prend le raccourci des Grandes écoles. Il développe son humour comme une carapace. Il exerce ses talents, en dilettante, dans la troupe du Splendid, aux côtés de ses condisciples Christian Clavier et Thierry Lhermitte.  La sirène politique sera toujours plus forte. La politique, la pire drogue inventée par le genre humain. Les crocodiles hantent le marécage. La bourbe l’angoisse. Jamais aux bords des sables mouvants, il ne s’aventure. Il longe patiemment la digue jusqu’à bon port. Garder le cap quoi qu’il advienne. Gagner dans l’humilité. Perdre dans la dignité. En 1974, à vingt ans, il préside un comité estudiantin de soutien à François Mitterrand. Il trouve son père spirituel, son guide historique, son mentor inespéré. Il surmonte, comme il peut, son complexe d’Œdipe.

 

 

 

Quand il accède à la direction du Parti socialiste, en 1997, il s’installe dans la durée, ne cède son fauteuil de Premier secrétaire qu’en 2008, pour prendre sa revanche sur les intelligences sublimes tombées de leur piédestal et les trahisons intimes sans capital. L’homme des conciliations et des réconciliations improbables peut se prévaloir d’un bilan balsamique. Il s’entoure d’une poignée de fidèles, gère tous les autres comme des intérimaires. Il fait mine de ne rien voir, rien ne lui échappe. Il ménage les susceptibilités, bricole les procédures, déménage les concurrents sans vacarme. Il  se place délibérément en dehors de la mêlée, sauvegarde l’unité du parti, sinon dans l’armature, du moins dans les apparences, masque les divisions internes, les querelles intestines, les intrigues incessantes. Il affronte les intempéries, fait le dos rond sous l’orage, se donne des airs de sage. Le parti socialiste, sans chef populaire, sans tribun spectaculaire, sans leader solaire, traverse les tempêtes sans aller nulle part. François Hollande désamorce les défaites aux présidentielles, se présente et se représente aux congrès du parti comme seul dominateur commun,  un moindre mal,  un recours moral. Il remporte régulièrement les élections intermédiaires, arrache à la droite, un par un, ses fiefs historiques, prépare méthodiquement la conquête du Sénat par la gauche,  gagne l’amitié de plusieurs barons de province, creuse laborieusement son obscure tanière, surgit sous lumière où personne ne l’attend.

 

 

 

En novembre 2008, au Congrès de Reims, après avoir annoncé, longtemps à l’avance, qu’il ne briguerait pas un nouveau mandat de Premier secrétaire, François Hollande se met volontairement en retrait, renonce symboliquement au discours de clôture, aplanit les conflits latents en coulisses, veille au bon déroulement des choses avant de passer la main. Sa bonhomie dissimile un doigté de magicien. Il joue le spectateur.  La fausse modestie absorbe les contradictions. Qu’importe si, plus tard, l’anaphore « Moi, Président » dépromet  le slogan « Président normal ». Une sainte alliance se forme hors scène contre Martine Aubry, donnée prématurément favorite. Sous grand chapiteau blanc, Bertrand Delanoë jette l’éponge. La confusion atteint son comble. Le parti est au bord de l’impulsion.  Les courants s’affrontent. Les impétrants et les courtisans se déchirent. Nul ne sort indemne de l’arène. La marcescence fatale du parti se profile. Les  vétilleux voient dans la posture effacée de François Hollande un signe  de lassitude, de résignation, de renoncement. Les faux-frères décèlent une opportunité à saisir, abattent précipitamment leurs cartes. Les impétueux  enterrent  le  sortant dans la petite histoire. Il n’en est rien. François Hollande entre, pour de bon, dans la bataille présidentielle. Sa décision est prise, sa réflexion mûrie depuis longtemps. Seul un noyau de proches connaît le secret.

 

 

 

La longue marche commence dès l’hiver 2008. L’association « Répondre à gauche » est créée dans une petite salle de la  Fédération Internationale de l’Art photographique (FIAP) Jean Monnet, dans la discrète rue Cabanis du quatorzième arrondissement de Paris.  Une vingtaine de personnes. Le bureau, sous la présidence de Stéphane Le Foll, se compose de compagnons indéfectibles, Michel Sapin, Faouzi Lamdaoui, Bruno Leroux, Dominique Villemot, Philippe Bonnefoy, Bernard Rullier… D’autres fidèles sont présents, Frédéric Scanvic, Claude Pigement, Yannick Trigance, Jean-Pierre Bequet, Didier Arnal, Jacques Blandin, Jacques Dementhon. La plupart de ces militants dévoués seront exclus  des fonctions ministérielles, des responsabilités institutionnelles, des gratifications officielles. Valérie Trieweiler et Valérie Scharre, compagnes respectives de François Hollande et de Michel Sapin, participent discrètement à l’acte fondateur. D’autres affidés suivent l’événement de leur fief, Kader Arif, François Rebsamen, Jean-Yves Le Drian, Bernard Poignant. Isabelle Sima et Vanessa Parodi montent la garde. Aucun journaliste n’est présent. Les seuls reportages photographiques de cette période sont réalisés par l’auteur de ces lignes. Le club de réflexion veut réanimer les idéaux socialistes,  concrétiser l’égalité républicaine, élaborer une alternative aux aberrations capitalistes. Une rengaine rabâchée depuis deux siècles. Le slogan « Le changement, c’est maintenant »  sonne faux. Il n’est pas de changement réel sans révolution. Il n’est pas de révolution sans conséquences imprévisibles. Ici,  l’ordre établi n’est pas remis en cause. François Hollande dévoile les grands axes de son projet, les trois pactes éducatif, productif et redistributif, les trois principes de sa démarche, la  cohérence, le réalisme, la crédibilité, les trois arcanes de sa méthode, l’efficacité, la vigilance, le verrouillage tous azimuts. Triptyque argumentaire, appris sur les bancs de l’Ecole Nationale d’Administration. La philosophie, la littérature, la culture sont exclues, rangées aux accessoires inutiles. La rhétorique se simplifie. Ne reste qu’un hublot ouvert aux technocrates sous réserve d’être munis d’une accréditation dûment  paraphée par le patron.  Les préceptes de la campagne me laissent incrédules. En filigrane, la sacralisation du système, des charnières constitutionnelles, de l’administration centrale, de la soumission mentale.  Il ne s’agit que d’une machine électorale au service d’un seul homme, chargé, sous habits neufs, de perpétuer les mêmes privilèges. Les alléchantes propositions du programme feront long feu,  comme toutes les promesses présidentielles.

 

 

 

* Nouveau livre : Mustapha Saha, Haïm Zafrani, Penseur de la diversité, éditions Hémisphères / éditions Maisonneuve & Larose, 2020.

 

Photographies inédites de la Campagne présidentielle de François Hollande.

Copyright © Mustapha Saha

 

 

François Hollande, préparant, dans sa loge, le discours du

 Bourget du 22 janvier 2012.

 Photographie exclusive © Mustapha Saha.

 

 

François Hollande, le 5 avril 2012,  avant son entrée dans l’émission La Matinale sur Canal +. Photographie exclusive © Mustapha Saha.


 

François Hollande à l’université d’été du Parti socialiste à La Rochelle du 25 – 28 août 2011. Photographie exclusive © Mustapha Saha.


 

Siège du Parti sociale, 10, rue de Solférino, Paris VIIème. Mustapha Saha, artiste-écrivain de l’ombre,  devant le poster géant illuminé de François Hollande le soir de la victoire présidentielle. Photographie exclusive © Mustapha Saha.


 

M. Saha au siège du Parti sociale, 10, rue de Solférino, Paris VIIème.. Photographie © Mustapha Saha. Le plume s’isole.


 

M. Saha, sociologue-conseiller,  dans son bureau au Palais de l’Élysée.

 Photographie © Mustapha Saha.

 

***

 

Pour citer cet article politique 

 

​Mustapha Saha (texte et photographies inédits), « François Hollande, l’indéfinissable. Journal d’une campagne présidentielle (Extrait) », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Megalesia 2020, mis en ligne le 20 août 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/megalesia20/ms-hollande

 

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