2 février 2025 7 02 /02 /février /2025 18:08

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Revue Matrimoine | Dossier mineur| Articles & témoignages | Poésie, Musique & arts audiovisuels

 

 

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Un film sur le parcours littéraire de

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

 

 

 

La revue Le Pan poétique des Muses est heureuse de vous présenter le film consacré au parcours littéraire et poétique de Françoise Urban Menninger (autrice, poète, nouvelliste, critique littéraire, poétique et artistique). Cet entretien filmé ou documentaire audiovisuel a été réalisé par Reha Yunluel et il est diffusé en libre accès sur You tube, URL. https://www.youtube.com/watch?v=NrU_o3KuqeE

 

Description 

Le reportage audiovisuel inédit « Françoise Urban Menninger, Strasbourg-2024 » fait partie de l’anthologie audiovisuelle des poètes vivants (propos & poèmes) par Reha Yünlüel "Françoise Urban Menninger (France)" extraits du 3e Printemps des poètes, 2004 ("Espoir") / 12.03.2004, Restaurant Romulus, Strasbourg ; filmé par Ali Tittich remerciements : Claude Menninger, İbrahim Köse, gérant du restaurant Romulus, Strasbourg.

Musique : Hans-Pascal Blanchard avec les encouragements de la Fondation Emile Blémont / Maison de Poésie de Paris in bachibouzouck.com

No : 103 Hors Série - Ayrık Sayı - Special issue [02.2025]

« Françoise Urban-Menninger, née à Mulhouse en 1953, est poète et nouvelliste »

 

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Pour citer ce documentaire audiovisuel inédit 

 

SIEFEGP« Un film sur le parcours littéraire de Françoise Urban-Menninger », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 2 février 2025. URL :

Https://www.pandesmuses.fr/noi2025/filmsurfrancoiseurbanmenninger

 

 

 

 

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14 juin 2024 5 14 /06 /juin /2024 16:54

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | II. « Elles » | Articles & témoignages | Chroniques cinématographique de Camillæ | Poésie Audiovisuelle  

 

 

 

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Foudre, long métrage de

 

 

Carmen Jacquier, Suisse, 2024

 

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Camillæ (Camille Aubaude)

Sites officiels : http://www.camilleaubaude.com/

​​​​​​ www.lamaisondespages.com/

https://litterature-lieux.com/fr/guide/lieu/428-la-maison-des-pages-de-camille-aubaude

 

Blogue officiel :https://camilleaubaude.wordpress.com/ 

 

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Le premier long-métrage d’une talentueuse cinéaste suisse, Foudre, manie les thèmes de l’amour à mort et de la déesse mère, allégorie de la Nature. Je le dis d’emblée : j’eus préféré qu’il les remanie avec sprezzatura, plutôt qu’avec une maîtrise logique. À la différence du Smoke sauna, un dispositif sans faille montrant que la plus forte détermination de nos patriarcats est de s’approprier la jouissance féminine ne renouvèle rien. Ce dispositif narratif crée un nouveau conformisme, à l’aide d’images sublimes, de beaux paysages, d’acteurs envoûtants, comme dans le film de Terence Davies sur le poète Siegfried Sassoon, œuvre ultime qui use d’un formalisme de génie. Une autre comparaison s’impose : Romance de Catherine Breillat, qui montre en plus l’appropriation du sexe de la femme par la médecine.  Foudre est donc « un film de femme », formaliste et communautariste, montrant comment quatre sœurs peuvent s’unir contre la puissante adversité du monde patriarcal.

Déflorons un peu l’intrigue : c’est encore le thème de la sexualité féminine dont l’aboutissement serait le désir de posséder plusieurs hommes à la fois. Foudre manie à fond la culpabilité brassée par le prêtre et par le père, le prêtre étant l’hypertrophie du Père.

L’ancienne novice, Elisabeth, retrace en miroir le destin de sa sœur nommée Innocente. Cette « innocente » est traitée de « pute » et suicidée par amour, à la suite de relations sexuelles à plusieurs. L’irénisme est si grand qu’il est exclu d’employer certains mots vulgaires. Grande figure de la mise au tombeau des femmes : le prêtre interdit qu’un hommage, fut-ce une simple prière, soit rendu à cette âme satanique incarnée dans l’enveloppe charnelle d’une innocente. Or cette innocente écrit de la poésie. Secrètement, comme il se doit, et dans l’intention d’être lue par sa Sœur. La poésie d’Innocente révèle son désir du corps de l’homme et sa conviction de trouver de la sorte Dieu. 

 

Quand une femme écrit de la poésie si son mari est assassiné, elle est la principale coupable (voir Louise Weissmann). Autrement, c’est une mangeuse d’hommes, au statut revendiqué par Grise délice, poétesse nymphomane vendant ses services sexuels — je remarque qu’une « vendue » est soutenue par des écrivaines contemporaines, selon l’adage : qui veut faire l’ange fait la bête. Elisabeth, la novice, comprend le sens profond de la « pute » qui est le grand mystère de la Nature et de la Déesse Mère. S’ensuit le cliché de l’amour universel... L’ex novice reprend la voie de la sœur morte, contamine les deux sœurs plus jeunes, et se révolte de la sorte contre l’esclavage domestique de la mère, le bras servile de môssieur le père, l’homme « agrandi » (ou rétréci…) qui n’a de cesse d’imposer un destin de mère à ses filles. L’épouse coupe court à la jouissance féminine, qu’elle circonscrit, endigue, jusqu’à mener à la puissante image du cercueil en feu. Eh oui, nous brûlons les lettres des poétesses et des philosophes (voir Diderot et Sophie Volland, Balzac et Mme Hanska : « j’adore que les femmes écrivent mais elles doivent faire comme vous, brûler leurs lettres » — je cite de mémoire).

 

Le cahier de la morte ressortit au même conformisme. C’est bien qu’il y ait du texte. Un journal intime à l’écriture tourmentée, tout comme il faut… Et des chansons aussi, très bien faites. Tout est prêt pour la grâce, mais la grâce ne vient pas sur commande. Où est passé le zeste d’anarchie qui la nourrit ? Foudroyé ?

Il manque la prudence, la sagesse et la folie dans cette quête d’absulu. Carmen Jacquier donnera une grande œuvre si elle n’est pas empêchée par le système qu’elle dénonce. La grande leçon de la poésie est qu’on ne peut rien faire contre elle. 

 

À la fin du XIXè siècle, dans la jolie cité de Morzine, à la frontière suisse, dans le domaine de ski des Portes du Soleil, quand une petite fille se roulait par terre en hurlant, les autres l’imitaient. Aussitôt, les psychiatres décodaient un cas d’hystérie collective, que j’ai évoqué dans ma maîtrise de lettres sur « Stéphane Mallarmé et le stade du miroir ». 

Alors Foudre ou pas foudre…?

 

© Camillæ

 

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Pour citer ce texte inédit 

 

Camillæ (Camille Aubaude), « Foudre, long métrage de Carmen Jacquier, Suisse, 2024 »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 13 juin 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/camillae-foudredecarmenjacquier

 

 

 

 

 

 

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15 mai 2024 3 15 /05 /mai /2024 17:29

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | Critiques & réception / Chroniques cinématographique de Camillæ | Astres & animaux 

 

 

 

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Le jardin qui bascule, de Guy Gilles

 

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Camillæ (Camille Aubaude)

Sites officiels : http://www.camilleaubaude.com/

​​​​​​ www.lamaisondespages.com/

https://litterature-lieux.com/fr/guide/lieu/428-la-maison-des-pages-de-camille-aubaude

 

Blogue officiel :https://camilleaubaude.wordpress.com/ ​​​​​​

 

 

 

Le jardin qui bascule est une figure de rêve. Ce rêve est fait par un tueur à gages, il le raconte aux trois quarts du film. Il est chargé d’éliminer Kate (Delphine Seyrig), destinataire de ce récit de rêve, qui compose le sens de ce film de 1975 qu’une copie avec des génériques rose vif fait revivre en 2024.

Je me serais passé de la cheville narrative du tueur* pour me laisser emporter par la poésie de ce film indéfinissable car d’une puissance émotionnelle jusqu’au-boutiste. Les personnages typiques des seventies ont un rythme lent comme dans les films de Marguerite Duras. La liberté d’après mai 68 est illustrée par les cheveux longs des jeunes hommes, et il n’est pas besoin d’insister sur les pantalons pattes d’éléphant, si datés qu’ils marquent le pouvoir déclinant de la révolution. Le beau blond de cette bande de « petits prolos », et de cette « chair fraîche condamnée à la défraîcheur », selon Jean-Louis  Bory** se sait filmé sous son meilleur profil. Alors il souffle sur sa mèche. Lui, il ne tue pas, mais il connaît déjà la prison modèle de Fleury-Mérogis : il vole des voitures pour payer une maison à ses parents... Pas besoin non plus d’insister sur les stéréotypes masculins, toujours les mêmes dans ces films d’hommes qui à travers une actrice divinisée donnent à voir leur désir comme de l’art brut, sans naturel. Eux déglingués. Elle distinguée. Tout la met en valeur, le récit, la technologie, le maquillage, et la violence imminente. 

Que ce soit ce film-là qui ressorte est pataphysique : il veille sur le danger ! Le temps qui passe et donne la mort s’élève à l’amour passion. Avant de basculer, la fraîcheur s’incarne dans la beauté d’une déesse qui lit. Nul besoin de préciser que Delphine Seyrig est éclatante et lumineuse pour ces corps d’hommes qui dodelinent avant que bascule le couperet. Elle dit qu’elle peut lire dix heures sans s’arrêter. A quarante ans passés, elle est retirée dans une maison au bord d’un fleuve. La liberté des seventies n’a rien à voir avec la prise de parole des femmes en 2014. Quarante ans : vieillesse. Jeune, « elle travaillait », comprenez qu’elle se prostituait, et elle devient un accessoire. Pouvons-nous parler de « féminicide » pour ces œuvres où la femme est mise à mort, tandis que l’homme travaille ? Gros travail, ces films…

Préservons la surréalité poétique ! Passer une vie à lire les classiques de l’Antiquité grecque et romaine, et quelques œuvres de la Renaissance est ce que nous pouvons faire de mieux parmi les fleurs et les arbres d’une Nature non aseptisée — il n’est pas question de « vert » en 1975... Laissons aux « petits soldats » les missions et les énigmes réductrices, et les ficelles de la narration, pour suivre le fil du temps. Lire et écrire. Et chanter, le front haut, la tête légère. Il y a dans Le jardin qui bascule une des meilleures prises de vues d’une chanson de Jeanne Moreau. Parole et visage illuminent le jeu des correspondances qui raniment la fidèle espérance. La maison de ce jardin est ce qui fait percevoir la beauté incertaine, où la chanson est l’exacte vanité de l’instant, sa grâce et son plaisir.

 

 

© Camillæ

 

 

* & ** voir URL. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Jardin_qui_bascule

 

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Pour citer ce texte inédit 

 

Camillæ (Camille Aubaude), « Le jardin qui bascule, de Guy Gilles », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 15 mai 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/camillae-lejardinquibascule

 

 

 

 

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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 16:21

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies » & « Elles » | Critiques & réception / Chroniques cinématographique de Camillæ | Voix/voies de la sororité

 

 

 

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Smoke Sauna Sisterhood par Anna Hints,

 

2023, « Documentaire », 1h 29m

 

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Camillæ (Camille Aubaude)

Sites officiels : http://www.camilleaubaude.com/

​​​​​​ www.lamaisondespages.com/

https://litterature-lieux.com/fr/guide/lieu/428-la-maison-des-pages-de-camille-aubaude

 

Blogue officiel :https://camilleaubaude.wordpress.com/ ​​​​​​

 

 

Smoke Sauna Sisterhood, par Anna Hints, 2023 ‧ Documentaire ‧ 1h 29m

Il faut entrer dans ce sauna de fumée de la sororité. Au-delà d’un documentaire, ce film reconstruit les témoignages de la condition des femmes selon « cette fabrication texte, temple, rite », comme a écrit Claude Rétat pour le recueil Ivresses d’Égypte de Camille Aubaude, qui s’avère passionnante.

Le Texte monte crescendo pour énoncer des aveux qu’une femme ne peut faire au cours d’un interrogatoire de police. Le tour de force est d’avoir placé des actrices telles de simples femmes d’un sauna de fumée pour tout dire du sabotage, voire du massacre, de la spécificité sexuelle des femmes. Il serait bien de lire ce qu’elles disent, après avoir entendu l’interprétation de ces témoignages.

Le Temple est un chalet en rondins, un four, une forge, une matrice inaliénable que décorent de fines branches d’arbres chargées de neige. Cette maison de bois assure la stabilité et l’équilibre dans l’alternance des saisons. Une femme creuse un trou dans la glace. Elles vont y plonger nues.

Et le Rite : à l’opposé des non-spectacles chinois et des codes de narration américains, la fumée, telle les nuages, les rêves, les mirages, la pierre chaude, le sol corrosif, la chasteté qui libère la parole, des confessions dans une église primitive qui relie la maison à la naissance. La face magique du champ de bataille. La grand-mère trône comme le moi féminin gelé dans la glace immémoriale.

« Cette fabrication texte, temple, rite »  promeut la puissance tutélaire de la femme. Cette somme incomparable sur la vie des femmes dans le patriarcat est dénuée d’orgueil, de narcissisme, de décoration et de gloire. Elle pourrait s’appeler Totalité du féminisme, ce qui dirait le contenu… Les récits pourtant connus sur les façons d’arnaquer les femmes éclosent andante et s’entrelacent les branches noires et blanches qui zèbrent le ciel. Quand la neige est remplacée par l’herbe puissante et le délicat feuillage des arbres, nul besoin de parler d’écologie… L’art de la filmeuse associe monstration et démonstration. Il rend ce « reverdi » plus magique que tous les tours de lanternes magiques. Et le rythme vital de l’hymne final porte le sentiment d’éternité. 

 

 

© Camillæ (Camille Aubaude), mars 2024.

 

AVIS DE LA REVUE LE PAN POÉTIQUE DES MUSES :

 

 

Smoke sauna sisterhood

À ne pas manquer !

 

 

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Pour citer ce texte inédit

 

Camillæ (Camille Aubaude), « Smoke Sauna Sisterhood par Anna Hints, 2023, « Documentaire », 1h 29m », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 2 avril 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/camillae-smokesaunasisterhood

 

 

 

 

 

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