18 juin 2022 6 18 /06 /juin /2022 12:21

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège

 

 

 

 

 

 

 

 

Parfum de couleurs 

 

 

 

 

 

 

 

Poème & dessin

 

Mokhtar El Amraoui

 

 

 

 

 

© Crédit photo :  Mokhtar El Amraoui, « Parfum de couleurs ».

​​​​

 

 

 

Pourquoi, humain, ne voudrais-tu être 

Que froide et laide nuit

Alors qu’au fond de toi 

Le plus beau des printemps gît ?

Laisse-le te chanter tes plus belles couleurs

Et parfumer de tes mains 

Le merveilleux cours de tes heures !

Offre-toi donc tes plus beaux jardins

Que tu étouffes de tes propres mains

Qui ne savent plus, assassin,

Que tuer tous les matins, 

Tout arbre, toute fleur, sur ton chemin!

Serais-tu donc né, humain,

Pour vivre dans la laideur, dans la puanteur ?

Serait-ce là, inhumain, ton destin ?

 

 

© Mokhtar El Amraoui in « Nouveaux poèmes »

 

 

***

 

Pour citer ces dessin & poème philanthropique  inédits

 

 

​Mokhtar El Amraoui (poème & dessin), « Parfum de couleurs », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 18 juin 2022, Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/mea-parfumdecouleurs

 

 

 

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16 juin 2022 4 16 /06 /juin /2022 15:44

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 | I. Le merveilleux féerique au féminin | Poésie des aïeules/Astres & animaux

 


 

 

​​​​​

 

 

 

La fleur & la fée

 

​​

 

 

 

 

 

Zoé Fleurentin (1815-1863)

Poème choisi & transcrit par Dina Sahyouni

 

 

 

 

 

​​​​​Crédit photo :  Rose sous la pluie en Iran, domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

Une fleur languissait au milieu d'un parterre,

Une fleur qui voulait grandir,

Mais elle était, hélas ! timide et solitaire,

Et ses jeunes boutons, voilés avec mystère,

Commençaient à peine à verdir.

Il lui fallait et soleil et rosée,

Et le ciel était pluvieux.

Alors vint une fée

Qui sur elle arrêta les yeux :

« Tu souffres, pauvre fleur mourante :

J'aurai pitié de ta douleur,

Relève-toi, ma baguette est puissante,

Elle te rend la vie et la chaleur. »

La fleur aussitôt se relève

Sous un contact mystérieux ;

Son tourment s'enfuit comme un rêve,

Et, pour avoir souffert, elle n'en croit que mieux ;

Elle était naguère étouffée

Sous le voile d'un ciel obscur,

Mais, grâce au bon cœur de la fée,

Son calice fleurit sous un beau ciel d'azur.

Ainsi, par vous, chère marraine,

J'ai reçu, trésor précieux,

Cette marque souveraine

Qui nous ouvre les cieux,

Sans vous, je n'étais rien qu'une plante inutile,

Destinée à bientôt périr ;

Mais vous m'avez semée en un terrain fertile,

Et mon cœur vous chérit, et mon cœur va fleurir.

 

 

 

Le poème ci-dessus provient de FLEURENTIN, Zoé (1815-1863), Poésies élégiaques (Ancienne élève de la Maison impériale de Saint-Denis), Paris, au bureau de la revue de la Province, C. VANIER, Libraire-Éditeur, 25 rue de Buffault, 1861, pp. 63-64. Ce recueil de poèmes appartient au domaine public.

​​​​​​

 

***

 

Pour citer ce poème féerique de l'aïeule

 

 

Zoé Fleurentin« La fleur et la fée », extrait de FLEURENTIN, Zoé (1815-1863), Poésies élégiaques, (1861), a  été choisi & transcrit par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 « Les merveilleux féeriques féministe & au féminin », mis en ligne le 16 juin 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia22/zf-lafleuretlafee

 

 

 

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16 juin 2022 4 16 /06 /juin /2022 14:41

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 | Poésie des aïeules/ Philosophies & sagesses en poésies

 


 

 

 

​​​​​

 

 

Scepticisme

 

​​

 

 

 

 

 

Zoé Fleurentin (1815-1863)

Poème choisi & transcrit par Dina Sahyouni

 

 

 

 

​​​​​Crédit photo :  "Terracotta statuette of à draped goddess", domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

Chacun lit à son tour dans l'histoire du monde,

Celui-là, l'espérance et celui-ci la mort,

L'un dans l'humanité voit un bétail immonde,

L'autre un fier bâtiment qui vogue vers le port.

 

 


 

Le Destin dit à l'un ; « Héros, saisis le glaive,

Combats avec vigueur pour tout le genre humain ! »

Mais il crie au second : « La vertu n'est qu'un rêve,

Et le héros d'hier sera martyr demain.


 

 

 

« Laisse donc l'univers s'agiter dans sa fange,

À quoi bon épuiser ton cœur découragé ;

Car de mal et de bien, le monde est un mélange

Qui ne changera point, comme il n'a pas changé. »

 

 

Le poème philosophique ci-dessus provient de FLEURENTIN, Zoé (1815-1863), Poésies élégiaques (Ancienne élève de la Maison impériale de Saint-Denis), Paris, au bureau de la revue de la Province, C. VANIER, Libraire-Éditeur, 25 rue de Buffault, 1861, p. 56. Ce recueil de poèmes appartient au domaine public.

 

 

***

 

Pour citer ce poème philosophique de l'aïeule

 

 

Zoé Fleurentin« Scepticisme », extrait de FLEURENTIN, Zoé (1815-1863), Poésies élégiaques, (1861), a  été choisi & transcrit par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 « Les merveilleux féeriques féministe & au féminin », mis en ligne le 16 juin 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia22/zf-scepticisme

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Megalesia Amour en poésie Muses et féminins en poésie
15 juin 2022 3 15 /06 /juin /2022 17:12

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 | I. Le merveilleux féerique au féminin | Poésie des aïeules/Astres & animaux | Travestissements poétiques

 


 

 

​​​​​

 

 

La nature

 

​​

 

 

 

 

 

Zoé Fleurentin (1815-1863)

Poème choisi & transcrit avec un commentaire par Dina Sahyouni

 

 

 

 

​​​​​Crédit photo :  Fleurs, Feuillages sous la pluie, Rain drop n° 5, domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

Je suis la splendide nature,

J'ai les grands fleuves pour colliers,

Et de mes palais de verdure

Les chênes verts sont les piliers.


 

 

Le feu rouge de ma narine

Bout dans les cratères béants,

Et les flots noirs des océans

Dorment bercés sur ma poitrine.

 


 

Je donne l'être à toutes choses

Avec un funèbre soupir ;

C'est moi qui fais germer les roses

Et c'est moi qui les fais mourir.


 

 

Mais si je cache dans les tombes

Fleur sans arôme et corps glacés,

Au printemps, sur les trépassés,

Je fais murmurer les colombes !


 

 

Au loin, dans les espaces mornes,

Aussi loin que va le ciel bleu,

J'étends ma puissance sans bornes

Qui se dresse en face de Dieu !


 

 

Quand il menace d'une entrave

Mon front caché dans les cieux clairs,

Pour répondre à ses blancs éclairs

Mes volcans font fumer la lave !


 

 

De l'infini perçant les voiles,

J'allume d'un souffle vainqueur

Les feux scintillants des étoiles,

Astres d'or qui tournent en chœur.


 

 

Ô cieux, à la fauve ceinture !

Contemplez mes fils infinis

Dont la voix, en hymne bénis,

Chante l'éternelle nature.

 

 

 

Le poème ci-dessus provient de FLEURENTIN, Zoé (1815-1863), Poésies élégiaques (Ancienne élève de la Maison impériale de Saint-Denis), Paris, au bureau de la revue de la Province, C. VANIER, Libraire-Éditeur, 25 rue de Buffault, 1861, pp. 15-16. Ce recueil de poèmes appartient au domaine public.

 

Cette poète lyrique ou lyreuse* se glisse dans la peau de la mère nature dans toute sa puissance et sa splendeur pour en faire l'éloge et pour dévoiler certaines de ses féeries. Ce poème élogieux mérite notre attention puisqu'il met en lumière l'importance de la nature dans la psychologie humaine et dans le processus de la création poétique.

 

 

***

 

Pour citer ce poème élogieux de l'aïeule 

 

Zoé Fleurentin« La nature », extrait de FLEURENTIN, Zoé (1815-1863), Poésies élégiaques, (1861), a  été choisi & transcrit avec un commentaire par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 « Les merveilleux féeriques féministe & au féminin », mis en ligne le 15 juin 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia22/zf-lanature

 

 

 

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15 juin 2022 3 15 /06 /juin /2022 14:53

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 | II. Le merveilleux féerique féministe | Florilège & Recueil de nouvelles de Dicé | Avant première 

 

 

 

 

 

 

 

 

Astarté l’immortelle

 

 

 

 

​​​​

 

 

 

 

Mona Azzam

 

 

 

 

Crédit photo :  la déesse "Astarté l’immortelle", Commons, domaine public.

 

 

 

Le monde a soif d’amour : tu viendras l’apaiser



 

Aux confins d’une terre de Phénicie, en des temps oubliés où frémit par miracle le murex, colorant l’horizon de ses couleurs pourpres, il est un lieu dont les remparts résistent encore, face aux assauts des innombrables conquérants. 

Adossée à une falaise, ceinte par la Méditerranée aux voiles bleu camaïeu, Byblos abrite en secret une déesse. 

Il suffit parfois, aux premières lueurs de l’aube, aux creux de multiples cristallisations de sel, de discerner sa silhouette qui surgit, drapée dans des voiles qui embaument la fleur d’oranger au parfum inouï et entêtant. 

C’est ainsi que je l’aperçus, un matin de mai, créature mythique qui alimente tant de légendes. 

Astarté, comme l’on se plaît à la nommer en langue punico-phénicienne ; Ishtar pour les Babyloniens, Oum chez les Carthaginois. 

Astarté l’immortelle. 

 

Était-ce une vision ? Une création onirique ? Était-ce une de mes innombrables pérégrinations dans cet univers de l’Ailleurs où je puise mon inspiration ? Ou n’était-elle que mon double, celle que j’aurais voulu être, si j’avais été une déesse ? 

Mais… qu’importe, après tout ? Qu’importe ? 

Astarté me fait face. Aussi réelle qu’une chimère. Aussi humaine qu’une déesse dont la détermination se lit sur le parchemin de son visage. Un parchemin aussi parfait qu’une statue de marbre. 

Enfourchant un cheval blanc, elle surgit des eaux, avance vers moi à grands galops. Comme si c’est pour moi qu’elle est de retour. Comme si, par-delà les siècles, elle se savait attendue. 

Et comme si le temps s’était suspendu, figé quelque part en une parenthèse hors du temps des humains ; comme si le monde extérieur, sans prévenir, s’en était résolu à s’évanouir, la voici qui vient à moi, pauvre mortelle. 





 

Astarté l’immortelle, porteuse d’un papyrus qu’elle tend vers moi avec fermeté, ses yeux couleur de bleu profond rivés aux miens. 

Soudain, comme si cela n’avait été qu’un mirage, je me retrouve seule sur le port de Byblos.

À l’heure où les premières felouques de pêcheurs entrent dans le port, autour de moi, c’est le silence. La ville dort encore. Seule la mer ronronne telle une amante qu’une nuit de passion a comblée. 

Je me laisse un moment bercer par ses soupirs de plaisir, les yeux clos, savourant ce calme matinal dont je sais qu’il ne va pas durer. 

Bientôt, les clameurs des pêcheurs habiteront le port et les haleines du vent répandront sur les pierres séculaires une senteur iodée de poissons frétillants. 

Ont-ils croisé Astarté au cours de leurs périples ? Les pêcheurs ont-ils décelé la présence de cette déesse dont ils se plaisent à répéter qu’elle est leur protectrice ? Je ne sais. Comment savoir ? 

Tout ce que je sais, c’est qu’elle est venue à moi et qu’elle a disparu. Évaporée dans le sel de la mer. 

Elle est venue à moi, pourtant. Preuve en est, le papyrus qu’elle m’a confié, sans prononcer un mot. Et dont j’ignore, pour l’heure, le contenu. 

À vrai dire, j’ai peur de dénouer le lien en sépia qui enserre les feuillets qui y sont enfermés. 

Je crains d'abîmer même sans le vouloir, ce trésor dont je devine la valeur. Trésor inestimable. 

Quel sacrilège ce serait si, par un geste maladroit et malencontreux, je venais à le détruire. 

Paradoxalement, la curiosité me dévore et j’ai du mal à lutter contre cette envie grandissante de déchiffrer ces signes venus d’un temps autre et qui m’ont été confiés par une déesse. Et pas n’importe quelle déesse. Astarté l’immortelle. Aussi immortelle que ce papyrus. Aussi immortelle que l’écriture. 

En dépit de mon impatience, je décide d’agir avec prudence. Je quitte le ponton, désireuse de trouver un abri tranquille. Mes pas me portent vers les ruelles de la vieille ville déserte, à cette heure matinale. 

Je traverse le Souk encore endormi. D’ici peu, il grouillera de vie. Comme depuis toujours. Comme depuis plus de 7000 ans. 

Tout en déambulant, en quête de l’endroit propice à ma lecture, il me revient à l’esprit que Byblos (Jbeil en libanais)  doit son nom aux Grecs qui l’ont baptisée ainsi parce que c’est d’ici-même, depuis ce port, qu’ils importaient le papyrus.




 

Tout à coup, tout prend sens. Il n’y a guère de hasard. 

Byblos, le papyrus ; Astarté, le papyrus. 

Le seul maillon manquant de la chaine, c’est moi. 

Pourquoi moi et pas une autre ? 

Pourquoi moi ? 

Cette question me taraude à présent de manière incessante. Si incessante que c’est à peine si je m’aperçois que je suis arrivée devant le sarcophage de Hiram. Celui-là même où est gravée la plus ancienne transcription phénicienne. L’origine de notre alphabet contemporain. 

Soudain, l’évidence. 

C’est ici, en ce lieu et nulle part ailleurs que je prendrai connaissance du secret que recèle le papyrus d’Astarté. 

Il est des évidences qui s’imposent d’elles-mêmes et n’ont nul besoin d’être expliquées. 

 

Je m’assois à même le sol. Les doigts tremblants, j’entreprends de défaire le lien en sépia qui s’effrite presque et se dénoue. 

Sous mes yeux ébahis, une vingtaine de pages écrites en phénicien.

Fort heureusement, à la vue des premiers signes, je suis en mesure de les déchiffrer, même si cela nécessitera du temps. 

Sans doute Astarté savait-elle que je prendrai le temps. 

Sans doute. Car du temps, pour une fois, j’en ai. 

 

Je pris le temps. Je le lus ; le relus. Et je saisis le message qu’Astarté avait tant voulu me transmettre en me confiant son papyrus. 

Il s’agit d’un conte. Qui sera retranscrit un jour, peut-être. Retransmis peut-être. Et qui revêtira quelquefois les pierres immortelles de Byblos de mille et un soleils. 

 

© Mona Azzam



 

 

***

 

Pour citer cette nouvelle féministe inédite

 

Mona Azzam, « Astarté l'immortelle », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 « Les merveilleux féeriques féministe & au féminin » & Recueil collectif de nouvelles de Dicé « Ah ! si j’étais une déesse », mis en ligne le 15 juin 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia22/ma-astartelimmortelle

 

 

 

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