25 juillet 2012 3 25 /07 /juillet /2012 14:34

 

 

 

À paraître

 

Hors-série n°0
Giovanniricciardibit

Image : Olio su tela (Giovanni Ricciardi)       

 


   

Couverture du hors-série n°0

En poésie avec


Françoise Urban-Menninger

 

 

                                                                 coordonné par Dina Sahyouni

InvitéEs


Camille Aubaude & Jean-Claude Walter (sous réserve)


 

ISSN = 2116-1046

Revue de poésie

électronique et apériodique 

 

www.pandesmuses.fr   

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Revue consultable depuis votre mobile à l'adresse suivante :

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Contribuer au°2


soutenu par notre invité

 

Le poète Michel R. Doret (www.Michelrdoret.com)

 

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Le Pan poétique des muses - dans Hors-Séries du Ppdm
23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 05:32

 

 

Couverture n°1 (2)

  Image : The Dance of Apollo with the Muses   (Baldassarre Peruzzi)  

ISSN = 2116-1046

Revue féministe de poésie

électronique et apériodique 

 

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Le Pan poétique des muses - dans n°1|Printemps 2012
23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 05:31

 

 

 

 

 

 

 

Couverture n°1

 

Sommaire

 

 

 

Avant-propos    

 

Nelly Taza

 

 Éditoriaux

 

Dina Sahyouni

Nelly Taza

 

 

 

 

I-  Hors-zone ou Bémol 

 

 

  Bémol

 

Poésie, Danse & Genre

 

en spectacle

 

 

Leïla Da Rocha & Patrick Dupond                   invitéEs de la revue

 

[présentation inédite]

 

Leïla Da Rocha & Patrick Dupond                   invitéEs de la revue

 

[exposition inédite]

 

 

II-  Zone des articles

Dossier majeur

 

Poésie, Danse & Genre

 

 

Michel Briand                                  

[article inédit]

 

 

 

 

Angèle Bassolé-Ouédraogo                                        

[article inédit]

 

 

 

 

 

Céline Torrent                                        

[article inédit]

 

 

[entretien inédit]

 

 

    Avant-première

Tatiana Julien & Alexandre Salcède                                       

 

[article inédit]

 

 

 

 

Dossier mineur 

 

Muses & Poètes

 

Poésie, Femmes & Genre

 

 

 

Yves Citton                                                                                                

Invité 

[article inédit]

 

 

Patricia Izquierdo                                                                                    

Invitée

  [article inédit]

 

 

Jo Laporte                                                                                                        

Invité

 

[texte inédit]

Anne Dacier    

 

 

 

III-   Zone d'excellence poétique

 

Territoire dédié aux oeuvres de Jean-Michel Maulpoix invité d'honneur

 

de la revue

 

  De la poésie dans tous ses états 

 

Jean-Michel Maulpoix                                  

 

 

 Jean-Michel Maulpoix 

 

 

IV- Zone de l'entretien poétique et artistique

Filomena Salley & Cyril Bontron     

[entretien inédit] 

 

 

 

 

V- Zone des poèmes des dossiers

   ♦ Les poèmes des contemporainEs

   Avant-première

Armelle Leclercq

[poèmes inédits]

 

 

 

Nicole Coppey

[ poèmes visuels inédits] 

 

 

Jean-Marc Baillieu

[poème de genre inédit]

 

Angèle Bassolé-Ouédraogo

  

 

Françoise Urban-Menninger    

 [deux poèmes inédits]   

   

 

Dina Sahyouni

[cinq poèmes inédits] 

 

 

Marie Gossart

[poèmes inédits]  

 

 

Isabelle Voisin

   [cinq poèmes inédits] 

  •   Six poèmes sur la danse                                                                                                                                        

 

Anne-Sophie Gosselin

  [poème visuel inédit]  

 

Tatjana Debeljački   

 

Fialyne H.Olivès 

 

 

 

Jodelle

 

 

 

Damy Tangage

 

 

Patrick Aveline

                   [poèmes inédits]   

 

  Poèmes sélectionnés du web

 

 

Bruno Krol

 

 

 

Hervé-Léonard Marie

 

 

Siamchinois

 

  • La tzigane                                               

  Les poèmes des jeunes

 

Mario Portillo Pérez                                                         

[quatre poèmes inédits]

 

Nadine Le Lirzin

  [poèmes traduits, inédits] 

 

 

Les poèmes des aïeules

Fortunée Briquet

Mme de Lauvergne

   

VI- Zone de la poésie érotique des (et/ou sur les) femmes & de genre

Damy Tangage

  [poèmes inédits] 

 

Marceline Desbordes-Valmore 

VII- Zone d'Instant poétique en compagnie de...

Louis Latourre & Dina Sahyouni     

[textes inédits]

VIII-  Zone des ouvrages sur les femmes et le genre en sciences humaines et sociales  

 

IX- Zone des invitations

 

 X- Zone de l'actualité poétique de la revue

  

Le pan poétique des Muses - dans n°1|Printemps 2012
23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 05:30

 

 

Préface du livre


Les poésies d'Anacréon et de Sappho


 

Traduites de grec en français avec des remarques par Mme Dacier 

 

Nouvelle édition augmentée des notes latines de Mr. Le Fèvre

 

 

Anne Dacier

  Transcription & remaniement du texte de l'aïeule par Nelly Taza

 

 

Amsterdam, éd. Chez Paul Marret, Marchand libraire dans le Beurs-straat, à la Renommée, M. DC, XCIX.


Préface

 

 

 

En traduisant Anacréon en notre langue j'ai voulu donner aux dames le plaisir de lire le plus poli et le plus galant poète grec que nous ayons. Il y a longtemps qu'il a été traduit en français par Remi Belleau, mais outre que sa traduction est en vers, et par conséquent peu fidèle, elle est en si vieux langage qu'il est impossible d'y trouver aucun agrément.

On l'a aussi traduit en italien depuis quelques années, et le traducteur ne s'est pas plus attaché au grec que Remi Belleau : sa version ne laisse pas néanmoins d'être asses agréable, quoiqu'il s'éloigne fort souvent du sens d'Anacréon, et qu'il prenne même à tous moments des libertés qui doivent la faire passer plutôt pour une paraphrase, que pour une version.

La traduction latine dont une partie a été faite par Henri Étienne et l'autre par Élias Andreas, et qui est celle dont on se sert ordinairement, me paraît la meilleure : elle n'est pourtant pas sans défauts, et comme elle est aussi en vers, elle est souvent fort obscure, et dire en beaucoup d'endroits ce qu'Anacréon n'a jamais pensé.

Mon père a fait autrefois quelques remarques sur cet auteur, qui ont été si bien reçues, qu'il n'est pas nécessaire que j'en parle ici. Cependant quelque vénération que j'ai pour sa mémoire, j'oserai dire que je ne suis pas toujours de son sentiment. Il avait peut-être quelquefois un peu trop de délicatesse, et je suis persuadée qu'il y a bien des odes qu'il n'a pas crues d'Anacréon, qui sont néanmoins de lui.

Je n'ai pas non plus suivi quelques-unes de ses corrections parce qu'elles ne m'ont pas paru si certaines que savantes ou vraisemblables. Je me suis extrêmement attachée au grec et je ne m'en suis éloignée que dans les choses qui font entièrement contre nos manières ; mais cela ne m'arrive jamais que je n'en avertisse dans mes remarques, qui sont bien plus étendues qu'elles n'auraient été, si je n'avais cru que ce petit ouvrage pourrait être lu par ceux qui savent le grec, ou qui veulent l'apprendre ; et dans cette pensée je n'ai pas laissé un passage difficile sans l'éclaircir le mieux qu'il m'a été possible, et c'est à quoi je me suis d'autant plus attachée que je vois qu'il n'y a que ces difficultés qui rebutent la plupart des gens, et qui les empêchent de s'appliquer à la plus utile de toutes les langues.

C'est ce qui m'a même donné l'envie de traduire les meilleurs auteurs grecs qui n'ont pas encore été traduits et d'y faire des remarques comme j'ai fait sur Anacréon, qui n'est qu'un petit échantillon de ce que j'ai dessein de faire, si ce premier ouvrage a quelque succès.

J'ai fait mettre le grec à côté du français, afin que l'on se puisse servir plus commodément des remarques et de la traduction, et que l'on voie que j'ai suivi mon auteur avec la dernière exactitude.

Quoique je n'ai pas pas fait imprimer la version latine, je n'ai pas laissé d'en corriger beaucoup d'endroits que j'ai rapportés. Enfin, j'ai tâché de ne rien oublier de ce qui peut être de quelque usage pour ceux qui ne sont pas encore bien avancés dans la langue grecque ; les autres trouveront peut-être aussi dans les remarques de quoi contenter leur curiosité ; j'espère au moins qu'ils ne me blâmeront pas d'avoir entrepris ce qu'ils ne veulent pas se donner la peine de faire. Mais comme ce ne sont pas les savants que j'ai le plus à craindre, je ne m'attacherai ici qu'à prévenir le jugement de ceux qui ne savent ni grec ni latin, et qui pourraient bien ne pas goûter quelques odes d'Anacréon, en voyant qu'elles finissent d'une manière qu'ils appellent froide, parce qu'elle est sans pointe.

 

Je veux donc les avertir que c'est le style ordinaire de la plus saine Antiquité. Que l'on prenne Homère, il a de l'esprit partout, dans toutes les pages, dans tous les vers ; mais on n'y trouvera jamais une seule pointe ; il imite partout la nature, il suit la raison et ne présente jamais à l'esprit que des images nobles et naïves ; c'est là la beauté d'Anacréon.

Les latins ont été aussi fort longtemps sans connaître presque la pointe, s'ils s'en sont servis quelquefois, c'est avec tant de retenue que nous en devons encore plus admirer leur jugement. Il est certain qu'elle ne s'est introduite chez eux qu'à mesure qu'ils ont dégénéré de la vertu de leurs ancêtres. J'ai aussi une prière à faire à certaines personnes qui pèsent ordinairement tous les mots, qui examinent à la rigueur toutes les expressions, et qui jugent fort souvent de tout par un endroit faible. Je les prie donc de considérer que je me suis proposé deux choses dans cet ouvrage, l'utile et l'agréable.

Je les ai joints autant que j'ai pu ; mais lors qu'il a fallu quitter l'un pour l'autre, j'ai toujours préféré le premier. C'est à dire, qu'en quelques endroits j'ai mieux aimé faire bien sentir la force du grec et la pensée d'Anacréon en négligeant les termes, que d'avoir un soin scrupuleux des termes, en négligeant le grec et la pensée d'Anacréon.

Si ce sont des défauts, je les ai vus, et je n'ai pas voulu les ôter. Au reste j'avais recueilli des anciens un assez grand nombre de fragments de ce poète, mais j'ai trouvé à propos de ne mettre que les plus considérables et ceux qui en faisant un sens pouvaient aussi donner lieu à des remarques curieuses pour l'antiquité. J'ai donc laissé les autres fort volontiers. Les savants qui aiment les plus petits reflets des grands hommes, n'ont pas besoin de mes soins pour se satisfaire, et les gens du monde ne seront pas fâché que je n'aie pas chargé ce livre de beaucoup de choses qui ne leur auraient point donné de plaisir.


 

 

Texte trouvé et disponible sur Internet Archive (url . http://archive.org/details

/lespoesiesdanacr00anac)

 

 

Pour citer cet article

   


 

Anne Dacier, « Préface du livre Les poésies d'Anacréon et de Sappho. Traduites de grec en français avec des remarques par Mme Dacier. Nouvelle édition augmentée des notes latines de Mr. Le Fèvre », in Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : « Poésie, Danse & Genre » [En ligne], n°1|Printemps 2012, mis en ligne en Mai 2012.

 

URL. http://www.pandesmuses.fr/article-n-1-preface-du-livre-les-poesies-d-anacreon-et-de-sappho-105550333.html  ou URL. http://0z.fr/xXwRU

 

 

 

 

Pour visiter les pages/sites de l'auteur(e) ou qui en parlent

 

 

 

 

http://www.universalis.fr/encyclopedie/anne-dacier/



http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_Dacier


http://data.bnf.fr/12174746/anne_dacier/

 

 

Auteur(e)

 

 

 

Anne Dacier

 

 


 

 

Le Pan poétique des muses - dans n°1|Printemps 2012
23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 05:30

 

 

 

 

  Éditorial du n°1 

 

 

 

Retour sur un concept-percept

  Dina Sahyouni

 

 

 

 

 

 

Retour sur une revue qui grandit

 

 

 

Née en septembre 2010, elle se concrétise en octobre 2011, la revue LPpdm ou Le Pan poétique des muses est actuellement une revue internationale et polyglotte même si le français est sa langue fétiche. Aujourd'hui, elle vous présente un nouveau numéro... 

Entre l'automne 2011 et le printemps 2012, le périodique s'est doté de cinq nouvelles zones grâce à vous (voir la page Nouvelles zones ) et continue à enrichir ses différents calepins et sa biographie. La SIEFEGP est également la création importante qui se réalise au sein de la revue et qu'elle soutient.

 

Retour sur une définition...

 

Nous sommes une revue féministe de poésie. Nous sommes une revue de poésie féministe. Nous sommes pour la poésie dans tous ses états et pour la poésie dite féministe. Nous sommes tout cela en même temps et, une structure hétéroclite et mouvante...

La poésie écrite par/pour des femmes ou par/pour d'autres minorités sexuelles et ethniques n'est pas foncièrement une poésie féministe mais elle ne trouve toute sa consistance et toute sa place dans l'Histoire des idées et dans celle de la poésie que par le biais des savoirs féministes.

Ce n'est ni parce qu'une femme écrit un poème (sur son vécu, sur les hommes, sur les femmes) qu'elle est féministe, ni parce qu'elle écrit un poème féministe que l'on peut appeler cela de la poésie féministe, mais parce qu'il n'y a que les théories issues des mouvements féministes qui permettent de donner à une femme (qui se reconnaît femme) et à sa production poétique toutes leurs dimensions socioculturelle et poétiques.

Ici, on fait dialoguer les théories, les méthodologies, les opinions et les lectures divergentes. Et par ailleurs, une de nos missions est celle d'aller au-delà des avatars des critiques qui cherchent à piéger le propos de l'autre en le retournant à son encontre comme une empreinte de sa propre défaillance et de sa propre force de déplaire ou d'être classé.e dans une catégorie qui ne correspond pas foncièrement parlant à sa façon de comprendre le monde.

 

 

 

 

Retour sur une posture idéologique femme poète ou poétesse ?*

 

 

 

 

Comme vous le savez, le terme poétesse traîne encore des connotations négatives et met en puéril la qualité du travail poétique d’une femme. Si le terme est innocent, son utilisation l’est nettement moins malgré le passage des siècles…**

 

On revient sur l'étymologie du terme poésie et celle du terme poète qui renvoient aux termes création et créateur. Pourquoi avons-nous créé un féminin pour un terme qui se termine par la lettre E et qui a une prononciation qui permet qu'il soit épicène ? Inutile de vous dire que je connais l'histoire de l'évolution étymologique de ces termes et pourtant, la question me paraît toujours utile et censée...

 

 

Comment nommer les femmes qui écrivent, comment parler de l'autre tout court car l'autre ne se réduit pas à l'autre-femme ?

Cette problématique n'est pas seulement linguistique mais aussi socioculturelle et politique. Cela n'est pas tout, car il est bien difficile de rendre compte de l'autre dans une langue qui tente de gommer ou d'amoindrir son existence en érigeant le masculin en concept universel et neutre. En un mot : Que fait-on de l'épicène ? L'épicène est la forme qui s'approche du neutre même si elle ne l'est point.

 

 

 

Cette difficulté à utiliser le terme poétesse en la débarrassant de toutes ses connotations négatives est complètement étrangère à celle de l'utilisation du terme autrice.

Or, la difficulté de se déguiser en poétesse pour transcender ensuite le terme, provient à mon sens de la figure mythique du poète qui est bien distincte de celle de l’auteur (qui n’est que légendaire). Le poète se proclamant du dieu Apollon, d’Orphée et enfin des muses, l’auteur — quant à lui — ne peut se proclamer que de l’histoire de l’écriture et de celle du savoir lui-même. 

 

Les muses sont bien là et les poésies tragique, épique et lyrique (par exemples) sont les fruits des êtres mythiques genrés (féminins) mais un problème demeure toutefois, c’est celui de la figure mythique et religieuse d’Orphée et d’Apollon. L’orphisme est également une religion comme le culte d’Apollon que l’on peint entouré des muses ; par des êtres féminins qui viennent inspirés le poète (l’être masculin).

  

 

L’image des femmes comme égéries, muses, inspiratrices et modèles pour les poète, artiste, savant et auteur, n’a jamais été aussi présente que de nos jours. Le constat est alarmant : Fétichée par les médias jusqu'au bout, la muse résiste...

La poésie comme la danse sont des substantifs féminins mais leur histoire mythique n’est pas la même. Le dieu Apollon qui préside à la poésie avec les Muses est comme Orphée une figure masculine et première de la poésie mais non pas de celle de la danse.

 

 

Les femmes ont toujours fait face au refus de leur accorder une place dans l'histoire de la poésie, elles y demeurent mineures. Parmi tous les arts, l'art poétique est celui qui a ignoré le plus l'apport et l'existence des femmes tout en continuant à perpétuer les noms de certaines d'entre elles comme George Sand, Sappho et bien d'autres. Tout en démultipliant les anthologies et les extraits, les femmes ne sont ni reconnues pour leurs théories dans ce domaine, ni pour leur apport créatif et ni pour leur rôle important de diffusionnistes et de lectrices avisées...

 

Au XVIIIe siècle, le poète était avant tout un auteur dramatique (un dramaturge qui écrivait des tragédies pour le théâtre). Si les femmes ont réussi à cette époque de devenir un phénomène commercial et un fait littéraire en ce qui concerne les genres secondaires comme le roman, elles n'ont pas pu faire admettre à leurs contemporain.e.s leur excellence en matière d'art poétique. Le sanctuaire est resté clos en huis clos pour une minorité d'auteurs hommes. Et peu de femmes du siècle des Lumières ont été retenues par l'histoire en tant que poètes. Nous comptons, par l'intermédiaire de la SIEFEGP, s'attarder sur leurs présence et apport dans une manifestation scientifique à venir...

 

 

 

 

 

Retour en amont...

 

 

 

 

 

Et comme mot de fin, nous revenons aux textes poétiques des siècles passés qui sont une matière nouvelle ici, et on les traite avec la même passion et le même égard accordés aux textes contemporains. Et l'on peut dire de même pour les textes théoriques anciens qui portent sur la poésie. Pour nous, cela n'est qu'un retour en amont...

Nous renouvelons notre point de vue sur nous-mêmes déjà mentionné dans le numéro zéro : Nous sommes une revue ordinaire et normale, même si nous parlons encore et toujours de poésie. Nous ne façonnons ni un monde à nous et ni une vision restreinte de la poésie et de ses liens avec les arts et les sciences. Nous n'avons aucune prétention particulière à faire valoir quoi que ce soit et l'anaphore en ce sens est l'outil rhétorique le plus approprié pour exprimer cela.

 

 

 

 

* Nous soulignons que notre point de vue n'inclut que l'héritage gréco-romain.

** "La guerre des mots" est a ce sujet est un exemple important même si l'on n'y parle pas des connotations des termes, voir aussi ibid.

 

 

 

Pour citer cet article

 

 

Dina Sahyouni, « Éditorial n°1|Retour sur un concept-percept »,  in Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : « Poésie, Danse & Genre » [En ligne], n°1|Printemps 2012, mis en ligne en Mai 2011.

 

URL. http://www.pandesmuses.fr/article-n-1-editorial-105541812.html ou

URL. http://0z.fr/MblVS

 

 

 

Pour visiter les sites/pages de l'auteur(e) ou qui en parlent 


 

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Auteur(e)

 

 

 

 

 

Dina Sahyouni

 

Le Pan poétique des muses - dans n°1|Printemps 2012

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