17 février 2020 1 17 /02 /février /2020 12:55

Lettre n°14|Être féministe |Printemps des poètes|Textes poétiques

 

 

 

 Du courage...

 

 

 

Dina Sahyouni

 

 

​​​​Crédit photo :Pluie sur une toile d'araignée Commons, domaine public.

 

 

Il pleut en moi

 

et le courage,

 

tel un vieux volage, 

 

vacille. 



 

Il pleut en moi,

 

des larmes, des joies

 

des Je ne sais quoi. 



 

Il pleut des hivers, 

 

des étés blancs, 

 

des coccinelles rouges

 

sans leurs petits points noirs. 



 

Il pleut des je ne sais quoi abstraits

 

des étoiles filantes, 

 

des voyages imaginaires

 

des souvenirs en mirage

 

des siècles d'esclavage

 

des noms, des verbes, 

 

et des tas d'inconnues. 



 

Il pleut là-bas, 

 

des histoires fictives

 

des tas de trucs incompréhensibles

 

des oui et des non. 



 

Il pleut tout le temps

 

dans ce corps-support

 

des larmes, de l'eau de mers

 

il pleut et le déluge des mots-larmes continue son chemin au creux du pli de l'existence.



 

Il pleut des poésies

 

des vers en alexandrin

 

des musiques enchanteresses

 

des mélodies sourdes

 

et des rythmes diaboliques. 



 

Il pleut de l'être

 

sans le paraître

 

il pleut de ce soi tant attendu

 

qui ne viendra plus

 

il pleut des fleurs

 

des coquelicots sauvages

 

des perce-neige, 

 

des bleuets des champs vierges, 

 

des territoires magiques, 

 

des tics et des tacs. 



 

Il pleut de Vous et Moi

 

de Tu et Je 

 

il pleut de Nous

 

et la pluie diverse ses flux et reflux de contraintes, 

 

et la pluie charrie avec l'aube se réveillant son lot de tristesses



 

Un cœur pleure 

 

et la pluie tombe, 

 

le monde s'estompe 

 

au gré des gouttes translucides du silence du coeur qui pleure...

 

le violon saigne, 

 

un cœur pleure, 

 

toute sa poésie

 

et sa joie inonde

 

le monde de poèmes ronds. 



 

Le poème est un cri rond, 

 

une gouttelette d'eau, 

 

une larme qui coule

 

et s'enroule sur ton visage 

 

Humanité…

***

 

Pour citer ce poème

Dina Sahyouni, « Du courage... », poème inédit, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 19 février 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/ducourage

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm
16 février 2020 7 16 /02 /février /2020 16:10

 

Lettre n° 14 | Annonces diverses

 

 

Actualité de nos

autrices/auteurs,

artistes & 

associations amies

 

 

 

 

 

Élisabeth (écrivaine et artiste peintre) et Mustapha Saha (écrivain et artiste peintre) vous souhaitent une bonne année 2020.
 

© Crédit photo : image fournie par Élisabeth et Mustapha Saha.

 

***

 

À paraître aux éditions Hémisphères/Maisonneuve & Larose le 14 janvier 2020 le livre intitulé Haïm ZafraniPenseur de la diversité par Mustapha Saha. 

 

 

 

 

 

 

© Crédits photos : affiche et programme de la Biennale des Arts singuliers et innovants

Du 21 février au 21 mars 2020 à Saint-Étienne se déroulera le 7ème Biennale des Arts Singuliers et Innovants.

Vendredi 21 février 18h : lancement de la Biennale, hall de l’Hôtel-de-ville.

Les Semeurs de rêves et Performance Catherine Gil Alcala

Déréliction de l’art : 6 Mars vernissage de l'exposition Catherine Gil Alcala, P. Bouillaguet, V. Stembaum, B. Maurin, L. Molle du 21 février au 21 mars de 13h30 à 19h30 aux 7 collines.

Source de cette information :

Joël Marette, www.editionslamaisonbrulee.fr, voir ici

 

***

Parution littéraire :

 

Nosy Kayo (nom de plume de Johanna Treilles) 

Ici, la pluie et le froid sont emaillés des premières fleurs du printemps : les boutons roses des pruniers se disputent le jaune des mimosas et tous ces parfums me font peu à peu oublier les rigueurs de l'hiver. 

Au coin du feu je me suis mise au travail pour créer mon site internet et vous permettre de découvrir, ou de faire découvrir, mon livre : "Dialogue ou l'Initiation de Fée". Il vous suffit de cliquer sur ce lien pour vous aventurer dans mon univers https://www.nosykayo.com/

Pour celles et ceux qui ont déjà lu "Dialogue ou l'Initiation de Fée", n'hésitez pas à m'écrire vos impressions, vos questions ou toute autre remarque. Il s'agit de mon premier livre et les avis de mes lectrices et lecteurs ont une très grande importance à mes yeux.

***​​​​​

L'association "Les poètes de l'Amitié" a un nouveau site : http://poetesdelamitie.blog4ever.com/

***​​​

© Crédit photo : image de la première de couverture. 

 

Parution poétique :

Adrienne Rich, "Paroles d'un Monde Difficile. Poèmes 1988 - 2004", traduction de Chantal Bizzini.

Fiche technique

Format : Broché. Prix : 17€

Éditions : La rumeur libre Éditions

Date de parution : 1 octobre 2019

Langue : Français

Dimensions : 14.1 x 1 x 19.2 cm

ISBN-102355771413

ISBN-13978-2355771415

Résumé

Sélection de poèmes d'Adrienne Rich, jamais traduite en France. Une voix lyrique familière, intime, une voix de femme américaine, porteuse de tradition, une voix whitmanienne, transcendantaliste, et gauchissant cette tradition pour l'élargir.

Il y a chez Adrienne Rich une adhérence à la vie. Engagée dans les conflits et la lutte qui se mènent pour aller de l'inconscient au dicible, puis à l'action. Sa poésie, dit-elle, est « une longue conversation avec les aînés et avec le futur ».

 

***

 

Pour citer ces avis


Le Pan Poétique des Muses, « Actualité de nos autrices/auteurs, artistes & associations amies », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 9 janvier 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/avis

 

 

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Cette page est régulièrement mise à jour jusqu'au 31 mars 2020. 

Dernière mise à jour : 16 février 2020.

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm
10 février 2020 1 10 /02 /février /2020 15:53

 

Lettre n°14 | Être féministe | Articles & témoignages

 

 

 

 

Par voie et voix militantes

(ou la mégalomanie MSP1 à l’œuvre)

 

 

 

Natacha Guiller

 

© Crédit photo : Natacha Guiller (SNG), Carnet bleu des dessins de nuit N° 139-140, 2019. 

 

Dans le cadre de ma formation de médiatrice de santé-pair.e et de la particularité intrinsèque de nos supports d'expression et d'échanges autour de celle-là, j'ai été témoin et participante à des débats numériques au sujet du rôle et des applications propres au statut de médiateur de santé/pairs. J'ai alimenté sinon attisé la discussion et quelques éruptions - aussi la tentative de description des valeurs et missions assignées au MSP  notamment via quelques dessins allusifs postés sur mes espaces personnels2, bien souvent sous le signe de l'humour grinçant, lesquels ont pu susciter des réactions vives et un flux de répliques entre pair.e.s jusqu'à pandémique.

 

Je reviens ici sur la notion de « militantisme » incarné en tant que MSP. Il s'avère pour moi évident que se former à exploiter et transmettre ses savoirs expérientiels dans le cadre d'un parcours de rétablissement en santé mentale au sein de structures d'accompagnement qui ont été les miennes, ne peut retourner d'un acte sinon engagé, indéniablement militant. D'ores et déjà fortement clamé dans ma démarche artistique via une attitude orientée et revendicatrice sur une ribambelle de supports3, toutefois « modérée », mais aussi en tant que femme, personne isolée, en marge du système dans le sens différente et stigmatisée, il s'agit, en intégrant ce poste, d'incarner une mouvance, prenant compte de la précarité et de l'inventivité dont il faudra faire preuve pour tenter, d'une part, de me faire ma place et d'exercer sans trop de bâtons dans les roues mon travail de médiation, d'autre part, d'instaurer progressivement un climat de confiance et d'aisance me permettant de défendre des valeurs et des pratiques humaines, assignée à un contexte pas nécessairement opportun, sans quoi, je ne pense pas pouvoir tenir sur le long terme en poste et en institution.

 

Pour avoir lu et entendu des témoignages de pair.e.s issu.e.s de promotions précédentes, qui, comme moi, voulaient faire basculer des systèmes intolérables au cœur des services en santé mentale, j'ai ostensiblement conscience que je me devrai d'agir, prudente, rusée et patiente, en tant « qu'ex-usagère », sans parcours universitaire en santé reconnu pour l’heure. Le militantisme MSP associé à son histoire vécue m'apparaît crucial, sinon à quoi bon revendiquer une approche neuve basée sur le savoir expérientiel, pour industriellement se faire happer par des collègues et reproduire de l'existant. Nos parcours de vie sont du bricolage de survivant.e.s, empreints de protocoles drastiquement établis et figés. Hyper-créative, je déborde d'idées pour faire évoluer les services de soin, aussi parce que j'y ai passé de nombreuses années enfermée, selon des configurations diverses. Perdurent des systèmes, des failles que je décèle, qui malheureusement résistent et s'appliquent de façon récurrente. Il s'agit de les nommer, perçus comme des méthodologies « normatives » acquises ou non remises en cause, procéder à un éclairage au sein d'équipes parfois en veille passive, afin de parer aux travers révisionnés, d'un angle de vue pluridisciplinaire.

 

Je dois donc susciter un climat de complicité avec mes collègues, aussi avec les patient.e.s, pour distribuer la parole à chacun.e et envisager co-construire ensemble un itinéraire de soin et un environnement adaptés et paisibles. En termes de co-organisation et de co-gestion, j'ai un exemple remarquable de système qui fonctionne selon moi admirablement : Le Clubhouse parisien4, que je fréquente - même si relativement peu, suffisamment pour y repérer le prodige communautaire - où l'énergie et l'efficacité du groupe solidaire fusionnent et opèrent. Pour moi, il s'agit d'une confrérie de rebelles aux personnalités mêlées hyper-puissantes, une intelligence de travail, une « ruche » (d'ailleurs c'est le nom d'un des groupes à l’œuvre in situ) de surcroît non médicalisée. Calquer ce système – affranchi d'une réelle distinction des statuts ou même des taches de chacun.e - en de multiples autres contextes de travail transformerait bien la société dans laquelle nous pataugeons actuellement.

 

Exercer mon travail de MSP en me pensant militante revient à ne pas me laisser influencer ou à me faire ranger dans l'un ou l'autre des camps qui - et c'est malheureux mais comme partout - se dessinent dans les couloirs de l'hôpital. Cela signifie de toujours relativiser des faits pour agir de mon propre chef, avec mes connaissances et expériences. Cela veut dire faire preuve de sagesse, ne pas être mécanisée par l'urgence ou l'émotion, ne pas aller à l'encontre de mes idées par facilité ou du fait de mon statut fragile, par hypocrisie. Je pense que l'écriture, la prise de notes continue sur ce que je vis, la lecture et ma formation en cours sont des ressources complémentaires pour justifier et rendre irrécusable ma mission et mes objectifs, pour m'armer à la négociation et savoir précisément de quoi je parle, relater des situations concrètes, être authentiquement crédible.

 

 

Le militantisme n'a pas lieu qu'en structure fermée, il s'étale dans toute ma vie, dans les scènes du quotidien, je suis une femme, artiste, mon combat est au moins double, je suis une patiente en santé mentale, une rescapée, une lanceuse d'alerte, il quintuple, et puis, à mesure que je m'exprime publiquement et à voix haute, il en va de porter la parole des individus qui ne l'ont pas et qui souffrent, les minorités, les personnes défavorisées, les interné.e.s maltraité.e.s, etc. Au-delà de mon propre engagement, je soutiens et nourris des pair.e.s qui n'ont pas nécessairement les clés et codes pour agir, soit une bombe à retardement d'ustensiles au rétablissement. Je me doute que cette posture sur le terrain pourra m'attirer tout un tas d'ennuis, laquelle a déjà contribué, en 2017, à ce que je n’intègre pas la formation MSP. Mon militantisme et une haine encore bien perceptible des services de soin avaient à l'époque rebuté l'équipe avec laquelle je m’entretenais, la même qui toutefois a retenu ma candidature en 2019, m'embauchant à même l'entretien de recrutement. Comme quoi, j'ai dû apprendre à me contenir et ai progressé dans l’éloquence, le tact, la justesse et la mesure. Je pense aussi que ma tempérance s'est brodée grâce au slam et à la poésie sonore5, que je pratique ces dernières années et qui m'ont permis de retourner au contact des gens.

 

 

Le militantisme, c'est en grande partie se défendre - et les autres - de la stigmatisation très présente en nombre de circonstances. Après, j'imagine que si mes idées font leur chemin au sein d'une équipe de soin, si quelques de mes collègues sont séduit.e.s par de nouvelles formes d'accompagnement que je proposerais, quand bien même iels ont le grade et les moyens pour moduler ce qui végète en l'état en institution, je pense que ma présence peut vraiment apporter quelque chose de bénéfique, - et même après mon départ – aussi se poursuivre, comme on sème des graines partout où la terre y demeure fertile.

 

 

PARALLÈLE

 

 

En regard aux mouvements sociaux récents du côté des femmes maltraitées et/ou abusées par un tiers dans le monde professionnel cinématographique (entre autres) sous le signe du silence, je serais presque tentée d'annoncer qu'au titre de médiatrice de santé-pairs, j'incarne l'Adèle Haenel du terrain de la santé mentale. Mon confort n'est pas tant matériel pour y prétendre mais plus le fruit d'aptitudes croissantes dans l'exercice de l'éloquence native et percutante, du recul et de la lucidité avec lesquels j'appréhende aussi bien mon parcours de malade et de rétablissement que la manière dont j'entrevois les failles et potentielles pistes de « réparation » des structures et protocoles d'accompagnement en santé, dans une énergie collective et transdisciplinaire. Cette aisance se confirme dans la libre expression de l'intime et donc politiquement engagée, en me mettant personnellement à nu comme le cobaye - à peine sacrifié - et exemple pour amorcer l'énonciation de problèmes et les clés que je pense détenir pour les résoudre, grâce notamment à des pratiques artistiques à impact réel sur ma santé, mon environnement, mon cercle de proches, dans l'espace numérique, aussi à fort pouvoir communicationnel et cosmopolite. Je m'engage donc à poursuivre la dérobe de cette parole, au nom et condition de pair.e.s en retrait ou dans l'impossibilité, afin de porter le projet qui nous unit vers l'objectif commun d'une société plus humaine et solidaire, qui appréhende plus équitablement ses citoyen.e.s et veille à leur bonne santé et qualité de vie au long cours.

SNG

Notes

 

1Médiatrice de santé-pair.e, présentation de la formation :

http://www.ccomssantementalelillefrance.org/?q=programme-%C2%AB%C2%A0m%C3%A9diateur-de-sant%C3%A9pair%C2%A0%C2%BB 

2Essen-g Sng (Natacha Guiller) : https://www.facebook.com/esseng.sng.7

3Le blog Essen-g : https://essen-g.blogspot.com/p/mediateur-de-santepairs.html 

[4Le Clubhouse Paris : 

https://www.clubhousefrance.org/clubhouse-paris/clubhouse-paris/ 

5SNG, Poésie-Performance : 

https://archives-sng.blogspot.com/p/video-performance.html 

 

***

 

Pour citer ce témoignage 

Natacha Guiller, « Par voie et voix militantes (ou la mégalomanie msp à l’œuvre) », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 10 février 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/voie

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm
5 février 2020 3 05 /02 /février /2020 12:09

Lettre n°14 |Être féministe|Notre actualité

 

​Nos dernières

 

informations

 

en date...​​​​​​​​​​

 

 

 

Dans l'Assemblée Générale de 2019 de la SIÉFÉGP, les membres à jour ont voté la reprise des parutions imprimées des Pan Poétique Des Muses, Semainier Des Muses, Iris & Mêtis en 2020 et la création de la nouvelle collection "Anat" aux éditions Pan Des Muses. 

La rédaction grenobloise serait en mesure de reprendre ses activités éditoriales en Mars Avril 2020, elle ne peut toujours pas répondre à vos messages. Moi aussi, je ne peux pas encore. Nous avons des ennuis techniques pour répondre à vos courriels.  Veuillez nous en excuser. David Simon

 

Chères Amies, chers Amis, 

Nous avons encore des ennuis techniques pour récupérer vos courriels pour y répondre, mais nous espérons les résoudre rapidement. Soyez, s'il vous plaît, patientes/patients. 

Avec nos amitiés poétiques, 

LPPDM

 

Message du 1er janvier 2020

Tous les membres de nos équipes vous adressent leurs meilleurs vœux pour 2020. Belle année en poésie ! 

LPPDM

 

@SIEFEGP, @JournalSDM, "Iris & Mêtis...", @LPpdm vous présentent leurs meilleurs vœux pour 2020 et vous remercient pour vos nombreux messages et vœux ! On y répond dès que possible. On a commencé la sélection des textes pour la lettre n°14, merci encore de votre patience ! 🙏👏✉️ https://t.co/h5Op0ORmR8

 

Information du 13 janvier 2020

Le directeur de publication  et rédacteur David Simon seconde et remplace Dina Sahyouni durant 2019-2020. 

LPPDM

 

 

Information du 5 février 2020

Bonjour à toutes et à tous, 

Je remplace la rédaction grenoboise et surtout la directrice de publication durant l'année 2019-2020 ici, sur les réseaux sociaux (Facebook et Twitter), etc. 

​​​​​Féministement, 

​​​​​​David Simon

Directeur de publication de l'ensemble des projets éditoriaux entrepris par D. Sahyouni

 

Message du 8 février 2020

Bonjour, LE PAN POÉTIQUE DES MUSES vous remercie de ne plus écrire à l'ancienne messagerie "leblogpan[@]gmail.com".

Sa suppression est programmée le premier​​​ juin 2020. Belle journée !

David Simon

​​​​​​​​​​

Nos dernières informations informations en date...

 

Bonjour à toutes et à tous, 

Je remplace la rédaction grenoboise et surtout la directrice de publication durant l'année 2019-2020, ici, sur les réseaux sociaux (Facebook et Twitter), etc. 

​​​​​Féministement, 

​​​​​​David Simon

Directeur de publication

de l'ensemble des projets éditoriaux entrepris par D. Sahyouni

 

 

28 février 2020

La rédaction a choisi la belle chanson "Big Girl (You Are Beautiful)" de Mika pour fêter la Journée internationale des droits des femmes  et contre la grossophophie et l'invisibilisation des femmes rondes dans la société. Vos textes sur ce point sont souhaités.

 

29 février 2920

Nous préparons l'édition 2020 du festival numérique "Megalesia" et parmi les sujets proposés figure "Les représentations des personnages féminins handicapés en #Poésie", merci aux organismes qui souhaitent s'associer au festival ou de le soutenir de nous écrire jusqu'au 14 mars.

***

 

Pour citer cet avis de parution

Le Pan Poétique des Muses (LPpdm), « Nos dernières informations en date... », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiquesLettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 5 février 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/nosinfos

 

 

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Dernière mise à jour : 29 février 2020.

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES
3 février 2020 1 03 /02 /février /2020 12:33

Lettre n°14|Être féministe |Invitations|Poésie & Musique

 

 

 Le Care artistique

 

est foncièrement

poétique

 

Dina Sahyouni

 

 

​​​​Crédit photo :Mika, image trouvée sur Commons, domaine public, 2013.

 

 

 

Je vous livre un billet improvisé, bref et subjectif issu de l'écoute du nouvel opus live de l'artiste Mika intitulé MIKA Live At Brooklyn Steel (en ligne depuis le 31 janvier 2020). 

 

Mika est l'un des rares artistes contemporains à refléter  __ à travers son art, son regard et sa manière d'être __ la beauté fragile du monde. Il vous donne même des ailes et vous emporte dans son univers coloré et poétique tel le personnage conceptuel : le Petit Prince de l'auteur Antoine de Saint-Exupéry. 

 

Avec sa voix d'ange et son amour sincère des autres, il transmet ses énergie, joies et peines à celles et ceux qui l'écoutent et/ou le voient sur scène. Il remplit l'espace de sa présence lumineuse et vous fait oublier les ennuis, il nous reste un sentiment de communion avec le cosmos et une sensation de légèreté et de candeur : on danse avec le monde et au pli de l'éphémère. 

 

À l'instar de Peter Pan, il nous fait voyager en lévitation et nous redevenons des enfants curieux et abreuvés du care artistique émanant de sa personne.

 

C'est justement ce Care (de l'anglais, signifie "se soucier", "prendre soin" ou "Sollicitude"), propre à la poésie lyrique et au langage musical universel, qui nous apporte ce dont nous avons besoin.

 

Et nous avons surtout besoin d'aimer la fragilité de la vie et de notre condition humaine d'êtres mortels qui ont un laps de temps pour s'emerveiller de la beauté de tout ce qui les entoure et du tragique d'être des êtres beaux et éphémères. Nous sommes toutes et tous des terriens issus de fragments d'étoiles.

 

​​​

1er février 2020

 

 

 

​​​​​Le voyage exhalé de poussières d'étoiles commence ici :

Quelques informations utiles

 

1- liste des titres de MIKA Live At Brooklyn Steel :

 

  • Ice Cream
  • Dear Jealousy
  • Relax (Take It Easy)
  • Origin Of Love
  • Big Girl (You Are Beautiful)
  • Tiny Love
  • Blue
  • Underwater
  • Lollipop
  • Popular Song
  • Interlude
  • Tomorrow
  • Happy Ending
  • Love Today
  • We Are Golden
  • Grace Kelly

2- site officiel de MIKA

3- chaîne de l'artiste sur YouTube

4- pour acheter l'album via Amazon

​​​​​

***

 

Pour citer ce billet

Dina Sahyouni, « Le Care artistique est foncièrement poétique », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°14|Être féministe, mis en ligne le 3 février 2020. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettreno14/care

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans La Lettre de la revue LPpdm

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RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION ! 

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