3 août 2022 3 03 /08 /août /2022 17:50

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Poésie, musique & arts audiovisuels


 

 

 

​​​​​

 

 

 

En mal d'amour, la nouvelle chanson

 

 

de MIKA vous console

 

 

 

 

 

© Crédit photo : MIKA dessinant un cœur lors d'un de ses concerts, une des imges fournies en 2021 par ​Catherine Melin, @Vebemika & d'autres Fans du chanteur. 

 

​​

© MIKA - Who's Gonna Love Me Now (Official Visualizer) The official visualizer for

 

 

« Lately I hit self-destruct

It’s like my on switch can’t turn off 

I’ve been up and down spinning round yo yo never hit the ground »

par MIKA, « Who's Gonna Love Me Now », juillet 2022.

 

 

 

 

Après son éclatant single « Yo Yo » lancé le 13 mai dernier et présenté lors de la finale de l'Eurovision le 14 mai, et un duo d'été en italien avec la rappeuse Baby K1, l'auteur-compositeur-interprète MIKA revient avec une nouvelle chanson écrite pour le film engagé en faveur des personnes LGBTQ+ au titre bien évocateur « Anything's Possible » du réalisateur  Billy Porter (chanteur et acteur également).2

 

Et cette fois-ci encore, l'artiste offre au public une nouvelle litanie mélodieuse intitulée « Who's Gonna Love Me Now » dans laquelle, le chanteur à succès s'approche de plus en plus de toutes les personnes en mal d'amour. Or, celles-ci se retrouvent souvent empêtrées dans une situation délicate et peinent à porter le poids de leurs désarrois et solitudes. 

 

D'emblée, cette rengaine émouvante dont le rythme rappelle celui du nô () lyrique japonais, est poétique et chantée tendrement pour tenter de décrire cet état affectif : ce mal d'amour qui frappe incessamment certains humains les fragilise ou pis les plonge dans une dépression.. parfois sans fin.

 

Ici, en lyreur (poète lyrique), MIKA tente de soulager cette peine, de l'accompagner et de l'apaiser en la sublimant à travers le chant, la musique, les mots et surtout leur poésie.

Et l'on peut exprimer les mêmes propos concernant la vidéo réalisée en noir et blanc des souvenirs de vacances heureuses du chanteur pour « Who's Gonna Love Me Now » qui ne fait que susciter et mettre en scène la nostalgie... Cet arrière-plan romantique et nostalgique se révèle donc être le décor parfait de la chanson dissociée du film pour consoler et apaiser en faisant appel à Mnémosyne (déesse symbolisant la mémoire et la mère des Muses) comme chronotope (ce concept a été développé par le théoricien de la littérature Bakhtine) dans le court-métrage présent ci-dessus de « Who's Gonna Love Me Now ».

 

 

En effet, l'Art (comprend entre autres la poésie)3, comme l'explique bien le philosophe Nietzsche est un « facilitateur de vie »4 et bien avant lui le philosophe Schopenhauer affirmait que l'art nous console.5 Sans oublier la déclaration intéressante de l'écrivain Stig Dagerman :

 

« La consolation… je devrais dire la vraie, à la vérité, il n’existe pour moi qu’une seule consolation qui soit réelle, celle qui m’a dit que je suis un homme libre, un individu inviolable, un être souverain à l’intérieur de ses limites. »6 et la conclusion lumineuse de l'article de Jean-Marie Bédoret sur la "fonction consolatrice de l’Art" :
​​​​

 

« Hanté par l’éventuelle absurdité de la vie et la mort, Stig Dagerman indique que « les vraies expériences de vie sont hors du temps dans un combat pour la liberté » corroborant ainsi sa perception d’une consolation n’étant pas l’ordre d’une aide extérieure dépendante d’autrui. Au contraire, elle illumine le sens de soi.

L’art est consolant par sa capacité à accéder à ce sens de soi et par là-même à celui de la vie dans ces moments fugitifs, hors du temps, de communication vraie entre l’œuvre et l’amateur. »7



 

 

 

Pour vous qui êtes en peine, cette litanie profane et poétique peut probablement vous consoler et faire jaillir de vos larmes la limpidité de la beauté de votre liberté d'être et d'exister.

 

 

Notes

1. Voir la vidéo de cette séquence mémorable (MIKA, Eurovision 2022, Medley Performance), URL. https://m.youtube.com/watch?v=Sz6-8LoLeAo (vidéo incluse ci-dessous), à consulter aussi son Website, URL. https://www.yomika.com/ et la vidéo de son duo "Bolero", URL. https://youtu.be/m2l3pcdlqmk

2. Réf. Voir les liens suivants et The Queer Review :

a) https://twitter.com/mikasounds/status/1553747038608703489?t=ZACACXhgGrsrF-xYiLQYZA&s=19, b) https://twitter.com/mikasounds/status/1550546960872243200?t=bSqLzquGXM5L_xj6WyrVwA&s=19 ; MIKA : "NEW MUSIC! My song 'Who’s Going To Love Me Now' is featured on the soundtrack for the new #AnythingsPossible movie, out now on @PrimeVideo

I love this song! Heartbreaking, pure, sincere & with a stunning melody. I hope that you love it as much as I do. Check it out (link in bio) https://t.co/BAmiuH8F4m", c) https://thequeerreview.com/2022/07/15/outfest-la-2022-opening-night-film-review-anythings-possible-amazon-prime-video/

3. Voir l'éditorial de Dina Sahyouni, « La belle consolatrice » dans Le Pan Poétique des Muses, Lettre n°13, 2018, http://www.pandesmuses.fr/1/2018/consolatrice 

4. Cf. "Réponse ce matin avec Michel Guérin", URL: https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-chemins-de-la-philosophie/la-consolation-3-4-schopenhauer-et-nietzsche-l-art-consolateur-1555291

5. Voir la série de Michel Guérin sur ce point, URL: https://www.schopenhauer.fr/multimedia/l-art-peut-il-consoler.html

6. Voir Jean-Marie Bédoret, l'art. « À propos de la fonction consolatrice de l’Art » Dans Hegel 2014/4 (N° 4), pp. 396 à 404, URL. https://www.cairn.info/revue-hegel-2014-4-page-396.htm

7. Ibidem.

 

 

© Dinah, août 2022.

 

 

***

 

 

 

Pour citer cet article sur une poésie audiovisuelle 

 

Dinah, « En mal d'amour, la nouvelle chanson de MIKA vous console », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 3 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no11/mikavousconsole


 

 

 

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2 août 2022 2 02 /08 /août /2022 15:13

 

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège & REVUE ORIENTALES (O) | N° 2-1 | Varia 


 

 

 

​​​​​

 

 

 

Les Cèdres

 

 

 

 

 

​​

Édouard Gemayel

Ou Édouard Gemayel

Poème choisi & transcrit avec une note par Dina Sahyouni

 

 

 

 

​​​​​Crédit photo : "Cèdre du Liban du lac Supérieur du bois de Boulogne", domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

À Madame Amy Kher

 

 

 

 

Dans le bois où repose une fadeur d'église

Les cèdres de la Bible exhalent leur encens

Et leur silence a de long soupirs angoissants

Où de leur souvenir l'âme se cristallise.

 

 

 

Leur feuillage s'étale en vivantes assises,

Et dans les cieux du soir tout maculés de sang,

Palpite en disques bleus autour des fûts, puissants,

Et la céleste paix des nuits le divinise.

 

 


 

Nul rêve ne fleurit au pied des troncs rugueux,

Et l'on sent, malgré soi, se renfermer ses yeux,

Et doucement monter un mystique vertige.


 

 

 

Ainsi, parmi les rocs et l'immortalité.

Debouts et dédaigneux de leur antiquité.

Les Géants du Seigneur dans les siècles se figent.*

 

 

 

* Le poète Édouard Gemayel (1???-????) célèbre dans ce poème élogieux le pays dont l'écrivaine Amy Kher est originaire ; le parfum des cèdres est celui du Liban. Amy Kher a vécu en Égypte et fut conteuse, romancière, poète (ou poétesse) du XXème siècle.

 

 

Le poème ci-haut provient du périodique Images, hebdomadaire égyptien paraissant le Dimanche, N°19, Égypte, Le Caire 26 janvier 1930, p. 19. Cette presse écrite appartient au domaine public.

​​​​​​

 

_______

 

 

 

Pour citer ce poème élogieux d'un aïeul

 

Édouard Gemayel, « Les Cèdres », extrait du périodique égyptien Images (N°19, 1930), choisi, transcrit avec une note par Dina Sahyouni pour Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels & fictifs », n°2 & Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »mis en ligne le 2 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientales/no2/no11/eg-lescedres


 

 

 

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REVUE ORIENTALES ET LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 O-no2 REVUE ORIENTALES Nature en poésie Muses et féminins en poésie
1 août 2022 1 01 /08 /août /2022 15:21

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Bémols artistiques| Revue Matrimoine

 


 

 

 

​​​​​

 

 

Hélène Martinez-Urban

 

​​

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

Peintures par

 

Hélène Martinez-Urban

 

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Hélène Martinez-Urban, tableau de nature morte, n°1.

 ​​​​


 

Hélène Martinez a vu le jour le 7 mai 1926 à Saint-Nazaire, petit village des Pyrénées Orientales. Son père, Antonio Maxime Martinez, était né en 1885 à Lorca en Espagne où il était ouvrier agricole, sa mère, Marie Isabelle Carrasco, était originaire d'Aguilas, ville située également dans la région de Murcie en Espagne.

Arrivée en Catalogne française et installée dans le petit village de Saint-Nazaire, la famille est naturalisée et Hélène Martinez devient française en 1931.

 

 

Après la disparition de son époux, Marie Isabelle Carrasco-Martinez s'établit avec ses huit enfants à Perpignan, Hélène Martinez doit quitter l'école avec regret pour s'occuper de ses frères et sœurs plus jeunes alors que sa mère s'emploie à faire des ménages.

Son frère jumeau, Antoine Martinez, devient international de rugby à treize, il est l'idole de la famille. La vie à Perpignan en ces années-là est une fête toujours renouvelée avec la pratique du patin à roulettes, les sorties entre amis au cinéma, Le Castillet ou à la plage de la Franqui et de Canet, les bals en plein air où elle danse la sardane, le tango, le paso doble, la rumba…

 

Pendant la guerre, elle travaille jusqu'en 1944 dans un centre scolaire  en charge d'enfants de militaires de la zone occupée au château de Floyrac dans  l'Aveyron où, jusqu'en  septembre 1944, elle occupe un poste d'aide-cuisinière. Très souvent au cours de sa vie, elle évoquera cette époque difficile mais heureuse en se remémorant ce séjour dans un château, la ville de Rodez et les paysages inoubliables de l'Aveyron. Par la suite, elle est employée dans différentes maisons bourgeoises de Perpignan où elle gère l'intendance mais s'occupe également des enfants. Peu après la guerre, elle rencontre un Alsacien, René Urban, qu'elle épousera en 1948 à Perpignan et qu'elle suivra en Alsace, d'abord à Riedisheim, puis à Mulhouse et enfin à Kunheim où le couple reprendra la ferme familiale et entretiendra les vignes, le jardin potager, un élevage de poules et de lapins... Désormais la pêche, le jardinage seront son quotidien jusqu'au jour où la peinture sur tous les supports possibles s'impose à elle, telle une évidence. Barils de lessive, vieux cartons, plaques de verre, morceaux de contre-plaqué, galets, nappes en toile cirée,  chacun de ces matériaux s'invite sous ses pinceaux. On découvre alors des scènes de tauromachie ou de flamenco, des crucifixions, des marines, mais aussi des fêtes villageoises alsaciennes, des maisons à colombages et bon nombre de tableaux éclairés par une flore luxuriante.

 

 

 

© Crédit photo : Hélène Martinez-Urban, tableau de nature morte, n°2.

 

 

 

En 1982, le plasticien corse Toussaint Dominici, professeur à Thann, ville où j'étais alors animatrice culturelle, découvre certaines des œuvres peintes par ma mère dans mon appartement.

Il s'extasie et invite cette dernière à exposer à Altkirch dans le cadre d'une manifestation artistique dédiée à l'Art Brut organisée par l'association Traces et Signes du Sundgau. La même exposition sera visible quelques mois plus tard dans la prestigieuse salle de l'Aubette à Strasbourg !

Hélène Martinez-Urban depuis lors n'a cessé de peindre en Alsace mais aussi dans le petit studio de Port-Barcarès où elle se rendait tous les ans pour retrouver la mer, l'étang de Salses, les paysages de son enfance et sa famille catalane.

 

 

© Crédit photo : Hélène Martinez-Urban, tableau de nature morte, n°3.

 

 

 

Décédée en mars 2000, elle nous lègue la flamboyance de ses peintures empreintes de fraîcheur et de poésie, la musique de son accent méridional, des airs anciens de chansons désuètes qu'elle fredonnait en peignant et qui parfois s'égrènent au fond de ce jardin intérieur où le poème se cultive du bout de l'âme.

 

 

 

© Françoise Urban-Menninger

© Peintures par Hélène Martinez-Urban.

 

 

***

 

Pour citer ces texte & tableaux inédits

 

​Françoise Urban-Menninger, « Hélène Martinez-Urban », texte illustré par trois photographies inédites des œuvres de l'artiste Hélène Martinez-Urban, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »,  mis en ligne le 1er août 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/fum-helenemartinez-urban

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 Muses et féminins en poésie
30 juillet 2022 6 30 /07 /juillet /2022 16:12

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier mineur | Florilège / Poésie des aïeules 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​​

À mes vers

 

 

&

 

 

À une femme poète

 

​​

 

 

 

 

 

Zoé Fleurentin (1815-1863)

Poèmes choisis & transcrits par Dina Sahyouni

 

 

 

 

 

​​​​​Crédit photo : Elisabetta Sirani, "Melpomène, la Muse de la tragédie", domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

À mes vers

 

 

 

Dans les sombres forêts qu'un Dieu caché tourmente,

Quand le chêne effrayé sent fléchir ses rameaux

Et jette sous les cieux sa voix qui se lamente,

Calme, la fleur sourit, se mirant sur les eaux,

 


 

Le vol de l'ouragan sème en vain l'épouvante ;

Elle garde, tranquille, à l'abri des roseaux,

Pendant que le torrent près d'elle gronde ou chante ;

Son parfum au poète et sa graine aux oiseaux.


 

 

Soyez tels, ô mes vers ! si l'amour vous inspire ;

Rendez-vous sans tarder où quelque âme soupire,

Cherchant le ciel d'azur sous l'orage vainqueur,


 

 

Et, discrets confidents, pour calmer ses alarmes,

Comme aux sources des bois vous baignant à ses larmes,

Dans ce cœur attristé faites naître une fleur !

 

 

 

 

 

À une femme poète

 

 

 

Tu demandais des fleurs, en voici pour ta tombe,

Ô toi qui vis trop tôt le rivage inconnu

Où la rose flétrie et la feuille qui tombe,

Pleuvent sur les mourants dont le jour est venu !

 

 

Recouvrez son front pâle, ô sombres scabieuses,

Mariez votre pourpre au muguet argenté,

Inclinez-vous sur elle, ô pervenches pleureuses,

Que sous un dais de fleurs son sein soit abrité !

 


 

En voyant de mes mains s'échapper vos corolles

Où les pleurs de mes yeux se plaisent à couler,

Qu'elle ait, dans le tombeau de plus douces paroles

Pour le céleste ami qui la vient consoler !


 

 

 

Car les frêles mourants dont le destin s'achève

Avant l'heure marquée à tout homme ici-bas,

Dans l'éternelle nuit ne cessent point leur rêve ;

La foule les oublie et ne les entend pas !


 

 

Mais nous qui comprenons les plaintes de la brise,

Nous, poètes errants au hasard emportés,

Nous savons deviner, quand un rameau se brise

Ce qu'il contient de pleurs pour les jours regrettés !



 

 

Aussi lorsque, le soir, passent des bruits étranges,

Nous, sans nous effrayer, nous écoutons, rêveurs,

Les immobiles morts parler avec les anges

Dont les lyres d'argent frémissent dans nos cœurs !


 

 

Recouvrez son front pâle, ô sombres scabieuses,

Mariez votre pourpre au muguet argenté ;

Inclinez-vous sur elle, ô pervenches pleureuses,

Louisa va sourire en renvoyant l'été !

 

 

Les poèmes ci-dessus proviennent de FLEURENTIN, Zoé (1815-1863), Poésies élégiaques (Ancienne élève de la Maison impériale de Saint-Denis), Paris, au bureau de la revue de la Province, C. VANIER, Libraire-Éditeur, 25 rue de Buffault, 1861, pp. 3-4 puis 28-30. Ce recueil de poèmes appartient au domaine public.

​​​​​​

 

***

 

 

Pour citer ces  poèmes élégiaques

​​

Zoé Fleurentin« À mes vers » & « À une femme poète », deux extraits de FLEURENTIN, Zoé (1815-1863), Poésies élégiaques, (1861), choisis & transcrits par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 30 juillet 2022, Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/zf-femmepoete

 

 

 

 

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