13 juillet 2022 3 13 /07 /juillet /2022 16:44

 

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier majeur | Articles & témoignages
 

 

 

 

 

 

 

La fabrique du poème :

 

 

Françoise Urban-Menninger, parfum d'âme

 

 

 

 

 

 

 

Michel Loetscher

 

 

 

 

 

© ​​​​Crédit photo : 1ère de couverture de l'œuvre L'Âme du jour aux éditions Astérion.

 

 

 

La poétesse et nouvelliste Françoise Urban-Menninger « étire le fil de lumière » d'un nouveau recueil sur l'étendue foisonnante d'un jardin d'enfance sans murs.

 

Si la poésie est un « état d'enfance conservé » selon l'expression de Goethe (1749-1832), Françoise Urban-Menninger cultive la sienne en cette « grâce éphémère » – celle qui « me fait danser et rire / sur la corde du temps ».

 

La poétesse fait parler et chanter la langue commune avec cette légèreté, toute infusée de cette conscience des choses qui font lire directement le poème du monde dans un livre d'images radieuses et natives :

 

Le temps est suspendu

Dans un jardin de ciel

Où tout le bleu de l'âme

Repose dans un poème de lumière

 

 

La poésie de ce nouveau recueil s'ancre tout à la fois en terre bien ferme et d'envol, c'est-à-dire dans le carré magique du jardin de sa mère, au jour le plus neuf du monde. Elle s'irrigue dans l'image fondatrice de l'auteure de ses jours qui taille les rosiers et prend soin de ses plantes comme de ses œuvres. Hélène Martinez-Urban (1926-2000), artiste d'origine catalane reconnue a exposé notamment à l'Aubette de Strasbourg en 1982. Cette haute figure maternelle n'en finit pas de renaître comme entre les lignes, quelque part entre le chant d'un rossignol, le frémissement d'une « tulipe translucide » ou l'envol d'un cygne, au fil des recueils de Françoise Urban-Menninger.

 

C'est ce nouveau terreau fécond que la poétesse remue et retourne contre la prosaïté d'un monde dévitalisé par le morne calcul des plaisirs et des peines pour réaliser l'identité à soi, scandée par les battements d'un cœur accordé, à la fraîcheur baptismale invaincue puisque puisée dans la profondeur même du langage, sous l'apparente simplicité du propos :

 

 

J'ai choisi de revenir

Dans mon jardin pour y recueillir

L'âme du passé

 

Les plantes y font refleurir

Les ombres de l'oubli

De cette enfance paradis

 

 

À dix-neuf ans, Françoise Urban-Menninger rencontre le poète Jean-Paul Klee, son aîné d'une décennie, et anime avec lui le Café de Poésie à l'Aumônerie universitaire protestante (AUP) de Strasbourg puis à la Fête de la poésie avant de côtoyer Igor Uibo, créateur de la Zone d'Aménagement poétique (ZAP) de Colmar. En 1980, elle publie son premier recueil de poésie (À hauteur de vague et de parole,éditions Saint-Germain des Prés). Une vingtaine d'autres ont suivi ainsi que des anthologies – la plupart chez Éditiner.

 

Elle est également passeuse des œuvres d'autrui, notamment par des collaborations à des revues électroniques comme Exigence Littérature ou le Pan poétique des Muses –  une autre façon de nommer la poésie, ou de la laisser parler pour former cet humus d'un « bien commun » continuant le langage rendu à sa liberté première.

 

 

Irai-je au bout de ma vie

Avec le poème pour cri

Dans ce jardin où les roses sans bruit

Embaument le cœur de ma rime


 

J'écris dans l'enclos des mots

Qui cernent l'horizon

Pour atteindre en moi

La lumière dans le verbe


 

 

Entre l'intime et le monde, la poétesse se ressource dans la lumière inapaisée d'un temps de célébration ininterrompu pour interroger encore ce qui fait mystère et l'accorder à l'exigence d'une raison poétique vécue en présence pure, c'est-à-dire en « profonde éternité » (Nietzsche) – rien moins qu'un art de vivre une ferveur jamais démentie.

 

 

© Michel LOETSCHER*

 

Réf. Françoise Urban-Menninger, L'âme du jour, éditions Astérion, 88 pages, 12 euros.

 

 

*Texte paru dans Les Affiches d'Alsace et de Lorraine, (N°50, 24 Juin 2022, « Culture », p. 21) et reproduit avec l'aimable autorisation de l'auteur.

 

© ​​​​Crédit photo : L'image de l'article, juin 2022.

​​​​​​

 

 

***

 

 

Pour citer ce texte

 

Michel Loetscher, « La fabrique du poème : Françoise Urban-Menninger, parfum d'âme », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 13 juillet 2022, Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/ml-lafabriquedupoeme

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 Amour en poésie Muses et féminins en poésie
12 juillet 2022 2 12 /07 /juillet /2022 14:37

N°11 | Parfums, Poésie & Genre | Dossier mineur | Florilège | Astres & animaux

 


 

 

 

​​​​​

 

 

 

La forêt du poème

 

​​

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

Photographie par

 

Claude Menninger

 

 

 

 

© Crédit photo : une magnifique image du photographe Claude Menninger, La Forge.

 ​​​​

 

 

C'est dans la forêt du poème que j'aime à me perdre. Dans les sentiers battus, je me retrouve parfois avant qu'une sorcière n'apparaisse au bout de ma stance.

J'écris sans savoir que peut-être les mots lèveront un poème de dessous les fagots.

 

Je ne poursuis aucun but sinon celui de suivre ce chemin que m'imposent mes pas. J'avance en moi-même au cœur d'un poème qui ne cesse de se défaire dans les méandres de ma pensée.

 

La forêt du poème a toujours gardé ce mystère qui cache l'ombre sous les fougères et m'invite à danser dans ses trouées de lumière.

Nue dans le poème, je déshabille les mots pour les revêtir de silence. Je tire sur la corde du ciel pour faire venir à moi la couverture bleue des songes sous laquelle je plonge.

 

Rien n'arrête ma course dans la forêt du poème où j'ai le soleil pour guide et ma rime pour boussole. Je suis l'hôte des bois, la reine couronnée de lierre,  la princesse au petit pois de senteur, la fée clochette des brins de muguet et à chaque branche de tous les arbres de la forêt, je suspends un accroche coeur qui m'enracine à la terre du poème.

 

Ma vie palpite comme un oiseau dans le creux de ma paume et je tiens le sablier du monde serré dans l'autre main. Quand je le retourne, il me reste toujours entre les doigts, un dernier grain de sable où je me reconnais dans le poème à naître.





 

Je cherche l'infini dans la moire végétale qui tisse la trame de mes vers, je m'insinue sous les mots pour ensemencer le verbe et je  me

tiens à l'écoute de cette forêt où je renais et meurs depuis des millénaires dans cette langue perdue où, toujours éperdue, je cherche l'ombre pour capter la lumière.

 

Je m'éclipse parfois derrière cette lune d'argent qui s'enfonce dans la diaprure de l'étang au milieu des crapauds coassant. Je mêle ma complainte à leur chant avant de fermer les paupières sur un jeté de lit couvert de nymphéas roses et blancs.

 

C'est dans la forêt du poème que je cours après moi-même, une fleur d'églantier dans les cheveux. C'est dans la forêt du poème que je goûte aux fraises sauvages et aux mûres qui me font les lèvres violines.

 

C'est dans la forêt du poème que je retrouve la liberté perdue des grands chemins d'errance, c'est dans cette forêt que j'écris avec ma mort en épitaphe et ma vie en porte-voix.

 

 

© Françoise Urban-Menninger, juillet 2022.

 

 

***

 

Pour citer ce témoignage inédit

 

​Françoise Urban-Menninger, « La forêt du poème », poème inédit illustré par une photographie inédite de Claude Menninger, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre »,  mis en ligne le 12 juillet 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/fum-laforetdupoeme

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 Nature en poésie Muses et féminins en poésie
8 juillet 2022 5 08 /07 /juillet /2022 15:08

N°11 | Parfums, Poésie & Genre |  Critique & réception

 

 

 

 

 

 

 

Irène Shraer

 

Une couronne à ma porte

 

L’Harmattan, 2020, format A5, 12, 50€

 

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© ​​​​Crédit photo : 1ère de couverture de l'œuvre Une couronne à ma porte chez L'harmattan.

 

 

 

« Ne baisse jamais la tête devant un problème, bats-toi double, la couronne est au bout du combat. » (Pascal Ahouanvoegbe, archiviste béninois) 

 

 

« Poussez la porte, le soleil est à l’intérieur » Paul Nougé, poète surréaliste belge 


 

Une couronne à ma porte : une double symbolique. Une couronne c’est le symbole d’une victoire annoncée. La porte symbolise une ouverture, une entrée et aussi une sortie.  Quand la victoire s’annonce la porte doit forcément s’ouvrir :

 

« Dieu vient quand on lui ouvre la porte » nous enseigne la poète.  

Et cette couronne scelle l’alliance avec le divin dans l’injonction du silence. D’autres portes gagneraient bien à s’ouvrir à la clarté de l’aube :

 

Tandis que « Des portes se succèdent et se ferment », « La Justice attend parfois l’aube qui tarde à se lever ».

Elle nous invite à sauter le pas pour franchir les portes et découvrir les secrets qu’elles recèlent :

 

« Les portes ne cèdent pas

Elles nous aident à franchir

Et à passer leur pas »

 

Elle nous prodigue entre les lignes de sages conseils : Mille ans de ruine / Couronnent ton regard ». La couronne est à notre porte mais on est peut-être frappés de cécité ou animés du refus de ne pas la voir. Le temps s’en fuit et il faut se donner des ailes pour arriver à la victoire. 

Les portes c’est aussi nos limites, notre ignorance, notre manque de flair :

 

« Les hommes ne reconnaissent pas l’histoire

Quand elle se répète. »

 

C’est par les portes qu’entrent tant les ondes positives que les ondes négatives. C’est un lieu d’arrivée et de départ. Tout y passe. Les portes sont multiples et mènent à tout. L’important c’est de choisir la bonne porte, celle qui mène vers une promesse donc il faut être perspicace. 

Les portes ont aussi leur mystère à percer car elles sont manipulées par tant de doigts. 

Parfois en franchissant une porte on ne se doute même pas qu’elle allait être la dernière de sa vie : la porte de l’épouvante, de l’horreur, de la mort :

 

« Ici la porte de l’horreur

Dès qu’ils l’avaient franchie

C’est la mort qui guettait

Ils ne savaient pas pourquoi

Mais ils flairaient le désastre

À partir de ce seuil

Plus rien ne pourrait les secourir »

 

On peut frapper en vain à toutes les portes sans qu’il y avait une qui s’ouvre et pour ne pas se perdre Irène Sharer se lance dans une introspection en remontant à « la source / L’origine », ainsi, nous insuffle-t-elle  l’idée de savoir d’où l’on vient pour comprendre où l’on va.

De la couronne surgit la fleur de sagesse. Laquelle croîtra en terrain fertile.

 

Une couronne à ma porte est un recueil de poèmes à messages et c'est au lectorat de tenter de les comprendre  « dans le silence de la terre ».

 

 

© Maggy De Coster

 

 

À consulter la biographie d'Irène Shraer aux éditions de l'Harmattan :

 

***

 

 

Pour citer ce texte inédit

 

Maggy De Coster, « Irène Shraer, "Une couronne à ma porte", L’Harmattan, 2020, format A5, 12, 50€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 8 juillet 2022, Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/mdc-shraer-une-couronne

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 11 Muses et féminins en poésie
1 juillet 2022 5 01 /07 /juillet /2022 12:56

N°11 | Parfums, Poésie & Genre |  Dossier majeur | Florilège | Astres & animaux 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’eau de mon univers

 

 

 

 

 

 

Mariem Garaali Hadoussa

 

Artiste plasticienne & poète

Présidente de lassociation "Voix de femme nabeul"

 

 

 

 

Crédit photo : Edvard Munch, Woman in Blue against Blue Water, 1891, image Wikimedia, Commons, domaine public.

 

 

 

L’eau de mon univers

Parfums de nuits, parfums de jours,

Ils m’exaltent, m’emportent vers un univers

Sans nom, sans vie, où,

Toi ma vie tu le fais tien,

Toi mon âme, tu y habites,

Mon regard l’illumine.

Les fleurs de mon jardin embaument,

Les parois de mon univers sont en eau,

Une eau limpide comme mon âme,

Une eau transparente comme mon esprit.

 

 

 

Mon dieu ?

 C’est l’Eau de Mon univers,

Ô dame eau, je suis ivre de toi !

Ô dame eau désaltère-moi, Habille-moi de tes flots,

Drape-moi de tes vagues,

Enchante-moi de tes ruissellements,

Caresse-moi de ta tendre rosée du matin !

Je me noie dans ton lac de jouvence,

Ô mon eau adorée !

Je me noie dans tes bleus de bonheur,

Ô mon eau enchantée !

 

 

 

© Mariem Garali hadoussa, dans « Comme nos pluies seront parfumées »

 

 

***

 

Pour citer ce poème inédit d'amour de la nature & de ses parfums 

 

 

Mariem Garaali Hadoussa, « L’eau de mon univers », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°11 | ÉTÉ 2022 « Parfums, Poésie & Genre », mis en ligne le 1er juillet 2022, Url :

http://www.pandesmuses.fr/no11/mgh-eaudemonunivers

 

 

 

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