27 août 2023 7 27 /08 /août /2023 15:12

N°14 | Les conteuses en poésie | Dossier majeur | Florilège / Muses symboliques | Poésie & philosophie & REVUE ORIENTALES (O​​) | N° 3 | Créations poétiques

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[ ] J'ai retrouvé mon moi

 

 

 

 

 

 

Conte en vers & peinture de

 

Mariem Garaali Hadoussa

 

Artiste plasticienne & poète

Présidente de lassociation "Voix de femme nabeul"

​​​​

 

 

 

© ​​​​Crédit photo : Mariem Garaali Hadoussa, tableau d'un arbre entouré de regards (yeux), peinture métaphorique.

 

 

 

[  ] J'ai retrouvé mon moi

Il y a de la joie de la sérénité

Après tant d'années de tourmente

Faire connaissance avec sa nature

Quelle belle retrouvaille


 

J'ai assisté à ma propre renaissance

La sortie de l'ombre

De ma véritable identité

Fut l'une des plus étonnantes découvertes

Se heurter à ses propres illusions

Devoir Reconnaître sa véritable identité


 

Se réadapter n'est pas chose facile

Briser des schémas

Casser des moules

Enlever les masques

Oser se confronter à qui on Est

Surmonter les peurs et les angoisses

Qui accompagnent cette confrontation

 

Finalement se réhabiliter avec sa vérité

La liberté tant convoitée

S'offre à toi

La liberté de vivre selon

Les lois de son cœur 


 

Tout prend sens

Notre unicité et

Notre appartenance à un Tout

Une paix et une sérénité s'installent

Avec légitimé 

 

 

© Mariem Garaali Hadoussa

_________

 

 

Pour citer ces conte versifié gnomique & peinture inédits

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Mariem Garaali Hadoussa, « [ ] J'ai retrouvé mon moi », Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 14 | ÉTÉ  2023 « Les conteuses en poésie » Revue Orientales, « Conteuses orientales & orientalistes », n°3, volume 1, mis en ligne le 27 août 2023. URL :  

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno3/no14/mgh-moi

 

 

 

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4 août 2023 5 04 /08 /août /2023 18:09

N°14 | Les conteuses en poésie | Dossier majeur | Florilège / Poésie des aïeules ​​​​​​| Littérature & Poésie pour la jeunesse 

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II.

 

 

Odile, nous partons ensemble

 

 

 

 

 

 

 

Julia Daudet (1844-1940)

 

Poème choisi, transcrit & commenté par Dina Sahyouni 

 

 

 

Crédit photo : H.-J. Ford, "Féeries, dessin tombé dans le domaine public, capture d'écran d'image trouvée sur le web par LPpdm.

 

 

 

 

Odile, nous partons ensemble

Au pays fantasque et charmant

Des elfes et lutins, qui semble

Si loin à notre entendement.


 

Nous lirons les contes des fées

Et nous connaîtrons l'Oiseau bleu,

Et les belles dames coiffées

D'un rayon, en guise d'un nœud.


 

Nous monterons dans les carrosses

De la gentille Cendrillon

Qui se rend au repas de noces

En son plus humble cotillon.


 

Mais le fils du roi qui l'a vue

Courant sur ses petits souliers,

C'est lui qui l'aime et l'a voulue

À cause de ses jolis pieds.

 

Nous entrerons dans la demeure

De notre Belle au Bois dormant

Où tout repose, même l'heure

Qui n'a sonné depuis cent ans !


 

Mais voici qu'arrive en cortège

De cour, brillant et fastueux,

Le Prince charmant que protège

Une jeune fée aux yeux bleus.


 

Il arrive et soudain tout change,

La dormeuse, debout, sourit :

« C'est vous, mon prince ? » Elle n'échange

Qu'un seul regard, son cœur est pris.


 

Je te conterai l'aventure

De la Belle et la Bête en pleurs,

Qui reprend toute sa parure

Par le don léger d'une fleur.


 

On dira : « C'est de la féerie, »

Peut-être tout autour de toi :

« La dernière rose est cueillie,

N'attendez plus un fils de roi. »


 

Laisse-les dire et sois contente

D'aller chantant, dansant, rêvant :

Tout le bonheur est dans l'attente

Et dans l'espérance, souvent.

 

 

Ce conte en vers ci-dessus provient de l'ouvrage tombé dans le domaine public de DAUDET, Julia (1844-1940), Rome et quelques poèmes [par Mme Alphonse Daudet], Paris, Librairie Alphonse LEMERRE (23-33, Passage CHOISEUL), MDCCCCXXIII/1923, « Poèmes divers », pp. 49-51.

 

On rapporte les autres livres écrits par Julia Daudet et listés dans cet ouvrage :

Œuvres (1878-1889), L'Enfance d'une Parisienne ; Enfants et Mères, I vol. avec portrait (Petite Bibliothèque Littéraire)

Enfants et Mères, I vol. in-18 ; Poésies, I vol. in-18 ; Reflets sur le sable et sur l'eau, Poésies, I vol. V., in-18 ; Au bord des terrasses, Poésies, I vol. in-18 ; Les archipels lumineux, Poésies, I vol., in-18.

Prose :

Impressions de Nature et d'Art, I Vol.

Journées de Femmes, I vol.

Miroirs et Mirages, I vol.

Notes sur Londres, I vol.

Souvenirs autour d'un Groupe littéraire (Fasquelle, éditeur), I vol.

Journal de Famille et de Guerre, I vol.

Quand Odile saura lire (Crès, éditeur), 1 vol.

 

Commentaire

Ce conte versifié est le deuxième volet sans titre du poème  intitulé « Pour Odile ». les deux poèmes  évoques des promenades sous la forme de deux sorties, la première spirituelle et plus précisément religieuse puisque la poète y parle d'amener Odile à l'église pour assister à la messe, quant à la deuxième ci-présente, Julia Daudet y promet de faire voyager Odile à travers une escale au pays merveilleux des fées et leurs contes où tout devient possible. La conteuse-versificatrice y énumère plusieurs passages-clés des contes de fées les plus répandues : Cendrillon, La belle au bois dormant, etc. Conter en vers se transforme en performance non seulement langagière mais aussi esthétique et féerique : un déplacement, un voyage, une escale hors-norme où Odile peut s'évader et vivre pleinement des expériences extraordinaires. Le conte-poème devient ainsi un chronotope où les flux  et reflux du merveilleux, du fantastique, de l'étrange, du bizarre et du réel se mélangent et façonne un seul et unique univers ; un présent continu imprégné de rêveries. À lire et à explorer ce poème-conte comme un chronotope des rêveries communes ou un chronotope d'un imaginaire collectif de Julia Daudet et d'Odile (probablement, la petite-fille de la première ou une jeune personne de son entourage familial).*

 

* Un supplément aura lieu prochainement sur les féeries ou le féerique dans les œuvres des versificatrices... © DS., juin 2023.

 

 

***

 

 

Pour citer ce conte féerique vérifié de l'aïeule

​​​​

Julia Daudet, « II. Odile, nous partons ensemble », poème choisi, transcrit & commenté par Dina Sahyouni de DAUDET, Julia (1844-1940), Rome et quelques poèmes... (1923), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  N° 14 | ÉTÉ  2023 « Les conteuses en poésie », 1er volume, mis en ligne le 4 août 2023. URL :  

http://www.pandesmuses.fr/no14/jdaudet-odile

 

 

 

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12 juillet 2023 3 12 /07 /juillet /2023 10:10

N°14 | Les conteuses en poésie | Dossier majeur | Florilège / Poésie des aïeules Littérature & Poésie pour la jeunesse | Astres & Animaux | Poésie & philosophie | REVUE MDV | N°3 | Les couleurs... | AS 

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Conte d'enfant

 

 

 

 

 

 

 

Marceline Desbordes-Valmore  (1786-1859)

 

Poème choisi, transcrit & mis partiellement

en français moderne & commenté par Dina Sahyouni 

 

 

Crédit photo :  Image d'une prairie où poussent des coquelicots. Photographie libre de droits, capture d'écran par LPpdm, juin 2023.

 

 

 

 

Il ne faut plus courir à travers les bruyères,

Enfant, ni sans congé vous hasarder au loin.

Vous êtes très petit, et vous avez besoin

Que l'on vous aide encore à dire vos prières.

Que feriez-vous aux champs, si vous étiez perdu ?

Si vous ne trouviez plus le sentier du village ?

On dirait : Quoi ! si jeune ! il est mort ! c'est dommage

Vous crîriez*... De si loin, seriez-vous entendu ?

Vos petits compagnons, à l'heure accoutumée,

Danseraient à la porte, et chanteraient tout bas ;

Il faudrait leur répondre, en la tenant fermée :

« Une mère est malade ; enfant, ne chantez pas !

Et vos cris rediraient : « Ô ma mère ! ô ma mère ! »

L'écho vous répondrait, l'écho vous ferait peur.

L'herbe humide et la nuit vous transiraient le cœur.

Vous n'auriez à manger que quelque plante amère ;

Point de lait ! point de lit !…  Il faudrait donc mourir !

J'en frisonne ! et vraiment ce tableau fait frémir !

Ma tendresse pour vous réveille ma mémoire,

Et d'un petit agneau me rappelle l'histoire.

 

« Il était un berger, veillant avec amour

Sur des agneaux chéris, qui l'aimaient à leur tour.

Il les désaltérait dans une eau claire et saine ;

Les baignait à la source, et blanchissait leur laine ;

De serpolet, de thym, parfumait leurs repas ;

Des plus jeunes agneaux guidait les premiers pas ;

D'un ruisseau quelquefois permettait l'escalade ;

Si l'un d'eux, au retour, traînait un pied malade,

Il était dans ses bras tout doucement porté ;

Et, la nuit, sur son lit, dormait à son côté ;

Réveillés le matin par l'aurore vermeille,

Il leur jouait des airs à captiver l'oreille ;

Plus tard, quand ils broutaient leur souper sous ses yeux,

Aux sons de sa musette, il les rendait joyeux.

Enfin il renfermait sa famille chérie

Dedans la bergerie.

Quand l'ombre sur les champs jetait son manteau noir,

Il leur disait : « Bonsoir,

« Chers agneaux ! sans danger reposez tous ensemble ;

« L'un par l'autre pressés, demeurez chaudement ;

« Jusqu'à ce qu'un beau jour se lève et nous rassemble,

« Sous la garde des chiens dormez tranquillement ! »

Les chiens rôdaient alors, et le pasteur sensible

Les revoyait heureux, dans un rêve paisible.

Eh ! ne l'étaient-ils pas ? Tous bénissaient leur sort,

Excepté le plus jeune ; hardi; malin, folâtre,

Des fleurs, du miel, des bleds et des bois idolâtre,

Seul il trouvait que son maître avait tort.

Un jour, riant d'avance, et roulant sa chimère,

Ce petit fou d'agneau s'en vint droit à sa mère,

Sage et vieille brebis, soumise au bon pasteur.


 

« Mère ! Écoutez, dit-il : d'où vient qu'on nous enferme ?

« Les chiens ne le sont pas, et j'en prends de l'humeur.

« Cette loi m'est trop dure, et j'y veux mettre un terme.

« Je vais courir partout, j'y suis très résolu.

« Le bois doit être beau pendant le clair de lune !

« Oui, mère ! dès ce soir je veux tenter fortune :

« Tant pis pour le pasteur ! c'est lui qui l'a voulu. »


 

« – Restez, petit agneau, dit la mère attendrie ;

« Vous n'êtes qu'un enfant, bon pour la bergerie ;

« Restez-y près de moi ! Si vous voulez partir,

« Hélas ! j'ose pour vous prévoir un repentir ! »

 

– « J'ose vous dire non ! cria le volontaire..... »

 

Un chien les obligea tous les deux à se taire ;

Quand le soleil couchant au parc les rappela,

Et que par flots joyeux le troupeau s'écoula,

L'agneau sous une haie établit sa cachette ;

Il avait finement détaché sa clochette ;

Dès que le parc fut clos, il courut alentour,

Il jouait, gambadait, sautait à perdre haleine.

« Je voyage, dit-il, je suis libre à mon tour !

« Je ris, je n'ai pas peur ; la lune est claire et pleine :

« Allons au bois ! dansons ! broutons ! » Mais, par malheur,

Des loups pour leurs enfants cherchaient alors curée :

Un peu de laine, hélas ! sanglante et déchirée,

Fut tout ce que le vent daigna rendre au pasteur.

Jugez comme il fut triste, à l'aube renaissante !

Jugez comme on plaignit la mère gémissante !

« Quoi ! ce soir, cria-t-elle, on nous appellera,

« Et ce soir... et jamais l'agneau ne répondra ! »

En l'appelant en vain elle affligea l'Aurore ;

Le soir elle mourut en l'appelant encore. »


 

Je vous peins ce malheur tel qu'il me fut rendu ;

Pour vous, petit enfant, qu'il ne soit pas perdu !

 

 

 

* Attention, il s'agit de "crieriez", Marceline Desbordes-Valmore a usé de deux licences poétiques en écrivant "crîriez" à la place du verbe conjugué vous "crieriez". La première concerne la surpression de la lettre "e", quant à la deuxième, elle se manifeste par l'accent circonflexe qui apparaît sur la première voyelle "i" (note ajoutée par l'éditrice Dina Sahyouni).

 

 

L'extrait poétique ci-dessus provient de l'ouvrage tombé dans le domaine public de DESBORDES-VALMORE, Marceline (1786-1859), Poésies [de Mme Desbordes-Valmore], 3ème édition, Paris, Chez François Louis (libraire, 10 rue Hautefeuille) 1820, « Mélanges », pp. 185-188.

 

Ce conte en vers est un poème gnomique s'adressant explicitement aux enfants et implicitement aux adultes qui s'égarent et ne comprennent pas la nécessité de restreindre légèrement leur liberté pour bénéficier en échange d'une protection durable contre des prédateurs de tout genre... Ce conte en vers gnomique destinée apparemment à la jeunesse se caractérise par l'usage métaphorique des animaux personnifiés pour construire un conte au prisme d'une fable philosophique ayant une moralité... La "zoopoétique" déployée a ainsi une utilité primordiale. Un développement plus étendu sur ce conte se trouve dans mon article sur la poésie gnomique contée de Marceline Desbordes-Valmore (texte à paraître cet été dans les périodiques du site www.pandesmuses.fr).

 

© DS., juin 2023.

 

 

***

 

 

Pour citer ce conte gnomique de l'aïeule

 

Marceline Desbordes-Valmore, « Conte d'enfant », poème choisi, transcrit & mis partiellement en français moderne & commenté par Dina Sahyouni de DESBORDES-VALMORE, Marceline (1786-1859), Poésies... 3ème édition, (1820), Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N° 14 | ÉTÉ  2023 « Les conteuses en poésie », 1er volume & Marceline Desbordes-Valmore | Revue annuelle, internationale, multilingue & poéféministe, « Les couleurs dans les œuvres des autrices Marceline Desbordes-Valmore », n°3, mis en ligne le 12 juillet 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/mdvno3/no14/mdv-contedenfant

 

 

 

 

 

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