28 novembre 2024 4 28 /11 /novembre /2024 15:45

N° IV | AUTOMNE 2024 | NUMÉRO SPÉCIAL 2024 | Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) | 1er Volet | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & Témoignages

 

 

 

 

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Sophie Brassart, « Geste de toile »,

 

 

Éditions du Cygne, Paris 2024, 49 pages, 12€

 

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Témoignage par

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de poèmes de Sophie Brassart, « Geste de toile », Éditions du Cygne, 2024.

 

 

Geste de toile serait–il un avatar de la Chanson de geste ou une Chanson de toile revisitée ? S’agit-il de l’esthétique des formes picturales qu’épouse la toile de la peintre qu’est Sophie Brassart de concert avec les muses ?

 

Geste de toile semble plutôt expliquer un acte de générosité en phase avec un être d’une grande sensibilité et qui se trouve bouleversé par les revers de l’existence : 

 

«  J’apportais du pain au vieux voisin

qui souriait, sans raison, le manque

d’amour est-il lumière »

 

Le sourire est sans doute salutaire en ce sens qu’il atténue le manque d’amour.

Ce recueil de poèmes est ponctué de séquences en italique comme pour dédoubler l’artiste peintre de la femme poète. 

Avec ce recueil de poèmes finement brodés au fil soyeux de son inspiration, Sophie Brassart nous offre une parole poétique à décrypter. Cela dit, elle plonge dans un macrocosme et en sort des particules de vérités qu’elle soumet à notre compréhension. C’est un parcours chargé de symboles et d’énigmes à résoudre.  

 

« J’épluche une pomme

Qu’elle fasse le lien entre toi et moi »

 

Cette pomme n’est pas celle de la discorde mais peut-être la symbolique d’un être dénudé corps et âme se languissant de l’âme sœur.

 

« Et le silence au large, 

la mort des larmes

& nos mains, nos mains n’avaient ni jour ni nuit »

 

Notons la culture du silence dans ce recueil, un silence qui peut revêtir un double sens, c’est-à-dire qu’il suscite d’une part la créativité et d’autre part la consternation.

Ce silence résonne dans le creuset de l’absence : 

 

« & cette absence claire

Comme une pièce

que je ne pourrai déplacer »

 

L’absence est ici synonyme de vide qui est l’évocation d’une perte. Et c’est dans l’absolu du silence qu’on noie sa peine.

Tout est vide en elle et autour d’elle :

 

«  Alors le vide s’enroule et s’ouvre en moi »

«  La ville où le vide/ déchire une affiche »

 

La mort n’est pas seulement l’expiration d’une âme sœur mais aussi l’expiration d’une séquence de vie amoureuse : 

 

« Parfois aimer

C’est savoir que le mur de granit

– encore pubère

remet à chaque instant ce viatique :

Linge frais clapote au vent »

 

Ne sommes-nous pas sur cette terre « des oiseaux de passage » qu’elle évoque dans le recueil:

 

« J’étais traversée par les deuils et des craintes

Ce qui ouvre la place des océans »

Même si elle ne peut «  défaire / le cours prosaïque des choses », elle reste cette créature qui porte en elle le germe de la résistance : 

 

« Je traverse les pierres »

 

Belle métaphore pour  symboliser les difficultés de l’existence, la rudesse de la vie.

 

© Maggy DE COSTER

Liens DE RÉFÉRENCE :

*http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-geste-de-toile.html

**http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-sophie-brassart.html

 

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Pour citer ce texte inédit 

 

Maggy De Coster, « Sophie Brassart, « Geste de toile », Éditions du Cygne, Paris 2024, 49 pages, 12€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2024 NUMÉRO SPÉCIAL | NO IV | « Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) », 1er Voletmis en ligne le 28 novembre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiv/mdc-brassart-gestedetoile

 

 

 

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12 octobre 2024 6 12 /10 /octobre /2024 16:46

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Critique & réception| Dossier majeur | Articles & Témoignages | Astres & animaux / Nature en poésie & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Critiques poétiques & artistiques 

 

 

 

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Arwa Ben Dhia, « Les quatre et une saisons »,

 

Éditions du Cygne, Paris 2024 & Éditions

 

Arabesques, Tunis 2024, 99 pages, 14 €

 

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Texte de

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de poèmes de Arwa Ben Dhia, « Les quatre et une saisons », Éditions du Cygne, Paris 2024 et Éditions Arabesques, 2024.

 

 

 

Un titre qui frappe par son originalité mais qui fait penser à la tradition chinoise où il existe une cinquième saison. Il s’agit d’une période de transition qui se situe entre l’été et l’automne. 

Ce recueil de poèmes est composé comme une ode à la nature, qui est pour l’autrice une poésie à part entière : 

 

« Dans le ballet de la nature, tout est harmonie,

Chaque fleur, chaque mouvement, est une poésie.

Fleurir, c’est la vie qui naît, grandit et s’épanouit. »

 

Rebelle et intraitable, elle ne renoncerait pour rien au monde à sa liberté : 

 

«  Jamais je ne renoncerai

À ma liberté de croire et de penser

Jamais je ne commettrai

Le crime de me voiler »

 

Cette ingénieure de formation n’a de cesse d’agiter des questions d’ordre métaphysique, eschatologique, ontologique et mystique. 

Aussi comprend-elle que :

 

«  L’infini restera toujours un mystère

Dont nous faisons partie.

 

Toutefois elle se veut sa propre guide en traçant son propre chemin, faisant fi de toute morale. Son bonheur se mesure à l’aune de sa liberté si chère, cette bastille qu’elle considère imprenable. 

L’amour prend aussi forme dans l’intervalle de ces Quatre et une saisons :

 

«  Quand je t’accueille en moi.

Mon amour n’a ni d’yeux ni d’oreilles,

Ni dieu ni loi,

Et je n’ai d’yeux que pour toi. »

 

Le bonheur chevillé à l’âme, grisée du plaisir de l’amour, elle  laisse s’échapper ces quelques notes qui résonnent comme la singulière cinquième saison : 

 

«  Nos draps en désordre

Après l’amour

Sont une œuvre d’art

Peinte par le bonheur »

 

Comme Rimbaud, elle divinise la poésie : 

« La poésie est l’arôme de la divinité. », conçoit-elle.

Résiliente,  elle aspire au renouveau, à la renaissance, au changement car « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. », selon Lavoisier. 

 

Générosité, espérance, transcendance, tels sont en substance quelques éléments qui constituent le fer de lance de ces Quatre et une saisons.

 


 

© Maggy DE COSTER

 

 

À consulter également :

— Sa page de poétesse aux éditions Du Cygne, URL. http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-arwa-ben-dhia.html

 

— La page de son recueil aux éditions Du Cygne, URL. https://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-quatre-et-une-saisons.html

 

 

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Pour citer cet article inédit

 

Maggy De Coster, « Arwa Ben Dhia, « Les quatre et une saisons », Éditions du Cygne, Paris 2024 et Éditions Arabesques, Tunis 2024, 99 pages, 14 € », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1mis en ligne le 12 octobre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiii/mdc-bendhia-quatreetunesaisons

 

 

 

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12 octobre 2024 6 12 /10 /octobre /2024 13:40

N° III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Critique & réception | Revue culturelle des continents / Amériques

 

 

 

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La 11e Édition du Festival

 

America à Vincennes 

 

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Texte & photographies de

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© Crédit photo : Maggy De Coster, image d'une peinture exposée dans la 11e Édition du Festival America à Vincennes, 2024.

 

 

La 11e Édition du Festival America a lieu du 27 au 29 septembre 2024 à Vincennes, près de Paris et a réuni 80 auteurs et autrices d’Amérique du Nord et d’Europe. Ce festival qui a lieu tous les deux ans fête ses 20 ans cette année et réunit le Canada, les États-Unis, le Mexique, Cuba et Haïti.

 

© Crédit photo : Maggy De Coster, image d'une deuxième peinture exposée dans la 11e Édition du Festival America à Vincennes, 2024.

 

L’élément incontournable du festival est le Salon du livre logé sous un chapiteau érigé sur le parvis de l’Hôtel de Ville où des auteurs européens côtoient des auteurs du continent américain..

L’Américain James Elloy, auteur par excellence du roman noir, a annoncé la couleur avec son troisième opus sur Los Angeles, Les Enchanteurs, (Rivages/Noir), une enquête autour de la mort de Marilyn Monroe.

 

© Crédit photo : Maggy De Coster, image de l'exposition à la 11e Édition du Festival America à Vincennes, 2024.

 

Le Napoliain Erri de Luca, écrivain, journaliste engagé et traducteur, Prix Femina étranger, 2002, nous offre sa sincérité et la profondeur de ses mots. Il signe son dernier roman Les règles du Mikado, (Gallimard).

Sébastien Dulude de Montréal, nous déménage avec son roman d’initiation Amiante, (La Peuplade). Omar Youssef Souleiman, journaliste, poète et romancier, dans Être français, (Flammarion), raconte sa vie de réfugié politique d’origine syrienne, devenu français.

 

Place est faite au roman graphique qui révolutionne le paysage littéraire et a un impact considérable dans le monde entier. En conséquence, trois rencontres exceptionnelles ont eu lieu autour de ce genre littéraire et de la bande dessinée en France, en Europe et en Amérique.

 

© Crédit photo : Maggy De Coster, image d'une troisième peinture exposée dans la 11e Édition du Festival America à Vincennes, 2024.

 

 

Ce festival a donné lieu à des conférences sur des sujets d’actualité : Le corps des femmes, le patriarcat, la lutte des classes, la violence sociale, l’accueil de l’étranger et bien d’autres. Une occasion pour toucher du doigt les problèmes que traversent les deux mondes séparés par deux cultures.

Il a également mis en lumière la littérature et la culture d’Amérique du Nord et a permis de découvrir ce continent sous des aspects divers. Une exposition de l’illustrateur Miles Hyman sur le thème de l’Amérique qui rassemble des images sur la vitesse, le sport, la littérature et le cinéma.

 

 

 

 

© Crédits photos : Maggy De Coster, images de l'exposition et de sa présentation à Vincennes, la 11e Édition du Festival America à Vincennes, 2024.

 

Diverses animations culturelles en relation avec ce festival ont lieu dans la ville: forum d’écrivains, joutes de traduction, concert du groupe Sing Groove Together, atelier de street art (l’art urbain en français). 

 

 

© Maggy DE COSTER

   

                            

 

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Pour citer cet article inédit & illustré 

 

Maggy De Coster (texte & photographies), « La 11e Édition du Festival America à Vincennes », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Voletmis en ligne le 12 octobre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiii/mdc-festivalamericavincennes2024

 

 

 

 

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25 septembre 2024 3 25 /09 /septembre /2024 17:33

III | ÉTÉ 2024 | Florapoétique / 1er Volet | Dossier mineur | Articles & témoignages | Revue culturelle des continents / Revue culturelle des Amériques

 

 

 

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CARNET DE VOYAGE : Été 2024 à Manhattan

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Témoignage & photographies par

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

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Manhattan avec ses multiples gratte-ciel ressemble à un labyrinthe de miroirs déformants où l’on découvre par moments quelques petites perles rares. Dans cette mégapole à la circulation intense tout est bruyant : les hurlements continuels des sirènes d’ambulance, de voitures de police ou de véhicules de pompiers font bon ménage dans le chassé-croisé sur les grandes artères. Les taxis orange sont très remarquables par leurs toits surmontés d’enseignes lumineuses où défilent les publicités.

 

Bruyant et assourdissant est également le métro de New York.

Une seule voie pour plusieurs destinations et il est primordial de connaître les chiffres et les couleurs en fonction de chaque destination pour ne pas se perdre. Même un natif américain n’est pas exempt d’une mésaventure.

Rien à voir avec le métro parisien où il existe une bien bonne signalétique et où les rames s’arrêtent à toutes les stations.

Les quais de gare sont sinistres et bas de plafond. Ils seraient bien adaptés au tournage des films d’horreur ! 

 

Pour se sustenter on peut trouver à chaque coin de rue des camions-restaurants de couleur rose bonbon qui ne passent pas inaperçus et dont le vrombissement continu des moteurs est très désagréable. Dans certaines rues de Manhattan persistent dans l’air ambiant les effluves de cannabis : véritables repoussoirs pour des personnes à l’odorat subtil. 

 

S’il y a quelque chose qu’un amateur ou une amatrice d’art ne saurait ne pas apprécier dans cette mégapole où le gigantisme est spectaculaire, c’est la visite des musées. 

De style néogothique, Le Métropolitan Museum de New York, Le MET en raccourci, le musée le plus visité de la ville, est l’un des plus grands et des plus célèbres musées des USA. Situé à la 5e Avenue de Manhattan, il renferme 5000 ans d’art des cinq continents sur cinq niveaux. Notons qu’en Amérique le rez-de-chaussée est considéré comme le niveau 1.

On peut y admirer la peinture européenne de 1300 à 1800, des dessins et des gravures, l’art grec et romain, la sculpture et les arts européens, l’art de la Turquie et l’Iran, l’art antique du proche Orient, l’art médiéval, l’art égyptien, des armes et des armures. 

Aux USA la culture est la chasse gardée du secteur privé cependant le MET fait exception à la règle.

 

 

Le Musée d’Art Moderne, appelé le MOMA, situé dans le Midtown à Manhattan, ouvre ses portes depuis 1929. Il nous donne une vision globale de l’art moderne et contemporain d’Europe et d’Amérique, le tout réparti sur cinq étages. Ce temple est le reflet du cubisme, du futurisme et du dadaïsme. Les œuvres les plus représentatives sont celles de Matisse, de Cézanne, de Degas, de Picasso, de Dali, de Monet, de Corot, de Marcel Duchamp, de Van Gogh dont La Nuit étoilée demeure la pièce maîtresse, de Jackson Pollock avec ses fresques qui relèvent de l’expressionisme abstrait.

Le MOMA accueille des expositions permanentes et temporaires. En matière d’art contemporain, il y a à prendre et à laisser. À chacun son regard et sa sensibilité. Mais posons-nous la question de savoir comment peut-on aujourd’hui définir l’art après avoir vu  dans le musée en question: une étagère où sont disposées des flûtes à champagne ou encore trois sachets en papier recyclé, lestés et disposés à la verticale dans une vitrine ? Cela suscite le débat.

 

 

 

Inauguré en 1959, le Guggenheim Museum de New York, ce temple de l’art moderne et contemporain non figuratif, de forme insolite, est l’œuvre de l’architecte Franck Lloyd Wright. Situé non loin du Central Park à Manhattan, il abrite des expositions temporaires. Il a accueilli Picasso, Mondrian, Kandinsky, Paul Klee...

Cet édifice est formé d’une tour jouxtée d’une rotonde coiffée d’une verrière en toile d’araignée, laissant passer la lumière du jour.

 

 

Reportage photographique dans les trois Musées cités ci-dessus :

 

 

© Crédit photo : Image prise par Maggy de Coster, no 1, peinture de nature morte.

 

© Crédit photo : Image prise par Maggy de Coster, no 2, peinture de danseuse.

 

© Crédit photo : Image prise par Maggy de Coster, no 3, peinture de danseuses.

 

© Crédit photo : Image prise par Maggy de Coster, no 4, peinture de deux sœurs aux fleurs.

© Crédit photo : Image prise par Maggy de Coster, no 5. peinture d'un potier.

 

© Crédit photo : Image prise par Maggy de Coster, no 6. peinture.

 

© Crédit photo : Image prise par Maggy de Coster, no 7, Costumes des américains autochtones.

 

© Crédit photo : Image prise par Maggy de Coster, no 8, Costumes des américains autochtones.

 

 

© Maggy DE COSTER, septembre 2024. Des précisions supplémentaires sur les images seront bientôt ajoutées aux photos.

 

 

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Pour citer ce récit de voyage illustré & inédit 

 

Maggy De Coster, « CARNET DE VOYAGE : Été 2024 à Manhattan », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : ÉTÉ 2024 | NO III « Florapoétique », 1er Volet, mis en ligne le 25 septembre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiii/mdc-ete2024amanhattan

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans ÉTÉ 2024 NO III Carnet de Voyage Voyages Maggy De Coster

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