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Crédit photo : Virginie Élodie Marie Thérèse Demont-Breton (1859-1935), « Fillette à la guirlande de fleurs des champs », œuvre artistique tombée dans le domaine public, capture d'écran de l'image libre de droits du site Commons.
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& EN VERSION IMPRIMÉE
SUSPENDUE SUITE À UN CAS DE FORCE MAJEURE DE 2018 À 2020
REPRISE DE L'ÉDITION IMPRIMÉE EN FIN DE 2021.
ISSN NUMÉRIQUE : 2116-1046
ISSN IMPRIMÉ : 2492-0487
(4 NUMÉROS PAR AN DONT un HORS-SÉRIE & UN NUMÉRO SPÉCIAL)
Le premier long-métrage d’une talentueuse cinéaste suisse, Foudre, manie les thèmes de l’amour à mort et de la déesse mère, allégorie de la Nature. Je le dis d’emblée : j’eus préféré qu’il les remanie avec sprezzatura, plutôt qu’avec une maîtrise logique. À la différence du Smoke sauna, un dispositif sans faille montrant que la plus forte détermination de nos patriarcats est de s’approprier la jouissance féminine ne renouvèle rien. Ce dispositif narratif crée un nouveau conformisme, à l’aide d’images sublimes, de beaux paysages, d’acteurs envoûtants, comme dans le film de Terence Davies sur le poète Siegfried Sassoon, œuvre ultime qui use d’un formalisme de génie. Une autre comparaison s’impose : Romance de Catherine Breillat, qui montre en plus l’appropriation du sexe de la femme par la médecine. Foudre est donc « un film de femme », formaliste et communautariste, montrant comment quatre sœurs peuvent s’unir contre la puissante adversité du monde patriarcal.
Déflorons un peu l’intrigue : c’est encore le thème de la sexualité féminine dont l’aboutissement serait le désir de posséder plusieurs hommes à la fois. Foudre manie à fond la culpabilité brassée par le prêtre et par le père, le prêtre étant l’hypertrophie du Père.
L’ancienne novice, Elisabeth, retrace en miroir le destin de sa sœur nommée Innocente. Cette « innocente » est traitée de « pute » et suicidée par amour, à la suite de relations sexuelles à plusieurs. L’irénisme est si grand qu’il est exclu d’employer certains mots vulgaires. Grande figure de la mise au tombeau des femmes : le prêtre interdit qu’un hommage, fut-ce une simple prière, soit rendu à cette âme satanique incarnée dans l’enveloppe charnelle d’une innocente. Or cette innocente écrit de la poésie. Secrètement, comme il se doit, et dans l’intention d’être lue par sa Sœur. La poésie d’Innocente révèle son désir du corps de l’homme et sa conviction de trouver de la sorte Dieu.
Quand une femme écrit de la poésie si son mari est assassiné, elle est la principale coupable (voir Louise Weissmann). Autrement, c’est une mangeuse d’hommes, au statut revendiqué par Grise délice, poétesse nymphomane vendant ses services sexuels — je remarque qu’une « vendue » est soutenue par des écrivaines contemporaines, selon l’adage : qui veut faire l’ange fait la bête. Elisabeth, la novice, comprend le sens profond de la « pute » qui est le grand mystère de la Nature et de la Déesse Mère. S’ensuit le cliché de l’amour universel... L’ex novice reprend la voie de la sœur morte, contamine les deux sœurs plus jeunes, et se révolte de la sorte contre l’esclavage domestique de la mère, le bras servile de môssieur le père, l’homme « agrandi » (ou rétréci…) qui n’a de cesse d’imposer un destin de mère à ses filles. L’épouse coupe court à la jouissance féminine, qu’elle circonscrit, endigue, jusqu’à mener à la puissante image du cercueil en feu. Eh oui, nous brûlons les lettres des poétesses et des philosophes (voir Diderot et Sophie Volland, Balzac et Mme Hanska : « j’adore que les femmes écrivent mais elles doivent faire comme vous, brûler leurs lettres » — je cite de mémoire).
Le cahier de la morte ressortit au même conformisme. C’est bien qu’il y ait du texte. Un journal intime à l’écriture tourmentée, tout comme il faut… Et des chansons aussi, très bien faites. Tout est prêt pour la grâce, mais la grâce ne vient pas sur commande. Où est passé le zeste d’anarchie qui la nourrit ? Foudroyé ?
Il manque la prudence, la sagesse et la folie dans cette quête d’absulu. Carmen Jacquier donnera une grande œuvre si elle n’est pas empêchée par le système qu’elle dénonce. La grande leçon de la poésie est qu’on ne peut rien faire contre elle.
À la fin du XIXè siècle, dans la jolie cité de Morzine, à la frontière suisse, dans le domaine de ski des Portes du Soleil, quand une petite fille se roulait par terre en hurlant, les autres l’imitaient. Aussitôt, les psychiatres décodaient un cas d’hystérie collective, que j’ai évoqué dans ma maîtrise de lettres sur « Stéphane Mallarmé et le stade du miroir ».
Été 1900, au cœur d'une vallée du sud de la Suisse. Elisabeth, 17 ans, est sur le point de prononcer ses vœux après 5 ans passés au couvent. La mort soudaine de sa sœur l'oblige à retourne...
Camillæ (Camille Aubaude), « Foudre, long métrage de Carmen Jacquier, Suisse, 2024 », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 13 juin 2024. URL :
Pour citer ce poème élégiaque & inédit en hommage à l'artiste
Françoise Urban-Menninger, « Hommage à Françoise Hardy », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 12 juin 2024. URL : http://www.pandesmuses.fr/megalesia24/fum-hommage
Paris. Lundi, 3 juin 2024. Le Maghreb des Livres s’achève sur une triste décrépitude. Une fréquentation en chute libre. Des entretiens, des tables rondes devant des publics parsemés. Le Maroc, fantomatique invité d’honneur. La salle des signatures timidement fréquentée. Plusieurs bonnes plumes, insuffisamment connues, en déplacement pour rien, expectent vainement des demandes d’autographes. La déception se lit dans les regards égarés. Les médias français ignorent la manifestation. Les polygraphes starifiés boudent l’événement. Les éditeurs marocains désespérément absents. Les tables de livres elles-mêmes soupirent leur indigence. En contrepoint, des apartés fructueux, des souvenirs de temps plus vertueux. Driss El Yazami me demande une étude historique sur la jeunesse marocaine et les droits humains. Le gauchisme marocain se réhabilite.
L’association Coup de Soleil voit ses années fertiles s’éloigner dans le rétroviseur. Atmosphère de fin de règne. Appels pathétiques aux dons et aux cotisations. Quand le bateau coule, l’étendard prend l’eau. Deux notabilités se demandent si elles ne se sont pas trompées de rendez-vous. Hubert Védrine présente son dernier ouvrage, Camus notre rempart, éditions Plon, devant trois oreilles distraites. Retrouvailles émouvantes avec Louis Mermaz, témoin majeur des années mitterrandiennes, curiosité toujours vive. Le Fonds Louis Mermaz, éditions Le Bord de l’eau, rassemble les travaux d’une journée d’études sur ses archives.
Que retenir ? Des livres, bien entendu. Les éditions du Jasmin remettent opportunément en vente des classiques, tarifés en francs, Voyage dans l’Empire du Maroc de Jean Potocki (1761-1815), Reconnaissance au Maroc de Charles de Foucault (1858-1916), Le Culte des grottes au Maroc d’Henri Basset (1892-1926). Des ouvrages sous-estimés, dénigrés par l’idéologie décoloniale, la cancel culture, la post-vérité. Le besoin de ressusciter l’esprit de Toumliline se fait nécessité vitale dans le monde à la dérive.
Je découvre le livre La Maison du Maroc à la Cité U de Mostafa Bouaziz et Guillaume Denglos, éditions Riveneuve. La Maison du Maroc à la Cité internationale universitaire de Paris, construite en 1953 par l’architecte Albert Laprade dans le style mauresque, avec son entrée monumentale, son patio andalou, son salon tapissé de zelliges, fut, dans les années soixante et soixante-dix, un lieu d’activisme révolutionnaire et de dialogue des cultures. Je me souviens des assemblées en son sein contre la guerre du Vietnam d’associations africaines snobées par les groupuscules gauchistes. L’établissement s’investit totalement dans Mai 68. Les étudiants l’occupent, l’autonomisent, l’autogèrent pendant deux ans. La Maison du Maroc est aujourd’hui une institution bien sage, organisant, de temps en temps, des conférences promotionnelles et des expositions inoffensives.
Tanger et Casablanca se réactualisent. Le roman Casablanca Circus de Yasmine Chami décrit les contradictions urbaines, les antinomies sociales, les discordances culturelles de la métropole casablancaise à travers le couple d’un architecte et d’une historienne formés dans les universités parisiennes. Les discriminations entre quartiers bourgeois et périphéries populaires se perpétuent identiquement depuis l’époque coloniale. Contrastes terribles entre enfants nantis, vivant dans des villas luxueuses, trimballés dans des limousines, et marmots déguenillés des bidonvilles. Les pauvres et les riches n’ont en commun que le phallocratisme, le machisme, la domination patriarcale. Regard anthropologique, enrichi de données géographiques, historiques, fondu dans une plaisante narration littéraire.
Mohamed Métalsi republie, aux éditions Malika, Tanger, fortunes et infortunes d’une ville, après l’avoir entièrement réécrit. Il reprendra probablement l’inépuisable sujet de la cité en perpétuelle métamorphose dans d’autres communications, dans d’autres ouvrages. L’urbaniste scrute inlassablement les spectaculaires transformations urbaines accélérées par le gigantesque complexe portuaire de mille hectares, la plateforme industrielle de mille entreprises. La métropole compte désormais un million d’habitants. Se noient les quartiers historiques dans une extension rhizomique. Tanger multimillénaire, diversitaire, interculturel, phénicien, carthaginois, grec, romain, byzantin, arabe, portugais, espagnol, britannique, brade son âme. Tanger englouti dans le béton de la mondialisation. Tanger oublie ses rêves. Tanger ne parle que de ses performances économiques.
Depuis mon adolescence, je revisite régulièrement des écrivains envoûtés par la cité du détroit, Tennessee Williams, Truman Capote, Jack Kerouac, Jean Genet, Juan Goytisolo, Paul Bowles, Samuel Beckett. Les lieux mythiques, hantés par des plumes ensorcelées, disparaissent les uns après les autres. Tanger perd ses muses et ses mystères. La ville se technocratise, se dépoétise, se déromantise. Je relis Au Grand Socco de Joseph Kessel, éditions Gallimard, 1952. La trame narrative épouse le dédale des ruelles. S’évite le misérabilisme du Pain nu de Mohamed Choukri. Le discours du pauvre peut être enchanteur. Au marché du Grand Socco, Bachir, enfant des rues, clochard céleste, fabuliste errant, alter ego méditerranéen de Tom Sawyer et de Huckleberry Flint, envoûte son auditoire de contes merveilleux. Le parfum hoggarien de Tin Hinan embaume ses récits. Puis, un jour, Bachir, en quête d’aventures extraordinaires, entreprend le tour du monde sur son petit âne blanc. L’empathie animale compense l’ingratitude humaine. L’esthétique plébéienne rattrape l’insensibilité bourgeoise. Les multiples facettes de la psychologie populaire se ramifient dans l’onirisme.
Le marché d’antiquités et de brocantes du Grand Socco, au pied de la médina, antique chalandage de l’or, jalonné de bijouteries, fixe mes souvenirs d’enfance. Hypnotiques clameurs. Entremêlement de voix, de couleurs, de fragrances. Des productions artisanales à profusion, tapisserie, broderie, plumasserie, verrerie, faïencerie, émaillerie, argenterie, maroquinerie, orfèvrerie, ferronnerie, cuivrerie, ébénisterie, marqueterie, damasquinerie. De vrais produits locaux, parfois des faux. L’art du marchandage se conclut le plus souvent sur un sourire et une poignée de mains. Je me revois dans ce souk à dix ans, immobile, fasciné par des scènes d’incroyable théâtralité. Le souk, c’est aussi la halqa, le cercle de spectateurs formé autour des saltimbanques, la circularité solidaire, fraternelle, les démonstrations de musiques, de chants, de danses, d’acrobaties, les narrations d’épopées, les déclamations de poèmes, les harangues morales. Toute l’effervescence culturelle, créative du Maroc passe par les halqas.
Les découvertes appellent des relectures, des actualisations, des focalisations. Je ressors l’Enquête sur les corporations musulmanes d’artisans et de commerçants au Maroc de Louis Massignon (1883-1962), éditions Ernest Leroux, 1925, rééditée par l’Université Mohammed V en 2014. En 1923, Hubert Lyautey confie à Louis Massignon une étude sur les artisanats marocains après avoir lu ses mémoires sur Hassan Al Wazzan, dit Léon l’Africain, et sur La géographie du Maroc dans les quinze premières années du XVIème siècle. La méthodologie se décline dans une recherche multidimensionnelle à Fès, Marrakech, Rabat, Salé, Meknès, accessoirement Casablanca et Taroudant. Une vingtaine de pistes, les spécialisations tribales, les typologies professionnelles, leur agencement, leur encadrement, leur hiérarchisation, leur répartition spatiale, leur administration coutumière, leurs chants religieux et satiriques, l’influence des confréries, l’empreinte andalouse, le fonctionnement des marchés. Des chroniques anciennes sont exhumées, étudiées, confrontées aux réalités postérieures. Louis Massignon trouve à cette occasion sa vocation d’intercesseur de la diversité culturelle.
Petites et grandes histoires du Maroc de Rachid Boufous, éditions Le Fennec, narre des personnages excentriques, des anecdotes allégoriques. L’histoire s’aborde par des fenêtres latérales. Vingt-trois récits tramés sur internet. Des faits historiques saisis comme des contes fantastiques. Une coutume remontant à Moulay Rachid fait, chaque année, pendant des lustres, d’un étudiant de la Qarawiyine un Soltane des tolbas, un roi régnant pendant une semaine avec toutes les prérogatives de la fonction. Tout aussi insolite, le royaume des Berghouata, confédération tribale berbère, libertaire, dissidente du califat omeyyade, prône l’égalitarisme total et la démocratie directe, se perpétue sur la côte atlantique durant quatre siècles. Des confréries comme les Regraga toujours en activité. Des cultes de saints toujours observés. Des rites ésotériques toujours pratiqués. La culture se nourrit d’épopées lunaires et d’imaginations collectives, de transmissions millénaires et de reconstitutions inventives, de genèses visionnaires et de variantes alternatives.
L’intemporelle figure de proue des lettres marocaines Edmond Amran El Male s’invite dans Le Monde d’Edmond d’Abdellah Baïda, éditions Agora, Tanger. Edmond Amran El Maleh me confie un jour qu’il est sursollicité depuis son retour au Maroc, qu’il se sent un devoir de répondre aux multiples incitations tant cette reconnaissance lui a manqué pendant son éloignement de la terre natale. Le livre s’ouvre sur un exergue. « Être en situation d’entretien, c’est être sur le grill. On est tourné et retourné. On est l’objet d’une violence ». Et pourtant, on plonge au fond de soi pour trouver des réponses improbables. Quinze entretiens sur le vif. Il est surtout question d’écriture, de littérature, de philosophie. L’ombre de Walter Benjamin plane à chaque détour. Je retrouve des expressions familières, des tournures particulières. Ressurgissent des réminiscences de conversations montparnassiennes, de causeries pimentées de nostalgies marocaines, de promenades parisiennes le long des quais, ponctuées de longues haltes devant les boîtes des bouquinistes.
Mustapha Saha, « Crépuscule du Maghreb des livres », photographies par Élisabeth Bouillot-Saha, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2024 « Amies », « Elles », mis en ligne le 12 juin 2024. URL :
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