30 janvier 2023 1 30 /01 /janvier /2023 17:15

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Critique & réception

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​​​Anne-Emmanuelle Fournier,

 

« L’Offrande Aux Fantômes »

 

suivi de « Il y a longtemps que je t’aime… »,

 

Éditions Unicité, 2022,

 

68 pages, Format : 15 x 21, 13€

 

 

 

 

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Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© ​​​​Crédit photo : Première de couverture du recueil « L’Offrande Aux Fantômes » suivi de...

 

« L’Offrande Aux Fantômes » suivi de « Il y a longtemps que je t’aime… », Anne-Emmanuelle Fournier, Éditions Unicité, 2022, 68 pages, Format : 15 x 21, 13€.


 

Il y a des souvenirs qui sont tellement ancrés dans nos esprits qu’ils constituent une seconde nature donc ils sont éternels. Ce sont ceux qui ont trait à l’enfance, cette période charnière de notre existence au cours de laquelle les liens intergénérationnels comptent énormément. Ces souvenirs se déploient au fil de ce recueil de poèmes d’Anne-Emmanuelle Fournier intitulé : « L’Offrande aux fantômes ». Mais qui sont ces fantômes ? Ce sont ses aïeuls : grand-père et grand-mère dont les faits et gestes continuent de hanter l’esprit de la poète. Des repas de famille, tant de bons moments partagés en toute liberté dans la quiétude ou l’effervescence. Moments de confluence du bonheur de vivre dans la joie intense.

 

La figure du grand-père, ce lettré qui lui a tant appris est très prégnante. La transmission a été si bien faite que « la trace » de ce dernier est comme « une écorce douce, un courant paisible » qui perdurent en elle. Mais comment oublier les odeurs, les saveurs, les couleurs qui peuplent les jours d’été qui s’étirent tout doucement à la faveur de l’insouciance de l’enfance alors que ceux des aïeuls se rétrécissent ? 

C’est au tour de la grand-mère qui a survécu au patriarche de rendre l’âme, alors qu’elle s’accrochait à la vie malgré la progression de sa maladie. Encore une autre branche tombée de l’arbre généalogique de la petite-fille.

 

Fini le rite de la confiture aux groseilles et cassis, l’étreinte de l’aïeule, les balades nocturnes le long de la rivière, le partage d’un « plat odorant à l’ombre d’un platane ».

Vendue, la maison familiale – cette maison qui renferme la mémoire des ancêtres–, il y a donc des bruits familiers qu’on n’entendra plus : « le craquement du plancher », « le bourdonnement du frigo contre le carrelage », « le sifflement besogneux de la grand-mère », « la voix tonitruante des oncles », « le chant ténu des crapauds », « le vol de chauve-souris ». 

 

« Ainsi dans les contes périclitent les royaumes, lorsque meurent les Reines. », comme le souligne Anne-Emmanuelle Fournier. 

 

Voici un extrait du texte qui termine la première partie du recueil de poèmes :

 

« L’enfant qui fut n’est jamais repassée devant la bâtisse, depuis que celle-ci bat d’un autre sang. Non que cela ait été une décision. Peur inavouée qu’un royaume tant aimé soit devenu méconnaissable ? Ou que rien n’ait changé, peut-être. Une autre maison est venue nous chercher, et nous avons consenti à lui confier nos destinées. Elle avait déjà ses propres fantômes, reposant à quelques dizaines de mètres dans le grand songe de la terre.»

 

Après avoir célébré la mémoire de ses aïeuls, Anne-Emmanuelle se tourne vers les vivants. Voici venu le moment d’honorer sa moitié en le gratifiant d’un poème : 

 

« Et je cherche en vain une image pour te dire

Qui soit assez vraie

Pas un simple sortilège de mots 

Il n’y en a pas, sans doute

D’autre que ce second cœur

Que tu as planté dans l’offrande

De mon ventre. »

 

« Il y a longtemps que je t’aime » : cette deuxième partie du recueil de poèmes est un hymne à l’amour et à la vie. 

Quoi de plus palpitant qu’une vie qui évolue au creux de son être avec la complicité de son aimé ! C’est la célébration de l’amour maternel dans son immensité.  Anne-Emmanuelle semble avoie désiré le fruit de ses entrailles avant qu’il ne soit conçu. On dirait qu’il a été pensé avant même d’existé. Aussi clame-t-elle : 

 

« Je t’ai aimé

Longtemps avant que le monde ne murmure

La possibilité de ta venue

Je t’aimais déjà

Avant de dire je

Oh enfant

Cet amour est plus grand, plus ancien

Que tout ce que je crois être »

 

 

 

© Maggy DE COSTER

URL de référence : http://www.editions-unicite.fr/auteurs/FOURNIER-Anne-Emmanuelle/l-offrande-aux-fantomes/index.php

 

NDLR : Anne-Emmanuelle FOURNIER a étudié l’anthropologie puis la traduction. Elle travaille actuellement comme traductrice et interprète. Elle est également chanteuse et mélodiste dans le groupe Unseelie et s’accompagne à la harpe dans un projet musical personnel.


 

 

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Pour citer ce texte inédit

 

 

Maggy De Coster, « Anne-Emmanuelle Fournier, « L’Offrande Aux Fantômes » suivi de « Il y a longtemps que je t’aime… », Éditions Unicité, 2022, 68 pages, Format : 15 x 21, 13€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 30 janvier 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/mdc-offrande 

 

 

 

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24 janvier 2023 2 24 /01 /janvier /2023 16:43

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Entretiens artistiques, poétiques & féministes | Dossier majeur | Articles & témoignages

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​​​De la finance à l'art

 

 

 

 

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Propos recueillis par

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

Entrevue avec & peintures de

 

Laurent Konqui

Artiste peintre, plasticien

 

 

 

 

© ​​​​Crédit photo : Surf Women, des portraits de femmes célèbres,  collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 1ère œuvre.

 

 

 

Que nous révèle l’artiste plasticien Laurent Konqui à travers ses œuvres ?

 

 

© ​​​​Crédit photo : De gauche à droite: David-Xavier Weiss: Premier Adjoint au Maire  délégué à l’Événementiel et à la Jeunesse et Conseiller départemental.

 


 

Ancien expert-comptable et commissaire aux comptes, Laurent Konqui a conquis le terrain artistique depuis quinze ans. À voir les œuvres de cet artiste plasticien autodidacte, on ne peut être que conquis. Chaque élément de l’ensemble est évocateur. C’est une explosion de couleurs qui renvoient à des idées, des symboles et des concepts. Nous l’avons rencontré lors de son exposition au Centre culturel à Levallois–Perret le 12 janvier dernier.


 

 

 

© ​​​​Crédit photo : Surf Maryline, des portraits de l'artiste Maryline Monroe, collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 2ème œuvre.

 

 

Maggy De Coster – Comment êtes-vous arrivé à la peinture et quelles ont été vos motivations ?

 

Laurent Konqui – J’ai commencé par des collages. Après avoir vu le film sur la vie de Jackson Pollock, avec l’acteur Ed Harris, je me suis mis à la peinture en utilisant la technique des drips (projections à plat). J’ai souhaité libérer mon énergie créatrice en marquant la toile avec les jets de peinture. Je suis ensuite passé à la troisième dimension, le relief, en incrustant des objets peints dans la résine de polyuréthane pour donner du sens à mes œuvres qui étaient abstraites à l’origine.


 

MDC  – Parlez-moi de la réception de vos œuvres par le monde de l’art ?   

 

LK – Le monde de l’art a décodé mes « bas-reliefs » en les inscrivant dans la lignée des œuvres d’Arman, César et Klein. Le monde de l’art est saturé d’œuvres vides de sens et a du mal à percevoir le travail de fond d’un nouvel artiste sur la société de consommation, la musique et les femmes, faute de temps.

 

 

MDC – Qu’est-ce qui explique le choix des objets que vous faites entrer dans votre création artistique, comme des violons, des violoncelles que vous fracturez, des vêtements  que vous peignez à votre guise ?

 

LK – Je suis passionné par la musique classique avec Mozart et Chopin en particulier. J’ai moi-même joué du piano jusqu’à l’âge de 20 ans. Les violons et les violoncelles représentent aussi avec leur ligne courbe le corps de la femme qui est aussi au cœur de mon travail. Le violoncelle fracturé devient « violenc’elle » en référence aux violences faites aux femmes. Les vêtements comme la chemise et la cravate font, quant à eux, allusion à mon passé d’expert-comptable.

 

 

© ​​​​Crédit photo : Série de violons « Moz’Art » en plusieurs couleurs. Collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 3ème œuvre.

 

© ​​​​Crédit photo : Série de violons « Moz’Art » en plusieurs couleurs. Collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 4ème œuvre.

 


 

MDC – Pourriez-vous me dire quels sont les messages que vous délivrez à travers vos œuvres en utilisant les objets du quotidien comme partie intégrante de ces dernières ? 

 

LK – En utilisant les objets du quotidien, j’attire l’attention sur la société de consommation, ses excès et ses dangers (en référence au Vélib’ par exemple qui a causé beaucoup d’accidents mortels de la circulation).

 

 

© ​​​​Crédit photo : Saxophoniste, Collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 5ème œuvre.

 

 

 

MDC – Comment vous procurez-vous ces objets et quelles sont les techniques que vous utilisez ? À mon avis, il ne s’agit pas totalement d’objets de récupération.

 

LK – Mes voisins, grâce aux réseaux sociaux, me donnent souvent ces objets usagés ainsi qu’un luthier pour les violoncelles réformés. J’achète aussi des objets neufs sur Internet comme les violons. Pour la technique, j’utilise la résine de polyuréthane pour fixer les objets qui sont ensuite peints à l’acrylique ou à l’huile avec des pigments purs.


 

 MDC –  Des femmes célèbres tant du cinéma, du théâtre que de la politique comme Simone Veil, Golda Meir mais aussi du sport, comme Florence Artaud, occupent une place dans vos collages sur des planches de surf. Mais pourquoi ce choix ? Seriez-vous féministe ?

 

 

© ​​​​Crédit photo : Vélo, Collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 6 ème œuvre.

 

© ​​​​Crédit photo : 100% Flacons de parfum, Collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 7ème œuvre.

 

 

LK — Je souhaite simplement souligner l’importance de la femme dans notre société sans être féministe.

 

MDC – Les couleurs semblent avoir pour vous une référence musicale ou l’inverse. Cela dit quand vous écoutez Mozart associez-vous sa musique à  la couleur « bleu klein » ?

 

 

© ​​​​Crédit photo : Série de violons « Moz’Art » en plusieurs couleurs. Collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 8ème œuvre.

 

© ​​​Crédit photo : Série de violons « Moz’Art » en plusieurs couleurs. Collage & peinture par l'artiste Laurent Konqui, 9ème œuvre.

 

 

 

 LK – Les couleurs peuvent avoir une référence musicale. Je n’associe pas Mozart à la couleur bleu Klein mais plutôt à un feu d’artifices, c’est pourquoi j’ai décliné la série de violons « Moz’Art » en plusieurs couleurs.


 

© Maggy DE COSTER


 

 

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Pour citer cette entrevue & peintures inédites

 

 

Maggy De Coster, « De la finance à l'art », entretien illustré par des œuvres artistiques de l'artisteLe Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 24 janvier 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/mdc-laurentkonqui

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 12 Musique Muses et féminins en poésie
17 janvier 2023 2 17 /01 /janvier /2023 14:37

Événements poétiques | Concours Féministes| Festival des poésies féministes 2023 | Recueil | Poésie féministe pour éliminer les violences faites aux femmes & filles & N°12 | Poémusique... | Dossier mineur | Florilège | Revue Poépolitique & REVUE ORIENTALES (O) | N°2-1 | Varia

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​​​​​Déchirons le voile de l’obscurantisme

 

 

 

 

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Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

Photographie par

 

Claude Menninger

 

 

 

© Crédit photo : Image d'une manifestante du rassemblement du 14  janvier 2023 par Claude Menninger.

 

 


 

pour que Pakistan, Iran, Afghanistan

ne riment plus avec Talibans

déchirons le voile de l’obscurantisme

provoquons un séisme

pour réveiller les esprits

aujourd’hui endormis

 

 

interdit d’apprendre à lire

interdit d’apprendre à écrire

interdit de sortir

interdit de sourire

 

 

voilà les crimes

scandés dans cet hymne

pour les dénoncer

au nom de la liberté

 

 

femmes de tous les pays

ce sont nos sœurs que l’on prive de vie

car quel est le sens d’une existence

condamnée à la désespérance et au silence

 

 

élevons au plus haut nos voix

pour faire reconnaître les droits

des Afghanes que l’on enterre

dans leur chair en les faisant taire

 

 

que notre cri ramène la lumière

que la nuit en Afghanistan s’éclaire

pour que nos sœurs ouvrent les yeux

sur un ciel plus radieux

 

 

 

© Françoise Urban-Menninger


 

Voir également :

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES, « Soyons la voix des sœurs afghanes à Strasbourg »

Françoise Urban-Menninger, « Les voix des femmes afghanes à Strasbourg » avec un reportage photographique par Claude Menninger

 

 

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Pour citer ces poème & image féministes & inédits

 

 

Françoise Urban-Menninger, « Déchirons le voile de l’obscurantisme », avec une photographie de Claude MenningerLe Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre » & Festival des Poésies Féministes 2023 | «  Chevelures & autres poèmes féministes », recueil collectif papier à paraître en 2023 aux éditions PAN DES MUSES DE LA SIÉFÉGP & Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels ou fictifs », n°2, volume 1, mis en ligne le 17 janvier 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/concoursfeministes/fum-dechironslevoile

 

 

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Lien à venir

16 janvier 2023 1 16 /01 /janvier /2023 13:35

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Réflexions féministes sur l'actualité & REVUE ORIENTALES (O) | N°2-1 | Actualité 

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​​​​​Les voix des femmes afghanes à Strasbourg

 

 

 

 

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Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

Reportage photographique par

 

Claude Menninger

 

 

© Crédit photo : Reportage photographique du rassemblement du 14  janvier par Claude Menninger, 1ère image.

 

 

 

Rejointes par des Iraniennes, les Afghanes étaient nombreuses sous la pluie à scander « Femmes vie liberté » ou « Talibans représentants de Satan ».

Elles ont longuement témoigné des exactions commises sur leurs sœurs dans ces deux pays.

 

 

© Crédits photos : Reportage photographique du rassemblement du 14  janvier par Claude Menninger,  2ème  & 3ème images.

 

 

 

Tout a basculé en une semaine après vingt ans de lutte pour obtenir leur liberté, ont affirmé les Afghanes réfugiées à Strasbourg.  Le retour des Talibans au pouvoir a rétabli les mariages forcés, les arrestations pour un voile « mal porté » comme en Iran, le port obligatoire de la burqa en Afghanistan, voire des châtiments corporels et des mises à mort comme à Kaboul ou à Téhéran…. Voilà aujourd’hui toute la vie sans cesse menacée de ces femmes sans avenir, faite uniquement d’interdits !

 

 

© Crédit photo : Reportage photographique du rassemblement du 14  janvier par Claude Menninger,  4ème image.

 

 

Pour réveiller la conscience de tout un chacun et chacune, elles ont théâtralisé leur malheur et leur douleur. L’une d’elle, revêtue d’une longue robe blanche lumineuse par contraste avec la burqa noire et opaque, s’est mise à danser sur une musique à la fois plaintive et rythmée. Sur les pans de sa robe, des rubans de papier couverts d’inscriptions étaient accrochés, ils se sont mis à virevolter, on y lisait les mille et un interdits auxquels les Afghanes sont à nouveau soumises. L’une des participantes a scotché la bouche de la danseuse, ses mains ont été liées avec une corde et placées au-dessus de sa tête, cette image forte parlait d’elle-même, elle transcenda tous les discours. Les manifestantes ont formé une ronde autour de la danseuse muselée et entravée, certaines femmes avaient les larmes aux yeux…

 

 

 

 © Crédits photos : Reportage photographique du rassemblement du 14  janvier par Claude Menninger,  5ème  & 6ème images.

 

 

Cette bouleversante manifestation a été suivie d’un vibrant appel afin que les femmes et les hommes de tous les pays prennent conscience des dangers que génèrent les extrémismes, en particulier l’extrémisme islamiste dont les femmes sont les premières victimes.

 

 

 

© Crédits photos : Reportage photographique du rassemblement du 14  janvier par Claude Menninger,  7ème  & 8ème images.

 

 

Résistance, résistance, résistance, ont-elles crié et hurlé à plusieurs reprises...

 

Avec elles, résistons en relayant leurs voix, leurs cris, leurs clameurs afin de déchirer le voile de l’obscurantisme !

 

 

© Françoise Urban-Menninger, Claude Menninger

 

Voir également :

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES, « Soyons la voix des sœurs afghanes à Strasbourg »

 

Françoise Urban-Menninger, « Déchirons le voile de l’obscurantisme », avec une photographie de Claude Menninger

 

 

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Pour citer ces texte & reportage inédits

 

Françoise Urban-Menninger, « Les voix des femmes afghanes à Strasbourg » avec un reportage photographique par Claude MenningerLe Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre » & Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels ou fictifs », n°2, volume 1mis en ligne le 16 janvier 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/fum-voixdesfemmesafghanes

 

 

 

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12 janvier 2023 4 12 /01 /janvier /2023 15:15

N°12 | Poémusique des femmes & genre | S'indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages 

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​​​​​Soyons la voix des sœurs

 

afghanes à Strasbourg

 

 

 

 

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Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

© Crédit photo :  Le visuel du rassemblement à Strasbourg en solidarité aux femmes afghanes, 2023.

 

 

 

Nous relayons cet avis pour prendre part à la lutte actuelle pour le rétablissement des droits des sœurs afghanes et en soutien indéfectible à leurs cri et resistance :

 

Le rassemblement «  Soyons la voix des femmes d'Afghanistan » aura lieu le samedi 14 janvier en solidarité aux femmes afghanes privées d'accès public aux connaissances et aux savoirs. Le rassemblement se déroulera à Strasbourg pour faire entendre les voix de celles qui sont soumises au silence et sont interdites d'école.

 

 

Notre porte-parole y participle.

 

 

Information reçue de la part de Françoise Urban-Menninger

 

À lire également :

 

FrançoiseUrban-Menninger, « Les voix des femmes afghanes à Strasbourg » & « Déchirons le voile de l’obscurantisme » avec un reportage photographique par Claude Menninger.

 

 

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Pour citer cet avis de rassemblement

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES, «  Soyons la voix des sœurs afghanes à Strasbourg »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 12 janvier 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/pourlesfemmesafghanes

 

 

 

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