7 décembre 2022 3 07 /12 /décembre /2022 17:33

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège

 

 

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Brésil de mes amours



 

 

 

 

 

 

Poème & peinture de

 

Sarah Mostrel

 

Site : https://sarahmostrel.wordpress.com 

Facebook www.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

 

 

​​​​​© Crédit photo : Sarah Mostrel, "Pensive", tableau en pastel à l'huile.

​​​

 


 

Bossa nova

Tu me tiens à cœur

 

 

Tes couleurs fleurs de mer enrobent ma coupole

Je nage dans ton voile, ça y est, j’ai le moral

 

Je chante et danse au gré de la cadence folle

Je délire au son de la flûte et du piano 

Des maracas en bois et du cavaquinho

 

 

J’aime tes alternances, tes remous sensuels

Qui font de la musique une arme universelle 

 

 

Bouger est pure merveille, et voilà le soleil

Étalant sa caresse, sa câline tendresse 

Et gentiment posées, les touches me font voler

 

 

 

Forró, Frevo, samba, combien cette gaîté

Sait électriser mes intentions secrètes

 

 

M’emmenant voyager de Paris à Rio

Fredonner des chansons de Buarque, Gil ou Lobo 

Veloso, Moraes, Jobim et Gilberto

 

 

Oh que je languis les pas des joyeux Cariocas

Le baião, le funk et la Batucada 

 


Sur la princesse des mers de Copacabana
Tout le monde s’en donne à cœur joie 

au son du ganzá, Tudo bem, Tu também, é em Ipanema

 

 

Bossa, beau ça !  

C’est l’heure du bonheur

                     

   

©Sarah Mostrel


 

 

***

 

Pour citer ces poème & illustration inédits

 

Sarah Mostrel (poème & peinture), « Brésil de mes amours »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | AUTOMNE-HIVER 2022 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 7 décembre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/smostrel-bresildemesamours

 

 

 

 

Mise en page par David

 

 

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Lien à venir...

 

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Pour citer ces poème & illustration inédits

 

Sarah Mostrel (poème & peinture), « Brésil de mes amours »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 7 décembre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/smostrel-bresildemesamours

 

 

 

 

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7 décembre 2022 3 07 /12 /décembre /2022 16:30

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège

 

 

 

​​​​

 

 

 

 

​​​​​Une musique folle



 

 

 

 

 

 

Poème & peinture de

 

Sarah Mostrel

 

Site : https://sarahmostrel.wordpress.com 

Facebook www.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

 

 

​​​​© Crédit photo : ©Sarah Mostrel, "Pianissimo", huile sur toile.

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Une musique folle

Dans le déclin d’un soir

Soudainement retentit

Prévenant le sommeil

 

 

Les relents d’abandon

Périssent aux alentours

Fumet d’une destinée

Au soleil de l’Histoire

 

 

Un sourire d’été

Et tu refais surface

Resurgit la conscience

Et tu refais l’amour

 

 

Que de roses et détours

Il fallut traverser

Que de joie en retour

Un impensable atout !

 

 

Et tu reprends confiance

Tu retrouves l’essence

De chaque chose enfouie

Tu respires la vie

 

 

Tu recouvres enfin

Tous les sens envolés

La foi et l’espérance

Hors du froid, hors du sombre

 

 

Et tu sais que bientôt

C’est le lever du jour

Et tu sais que bientôt

Reviendra l’amour.

 

 

©Sarah Mostrel

 

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Pour citer ces poème d'amour & illustration inédits

​​​​​

Sarah Mostrel (poème & peinture), « Une musique folle »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 7 décembre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/smostrel-unemusiquefolle

 

 

 

 

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7 décembre 2022 3 07 /12 /décembre /2022 16:24

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège | Muses au masculin 

 

 

 

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​​​​​Jazz en fait



 

 

 

 

 

 

Poème & dessin de

 

Sarah Mostrel

 

Site : https://sarahmostrel.wordpress.com 

Facebook www.facebook.com/sarah.mostrel

 

 

 

 

​​​​​​© Crédit photo : ©Sarah Mostrel, "Jazzman", dessin au fusain.

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Jazz en fait 

 

 

J’ai beau tourner autour  

C’est lui qui me fait jour

Sinon je me lamente

Et je reste dans l’obscur 

 

 

Bien sûr, j’aime le jerk

Le rock, le folk, la valse

Mais il y a par ailleurs

Une chose qui m’ensorcelle

 

 

Vous voulez savoir quoi ?

C’est vraiment une musique

Qui me met dans l’extase

Eh oui, je parle du jazz

 

 

Oui, c’est le jazz en fait 

Qui me fait tant swinguer

Et qui à mon chevet

Me réveille tout de go


 

 

Cool, hard, free, smooth, fusion

Que de variations

Chez Davis, Fitzgerald 

Ellington et Coltrane

 

 

Basie, Goodman, Miller

Gillespie ou Parker 

Gershwin, Shepp et Amstrong

Holiday ou Baker !

 

 

J’ai ri au New Morning

Au Blue note de New York

J’ai crié au P’tit Journal

Et au Duc des Lombards 

 

 

J’ai vu des stars connues

Et bien d’autres déchues

Sonnant de la trompette

Ellis et puis Bechet

 

 

Les sons sortaient des tripes

Et la sueur, des fripes 

Jamais je n’aurais cru

Ressentir tant de vibes 

 

 

À corps, à cœur perdu 

Les nuques inclinées

S’en donnaient à pleins tubes

Dans leurs altérités

 

 

Et avec mon amoureux

Lors d’un baiser salé

Une échelle de désirs

Attisait nos envies

 

 

Une impro inédite

Un idéal majeur

Me remontait le moral

Au rythme du jam, metal

 

 

Ô jazz, toi qui résonnes

Quels frissons tu me donnes

Dans l’infini sunset

Des quintets, des sextettes 

 

 

Ton tempo entraînant 

A amplifié le temps

Là se résume ma vie

Ma gaieté harmonie   

 

 

L’étreinte de ta guitare 

M’appelait dans tes bras

Et je serrais bien fort

Pour que tu n’me quittes pas

 

 

Mais ce soir, il fait noir

Mon chantre s’est fait la malle

Et quand je jazze à toi

Je défaille et je coule

 

 

Sax, alto à voix basse 

L’amour est d’venu dark 

Je suis mélancolique 

Tu es parti, c’est triste 

 

 

©Sarah Mostrel

 

 

***

 

Pour citer ces poème d'amour & illustration inédits

​​​​​

Sarah Mostrel (poème & dessin), « Jazz en fait »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 7 décembre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/smostrel-jazzenfait

 

 

 

 

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5 décembre 2022 1 05 /12 /décembre /2022 17:05

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Bémols artistiques | Revue culturelle d'Europe


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Elisabeth Fréring présente ses

 

 « Contes d'automne » à la galerie

 

 Bertrand Gillig à Strasbourg

 

 

 

 

 

 

​​​​​

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

 

 

© Crédit photo : Elisabeth Fréring, exposition « Contes d'automne » à la galerie Bertrand Gillig à Strasbourg, image no 1.

 

 

 

Née le jour de Noël en 1955 à Argenteuil, l'artiste est diplômée de l'école Arts Aplicadas y  Officios Artisticos de Valence en Espagne.

 

Les œuvres d'Elisabeth Fréring, dessins et  peintures, ont toutes en commun une impression d'inachevé et de fragilité qui, paradoxalement, nous atteint au plus profond de notre inconscient. Le  poète Yves Bonnefoy ne disait pas autre chose quand il écrivait que « le trait est l'indice de ce qui ne se voit pas ». Et d'ajouter que l'artiste perçoit « une temporalité qui plonge dans un fond sans fond ».

 

 

© Crédit photo : Elisabeth Fréring, exposition « Contes d'automne » à la galerie Bertrand Gillig à Strasbourg, "Sucreries", image no 2.

 

 

 

Cet inconscient collectif dans lequel l'artiste puise son inspiration a partie liée avec les contes de fées. On y retrouve les figures symboliques récurrentes du loup ou d'un animal qui s'y apparente et du petit chaperon rouge qui hantent les labyrinthes de notre mémoire depuis l'enfance. Dans sa « Psychanalyse des contes de fées », Bruno Bettelheim expliquait que les contes plongent dans les parties les plus primitives de notre psyché.

 

Sur un fond blanc virginal, apparaît un loup, la petite fille tout en rose l'observe, entre les deux une fleur sanguine se délite, est-elle le symbole d'une défloration annoncée ?

 

 

© Crédit photo : Elisabeth Fréring, exposition « Contes d'automne » à la galerie Bertrand Gillig à Strasbourg, "Sucreries", image no 3.

 

 

Du fantasme au fantomatique, Elisabeth Fréring joue et se joue des apparences, ses toiles deviennent des lieux d'errance, voire de déshérence.

 

Yves Bonnefoy disait de la poésie qu'elle était « de l'ordre de l'inachevé ». Voilà comment l'on pourrait éclairer la quête d'Elisabeth Fréring qui taille des brèches dans le réel en réenchantant la pensée magique de notre enfance qui ne cesse de travailler dans les abysses de notre inconscient en le questionnant.

 

 

 

© Crédit photo : Elisabeth Fréring, exposition « Contes d'automne » à la galerie Bertrand Gillig à Strasbourg, "Sucreries", image no 4.

 

 

 

Son univers onirique nous donne à voir des silhouettes et des formes à peine suggérées qui nous font signe dans un entre-deux où le non-dit, l'irrationnel, l'obscur et la mort jettent le trouble en le mettant parfois crûment en scène. Le regard s'abandonne dans des paysages rêvés, des robes de baptême nous renvoient encore et toujours dans ce bal de l'enfance où dansent derrière le miroir des apparences, les ombres et les terreurs de nos nuits.

 

 

© Crédit photo : Elisabeth Fréring, exposition « Contes d'automne » à la galerie Bertrand Gillig à Strasbourg, "Les dessous.", image no 5.

 

 

Dans les sous-bois de sa  mémoire et de la nôtre, Elisabeth Fréring lève les lièvres, débusque les pièges cachés  de nos peurs pour nous en livrer les traces et les empreintes dans une écriture picturale qui distille une petite mélodie qui s'inscrit subrepticement dans  notre imaginaire.

 

 

© Françoise Urban-Menninger

 

 

Les illustrations sont proposées par la galerie Bertrand Gillig à Strasbourg, URL : https://www.bertrandgillig.fr/

 

 

***

 

Pour citer ce bémol artistique inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « Elisabeth Fréring présente ses « Contes d'automne » à la galerie Bertrand Gillig à Strasbourg » avec des photographies inédites des peintures de l'artiste, Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 5 décembre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/fum-elisabethfreringcontes

 

 

 

 

Mise en page par David

Dernière mise à jour le 7 décembre 2022 (ajout de deux nouvelles peintures inédites)

 

 

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4 décembre 2022 7 04 /12 /décembre /2022 10:39

Événements poétiques | Calendrier du matrimoine poétique 2022 & N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier mineur | Articles & témoignages

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​​​​​Il a fallu gérer la peur avec

 

 

« Andrà tutto bene… » de Hanen

 

 

 

 

 

 

Témoignage & photographies de

 

Arwa Ben Dhia

 

 

 

© ​Crédit photo : Première de couverture du recueil « Tout ira bien… » aux éditions Le Lys Bleu.

 

 

 

« Le lecteur ne peut pas rester indifférent à la douceur des métaphores, à l’élégance des anaphores dont raffole la poétesse, ainsi qu’à la « spontanéité » des rimes libres et diverses, qui ne sont jamais forcées, et qui semblent toujours arriver naturellement. »

 

 


 

Le recueil poétique « Tout ira bien… », de Hanen Marouani, publié aux éditions Le Lys Bleu en 2021 est un petit bijou que je possède dans ma bibliothèque. Sur la forme, l’ouvrage est fort joli, a une belle finition et une très bonne qualité de papier. Sur le fond, c’est un hymne à l’espoir dans un monde où l’on est souvent tenté par le désespoir. On peut le deviner du titre qui est inspiré du slogan affiché sur tous les balcons des Italiens lors du premier confinement : « Andrà tutto bene… ».


 

L’optimisme et la spontanéité sur le bout des doigts

 

Sa lecture est une halte rafraîchissante dans une course effrénée contre le temps. Ce livre est d’un lyrisme poignant, où la légèreté des mots rivalise avec la beauté des images. Le lecteur* ne peut pas rester indifférent à la douceur des métaphores, à l’élégance des anaphores dont raffole la poétesse, ainsi qu’à la « spontanéité » des rimes libres et diverses, qui ne sont jamais forcées, et qui semblent toujours arriver naturellement. On y apprécie aussi plusieurs jeux de mots habilement employés. On est saisi par la finesse du style de l’écrivaine et surtout touché par son optimisme. C’est un livre à savourer lentement (ou pas d’ailleurs, chacun à sa guise), à lire et à relire sans modération. Personnellement, je l’ai à mon chevet et en lis parfois quelques poèmes avant de dormir, mais on peut le lire à n’importe quel moment de la journée pour s’apaiser, pour s’évader…

 

 

 

Pour vous donner encore envie : Voici une triade de mes préférés ! 

 

 

 

Si je devais choisir une triade de poèmes préférés, je dirais que ceux qui m’ont charmée le plus sont : 

« Nostalgia », (p.57), qui vous plonge dans une tendre atmosphère tunisienne dans laquelle j’ai grandi et dont le souvenir n’est pas sans m’émouvoir. En voici un extrait :

 

« Quand le sens d’une absence nous arrive sans prévision et son chuchotement nous berce doucement… Il s’éloigne puis un temps nous revient. Quand l’enfance oubliée et abandonnée nous oblige à nous retourner sur les traces passées pour nous faire vibrer par son va-et-vient… En continuum, sans raison ou sans lien mais elle annonce sa répartition en deux chemins : tourmenté et serein » 

 

« De ton encre noire », (p.35), dont je partage avec vous les derniers vers :

 

« Une méditation interminable dans tes tableaux et dans tes invisibles autoportraits

Tes échecs, tes fêlures, tes déraisons, tes débuts, tes fins et tout ce qui te semble réitéré

Ton inimitabilité surréelle remue mes songes identitaires et lacérés

Me revoilà tout près de toi sous les volets de tes nuits soyeuses et agitées

De ton encre noire sans sépultures, je renais de mes seins déshabillés»

 

« N’oublie pas de vivre », (p.97), dont je partage avec vous aussi les derniers vers :

 

« Exalte ta joie loin de la structure et de la langue de bois

Exalteta folie jusqu’à toute extrémité et jusqu’au bout des doigts

Exalte ta curiosité en toute liberté sans loi mais avec beaucoup de foi. »

 

Une poésie fleurant autant de sensibilité ne peut que refléter la noblesse et la grandeur d’âme de Hanen Marouani. 

 


Pour l’avoir dans vos bibliothèques, « Tout ira bien… » est disponible dans les librairies françaises, sur le site officiel de la maison d’édition française Le Lys Bleu et sur les sites : Amazon et La Fnac.

 

© ​Crédit photo : Des livres de la bibliothèque privée de la poétesse Arwa Ben Dhia.

 

 

© Retour d’une lectrice poétesse & amie

 

 

 

* L'emploi du neutre français par l'autrice provient de sa volonté de s'adresser au lectorat sans distinction du genre et de ne pas alourdir la phrase.

 

© ​Crédit photo : La poétesse Arwa Ben Dhia lisant le recueil « Tout ira bien… » aux éditions Le Lys Bleu.

 

Biographie : 

 

Arwa BEN DHIA est poétesse en différentes langues et auteure de plusieurs ouvrages. De formation ingénieure télécoms et docteure en électronique, elle exerce aujourd'hui le métier d'ingénieure brevets au sein d'un cabinet de Conseils en PI parisien.

 

 

​***

 

Pour citer ce témoignage illustré & inédit

 

Arwa Ben Dhia, « Il a fallu gérer la peur avec « Andrà tutto bene… » de Hanen Marouani », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre » & Événements poéféministes 2022 | « Calendrier du matrimoine poétique 2022 » & mis en ligne le 4  décembre 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/matrimoinepoetique22/arwabendhia-andratuttobene

 

 

 

 

Mise en page par David

Dernière modification : 5 décembre 2022

(pour compléter la notice biographique de l'auteure)

 

 

 

 

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