Est une jeune artiste slameuse congolaise. Écrivaine, poétesse et chroniqueuse à la Radio Urban Ufm, Florence META a 27 ans. Elle évolue précisément dans la ville de Kinshasa en République Démocratique du Congo. Elle a un livre à son actif « Flots De Douceur ».
Liens pour visionner ses chansons ou la suivre sur les réseaux :
Florence META,est une jeune artiste slameuse congolaise. Écrivaine, poétesse et chroniqueuse à la Radio Urban Ufm, Florence META a 27 ans. Elle évolue précisément dans la ville de Kinshasa en République Démocratique du Congo.
H.M – Que peut-on dire de vos débuts ? Comment êtes-vous entrée dans ce domaine ?
F.M –Déjà à mes 12 ans j'aimais écrire, j’aimais les mots et il m'a fallu beaucoup de temps pour aiguiser mon talent et pratiquer les mots, sept ans après. Je dirais que les péripéties de la vie m'ont rendu bon service du moment où elles m’ont reconnecté à l’écriture, cette partie fluide et naturelle de mon âme.
H.M – Parlez-nous de votre premier recueil « Flots de douceur », les moments et les thèmes qui ont marqué son écriture, les sources d’inspiration, le temps consacré pour arriver au stade de la publication, la progression, le choix du titre et de la couverture… ?
F.M – Le livre Flots De Douceur est un océan dans lequel tout le monde peut pêcher des mots doux. Ces mots qui peuvent irradier ces êtres qui nous font palpiter.
Tout comme une lotion qui sert à hydrater la peau, la douceur sert à hydrater le cœur.
Flots de Douceur prône, exalte la douceur qui est une source d’apaisement, de bonheur. Une vision d’un monde où les humains s’amadouent à la place de se maltraiter. J’ai écrit ces différents poèmes pour contribuer au bercement des cœurs, des cœurs déchirés.
On y trouve plusieurs thèmes d'amour, entre autres Mon amour, mon univers, hors du temps, triomphateur, au-delà du présent dont la source d'inspiration est commune : L'amour ressenti et vécu.
La conception du livre m'a pris une année, et son titre c’est mon sobriquet. J'ai toujours servi de la douceur que c’est devenu mon pseudo jusqu’à mon livre.
La photo sur la couverture est mienne, j'ai choisi de jouer moi-même le rôle de Flots De Douceur. En m'entourant des roses et fermant les yeux pour explorer un monde paisible et calme que font les mots doux.
H.M – Comment les sensibilités intimes ou collectives ont-elles évolué à travers le temps pour se transformer en poèmes romantiques ou en slams ?
F.M – Je pense la vie toute entière est une littérature qui s’impose dans ma vie. La vie est ma source d'inspiration dans toutes couleurs, aurorales ou crépusculaires, lumineuses ou brumeuses.
H.M – Vous dîtes d’ailleurs que ce sont des flots dès le titre, comment peut- on suivre les émotions, les douceurs et les amours quand elles débordent ?
F.M – En s'y noyant simplement. La douceur débordante est un excès qui ne nuit pas.
H.M – Quels sont les obstacles auxquels fait face Florence Meta à l’heure de la publication ?
F.M – Je suis dans un pays où la culture de la lecture n'est pas trop au rendez-vous. Non seulement je travaille dur pour publier mais aussi pour convaincre les gens à me lire.
H.M – Quel est le premier recueil que vous avez acheté avec votre propre argent ?
F.M – Sentiments timides du poète Congolais Gabriel Nyembo
H.M – À l’ère des réseaux sociaux, les poètes d’aujourd’hui doivent-ils changer de stratégies pour suivre les nouvelles tendances ?
F.M – Bien sûr que oui. Aujourd’hui avec les réseaux sociaux, nous poètes avons la facilité de promouvoir nos œuvres et atteindre plus des gens, de tous les horizons.
H.M – Un environnement contraint n’exclut pas la créativité, bien au contraire ! C’est bien votre cas ?
F.M – Rien n'entrave ma créativité. Je profite de chaque temps orageux ou favorable pour inventer. Quand je pleure, j’écris. Quand je ris, j’écris. Quand je suis contrariée, j’écris également. Je n'ai pas des moments favoris pour créer. Il y a de tous les grains à Semer pour chaque atmosphère.
H.M – Florence Meta, vous vous appuyez aussi beaucoup sur l’entreprenariat pour promouvoir la poésie. Que pensez-vous de cette combinaison ?
F.M – Oui, je suis à la base entrepreneure culturelle. J'offre des services textuels et scéniques pour n'importe quel événement de ma région. Ma poésie, c’est ma profession.
H.M – Préférez-vous l’entreprenariat ou les arts et pourquoi ?
F.M – J'ai de la passion pour l'autonomie. Le fait d'être à mes propres ordres me rend plus libre que jamais. Et le fait d'entreprendre dans un domaine passionnel me conserve dans un monde préféré. De ma première à ma dernière veine. J'aime mon travail.
H.M – Comment se porte la poésie d’expression française en Afrique, comparée aux autres pays francophones ?
F.M – Elle est bien accueillie que par des personnes qui maîtrisent la langue française. Mais en tant qu’artistes, on essaie toujours d'atteindre tout le monde en écrivant aussi dans nos langues nationales.
H.M – Il y a plusieurs façons d’entendre le mot « impossible » … quelles sont les personnes qui ont soutenu Florence META pendant ces périodes transitoires ?
F.M – Ma famille m'a grandement soutenue et mon entourage également sur le plan promotionnel.
H.M – La poésie chantée et la performance de l’engagement, quels défis et quels risques associés à ces tendances ?
F.M – Le plus grand défi c’est de convaincre le public, le captiver et le dompter.
Et les risques, il y en a aussi, entre autres le manque de temps, l'oubli de soi par moment pour tout donner sur scène, trop d'absence dans les relations familiales et amicales.
H.M – Aviez-vous le souci du lecteur en écrivant ou le souci du spectateur en performant ?
F.M – J'ai plus le souci du lecteur. J'arrive à remplir des salles pour être écoutée qu’à remplir des yeux pour être lue. Les gens fonctionnent plus avec leurs oreilles qu’avec leurs yeux.
Et j'y travaille pour qu'ils s’adonnent à la lecture. Cela fera moins chômer mes ouvrages.
H.M – Quelles sont vos pistes d’action pour renforcer les synergies et les opportunités croisées entre poésie et entreprenariat ?
F.M – Je m'entoure toujours des personnes qui m'apportent un plus dans ma carrière d’écrivaine ou d’artiste. Déjà la plupart des opportunités ne s’offrent pas à moi, je les arrache. Faire aimer mon talent ou le monde littéraire reste mon objectif suprême.
H.M – Quels sont vos modèles dans la poésie et dans l’entreprenariat culturel ?
F.M – Michèle Kingwaya, l’initiatrice du magazine le Zénith. La poétesse Yolande Elebe, Lydol la slameuse et tant d’autres.
H.M – Quels sont vos futurs investissements à impacts dans la poésie « Entrepreneuriale » et quels sont les nouveaux modèles créatifs possibles à adopter surtout avec la révolution technologique de nos jours ?
F.M – J'y pense encore, je vous reviendrai pour répondre à cette question.
Hanen Marouani,« Florence META : La poétesse entrepreneure : « Ma poésie, c’est ma profession. » », photographies fournies par l'artiste,Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 « Étrangères », « Frontières du vivant », « Lyres printanières » & Revue Orientales, « Conteuses orientales & orientalistes », n°3, volume 1, mis en ligne le 3 juin 2023. URL :
Bonjour ! Voudriez-vous vous présenter au lectorat de cette revue ?
SD.– Eh bien bonjour ! Je m'appelle Stallion Dunquis et je suis un musicien indépendant de indie rock, qui vit et travaille à Brooklyn. Mes principaux instruments de prédilection sont ma voix, ainsi que la guitare et le piano.
Avez-vous des influences musicales féministes ou féminines ?
SD. – Beaucoup de mes influences musicales sont féminines, en particulier les chanteuses. En musique, je préfère la voix féminine à la voix masculine. Cela ne veut pas dire que je n'admire pas les chanteurs masculins, mais il y a quelque chose de plus émouvant dans une voix féminine pour moi. Une partie de cela se résume au timbre de la voix féminine elle-même, mais je pense aussi que les femmes – étant massivement désavantagées dans la plupart des situations par rapport aux hommes – chantent souvent avec plus de douleur, plus de lutte, plus de tristesse et donc plus de défi, plus de force et plus d'attitude.
Mon genre préféré de musique (vocalement) sont les ballades R&B chantées par des femmes. La chanson « Love » de Keyshia Cole est ma chanson préférée de tous les temps. Mes deux chanteuses préférées en ce moment dans l'industrie d'aujourd'hui sont Tems et SZA. À l'époque où je suis vraiment tombé amoureux de la musique (18 ou 19 ans), mon album principal en rotation était 19, le premier disque d'Adèle. J'ai écouté cet album toute la journée pendant un an d'affilée et je me suis promené seul tout le temps avec celui-ci dans mes écouteurs. C'est drôle – je suis évidemment un chanteur masculin, mais il y a tellement de chanteuses qui m'inspirent vraiment et m'émeuvent profondément. Hayley Williams (Paramore), Amy Winehouse et Lauryn Hill sont d'autres chanteuses que j'admire.
J'ai remarqué que certaines de vos chansons sont faites d'un mélange bien équilibré de joies et de peines comme « New Morning » et « Sunday's Gone ». Cela vient-il de votre vision artistique de la musique ou d'une philosophie pragmatique calquée sur le quotidien, ou les deux ?
SD. – C'est rarement pragmatique. Je suis une personne extrêmement lunatique. Très peu de gens ont vu ce côté de moi, car je suis aussi une personne très privée. Mes émotions dirigent en quelque sorte ma vie quotidienne, et je travaille tous les jours pour atténuer ou au moins mieux contrôler cela, sauf en ce qui concerne l'art. Quand il s'agit de ma musique, je laisse mes émotions prendre le dessus. Je laisse mes émotions guider la musique là où mes sentiments veulent l'emmener. C'est à ce moment-là que je me sens le plus proche de ''moi'', c'est pourquoi j'aime tant faire de la musique et cela me semble thérapeutique ou médicinal. La chanson « Sunday's Gone » a été créée à partir de la tristesse et du chagrin ; quant à la chanson « New Morning », elle a été créée par nostalgie. « New Morning » a bien sûr un deuxième mouvement plus victorieux, mais il y a aussi des sentiments de vengeance et de rébellion dans cette victoire. Aucune de ma musique ou de ma carrière n'est menée de manière pragmatique – cela gâcherait le plaisir. Je suis juste mon cœur et ce que j'aime. J'ai toujours un plan et un sens général du récit, mais je révise constamment ma feuille de route. Si les chansons vous semblent avoir un bon « équilibre », c'est probablement le reflet de mon sens de la grandeur. Je suis un macro-penseur plus qu'un micro-penseur, mais toute l'histoire commence par un sentiment que j'ai à l'intérieur de moi et qui motive tout. Oui, je suis définitivement esclave de mes émotions parfois, ce qui profite grandement à ma musique mais rend la vie pratique plus difficile qu'elle ne pourrait ou ne devrait l'être. Je suis en paix avec ça.
Quels sont vos projets en cours pour l'année 2023-2024 et où les lecteurs peuvent-ils écouter ou visionner vos chansons ?
SD. – Je viens de sortir deux singles en avril et mai, et le plan est de continuer à sortir des singles tout au long de l'été ! Mes chansons sont sur pratiquement toutes les plateformes de streaming, Spotify et Apple Music inclus. YouTube est également une bonne pour écouter ma musique si vous n'avez pas d'application de streaming. Merci beaucoup de m'avoir invité.
Je vous remercie infiniment d'avoir répondu à mes questions, mes meilleurs vœux pour vos projets artistiques.
Né à l'extérieur de Chicago et élevé dans le Massachusetts, Stallion a étudié la littérature anglaise (spécialisation Shakespeare) à l'Université Villanova avant de déménager à New York.
Stallion DUNQUIS (né Colin KEANE) est un auteur-compositeur-interprète indépendant basé à Brooklyn qui a suscité rapidement un réel intérêt croissant sur les réseaux sociaux grâce non seulement à une série de versions virales de Spotify, mais également à sa passion pour le mystère et la métamorphose. Ayant forgé des compétences uniques en tant qu'interprète de rock à la fin des années 2010 sur le circuit indépendant de New York, Stallion a engendré un album entier de singles SoundCloud produits indépendamment à la fin de la décennie, donnant naissance à un important buzz en ligne.
Après la pandémie, Stallion a opté pour la qualité plutôt que la quantité, limitant ses offres Spotify à la magnifique ballade sous-marine « Freeling » et à l'irrésistible indie bop « Demingo », tout en ne se produisant que périodiquement, bien que de manière mémorable, dans une poignée d'indie hot de New York. spots aux côtés de son groupe live, The Dreams.
En avril et mai 2023, Stallion a ajouté deux singles à sa discographie avec la sortie de « Sunday's Gone » et « New Morning ».
« Sunday's Gone » est un morceau dépouillé au piano avec une délicatesse lyrique et émotionnelle qui établit des comparaisons avec Tobias Jesso Jr. et John Lennon, tandis que « New Morning » est une aventure rock épique et incroyablement dynamique révélant les influences d'Arctic Monkeys et de Muse.
Liens pour écouter ses chansons ou le suivre sur les réseaux
Dina Sahyouni,« Interview avec l'artiste Stallion Dunquis », photographies fournies par le chanteur,Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2023 « Étrangères », « Frontières du vivant », « Lyres printanières », mis en ligne le 30 mai 2023. URL :
Hello ! Would you like to introduce yourself to the readership of this journal?
Stallion Dunquis (SD) – Well hello! My name is Stallion Dunquis, and I’m an indie rock musician living and working in Brooklyn. My main instruments of choice are my voice, as well as guitar and piano.
Do you have any feminist or feminine musical influences?
SD – Many of my musical influences are feminine, especially vocalists. When it comes to music, I actually prefer the female voice over the male voice. This is not to say that I don’t admire male singers, but there is something extra moving about a female voice for me. Some of this comes down to the timbre of the female voice itself, but I also think that women — being at a massive disadvantage in most situations as compared with men — are often singing with more hurt, more struggle, more sadness and therefore more defiance, more strength and more attitude.
My favorite genre of music (vocally) are R&B ballads sung by women. The song “Love” by Keyshia Cole is my favorite song of all time. My two favorite singers right now in today’s industry are Tems and SZA. Around the time I really fell in love with music (age 18 or 19), my main album on rotation was 19, Adele’s first record. I listened to this album all day for a year straight and just walked around alone all of the time with it in my headphones. It’s funny — I’m obviously a male singer, but there’s so many female singers that really inspire me and move me deeply. Hayley Williams (Paramore), Amy Winehouse & Lauryn Hill are other singers I admire.
I noticed that some of your songs are made of a well-balanced mixture of joys and sorrows like “New Morning” and “Sunday’s” Gone. Does this come from your artistic vision of music or from a pragmatic philosophy modeled on daily life, or both?
SD – It’s rarely pragmatic. I’m an extremely moody person. Very few people have seen this side of me, because I’m also a very private person. My emotions kind of drive my daily life, and I’m working everyday at sort of mitigating or at least controlling this better, except when it comes to art. When it comes to my music, I let my emotions take the wheel. I allow my emotions to guide the music wherever my feelings want to take it. This is when I feel the most like “me”, which is why I love making music so much and it feels therapeutic or medicinal for me. “Sunday’s Gone” was created from sadness and grief; “New Morning” was created out of longing. “New Morning” of course has a second movement that is more victorious, but there are also feelings of vengeance and rebellion in that victory. None of my music or career is carried out pragmatically — that would ruin the fun. I just follow my heart and what I like. I always have a plan and overarching sense of the narrative, but I’m constantly revising my roadmap. If the songs seem to you to have a good “balance”, this is probably a reflection of my sense of the grander picture. I’m a macro thinker more than a micro thinker, but the whole story starts with some feeling I have inside of me that’s driving everything. Yes, I’m definitely a slave to my emotions sometimes, which benefits my music greatly but makes practical life more difficult than it could or should be. I’m at peace with this.
What are your current projects for the year 2023-2024 and where can readers listen or view your songs?
SD – I’ve just released two singles in April and May, and the plan is to keep putting out singles throughout the summer! My songs are on virtually every streaming platform, Spotify and Apple Music included. YouTube is also a good source to listen to my music if you don’t have a streaming app. Thanks so much for having me.
Thank you so much Stallion Dunquis for answering my questions, my best wishes for your artistic projects!
Born outside of Chicago and raised in Massachusetts, Stallion studied English Literature (Shakespeare focus) at Villanova University before moving to NYC.
Stallion DUNQUIS (born Colin KEANE) is an independent musical artist based in Brooklyn who has garnered a rapidly growing social media following thanks to not only a run of viral Spotify releases, but a distinct flair for mystery and metamorphosis. Having forged unique skills as a rock performer in the late 2010s on NYC’s indie circuit, Stallion spawned an entire album’s worth of independently produced SoundCloud singles at the end of the decade, giving birth to significant online buzz.
Post-pandemic, Stallion opted for quality over quantity, restricting his Spotify offerings to the gorgeous, underwater ballad “Freeling” and the irresistible indie bop “Demingo”, while performing only periodically, though memorably, at a handful of New York City’s indie hot spots alongside his live band, The Dreams.
In April and May of 2023, Stallion added two singles to his discography with the release of “Sunday’s Gone” and “New Morning”. “Sunday’s Gone” is a stripped-down, piano-driven track with lyrical and emotional delicacy drawing comparisons to Tobias Jesso Jr. and John Lennon, whereas “New Morning” is an epic and shockingly dynamic rock adventure revealing Arctic Monkeys and Muse influences.
Dina Sahyouni,« Interview with the artist Stallion DUNQUIS », photos provided by the artist,Le Pan poétique des muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices »,mis en ligne le 29 mai 2023. URL :
Né à l'extérieur de Chicago et élevé dans le Massachusetts, Stallion a étudié la littérature anglaise (spécialisation Shakespeare) à l'Université Villanova avant de déménager à New York.
Stallion DUNQUIS (né Colin KEANE) est un auteur-compositeur-interprète indépendant basé à Brooklyn qui a suscité rapidement un réel intérêt croissant sur les réseaux sociaux grâce non seulement à une série de versions virales de Spotify, mais également à sa passion pour le mystère et la métamorphose. Ayant forgé des compétences uniques en tant qu'interprète de rock à la fin des années 2010 sur le circuit indépendant de New York, Stallion a engendré un album entier de singles SoundCloud produits indépendamment à la fin de la décennie, donnant naissance à un important buzz en ligne.
Après la pandémie, Stallion a opté pour la qualité plutôt que la quantité, limitant ses offres Spotify à la magnifique ballade sous-marine « Freeling » et à l'irrésistible indie bop « Demingo », tout en ne se produisant que périodiquement, bien que de manière mémorable, dans une poignée d'indie hot de New York. spots aux côtés de son groupe live, The Dreams.
En avril et mai 2023, Stallion a ajouté deux singles à sa discographie avec la sortie de « Sunday's Gone » et « New Morning ».
« Sunday's Gone » est un morceau dépouillé au piano avec une délicatesse lyrique et émotionnelle qui établit des comparaisons avec Tobias Jesso Jr. et John Lennon, tandis que « New Morning » est une aventure rock épique et incroyablement dynamique révélant les influences d'Arctic Monkeys et de Muse.
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Born outside of Chicago and raised in Massachusetts, Stallion studied English Literature (Shakespeare focus) at Villanova University before moving to NYC.
Stallion Dunquis (born Colin Keane) is an independent musical artist based in Brooklyn who has garnered a rapidly growing social media following thanks to not only a run of viral Spotify releases, but a distinct flair for mystery and metamorphosis. Having forged unique skills as a rock performer in the late 2010s on NYC’s indie circuit, Stallion spawned an entire album’s worth of independently produced SoundCloud singles at the end of the decade, giving birth to significant online buzz.
Post-pandemic, Stallion opted for quality over quantity, restricting his Spotify offerings to the gorgeous, underwater ballad “Freeling” and the irresistible indie bop “Demingo”, while performing only periodically, though memorably, at a handful of New York City’s indie hot spots alongside his live band, The Dreams.
In April and May of 2023, Stallion added two singles to his discography with the release of “Sunday’s Gone” and “New Morning”. “Sunday’s Gone” is a stripped-down, piano-driven track with lyrical and emotional delicacy drawing comparisons to Tobias Jesso Jr. and John Lennon, whereas “New Morning” is an epic and shockingly dynamic rock adventure revealing Arctic Monkeys and Muse influences.
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Cette section n'a pas été mise à jour depuis longtemps, elle est en travaux. Veuillez patienter et merci de consulter la page Accueil de ce périodique.
. CÉLÉBRANT LES AUTRICES EXILÉES, IMMIGRÉES, RÉFUGIÉES... LE 8 MARS DE CHAQUE ANNÉE, LE PRIX LITTÉRAIRE DINA SAHYOUNI (PORTANT LE NOM DE LA FONDATRICE DE LA SIÉFÉGP ET DE CETTE REVUE) REDÉMARRE À PARTIR DU 14 JUILLET 2025 POUR L’ÉDITION DU 8 MARS 2026....
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