19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 12:22

 

Événements poétiques |  Le Printemps des Poètes « Désir » | Les femmes & le désir en poésie

 

 

 

 

 

La petite musique

​​

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

Photographie par

 

Claude Menninger

 

 

 

© Crédit photo : une magnifique image de Claude Menninger, Canal Kunheim.

 

 

 


 

désir de disparaître sous la peau des mots

désir de quitter le corps du texte

pour me promener l'âme nue

sur la page blanche en quête d'absolu

 

 

 

abandonner le tout pour le rien

et danser au bord de l'abîme

pour enfanter dans le poème

la petite musique qui m'a mise au monde

 

© F. Urban-Menninger

 

 

***

 

Pour citer ce poème sur l'amour de la poésie et de sa musique 

 

Françoise Urban-Menninger« La petite musique », poème inédit (sur l'amour d'une poète de la poésie et de sa musique) illustré par une photographie inédite de Claude Menninger, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événement poétique|Le Printemps des Poètes « Les femmes et le désir en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 19 janvier 2021. Url : http://www.pandesmuses.fr/desir/fum-lapetitemusique

 

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans RECUEIL NO3 Amour en poésie Musique
19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 10:02

 

Lettre n°15  | Eaux oniriques... | Textes poétiques thématiques

 

 

 

 

 

Ah, revoir la Niagara !

 

 

(haïkus)

​​

 

 

Chantal Robillard

 

 

Crédit photo : "Niagara Falls", winter 1911", Commons,Wikimedia. 

 

 




 

Au bord de la rivière,

Je prends les embruns

Dans cheveux et figure.


 

Penchée sur parapet,

Je vois la roche

Claire en long plancher sous l’eau,


 

Qui soudain se crevasse

En fer à cheval,

D’immense largeur ouvrée,


 

Qui chute, chute, chute,

Dans un grand fracas

Cinquante mètres plus bas.


 

Un brouillard monte du fond.

Brume d’écume,

Rugissant, nous pleut dessus,


 

Tandis qu’un bien frêle esquif

Fend

Droit

Les

Flots

Dans

La 

raie 

d’un

arc 

en 

ciel 

bis




 

Qui double l’arc lumineux,

Jaune et bleu épais

Créant pont sur l’abîme.


 

Tombe ici la Niagara,

Des nues, de haut, du plateau,

De l’Érié vers l’Ontario.


 

Ou de Charybde en Scylla ?

De sauvagerie,

En 

Tout

Cas,

Oui,

C’est

Bien 

Sûr.


 

Ah, la reverrai-je un jour,

Belle Niagara

Dont la beauté m'a saisie ?



 

 

©CR

 

***

 

Pour citer ces poèmes

 

 

Chantal Robillard« Ah, revoir la Niagara ! (haïkus) », poèmes  inédits, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n° 15 « Eaux oniriques : mers/mères », mis en ligne le 19 janvier 2021. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettre15/cr-revoirlaniagara

 

 

 

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 16:48

 

 

Lettre n°15 |  Eaux oniriques... | Biopoépolitique | Réflexions féministes sur l'actualité

 

 

 

 

 

Inutile [enfer]tile

 

 

​​

 

 

CAM[...]ILLE

 

 

 

 


 

Je me présente, au moins vous serez témoins :

J’ai été privée de ce qui devait être un besoin

Je suis celle qu’on plaint, celle qu’on fuit au loin

Je ne suis pas une femme dite « accomplie »

Chaque mois mon bas-ventre me rappelle, maudit,

Que j’ai lamentablement échoué dans ma vie

Mes entrailles me font lâchement défaut

Et ne veulent pas porter de marmots

Faisant sombrer mon quotidien dans le chaos

 

Je me revois, enfant rêvant d’enfants ;

Déjà pas très grand, on nous apprend

Que pour être heureux, plus tard apparemment

Il faut impérativement être parent

— On conditionne le bonheur indécemment

Une femme a un avenir de maman

C’est tout ; sinon cet être humanoïde handicapé

Sera un poids inutile pour la société

Se révolter est synonyme de malhonnêteté

 

Ô toi, maternité triomphante !

Ô toi, femme qui enfante !

Ô vous, regards et jugements implacables !

Voyez, admirez à quel point je suis une incapable !

À force, je ne sais même plus qui est coupable

Entre les normes sociétales inconscientes et moi,

Tant d’injustice, j’ai honte et peur à la fois

— Parce que donner la vie aurait été trop beau

Mais ma chair me refuse ce cadeau

 

J’ai l’intime conviction que ma vie de femme stérile

Se résume alors à des actions qualifiées de futiles

Inapte à reproduire la fin des contes de fée

Suis-je donc réduite à mon incapacité ?

Même la science m’abandonne et ne peut me sauver

Après avoir été un objet médical, encore et encore

Cette horrible machine qu’est mon corps

Ce déchet malade, anormal, défectueux

Par trop haïssable à mes yeux

 

Mais j’ai surtout trahi pour toujours

Cet Autre que j’appelle amour

Qui, patient, chaque jour à mes côtés

Supporte mon anxiété et ma mauvaise santé

M’assiste dans cette épreuve du deuil de ma maternité

Jamais je ne pourrai à mon tour pouponner

Et par ma faute lui aussi est condamné

Devenus des robots à copuler pour procréer

On en oublie la douloureuse douceur d’aimer


 



 

Je suis terrifiée à l’idée de précipiter sa perte ; Muet,

Son visage hurle ses démons, ses regrets sont mon reflet

Son regard me rappelle constamment toute notre misère

Il faudrait qu’il parte pour s’économiser cet enfer

Mon infirmité va lui aussi l’enfermer et le briser

Je ne suis digne ni de lui, ni de personne en réalité

Pas de p’tit chérubin, de petiot, de p’tit gamin

Il faudra sceller notre histoire sans la création d’un être humain

Avec en prime mon affolante culpabilité entre les mains

 

Il est de ces blessures qu’on ne peut réparer

De ces meurtrissures qu’on ne peut réconforter

Et des cassures qu’on ne peut jamais combler

J’ai perdu une chose que jamais je ne pourrai posséder

Ce vide en moi, cruel, me persécute infiniment

La nature a gagné ; alors quoi, maintenant ?

Serais-je une erreur qu’elle a produite, sans le projeter ?

Solitaire involontaire, j’ai subitement réalisé

Que j’avais été comme dépossédée de ma féminité

 

Où que j’aille, je me sens physiquement incomplète

Plantée là, anéantie devant ces mamans parfaites

Ma vue se trouble de chagrin jaloux et de sourde rage

Mais ainsi que leurs mômes, je dois rester sage

Mes pensées endeuillées de l’image d’un enfant

Le fantôme de mon bébé pour toujours absent,

C’est tellement dur qu’il me hante tout le temps

Comme s’il était né sans rester, dans mes crises de folie pure

Ça me permet d’un peu lutter contre cette sociale dictature

 

Souvent dans mon lit, très tard le soir

Je me torture l’existence avec de sales cauchemars

Aussi sales que ces flots rouges qui me font pleurer

Je ne suis pourtant pas qu’un corps qu’il faut engrosser

Je suis tellement épuisée d’un tel combat à mener

Ils ont créé un manque atrophié que j’aurais pu éviter

On essaie de me faire croire que j’ai péché

Alors que je suis seulement née, et j’ai dû tout endurer

Je crois que… j’ai le droit de me pardonner…




 

 

 

 

***

 

Pour citer ce poème féministe sur la stérilité et sur l'injonction d'être mère ou de la maternité 

 

CAM[...]ILLE, « Inutile [enfer]tile », poème féministe inéditLe Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°15 « Eaux oniriques : mers/mères », mis en ligne le 18 janvier 2021. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettre15/camille-inutile

 

 

 

 

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​​​​​​

​​​​

18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 14:03

 

Lettre n°15 | Réflexions féministes sur l'actualité

 

 

 

 

 

C'est la fin des haricots

 

pour les

 

consciences tranquilles

 

 

Dina Sahyouni

 

 

 

Crédit photo : "Gousses de Haricot Tarbais", Patrick Boilla, Commons. 

 

 

Les témoignages associés à #MeTooInceste sur les crimes d'inceste glacent le sang. Ce raz-de-marée de paroles qui se libère sur les réseaux sociaux a été déclenché par la parution du livre de Camille Kouchner intitulé La familia grande révélant l'inceste de son beau-père sur son frère et à l'intitative des féministes de "Nous Toutes".1

 

Assisterons-nous enfin à un véritable questionnement profond et durable des violences extrêmement graves commises au sein des familles et dans le silence des alcôves…?! 

 

 

"L'inceste" comme "Le tabou de l'inceste" ont été largement étudiés par les anthropologues, éthnologues, psychologues, psychiatres, historiennes, historiens, etc. Et l'on sait que la justice juge sévèrement le viol ou les attouchements par un membre de la famille.

Toutefois, cela ne semble pas suffire à faire surgir une modification pérenne en matière de capacités sociale, médicale et judiciaire de remédier à ces délits et crimes qui touchent particulièrement les enfants,  adolescents et adolescentes.

Il manque en effet quelque chose. Oui, quelque chose demeure insaisissable et introuvable pour déclencher une réelle lucidité dans toutes les sphères sociales et permettre aux victimes comme aux personnes vulnérables de se faire entendre et d'être défendues ou secourues à temps.

 

 

En tant que poéféminologues et féministes, nous aussi, ne pouvons pas nous taire. En porte-parole de mes collègues, je pense qu'il est encore temps de changer les mentalités, de faire évoluer les esprits et surtout de sauver des vies. 

 

Il est donc temps d'affirmer haut et fort que le consentement ne doit même pas être évoqué, ni pris en compte dans une affaire portant sur des actes sexuels commis sur des enfants, adolescentes/adolescents, personnes vulnérables et en situation de handicap.2

Il est encore temps de secouer les arcanes de nos sociétés meurtrières qui confondent liberté sexuelle, abus et crimes.

Il est encore temps de nommer cela, d'accompagner et de rendre justice aux personnes concernées par l'inceste.

Il est encore temps de comprendre la nécessité d'agir efficacement, rapidement pour bouleverser tout un système dominant qui jette la honte sur celles et ceux qui parlent...

Il est encore temps d'interroger nos façons de recueillir et d'accueillir la détresse des personnes abusées par un détournement du regard ou par un geste de compassion qui mènent nulle part et restent lettre morte. 

Agir politiquement est donc indispensable, consolider les lois en vigueur, les améliorer et les appliquer se révèle indispensable. 

Oui, les féministes ne laisseront jamais tomber ce combat, il est temps de mettre fin au silence imposé et établi sur ces sujets qui choquent ou dérangent les consciences tranquilles. 

Il est temps de leur annoncer ceci :

C'est la fin des haricots pour vos consciences tranquilles.3

 

 

Notes

1. Sur "#MeTooInceste", la presse écrite et les médias audiovisuels en parlent depuis plusieurs jours, voir aussi l'article de "France Info" via le lien présent ci-dessous.

2. Autrement dit, la justice doit prologer la durée d'ester en justice (ou la rendre imprescriptible) et refuser aussi l'argument du consentement dans les cas suivants :

— un inceste ou assimilé à cela.
— un adulte agresseur d'enfant ou d'adolescent/adolescente de moins de 18 ans.
— une agression d'une personne en situation de handicap, assimilée ou en difficultés (économique, psychique, neurologique et affective).

— une agression en groupe à partir de deux personnes adultes ou non sur une personne adulte ou non.

3​​​​​. J'adresse tous mes remerciements à mes collègues pour leur précieuse aide en ce qui concerne tout ce qui se passe sur les réseaux sociaux et les commentaires des journalistes !

 

***

 

Pour citer ce texte engagé & militant 

 

Dina Sahyouni«  C'est la fin des haricots pour les consciences tranquilles », billet inédit, féministe et militantLe Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°15 « Eaux oniriques : mers/mères », mis en ligne le 18 janvier 2021. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettre15/ds-hashtagmetooinceste

 

 

 

 

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13 janvier 2021 3 13 /01 /janvier /2021 14:48

 

Lettre n°15 | Eaux oniriques...| Revue des éditrices & éditeurs ou Revue des Métiers du livre

 

 

Entretien bref avec

 

l'imprimerie grenobloise & écologique

 

Centre d'impression numérique Everest

 

 

 

 

Propos recueillis par

David Simon pour

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES

 

 

 

 

 

​​​​​​​© ​​​​​​​​​​Crédit photo : Logo de l'entreprise écologique Centre d'impression numérique Everest à Grenoble. 

 

 

LPPDM Pourriez-vous nous parler de votre imprimerie ? 

 

 

CIN Everest Nous sommes une imprimerie de quartier (trois personnes) et existons depuis 1998. Nous imprimons sur tous les supports papier et adhésif, petit et grand format.

 

 

LPPDM Qu'est-ce qui carctérise votre entreprise qui respecte l'environnement ?

 

CIN Everest En ce qui concerne l’environnement nous optons pour du papier en norme PEFC, qui respecte les forêts durables : un arbre abattu, un arbre planté. Et nous avons également la norme Imprim’Vert, des encres semi-végétales et certains papiers recyclés.

 

 

LPPDM Quels sont vos projets pour 2021 ?

 

CIN Everest Pour 2021 nous souhaitons sensibiliser nos clients justement sur ces normes environnementales et les satisfaire dans leurs outils de communications.

 

 

 

 

Nous remercions le CENTRE D'IMPRESSION NUMERIQUE - EVEREST d'avoir répondu à nos questions et souhaitons à cette imprimerie écologique une heureuse année 2021 & de belles réussites !

 

 

CENTRE D'IMPRESSION NUMERIQUE - EVEREST

75, rue de Stalingrad. 38100 Grenoble. Site officiel :

http://www.everest-cin.com

Imprim'Vert papier label écologique

 

***

 

Pour citer cet entretien réalisé avec une équipe d'une imprimerie grenobloise

 

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES« Entretien bref avec l'imprimerie grenobloise et écologique Centre d'impression numérique Everest »Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°15 « Eaux oniriques : mers/mères », mis en ligne le 13 janvier 2021. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettre15/entretien-cin

 

 

 

 

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Bienvenue !

 

RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION ! 

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