24 février 2023 5 24 /02 /février /2023 13:08

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Dossier mineur | Florilège | Revue culturelle d'Europe

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Les dix mots de la semaine

 

 

 de la langue française : 2023

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

Crédit photo : Pierre-August Renoir, "Sleeping Girl with a Cat", domaine public, capture d'écran de Wikimedia.

 

Mots imposés : 

 

Année-lumière, déjà-vu, lambiner, tic-tac, synchrone, plus-que-parfait, dare-dare, rythmer, avant-jour, hivernage.

 

 

Nouvelle

 

 

Certaines séquences oniriques sont le plus souvent à des années-lumière de notre vie quotidienne. Cependant d’autres ont un air du déjà-vu dans la vie réelle.

La vie serait plus que parfaite si le corps et l’esprit étaient synchrones.

Les rêves de l’avant-jour sont ceux qu’on retient  le plus et qu’on aimerait prendre le temps de reconstituer pour les partager avec les siens mais le tic-tac du réveil et son alarme qui rythment nos matins sont là pour nous rappeler à l’ordre du jour donc pas question de lambiner  : il faut se résoudre à sauter à bas de son lit pour se mettre en condition physique. Après une bonne demi-heure de gym matinale on se dirige dare-dare vers la salle de bains pour une douche écossaise vivifiante, car malgré l’hiver, le corps ne doit pas se mettre en hivernage.

 

 

© Maggy De Coster


 

 

***

 

 

Pour citer ce texte inédit​​​​​​​​​​​​

 

Maggy De Coster, « Les dix mots de la semaine de la langue française : 2023 »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023, mis en ligne le 24 février 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no13/mdc-hivernage

 

 

 

 

Mise en page par David

 

 

 

 

© Tous droits réservés

 

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22 février 2023 3 22 /02 /février /2023 17:43

 

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Entretiens poétiques, artistiques & féministes | Dossier mineur | Articles & témoignages 

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Entretien avec la poétesse

 

 

Marielle Anselmo

 

 

 

 

 

 

 

Propos recueillis par

 

Hanen Marouani

 

 

Entrevue avec & poèmes de

 

Marielle Anselmo


 

Page bibliographique :

https://www.librairie-des-femmes.fr/livre/9782373558012-vers-la-mer-marielle-anselmo/

 

 

 

 

Qui est Marielle ANSELMO ?

 

 

 

© Crédit photo : Portrait photographique de Marielle Anselmo.

 

 

Marielle ANSELMO est enseignante, critique et poète. Elle vit à Paris.

Elle a grandi en Tunisie, dans une famille d'ascendances italiennes, avant de poursuivre des études de lettres en France, à Aix-en-Provence puis à l'Université de Paris 8. Professeure agrégée de lettres modernes, elle enseigne actuellement le français à l’INALCO (Institut National des Langues Orientales) à Paris. Par ses activités critiques, elle a contribué à plusieurs ouvrages collectifs. Ses articles portent sur Marcel Proust, Hélène Cixous, Dominique Fourcade, Etel Adnan, Kenzaburô Ôé, Édouard Glissant, etc.

 

En poésie, elle est l'auteur du livre-poème Une nuit (éditions Les Arêtes, 2007), de plusieurs livres d’artistes avec Colette Deblé et Pierre Zanzucchi, ainsi que de deux recueils : Jardins (Éditions Tarabuste, 2009) et Vers la mer (Editions Unicité, 2022). Ses poèmes ont été traduits en anglais, grec, arabe, vietnamien et japonais. Elle en a donné une cinquantaine de lectures publiques en France, en Tunisie, en Suisse, au Japon, seule ou accompagnée d'autres artistes. 

 

Biobibliographie 

Site : 

https://www.librairie-des-femmes.fr/livre/9782373558012-vers-la-mer-marielle-anselmo/


 

Quelques articles sur Vers la mer par :

 

– Pierre Gontran dit Remoux : https://sitedesign.blog/

– Sabine Huynh : http://sabinehuynh.com/2023/01/20/vers-la-mer/

– Angèle Paoli : http://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2023/01/marielle-anselmo-vers-la-mer-1.html


 

Agenda des lectures :

 

Le samedi 11 février à 19h30, à l’Officine, Paris Ménilmontant,

– Le mardi 21 février à 19h00 à Ivy Writers (Lectures bilingues), Delaville Café, Paris 10ème,

– Le mardi 14 mars à 19h00 à la Librairie des Femmes, 35 rue Jacob, avec la comédienne Dominique Reymond,

– Le samedi 18 mars à 16h00 à Matreselva, Paris 15ème,

Le samedi 21 avril au Kibele, Paris 10ème, avec le Parlement des écrivaines francophones. 

 

 

Entrevue

 

 

 

 

H.M Comment êtes-vous venue à l’écriture, Marielle Anselmo ? 

 

M.A – Je crois que je suis venue à l’écriture dès lors que j’ai appris à écrire, que s’est ouvert l’univers magique des lettres. 

Je me souviens d’un premier poème écrit, enfant, dans un dialogue (très silencieux) avec ma mère. Il s’intitulait ainsi Le silence de la mer - titre empruntant tant au récit de Vercors qu’à l’univers de Cousteau. Deux formes de résistance, deux manières de désobéissance à un certain ordre terrestre. 

Je réalise, en notant ceci, que je n’ai jamais quitté cette scène : j’écris toujours depuis le même lieu, depuis le bord de mer. 

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture du recueil « Jardins » par Marielle Anselmo, Tarabuste Éditeur.


 

 

H.M – D’où vient ce décalage entre vos deux recueils ?

 

M.A – Après la parution de mon premier recueil, Jardins (Tarabuste, 2009), il m’a fallu en effet beaucoup de temps pour écrire le deuxième, Vers la mer. Il était pourtant déjà en germe au moment de la publication du premier. Cela tient à plusieurs choses : au contenu du livre (parfois douloureux, brûlant), à la manière même de mon écriture (un fort travail de condensation s'inscrivant dans la durée) et à des événements extérieurs qui en ont influencé l’écriture. En effet ce recueil, tout en reprenant des éléments de mon rapport au paysage méditerranéen (à la Grèce en particulier, qui est comme un déplacement de mon rapport à la Tunisie, pays d’enfance), se fait essentiellement l’écho d’un séjour de deux ans au Japon. Or, en 2011, alors que le recueil était en cours d’écriture, se produisent en même temps plusieurs cataclysmes, géopolitiques ou naturels, qui viennent toucher les pays que j’aime, auxquels je me sens liée : la révolution tunisienne (suivie des Printemps arabes), la crise économique européenne qui affecte lourdement (sinon tragiquement) la Grèce et enfin le désastre (naturel et nucléaire) de Fukushima. Il m’était impossible de continuer à écrire sur le Japon alors que les paysages qui m’habitaient, que je tentais de décrire, de saisir en quelques mots, de rendre vivants, étaient dévastés, menacés de destruction, et que ceux que j’aimais là-bas étaient eux-mêmes menacés. Cela a littéralement arrêté l’écriture du recueil, m’a rendue mutique.

 

 

 

H.M – Est-ce que « Vers la mer  », le recueil que vous venez de publier aux Éditions Unicité, qui vous a donné envie d’un retour aux sources et aux origines ? 

 

M.A – Non, au contraire, Vers la mer est le récit d’un éloignement, d’un départ, ou mieux de sa tentative. Mais, comme je l’indiquais au début, il garde aussi la trace du paysage premier, méditerranéen. 


 

H.M – L’impression qu’il y a comme un cheminement intérieur d’un recueil à l’autre vous semble-t-elle juste ? 

 

M.A – Oui, il y a un cheminement : un cheminement le long de la mer - de la Mer Méditerranée à la Mer du Japon. Il y a aussi un fil intérieur, qui se poursuit d’un recueil à l’autre, moins perceptible peut-être, qui est celui du deuil. 


 

H.M – Pourquoi tant de tristesse dans votre poésie ? 

 

M.A – Dans la tradition occidentale, (c’est-à-dire grecque), la figure première du poète est celle d’Orphée, et elle est profondément liée au deuil : Orphée, celui qui chante et charme jusqu’aux arbres et aux animaux, a perdu deux fois celle qui l’aime, Eurydice. Il a été autorisé par les dieux à aller la chercher aux Enfers, à traverser vivant le royaume des morts - et à en revenir (mais il en revient seul). C’est depuis cette traversée que s’écrit le poème. 

Il y a dans cette tradition une deuxième figure fondatrice, moins mythologique : celle de Sappho, celle que Platon surnomma « la Dixième Muse ». Le premier poète lyrique est une femme, une poétesse. Elle est celle qui chante le désir. Disons que dans ce recueil j’essaie de tisser ensemble ces deux fils : deuil et désir. 

Il n’y a donc pas seulement de la tristesse dans ce livre. Il y a aussi beaucoup de joie : la joie de passer les frontières, d’aller « dans l’inconnu », à la rencontre d’une altérité radicale, la joie de « l’aventure », au sens médiéval, des rencontres faites en chemin… Quelle plus grande joie ?


 

H.M – Comment va la poésie d’aujourd’hui ? 

 

M.A – Elle va très bien. Elle est la part la plus infime, la plus invisible du marché éditorial, mais sans doute aussi la plus vivante. Soutenue par des éditrices et éditeurs courageux, elle est le lieu d’une production incessante, s’exprimant à travers toutes ses formes (orales ou écrites) et courants. Et les poétesses sont plus nombreuses et vivantes que jamais. Elles investissent la scène, la voix, renouvellent la performance poétique en lui donnant une tonalité, une inflexion propre. Je pense (pour n’en citer que quelques-unes) à Edith Azam, Hélène Sanguinetti, Jennifer K. Dick, Constance Chlore, Laure Gauthier, Anna Serra…  Chacune invente une scansion particulière. 


 

H. M – La mer demeure-t-elle un espace d’accueil ou d’exil privilégié ? 

 

M.A – Elle est les deux : accueil et exil, tombe et berceau. 

Lieu de culture, d’échanges, elle défend et permet la traversée, et en cela reste un trait-d’union.

 

 

© Hanen MAROUANI

 

« Vers la mer est le récit d’un éloignement, d’un départ, ou mieux de sa tentative. »

Marielle Anselmo

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture du recueil « Vers la mer » par Marielle Anselmo aux éditions Unicité.

 

 

Extraits poétiques publiés avec l'aimable autorisation de la poétesse & de sa maison d'édition

 

 

restera le souvenir

de ta voix

en Provence




 

et encore les pins (lumineux)

des pins mélodieux et je les fais entendre

à l’autre bout du monde

 

 

le froissement de l’opéra

avant le commencement

 

ta voix et les étoiles du jour

entre la Provence et le Japon

 

de cet amour

si bref

 

 

© Marielle Anselmo

 

***


 

Pour citer cet entretien poétique inédit​​​​​​​​​​​​

 

Hanen Marouani, « Entretien avec la poétesse Marielle Anselmo », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », mis en ligne le 22 février 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no13/hmarouani-entretien-marielleanselmo 

 

 

 

 

Mise en page par Aude

Ajout des extraits poétiques le 23 février 2023.

 

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 13 Amour en poésie Muses et féminins en poésie
21 février 2023 2 21 /02 /février /2023 14:36

N°13 | (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices | Critique & réception  & REVUE ORIENTALES (O) | N°2-1 | Critiques poétiques & artistiques & [Nouvelle rubrique]

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Hanen Marouani

 

 

 

« Tout ira bien »

 

 

Le Lys bleu, 2021, 116 pages, 12€

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

© ​Crédit photo : Première de couverture du recueil « Tout ira bien… » aux éditions Le Lys Bleu, 2021.

 

 

 

« C’est quand on a plus d’espoir qu’il ne faut désespérer de rien. » Sénèque



 

L’espoir fait vivre, donc quand ça va mal autour de soi, il faut trouver coûte que coûte une raison de vivre en se persuadant que « Tout ira bien » :c’est ce que Hanen Marouani nous enseigne dans son recueil de poèmes ainsi intitulé. Quelle belle note d’espoir d’optimisme !  Comme dit Georges Bernanos : « La plus haute forme de l'espérance, c'est le désespoir surmonté. »

Selon Hanen Marouani :

 

« Les espoirs des enfants qui s’éveillent sans bruit

Et tout nous en transforme en gouttelettes de rosée

En une mélodie perdue quand ses notes font battre toute peur »

 

Ne pas prêter le flanc au désespoir, avoir le flair, car prévenir vaut mieux que guérir.

Il faut savoir anticiper :

 

 « Sentir l’arrivée de la pluie à l’avance

Ne pas se contenter d’être mouillé sous ses intensités »

 

On s’accroche à la vie en ce recentrant sur l’essentiel, en tâchant de renouer avec son intériorité. Cela dit, il faut composer chaque jour avec le temps long dans « un monde en repli ».

Peindre en rêvant et rêver en peignant : la simultanéité des actions s’avère une échappatoire, on se laisse aller ; à chacun sa technique de survie :

 

« Sur un navire sans voile ignorant la destination vers son demain

Je rêve et je rêve… et je peins »

 

Mais « Un rêve égaré dans les vagues et les marées » c’est un rêve évanescent qui n’est que chimère car « Tout est éphémère, tout est chimère », nous révèle la poète.


 

Alors il faut trouver une solution de rechange : il faut lâcher prise : 

 

« Sur une bicyclette, je suis le sens

Je ne pense à rien mais je danse »

*

« Le silence est d’or tout le reste n’est que faiblesse », nous apprend Pascal.

 

Et pour cause :

 

« Les silences remplacent les mots, là où il faut faire face au vrai » renchérit Hanen Maouani.

 

Il est des circonstances qui n’existent que pour nous amener à une prise de conscience, alors il n’est que de puiser dans ses ressources intrinsèques pour y faire face. 

 

Il faut dire la vie dans ses travers, évoquer les femmes oubliées, emmurées dans le silence :  

 

« Derrière les portraits, il y a des vies endormies

Derrière chacun, il y a des portraits bien soumis,

Derrière chaque portrait, il y a une femme qui sourit »

 

*

« L’homme est un apprenti, la douleur est son maître,

Et nul ne se connaît tant qu’il n’a pas souffert. » Musset

 

Il ne faut pas rester passif mais se coltiner aux difficultés de la vie.  

À un moment où l’incertitude et le vide gagnent du terrain, où les rues se vident, la poète rêve sa vie, verse dans la régression :

 

« courir … c’est mon rêve d’enfant qui me vient souvent et

qui m’accompagne

au fond (…) »

« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » Pascal

 

En fin de compte, Hanen Maouani a fini par trouver « les secret des cœurs » auxquels elle a eu recours pour des moments de plaisir partagé en duo.

 

 

© Maggy DE COSTER

 

 

_______


 

Pour citer ce texte inédit​​​​​​​​​​​​

 

Maggy De Coster, « Hanen Marouani, « Tout ira bien », Le Lys bleu, 2021, 116 pages, 12€ »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°13 | PRINTEMPS 2023 « (Auto)Portraits poétiques & artistiques des créatrices », Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels ou fictifs », n°2, volume 1, mis en ligne le 15 février 2023. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/no13/orientales/no2/mdc-hanenmarouani-toutirabien

 

 

 

 

Mise en page par Aude

 

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES ET ORIENTALES - dans Numéro 13 O-no2 Amour en poésie Poésie engagée Muses et féminins en poésie

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