11 février 2025 2 11 /02 /février /2025 17:41

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Dossier majeur | Florilège | Poésie & littérature pour la jeunesse & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Créations poétiques

 

 

 

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e muet

 

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Poème féministe pour la jeunesse

Dina Sahyouni 

 

 

Crédit photo : Barbara Regina Dietzsch (Barbara Regina Dietzsch (1706-1783), illustration d'une rose éclose, un bouton de rose avec leurs feuilles et une coccinelle, peinture tombée dans le domaine public. Capture d'écran de la photographie libre de droits du site Commons.

 

 

Perdues sur les feuilles jaunies par le temps 

les voyelles et leurs couleurs

perdus les sons des langues maternelles et paternelles

perdues sur les feuilles de l'automne de sa vie 

les voyelles de son cœur en pleurs 

elle pleure des sons

et toutes ses consonnes se vident

en e muet

 

© DS., 10 février 2025.

 

***

 

Pour citer ce poème inédit, féministe & engagé pour l'égalité des sexes

 

Dina Sahyouni, « e muet », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 11 février 2025. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/noi2025/ds-emuet

 

 

 

 

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30 janvier 2025 4 30 /01 /janvier /2025 14:52

N° I | HIVER-PRINTEMPS 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Critique & réception | Dossier mineur | Articles & Témoignages | Astres & animaux / Nature en poésie

 

 

 

 

 

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Méas Pech Métral, « Nuages»,

 

 

préface de Sophie Davant, ​​​​​Éditions

 

du Cygne, 2024, 90 pages, 15€

 


 

 

 

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Texte par

Maggy de Coster

 

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du recueil de poèmes de Méas Pech Métral, « Nuages », Éditions du Cygne, 2024.

 

 

Méas Pech Métral transforme ses maux en parcelles de rêves qu’elle cultive à travers les pages de ce recueil de poèmes. Elle leur donne du sens en les transformant en une source limpide dans laquelle elle invite ses lecteurs à s’abreuver. 

 

Elle habite la langue de Molière comme elle habite La France, son pays d’accueil. Elle est la preuve vivante que l’amour d’une langue d’adoption peut être aussi fort que l’amour de sa langue maternelle. Donc, écrire dans une langue est une question de confort et d’aise. Aussi, le français se révèle-t-il pour elle un idiome dans lequel elle s’épanouit en donnant corps à ses pensées, ses fantasmes, ses lubies, ses manques, ses peines et ses joies. Il lui a sans doute insufflé une seconde vie. 

Elle s’est réconciliée avec elle-même en recouvrant sa part d’humanité sacrifiée, quand, enfant, elle affronta les souffrances imposées par les Kmers Rouges. 

Aussi nous délivre-t-elle ce message, en signe de liberté retrouvée :

 

« Courir le soir dans le noir

Dans l’ombre sous les lumières

Au bord de la Seine en hiver. »

 

L’univers de Méas Pech Métral est un univers coloré, multiforme, hétérogène. Rimbaud et Verlaine ne sont jamais loin, ils ne quittent jamais ses pensées. 

Elle est cette fille attachante au cœur tendre dont les souvenirs résonnent dans la tête comme le son persistant d’une cloche qu’on martèle.

 

«  Tu es venue hier

Magicienne dans un cirque d’hiver

Tu as changé mon univers. »

 

Elle est animée par l’envie, la force de vivre et le dépassement de soi. C’est une âme aguerrie qui vole plus haut que les nuages. 

Dans ce recueil de poèmes sont consignés des amitiés qui se tissent, des liens fugaces, des espoirs avortés et aussi des manques : 

 

« Le manque est partout

Et partout, quelqu’un manque à quelqu’un. »

 

Sur ces manques se greffent des nuages car elle nous rappelle que:

 

« La  vie comme les nuages

Qui passent et repassent

Et les nuages c’est jamais les mêmes. »


 

Son champ onirique est vaste et peuplé d’êtres ailés comme les oiseaux, les papillons, de belles âmes, à part les bardes français comme Rimbaud, Verlaine, Hugo, Apollinaire, il y a aussi des personnes vivantes avec lesquelles elle a des atomes crochus, comme Mélissa qui lui a promis « des rêves et des voyages » et aussi Gabrielle dont les fleurs sont des émules. 

Une poésie habillée de rêves. 

 

© Maggy DE COSTER

 

URL de référence aux éditions du Cygne :

https://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-meas-pech-metral.html


 

***

 

Pour citer ce texte illustré & inédit

 

Maggy De Coster« Méas Pech Métral, « Nuages », préface de Sophie Davant, Éditions du Cygne, 2024, 90 pages, 15€ », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER-PRINTEMPS 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, mis en ligne le 30 janvier 2025. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noi2025/mdc-mpm-nuages

 

 

 

 

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9 janvier 2025 4 09 /01 /janvier /2025 16:45

N° I | HIVER 2025 | INSPIRATRICES RÉELLES & FICTIVES | 1er Volet | Dossiers majeur & mineur | Florilèges | Astres & animaux/Nature en poésie | Poésie politique & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Créations poétiques

 

 

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Hirondelle Parestoo

 

 

 

 

Poème engagé & féministe par

 

Noun

 

Poète engagé pour la liberté d'expression

 

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 Poème pour la liberté d'expression

 

 

Hirondelle blessée, aux ailes vibrantes de liberté 

Oiseau pourchassée pour un chant

Uniquement de beauté

Tu défies les gardiens de ta prison 

Maîtres de l’Iran depuis la révolution. 

 

 

Il suffit d’un chant d’hirondelle

Pour être nommée rebelle 

Menacée et mise derrière les barreaux 

Par des mollahs devenus bourreaux 

 

 

Hirondelle, j’entends ton émotion La soif de liberté comme passion

Je l’entends, faite de mots persans Autant que de ton sang. 

 

 

Hirondelle j’écoute ta chanson 

Celle qui fait peur aux Maîtres de la prison

Ils ont enfermé comme mort tout un pays

Aussi ont-ils peur de tout ce qui vit ! 

 

 

Ils ont peur de ton apparence  

Car ils dominent par la terreur et la souffrance 

Ils ont peur de ces mots  

Hirondelle parestoo*

 

© Signé Noun 

 

* Ému par l'histoire de la chanteuse iranienne Parestoo arrêtée après un concert virtuel car sans voile, j'ai souhaité écrire et partager ce poème intitulé « Hirondelle parestoo ». Parestoo signifie hirondelle en persan et mon nom d'auteur Noun se traduisant par liberté dans cette même langue.

 

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Pour citer ce poème féministe, inédit & engagé pour la liberté d'expression, l'égalité des sexes & l'élimination des violences faites aux femmes en Iran

 

Noun (de son vrai nom : Jean-Valéry Martineau), « Hirondelle Parestoo », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : HIVER 2025 | NO I « Inspiratrices réelles & fictives », 1er Volet, & Revue Orientales, « Déesses de l'Orient », n°4, volume 1, mis en ligne le 9 janvier 2025. URL :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientalesno4/noi2025/noun-parestoo

 

 

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25 décembre 2024 3 25 /12 /décembre /2024 17:24

N° IV | AUTOMNE 2024 | NUMÉRO SPÉCIAL 2024 | Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) | 1er Volet | Critique & réception | Poésie & littérature pour la jeunesse 

 

 

 

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La Petite-Fille-Aux-Feuilles-Mortes

 

Récit poétique de Lucrèce Luciani

 

paru aux éditions Azoé

 

 

 

 

Critique par

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

© Crédit photo : Illustration photographique utilisée pour la première de couverture de l'ouvrage intitulé « La Petite-Fille-Aux-Feuilles-Mortes » par Edouard Boubat (Paris, Luxembourg, 1947) de l’autrice Lucrèce Luciani aux éditions Azoé.

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Peut-être trouvera-t-on dans l’anagramme de magie « la formule alchimique du trouble qui s’empare de la pensée à chaque fois qu’il s’agit de dire que c’est une image », se demandait Mathieu Bouvier. Et si c’était là, ce « trouble » qui a envoûté Lucrèce Luciani qui, depuis quarante ans est accompagnée par l’une des premières photographies prise par Edouard Boubat La Petite-Fille-Aux-Feuilles-Mortes qu’elle contemple et qui la contemple sur sa table de chevet.

 

© Crédit photo : Première de couverture illustrée du récit poétique « La Petite-Fille-Aux-Feuilles-Mortes » de Lucrèce Luciani aux éditions Azoé.

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Un trouble indéfinissable s’installe dans ce récit poétique où ce sont les feuilles que l’on dit « mortes » qui habillent le corps d’une petite fille saisie de dos dans le Jardin du Luxembourg, cette minuscule passante inconnue focalise pourtant toutes les figures réelles ou irréelles qui habitent l’esprit de l’autrice.

Cette image tout à la fois éphémère et intemporelle, Lucrèce Luciani va la transmuter en lumière, « je demandais à la petite fille de la photo de devenir mon étoile », et ce récit de s’étoiler par la grâce empreinte de mélancolie de l’écriture lumineuse de l’autrice.

Car qui est cette petite fille annoncée dans le conte, où Petite-Aile, née dans la forêt de l’imaginaire de la narratrice, apparaît subitement dans le Jardin du Luxembourg comme par enchantement ?

Elle est photographiée par Edouard Boubat qui tombe sous le charme de cette enfant qui s’est confectionné un manteau de feuilles et qui semble contenir, tout en étant unique, toutes les petites filles de la terre, celles qui hantent encore la mémoire de l’autrice et qui y ont laissé leur trace comme « La petite fille brûlée au napalm ».

De cette petite fille qui « ne bougeait pas d’une feuille », Lucrèce Luciani nous confie «Elle me sort du noir/ moi/ qui ne suis qu’un trou noir/ au milieu de moi.» 

S’ensuit alors une kyrielle de vers incandescents, trempés dans ce feu de Dieu de la luminescence « Elle est ma Cendrillon / dans son carrosse de feuilles / en-lu-mi-nées/ de lumière et de feu. », « elle brasille de sorcellerie / elle explose d’exquise douleur / sous la mise à feu de Poésis. »

 

© Crédit photo : Quatrième de couverture du récit poétique « La Petite-Fille-Aux-Feuilles-Mortes », de Lucrèce Luciani aux éditions Azoé avec la biographie de l’autrice et la présentation du livre.

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Cette Petite-fille-aux-feuilles-mortes renvoie bien évidemment aux feuilles d’écriture que l’autrice couvre d’encre «  Tout est feuille / a dit le poète et / n’est-ce pas mieux que le sempiternel / Tout est poussière ? », se demande-t-elle et de conclure « Il y a de la simplicité/ à être une feuille / d’arbre comme d’écriture, / c’est-à-dire une Protée. » Une « Protée » dont on sait que le nom renvoie aussi bien au Feu divin qui se cache sous les eaux qu’à ses multiples métamorphoses. Cette image comme la figure de Protée ne cesse de se renouveler et de se démultiplier pour renaître entre les lignes de ce recueil qui jamais ne s’effeuille mais bien au contraire se feuillette dans cet infini où se perd, se cherche et se retrouve, l’autrice en quête d’un « doublon », « d’un reflet », «d’un écho » avec lequel elle fusionne « On est le même corps / à deux têtes / On est les mêmes / en soeurs siamoises. » Et de poursuivre « Elle est cette vraie œuvre d’art / qui ne console pas / qui ne distrait pas/ avec du technicolor / et de la musique sans notes. » Cette image se situe dans cet « étant » évoqué par Heidegger, à la fois dans l’être et le non-être, elle y flotte à jamais insaisissable car, écrit Lucrèce Luciani « Je suis la Bête / derrière la Belle / et sans cesse mes yeux / épient une rose / blanche. »

« Rose blanche », on songe à la Divine comédie de Dante qui s’achève sur une rose blanche mystique telle l’unique rose blanche de la Vierge au Buisson de Roses peinte par Schongauer, une rose qui transcende le verbe dans une parole muette.

Nul doute que Lucrèce Luciani nous aura transporté dans cet entre-deux où vie et mort se côtoient jusqu’à se confondre dans un temps suspendu où «…. le regard cloué en elle, la magie a opéré. / La sienne. » Cette « magie » devient la nôtre à cette lecture qui nous octroie de fabuleuses embellies en soulevant sous les feuilles plus vives que mortes, que certains ramassent à la pelle, la magnificence d’images, de métaphores et de réminiscences qui ont partie liée avec l’âme de notre inconscient collectif car l’autrice de nous déclarer qu’il n’y a qu’en « Littérature qu’un être surnaturel, maudit, imaginaire – c’est-à-dire privé d’ombre – peut réellement s’inventer une existence. »

 

© Françoise Urban-Menninger

 

 

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Pour citer ce texte inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « La Petite-Fille-Aux-Feuilles-Mortes. Récit poétique de Lucrèce Luciani paru aux éditions Azoé », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : AUTOMNE 2024 NUMÉRO SPÉCIAL | NO IV | « Les femmes poètes européennes par Lya Berger (1877-1941) », 1er Volet, mis en ligne le 25 décembre 2024. URL :

http://www.pandesmuses.fr/noiv/fum-ll-lapetite

 

 

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