8 mars 2022 2 08 /03 /mars /2022 15:05


Événements poétiques | Stopper la guerre en Ukraine... | Poésie contemporaine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pas de sang sur nos robes

 

 

 

 

 

 

 

Corinne Delarmor

 

Sociétaire des Poètes Français depuis 2022

 

 

 

​​​​​​​​​​​Crédit photo : Alexei Harlamov, "Bouquet of Flowers", commons, domaine public.

 

 

 

 

Veillons à fleurir les sourires

Sur tous les visages féminins,

Amour, union, vie, avenir,

Paix sur la terre, rires enfantins,


 

Respectons cette belle journée,

Sérénité sur notre globe,

Offrons à ce jour le sacré,

La trêve, pas de sang sur nos robes,


 

Cessez-le-feu, ici et là,

Partout où la guerre sévit,

Frères et sœurs, ensemble ici-bas,

Humons le bonheur d’être en vie ! 

 

 

© C. Delarmor

 

 

***

 

Pour citer ce poème politique & philanthropique inédit

 

Corinne Delarmor, « Pas de sang sur nos robes », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événement poépolitique « Stopper la guerre en Ukraine : lettre ouverte des personnes révoltées », mis en ligne le 8 mars 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ukraine/cd-pasdesangsurnosrobes

 

 

 

 

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7 mars 2022 1 07 /03 /mars /2022 19:56

Numéro Spécial | Printemps 2022 | Instant poétique avec...

 

 

 

 

 

 

El tango / Le Tango

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

​​​​Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© ​​​​Crédit photo :  Maggy De Coster,  Casa Borges en Argentine, image no 1.

 

 

 

 

El tango

 

 

 

 

© ​​​​Crédit photo :  Maggy De Coster,  Casa Borges en Argentine, images no 2, no 3 & no 4.

 

 

 

¿Dónde estarán? pregunta la elegía

de quienes ya no son, como si hubiera

una región en que el Ayer, pudiera

ser el Hoy, el Aún, y el Todavía.

 

¿Dónde estará? (repito) el malevaje

que fundó en polvorientos callejones

de tierra o en perdidas poblaciones

la secta del cuchillo y del coraje?

 

¿Dónde estarán aquellos que pasaron,

dejando a la epopeya un episodio,

una fábula al tiempo, y que sin odio,

lucro o pasión de amor se acuchillaron?

 

Los busco en su leyenda, en la postrera

brasa que, a modo de una vaga rosa,

guarda algo de esa chusma valerosa

de Los Corrales y de Balvanera.

 

¿Qué oscuros callejones o qué yermo

del otro mundo habitará la dura

sombra de aquel que era una sombra oscura,

Muraña, ese cuchillo de Palermo?

 

¿Y ese Iberra fatal (de quien los santos

se apiaden) que en un puente de la vía,

mató a su hermano, el Ñato, que debía

más muertes que él, y así igualó los tantos?

 

Una mitología de puñales

lentamente se anula en el olvido;

Una canción de gesta se ha perdido

entre sórdidas noticias policiales.

 

Hay otra brasa, otra candente rosa

de la ceniza que los guarda enteros;

ahí están los soberbios cuchilleros

y el peso de la daga silenciosa.

 

Aunque la daga hostil o esa otra daga,

el tiempo, los perdieron en el fango,

hoy, más allá del tiempo y de la aciaga

muerte, esos muertos viven en el tango.

 

En la música están, en el cordaje

de la terca guitarra trabajosa,

que trama en la milonga venturosa

la fiesta y la inocencia del coraje.

 

Gira en el hueco la amarilla rueda

de caballos y leones, y oigo el eco

de esos tangos de Arolas y de Greco

que yo he visto bailar en la vereda,

 

en un instante que hoy emerge aislado,

sin antes ni después, contra el olvido,

y que tiene el sabor de lo perdido,

de lo perdido y lo recuperado.

 

En los acordes hay antiguas cosas:

el otro patio y la entrevista parra.

(Detrás de las paredes recelosas

el Sur guarda un puñal y una guitarra.)

 

Esa ráfaga, el tango, esa diablura,

los atareados años desafía;

hecho de polvo y tiempo, el hombre dura

menos que la liviana melodía,

 

que solo es tiempo. El Tango crea un turbio

pasado irreal que de algún modo es cierto,

el recuerdo imposible de haber muerto

peleando, en una esquina del suburbio.

 

**

 

 

© ​​​​Crédit photo :  Maggy De Coster,  Casa Borges en Argentine, images no 5, no 6 & no 7.

 

 

 

Le Tango

 

Où seront-ils ? remettre en question l'élégie

de ceux qui ne sont plus, comme s'il y avait

une région où l’Hier, pouvait

être encore l’Aujourd'hui.

 

Où sera-t-il? (Je répète) le malevaje

qui a fondé dans des ruelles poussiéreuses

dans les  terres ou dans les villages perdus

la secte du couteau et de la bravoure?

Où seront ceux qui sont passés,

laissant à l'épopée un épisode,

une fable à la fois, et qui sans haine,

profit ou passion d'amour se sont poignardés?


 

Je les cherche dans leur légende, à la fin

braise qui , comme une rose vague,

sauve une partie de cette brave foule

de Los Corrales et de Balvanera.


 

Quelles ruelles sombres ou quel désert

De l'autre monde abritera

l'ombre dure de celui qui était une ombre sombre,

Muraña, ce couteau de Palerme?


 

Et cette fatale Iberra (dont les saints

s’apitoient) qui sur un pont de la route,

a tué son frère, el Ñato, qui a dû être

un mort de plus à l’égal des autres ?


 

Une mythologie poignante

disparaît lentement dans l'oubli;

Une chanson de geste s’est perdue

parmi de sordides nouvelles policières.


 

Il y a une autre braise, une autre rose rouge

de la cendre qui les garde intacts;

il y a les fiers couteliers

et le poids du poignard silencieux.


 

Bien que le poignard hostile ou cet autre poignard,

le temps, les ait enterrés dans la boue,

aujourd'hui, au-delà du temps et de leur funeste

destin, ces morts vivent dans le tango.


 

En musique ils sont, dans le cordage

de la guitare obstinée et laborieuse,

qui se trame dans la milonga aventureuse

la fête et l'innocence du courage.

 

La roue jaune tourne dans le trou

Des chevaux et des lions, et j'entends l'écho

de ces tangos d’Arolas et de Greco

que j'ai vu danser sur le trottoir,


 

dans un instant isolé qui émerge aujourd'hui,

sans avant ni après, contre l'oubli,

et qui a le goût du perdu,

du perdu et du retrouvé.


 

Dans les accords, il y a de vieilles choses:

la vigne de l’autre patio entrevue.

(Derrière les murs suspects

le Sud garde un poignard et une guitare.)

 

Cette rafale, le tango, cette diablerie,

Défie les années trépidantes ; 

fait de poussière et de temps, l'homme dure

moins que la légère mélodie,

 

qui n'est que temps. Le Tango crée un passé un trouble

irréel qui est en quelque sorte vrai,

le souvenir impossible d’être mort

en luttant dans un coin de la banlieue.

 

 

 

Jorge Luis BORGES, traduit de l’espagnol argentin par Maggy DE COSTER

 

 

© M. DE COSTER.

Nous publions ce poème avec l'aimable autorisation de la traductrice et de sa maison d'édition.

 

 

***

 

Pour citer ce poème bilingue 

 

Maggy De Coster (traduction en français de l’espagnol argentin par), « El tango / Le Tango », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Numéro Spécial | Printemps 2022 « L'humour au féminin » sous la direction de Françoise Urban-Menningermis en ligne le 7 mars 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ns2022/mdc-tango

 

 

 

 

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3 mars 2022 4 03 /03 /mars /2022 12:04


Événements poétiques | Recueil numérique du festival « Le Printemps des Poètes » | Poésie contemporaine 

 

 

 

 

 

 

 

Dans la marge d’un horizon ébouriffé

 

(extraits)

 

 

 

 

 

 

Martine L Jacquot

 

 

 

 

Crédit photo : Mimosa Pudica, image Wikimedia, Commons, domaine public. 

 

 


 

Cette voix venue d’un temps pas si lointain et d’un autre espace presque connu, qui joue en boucle, remplace l’écho qui s’est tu. Cette voix qui cherche des réponses d’horizon en horizon. De mur du son en mur du son. Et moi, j’écris sur les pétales des églantiers le vide et le trop-plein. J’écris sur l’effilochage des nuages gorgés d’eau. J’aurais dû compter les tentacules d’argent de l’astre d’hiver alors qu’il faisait encore scintiller les cristaux de givre. J’aurais dû.

 

***

 

Je suis le dernier fantôme à hanter les lieux. Tout s’est dissipé dans les brumes d’automne, pluies d’été, tornades de poudreuse et parfums éventés de renouveaux oubliés. Tous s’en sont allés vers d’autres demeures éphémères qui protègent mal des intempéries. Espaces de rêves incommensurables. Ainsi errent les loups solitaires entre les doigts verts des forêts et des prairies ondoyantes. Les draps transparents qui m’habillent battent dans le ruissellement de la pluie et la mémoire des pierres. 

 

***

 

Nos aubes se ressemblent-elles ou s’agit-il simplement d’un parfum fluvial qui s’amuse à nous enivrer? Les cailloux semés sur le chemin se sont accumulés au bas de la côte et s’amoncellent un peu plus à chaque déluge. Tant de larmes ont été versées, tant d’adieux murmurés. Tout cela pour un envol aux lourds sabots aveuglés par des joies sidérales. Parce que l’amour est un leurre qui jamais n’ôte son masque. 

 

***

 

Quand le désespoir dans un grand fracas s’enroule autour des doigts et que le souvenir de visages et d’instants menace de s’estomper, c’est là que j’ai envie de rôder comme une louve. D’arpenter des immensités jusqu’aux confins du cosmos. Comme si les étoiles allaient se mettre à tinter, chœur de la nuit, beauté séraphique enfin non trompeuse sur les lèvres d’un gouffre. 

 

***

 

Rayon de lune ou volcan assoupi, cette lueur tremblotante sur le fil de l’horizon. Au loin, une barque est prise dans les glaces de l’indifférence et mon pouls cherche à reprendre son souffle. J’oublie le grain glacé sur les galets quand le couchant se drape de rouge. Je suis une lettre oubliée au fond d’un sac postal, datée du siècle dernier. Pourtant, tous continuent de cheminer sur une planète qui fait le dos rond. 

 

***

 

En équilibre sur la lisière de la réalité, j’écoute quelques arpèges qui épousent le rythme du vent. Mieux vaut effacer certaines traces de mémoire quand la figure de proue n’est plus que givre sur une ligne d’horizon hypnotisante. Qu’emporte-t-on dans le voyage que l’on voudrait sans retour? À tire d’ailes par-delà les châteaux de cartes, puisqu’il faudra bien vivre la fin du monde loin les uns des autres.

 

 

***

 

© M. L Jacquot

 

***

 

Pour citer ces poèmes en prose 

 

Martine L Jacquot, « Dans la marge d’un horizon ébouriffé (extraits) », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événement poétique / Festival Le Printemps des Poètes Mars 2022 | «  L'éphémère aux féminin, masculin & autre », Recueil collectif des périodiques féministes de l'association SIÉFÉGP, mis en ligne le 3 mars 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ephemere/mlj-horizonebouriffe

 

 

 

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LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans RECUEIL NO5 Nature en poésie Muses et féminins en poésie
2 mars 2022 3 02 /03 /mars /2022 14:50

REVUE ORIENTALES (O) | N° 2-1 | Créations poétiques 

 

 

 

​​​​​

 

 

 

 

 

Les bijoux d'Amanishakéto

 

Flaubert et Nerval : 

 

le cœur à l’égyptienne

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

​​​​Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

 

​​​​​​​​​​​Crédit photo : Maler der Grabkammer des Nefferronpet, comnons, domaine public. 

 

 

Les bijoux d'Amanishakéto

 

 

La riche, puissante et célèbre Candace Amanishakéto 

Reine de Koush bravant la garnison romaine d’Auguste

Dans sa pyramide dormait du sommeil éternel à Méroé

L’antique cité nubienne

Avec ses précieux bijoux 

 

 

 

Et un beau jour survinrent des pillards

Emportant de la souveraine l’immense trésor

Qui allait de Nubie en Bavière voyager

Pour enfin tomber dans l’escarcelle de Louis Ier de Bavière

Ainsi vont les joyaux de royaume en royaume.

 

 

 

 

Flaubert et Nerval : le cœur à l’égyptienne

 

 

 

 

Flaubert marchait dans les pas des célèbres reines candaces

Et assouvissait ses « besoins d’orgies poétiques »

En découvrant les temples nubiens 

Érigés pour certains par des souveraines guerrières

 

Je le vois les yeux ébahis 

Devant les chameaux pénitents agenouillés au marché

Adressant une prière de délivrance au dieu Râ

Tandis que des cargaisons vivrières tanguaient sur le Nil bleu

 

Je le vois déposer une offrande

Devant l’hypostyle du temple d’Horus

Et devisant avec des femmes en tenue d’époque

 

Admiratif de la culture nubienne 

Il ne se refuserait guère à déguster un savoureux thé au lait

Dans lequel baigneraient généreusement quelques pignons 

À l’invitation des hôtesse des belles demeures typiques

À motifs géométriques

 

Nerval « le Ténébreux, – le Veuf, – l’Inconsolé,

  Le Prince d’Aquitaine à la Tour aboli »

Par son Voyage en Orient1

Aurait-il retrouvé la joie de vivre en prenant place 

Dans la barque d’Horus pour les routes du ciel ?


 

 

© M. DE COSTER

 

Note

 

1. Voyage en orient, Gérard de Nerval, 1851.

 

____

 

 

Pour citer ces deux poèmes inédits 

 

Maggy De Coster, « Les bijoux d'Amanishakéto » & « Flaubert et Nerval : le cœur à l’égyptienne », Revue Orientales, « Les voyageuses & leurs voyages réels & fictifs », n°2, volume 1, mis en ligne le 2 mars 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/orientales/no2/mdg-bijoux

 

 

 

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2 mars 2022 3 02 /03 /mars /2022 08:17


Événements poétiques | Stopper la guerre en Ukraine... & Numéro Spécial | Printemps 2022 | Revue poépolitique | Catastrophes & faits divers | S'indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages

 

 

 

 

 

 

 

 

 

la chair vive du monde

 

 

 

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

Crédit photo :  Lina Kostenko, image libre de droits.

 

 

Le poème "la chair vive du monde" réunit dans un seul cri les voix de trois poétesses (les Russes Anna Akhmatova, Marina Tsvetaïeva et l'Ukrainienne Lina Kostenko)


 


 

 

 

toute guerre est une plaie ouverte

dans la chair vive du monde

toute goutte de sang inutilement versée

est une atteinte à notre intégrité

et viole notre humanité


 

relisons Requiem d'Anna Akhmatova

qui évoque son indicible douleur de mère

lors de ses visites à son fils emprisonné à Leningrad

relisons les poèmes bouleversants de Marina Tsvetaïeva

qui durant la guerre civile dut abandonner sa fille Irina


 

relisons aussi et surtout aujourd'hui Lina Kostenko

dont le recueil L'intégrale des étoiles

fut rejeté par la censure

redécouvrons avec elle

Le voyage du cœur


 

Sacrée Écrivain d'or de l'Ukraine

Lina Kostenko nous fait signe

redonnons-lui de la voix

ainsi qu'à toutes celles et ceux

pour qui la poésie


 

est un cri qui transcende par l'esprit

la guerre et sa folie

accordons nos âmes

pour réorchestrer au nom de notre liberté

la musique du monde


 

 

© F. Urban-Menninger.

 

***

 

Pour citer ce poème féministe, politique & philanthropique inédit

 

Françoise Urban-Menninger, « la chair vive du monde », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Numéro Spécial | Printemps 2022 « L'humour au féminin » sous la direction de Françoise Urban-Menninger & Événement poépolitique « Stopper la guerre en Ukraine : lettre ouverte des personnes révoltées »mis en ligne le 2 mars 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/ns2022/fum-lachairvivedumonde

 

 

 

 

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