26 août 2022 5 26 /08 /août /2022 17:50

N°12 | Poémusique des Femmes & Genre | Critique & Réception | Astres & animaux

​​​​​

 

 

 

 

 

 

Anne-Lise Blanchard

 

Qui entend le jargon de l’oie

 

Éclats d’encres, 2006, 47 pages, 12€

 

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

​​​​​

 

Crédit photo : Marie Petiet (ou Marie Du jardin Beaumetz, 1854–1893), Jeune fille aux oies, Wikimedia.

 ​​​​​​​

 

 

C’est le culte des saisons qui rythme le cycle de la vie.  Ainsi Anne-Lise Blanchard nous décrit chacune d’elles avec ses particularités, ses contrastes comme la « Lumière incertaine » de l’automne où un : « Très haut un vol d’oies » semble parler à  sa solitude  quand « le silence crépite ». Bel oxymore.  La présence des animaux de tous genres est  récurrente dans la poésie d’Anne-Lise Blanchard : animaux domestiques, symboles de fidélité et d'affection, animaux volants, symboles de liberté, les mouettes,  le merle, les grues ;  les poissons symboles de bonheur, n’est-ce pas qu’on dit : heureux comme un poisson dans l’eau ? Bref, la symbolique des êtres est très présente chez elle car :

 

« les mouettes dérivent vers la mer » en ce  « Temps ouaté de l’hiver »

où :

«  une grue blanche interroge

terre et ciel confondus ».

 

Comprendre le langage des oiseaux c’est se mettre à l’écoute de la nature aussi s’écrie-t-elle :

 

«  Qui entend le jargon de l’oie »

On a tant à apprendre de la nature par le biais de ses créatures ailées :

«  Céder au sourire

qui affleure de l’endormi

don de la mésange » 

 

La  vie nous offre de ces césures enchantées dont il faut profiter à tout jamais car on ne sait jamais de quoi sera fait demain : 

 

« Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :
Cueillez dès aujourd’huy les roses de la vie. »

 

 

Crédit photo : Des oies flamandes, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

En corollaire à cette pensée épicurienne, Anne-Lise Blanchard nous enseigne :

 

«  À l’abreuvoir des oiseaux 

faire sienne les courbes 

de la parenthèse de demain »

 

Mais que dire de ces :

 

« Choses tues de l’hiver

que les oies sauvages dispersent

préparant le printemps »

 

Ou de :

« Ces grues qui font halte

dans l’épais de la boue »

 

Elle revient toujours à l’enfance comme une rengaine ou une douce ritournelle  pour nous apprendre que :

 

«  Le rire de l’oiseau

À l’oblique des murs gris

Surprend en nous l’enfance » 

 

 

© Maggy DE COSTER

 

***

 

Pour citer ce billet inédit​​​​​​

 

Maggy De Coster, « Anne-Lise Blanchard, Qui entend le jargon de l’oie, Éclats d’encres, 2006, 47 pages, 12€ »Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre » mis en ligne le 26 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/mdc-blanchard-jargondeloie

 

 

 

 

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19 juin 2021 6 19 /06 /juin /2021 17:58

 

REVUE MDV | N°1 Célébration | Ré (Réceptions) 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marceline Desbordes-Valmore

 

 

témoin de son temps

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

​​​​Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© ​​​​​Crédit photo : Capture de l'Image présente dans les œuvres complètes de Marceline Desbordes-Valmore de 1931, image réalisée par DS.

​​​​

 

 

 

Honorée par Verlaine qui l’a découverte par la grâce de Rimbaud, vénérée par Baudelaire, saluée par Mallarmé, Aragon et bien d’autres pour l’essence de son écriture poétique, Marceline Desbordes-Valmore n’a pas fini d’enchanter les amoureux des Belles Lettres d’hier et d’aujourd’hui.

 

D’elle on connaît la mère pleurant de douleur la perte de ses trois enfants et noyant son chagrin dans la composition des vers poignants et aussi la femme délaissée qui espère en vain le retour de l’être aimé. Mais on connaît moins bien la femme de cœur qui fut la seule à immortaliser en poésie La Révolte des Canuts à Lyon en 1834.

Elle est bien celle qui a vu « le plomb déchirer et séparer les corps ». Témoin oculaire des atrocités de son temps, elle consigne son témoignage dans ce poème :

 

 

Dans la rue par un jour funèbre de Lyon

 

 

La femme.

Nous N'avons Plus D'argent Pour Enterrer Nos Morts.

Le prêtre est là, marquant le prix des funérailles ;

Et les corps étendus, troués par les mitrailles,

Attendent un linceul, une croix, un remords.

 

Le meurtre se fait roi. Le vainqueur siffle et passe.

Où va-t-il ? Au Trésor, toucher le prix du sang.

Il en a bien versé.. mais sa main n'est pas lasse ;

Elle a, sans le combattre, égorgé le passant.

 

Dieu l'a vu. Dieu cueillait comme des fleurs froissées

Les femmes, les enfants qui s'envolaient aux cieux.

Les hommes.. les voilà dans le sang jusqu'aux yeux.

L'air n'a pu balayer tant d'âmes courroucées.

 

Elles ne veulent pas quitter leurs membres morts.

Le prêtre est là, marquant le prix des funérailles ;

Et les corps étendus, troués par les mitrailles,

Attendent un linceul, une croix, un remords.

 

Les vivants n'osent plus se hasarder à vivre.

Sentinelle soldée, au milieu du chemin,

La mort est un soldat qui vise et qui délivre

Le témoin révolté qui parlerait demain..

Des femmes.

Prenons nos rubans noirs, pleurons toutes nos larmes ;

On nous a défendu d'emporter nos meurtris :

Ils n'ont fait qu'un monceau de leurs pâles débris :

Dieu ! bénissez-les tous ; ils étaient tous sans armes !

 

 

Marceline Desbordes-Valmore (1786- 1859).

Lyon, 4 avril 1834, (Œuvres poétiques).

 

 

Pour citer ce témoignage 

 

Maggy de Coster, « Marceline Desbordes-Valmore témoin de son temps », texte inéditMarceline Desbordes-Valmore|Revue annuelle, internationale, multilingue & poéféministe (poefeminist)« Célébration », n°1, volet 2, mis en ligne le 19 juin 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/mdv/no1/mdc-temoindesontemps

 

 

 

 

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Retour à la Table de Megalesia 2021 

 

Retour au N°1 

1 mai 2021 6 01 /05 /mai /2021 09:31

 

Événements poétiques | Megalesia 2021 | Poésies printanières & colorées | Articles & témoignages 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le muguet, porte-bonheur 

 

du 1er mai

 

 

 

 

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

Photographie par

 

Claude Menninger

 

 

 

 

© Crédit photo : Claude Menninger, "Brin de muguet", photographie prise par dans le jardin des auteurs,  image fournie par l'auteure. 

 

 

 

 

Cette fleur qui annonce le retour des beaux jours avait déjà obtenu la faveur des Celtes qui accordaient de nombreuses vertus au muguet appelé également « lys des vallées ». Au Moyen Âge, lors des « accordailles », il n'était pas rare d'accrocher sur les portes des fiancés, des bouquets de muguets, gages de future félicité.

Cette plante odorante originaire du Japon avait à tel point fasciné Charles IX qu'il fut le premier en 1561 à en offrir aux dames de la Cour, une tradition qui se répandit dans tout le royaume... C'est aussi à cette époque que l'on instaura les fameux « bals du muguet » où des jeunes filles en robe d'une blancheur immaculée dansaient avec des cavaliers arborant un brin de muguet à la boutonnière !

 

 

Mais ce n'est qu'en 1976 que le muguet fut véritablement associé au 1er mai, date à laquelle on fête également le Travail depuis 1889 suite à la grande grève lancée à Chicago en 1886 pour revendiquer la journée des 8 heures. Dans un premier temps, le congrès de l'Internationale socialiste, prôna le port d'un triangle rouge, puis celui de la fleur d'églantine en 1891. En France, c'est le régime de Vichy qui accorda officiellement ce jour férié et remit au goût du jour le brin de muguet. 

Les couturiers ont également été inspirés par cette fleur délicate et Dior en a même fait l'emblème de sa maison !

En Alsace, la ville de Neuf-Brisach organise depuis plus de cinquante ans sa  traditionnelle fête du muguet  en intronisant sa reine et ses deux dauphines qui paradent sur un char fleuri lors du cortège qui traverse les rues pavoisées de la ville chaque 1er mai.

Hélas, cette année encore, cette célébration n'aura pas lieu mais chacun pourra humer le doux parfum du muguet en lisant les poètes !

 

 

 

le jour du muguet

nous allions en forêt

dans le plus grand secret

 

 

les blanches clochettes  

enfouissaient leur tête

dans leur verte cachette

 

 

et chaque brin de senteur 

faisait tinter dans notre coeur

sa petite note de bonheur

 

 

 

***

 

 

Pour citer ces texte & poème printaniers & colorés sur l'histoire du muguet

 

Françoise Urban-Menninger, « Le muguet, porte-bonheur du 1er mai » témoignage & poème inédits illustrés par une photographie inédite par Claude Menninger, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événement poétique|Megalesia 2021/I « Poésies printanières & colorées », mis en ligne le 1er  mai 2021. Url : 

http://www.pandesmuses.fr/megalesia21/fum-lemuguet

 

 

 

 

 

Mise en page par David Simon

 

 

 

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Retour à la Table de Megalesia 2021 

19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 10:02

 

Lettre n°15  | Eaux oniriques... | Textes poétiques thématiques

 

 

 

 

 

Ah, revoir la Niagara !

 

 

(haïkus)

​​

 

 

Chantal Robillard

 

 

Crédit photo : "Niagara Falls", winter 1911", Commons,Wikimedia. 

 

 




 

Au bord de la rivière,

Je prends les embruns

Dans cheveux et figure.


 

Penchée sur parapet,

Je vois la roche

Claire en long plancher sous l’eau,


 

Qui soudain se crevasse

En fer à cheval,

D’immense largeur ouvrée,


 

Qui chute, chute, chute,

Dans un grand fracas

Cinquante mètres plus bas.


 

Un brouillard monte du fond.

Brume d’écume,

Rugissant, nous pleut dessus,


 

Tandis qu’un bien frêle esquif

Fend

Droit

Les

Flots

Dans

La 

raie 

d’un

arc 

en 

ciel 

bis




 

Qui double l’arc lumineux,

Jaune et bleu épais

Créant pont sur l’abîme.


 

Tombe ici la Niagara,

Des nues, de haut, du plateau,

De l’Érié vers l’Ontario.


 

Ou de Charybde en Scylla ?

De sauvagerie,

En 

Tout

Cas,

Oui,

C’est

Bien 

Sûr.


 

Ah, la reverrai-je un jour,

Belle Niagara

Dont la beauté m'a saisie ?



 

 

©CR

 

***

 

Pour citer ces poèmes

 

 

Chantal Robillard« Ah, revoir la Niagara ! (haïkus) », poèmes  inédits, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Lettre n° 15 « Eaux oniriques : mers/mères », mis en ligne le 19 janvier 2021. Url : http://www.pandesmuses.fr/lettre15/cr-revoirlaniagara

 

 

 

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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 08:00

 

Critique & réception

 

Dans l’ombre de la Lune  

 


 

Camille Aubaude

 

    

   

 

Mon ombre épaisse et lente Prochaine image

© Crédit photo : Couverture illustrée par Joëlle Ginoux-Duvivier

 

 

 

 

    Clochelune est-elle une simple poétesse ? Non, c’est la nuit qu’il faut lire les textes et découvrir l’époustouflante destinée de Juliette Schweisguth, dite Clochelune (1973-2011), dont les haïkus viennent d’être édités par une excellente petite maison d’édition dont la librairie-galerie se trouve 25 rue du Sommerard, près de Cluny et la Sorbonne, à Paris. Les éditions Pippa publient des textes de qualité, hors des réseaux et circuits plombés par la tyrannie du n’importe quoi.

 

    La préface de Thierry Cazals rappelle l’essentiel : « Eteignez votre télévision, débranchez votre téléphone, asseyez-vous dans un hamac face à la mer ou sur un tabouret […] : vous allez lire les haïkus d’une poétesse française trop tôt disparue […] venue au monde le 13 mai 1973 » et décédée le 22 juillet 2011, suivant « le chemin que chacun devra, tôt ou tard, emprunter : le face à face avec sa propre disparition ». « Fraîcheur », « empathie » et « révolte » sont les notions emblématiques de la poésie de Clochelune. Motifs familiers, certes, mais la technique littéraire qui transmet la pureté de cette voix déjà dévorée d’ombre est exceptionnelle. La « coquille » des haïkus a la simplicité des objets qui franchissent le temps :

 

 

dans mon coin breton

on vient me lécher les pieds :

la mer ou mon chat ?

 

le thé vert infuse

suivre un vol de papillon

retirer les feuilles

 

Clochelune recourt à cette forme connue dans le monde entier avec une exquise connaissance de l’art poétique japonais, préservant son mystère en lui donnant une douce raison***. Thierry Cazals souligne que Clochelune s’est extraite « de l’hypocrisie générale », pour retrouver un véritable état « de limpidité » : « Écrire, dit-elle, ce premier recueil de haïkus pour trouver ma coquille, faire naître ce double, Clochelune, et bercer l’enfant qui crie en moi, cette Clochelune que j’aide à naître… ».

 

 

    Le sens secret de ce personnage fictif qui a mué dans l’écriture, Clochelune, reste celé à jamais. Avant d’adopter ce nom de plume@, Juliette Schweisguth s’est voulue « Papillombre », néologisme inspiré par Lewis Carroll, sur qui elle avait commencé une thèse. Des moyens stylistiques très subtils l’éloignent des « fausses idoles ». Il faut citer encore une de ses phrases si justes, de la même tenue que les grands poètes japonais, russes, et de tous les pays, qui se rejoignent sans fausseté : « Ce monde-ci n’est pas le monde du cœur, le monde qui bat en chaque être humain (mais l’humain n’est sans doute pas accordé à son propre battement intérieur) ».

 


    Pour approcher l’insaisissable Clochelune, qui excelle à poser des fractions — fractions de l’origine, entre Terre et Ciel —, coupes dont on devine la racine, voici un de mes haïkus préférés, dû à une courtisane japonaise du XVIIIe siècle : « Le croassement des crapauds dans les champs inondé par les eaux claires : je vis en pensant jour et nuit à la lune qui, infidèle, flotte de champs en champs » (Hanaogi IV).

 

 

 

*** Pour une introduction précise à l’art du haïku, je renvoie à la préface d’Éva Doucet du recueil de haïkus La Lune aux rayons brisés, de la poétesse japonaise Satoko Tamura, que j’ai adaptés en français et publié dans la collection de poésie, « La maison des pages », éd. Publibook, 1999.

 

 

Voir aussiJuliette Schweisguth, dite Clochelune, Mon ombre épaisse et lente, Préf. Thierry Cazals et Christophe Caulier aux éditions Pippa, 2013

 

   

Pour citer ce texte

Camille Aubaude, « Dans l’ombre de la Lune », Le Pan poétique des muses|Revue internationale de poésie entre théories & pratiques : Lettre n°4 [En ligne], mis en ligne le 23 octobre 2013.  

Url. http://www.pandesmuses.fr/article-ombre-lune-120675786.html/Url.http://0z.fr/e7AKr

 

 

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