17 mai 2017 3 17 /05 /mai /2017 07:39

 

Dossier mineur | Textes poétiques

 

 

 

À regarder passer le temps

 

 

 

& Partance

 

 

 

Maggy de Coster

Site personnel : www.maggydecoster.fr/

Site du Manoir des Poètes : www.lemanoirdespoetes.fr/

 

 

 

 

Le premier poème est un extrait reproduit avec l'aimable autorisation

de l'auteure, de l'éditeur/éditrice de l'anthologie

"Terre de Femmes" et des éditions Bruno Doucey

 

 

 

À regarder passer le temps

 

 

Ce poème a été publié (sans le titre) dans l’anthologie « Terre de Femmes », Éditions Bruno Doucey en 2010

 

 

 

Je vois passer le temps

Comme une traînée de chiens sans museaux

Le temps c'est une meute de désespoirs

Qui s'engueulent dans les volutes des printemps perdus

Et qui s'enchevêtrent dans l'entrebâillement du vide

Le temps c'est la connerie du présent

Qui chantonne à double voix

À l'opéra des myriades d'oiseaux

Qui ont perdu leur nid

Et qui s'enfoncent dans la profondeur

Des jours sans vergogne

Le temps c'est la lumière grisâtre

Qui s'éteint quand l'âne braie

Dans la prairie des insolences

De l'espérance chavirée

Avec son sac en bandoulière

C'est un vieux chiffon qui moisit

Dans la liqueur forte des passés lointains

C'est le rouge-gorge qui dit merde à la nature

 

 

***

 

© Crédit photo : illustration sans titre fournie par Maggy de Coster

 

 

 

Ce poème est un extrait en avant-première de l'ouvrage inédit « Déclinaison du verbe »

 

Partance

 

 

C’est un lent adieu à la vie

Une partance sur un long chemin

Qui se déploie comme la laine

À filer au jour le jour

Avant le glas des saisons

 

 

Ton monde s’effiloche

Et les mots se raréfient

Voici que le soleil déserte ton ciel

laissant cafouiller tes idées

et s’entrechoquer dans ton cerveau

Combien d’années s’écouleront-elles encore

Sur les paliers assombris de ton existence ?

 

***

 

Pour citer ces poèmes

 


Maggy de Coster (poèmes et illustration), « À regarder passer le temps » & « Partance », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 17 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/partance.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
14 mai 2017 7 14 /05 /mai /2017 13:47

 

 

N°6 | S'indigner, soutenir, hommages, lettres ouvertes

 

 

 

Charlie Hebdo

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

 

 

© Crédit photo : Couverture du 10 mai 2017 du journal Charlie Hebdo,

image prise et fournie par Françoise Urban-Menninger

 

 

 

Charlie Hebdo

aujourd'hui j'ai envie de te faire manger ton chapeau !

 

Hier j'ai été Charlie

aujourd'hui je te honnis…


 

Tu as repris le mythe ridicule de la cougar

qui fait de toi le dernier des couards


 

Aussi j'appelle toutes les femmes

à dénoncer ton dessin infâme


 

qui signe ta pleutrerie

et ton manque d'esprit


 

J'ai cru naïvement que tu défendais la liberté

mais ton dessin n'illustre que ta médiocrité


 

Charlie Hebdo

le propos est clos


 

Je te tourne définitivement le dos !

 

Poème inédit du 13 mai 2017

 

 

***

 

Pour citer ce poème

 


Françoise Urban-Menninger (poème et photographie), « Charlie Hebdo », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 14 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/charlie-hebdo.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
14 mai 2017 7 14 /05 /mai /2017 10:32

 

N°6 | S'indigner, soutenir, hommages, lettres ouvertes

 

 

 

 

Chna n Nabila (Djehnine)

 

 

le chant de Nabila

 

 

(Hommage à Nabila)

 

 

Mhamed Hassani

 

 

Ce poème extrait est reproduit avec l'aimable autorisation

de l'auteur et des éditions SEFRABER

 

 

 

© Crédit photo : Nabila Djehnine, image fournie par Mhamed Hassani

 

 

Ce poème, écrit en hommage à Nabila Djehnine militante féministe assassinée par les terroristes intégristes en Kabylie Algérie en 1995, est extrait de Divagations (prosèmes) de Mhamed Hassani, édité chez les éditions SEFRABER en 2014.

 

 

Chna n Nabila (Djehnine)

 


 

 

A sefru ur sujedegh

Amek ara a-t e arugh

Mi d sawlen I mdukal

Ad ddugh ad iligh

Gar-asen ad inigh

T’iyita ye qazen lbal

Cna n Nabila chfigh

Ye rza_yi ur shigh

A menugh-is d a kemal


 

Nabila g TOBER36

Chfan-as I berdan

Ete tt sughu af TILLELI

Ur et’ugad I maafan

S u debuz d cnawi

I-d tt alin I zerfan !

 

le chant de Nabila  (Hommage à Nabila)


 

 

Poème improvisé

Comment le transcrire

À l’appel des camarades ?

Parmi eux je serais

Faut y aller et dire

Ces coups qui réveillent les consciences !

Du chant de Nabila je me souviens

C’est mon chant je ne peux l’oublier

Son combat est continu


 

Nabila en Octobre

Les rues s’en Souviennent

Elle manifestait pour nos droits

Sans crainte des char-ognards !

À coups de poings et de chants

S’arrachent les droits !


 


 

Nabila g IBRIL

Cfann-as I berdan

Ete tt sughu af I zerfan

Ur et’ugad I maafan

S u debuz d cnawi

Ay ghellin I fergan !


 

Nabila n ussan a

D kunwi i-d y’usan

Te tt suqhum af tilleli

Te tt suqhum af I zerfan

Ur t’ugadem I maafan

S u debuz d cnawi

Ay fettin I zerfan


 

Nabila g t’udert is

D ta jedjigt ye sfeth’en

Ee nqhan-tt I maafan

T’ugra-d ta rgit is

A-tt cenun I lemzîyen :


 

S u debuz d cnawi

I-d tt alin I zerfan

S u debuz d cnawi

I ee ghellin I fergan

S u debuz d cnawi

I fettin I zerfan !


 

Nabila en avril

Les rues s’en souviennent

Elle manifestait pour les droits

Sans crainte des char-ognards !

À coup de poings et de chants

Se rompent les barrières !


 

Nabila d’aujourd’hui

C’est vous qui êtes venus

Manifester pour vos libertés

Manifester pour vos droits

Sans crainte des char-ognards !

À coup de poings et de chants

Se conjuguent nos droits


 

Nabila en vie

Fleur épanouie

Les charognards l’ont tuée

Il ne reste que son rêve

Que nos jeunes chanteront


 

À coups de poings et de chants

S’arrachent les droits

À coups de poings et de chants

Se rompent les barrières

À coups de poings et de chants

Se conjuguent nos droits

 

***

 

Pour citer ce poème

 


Mhamed Hassani (poème et photographie), « Chna n Nabila (Djehnine), le chant de Nabila  (Hommage à Nabila) », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 14 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/djehnine.html

 

 

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Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
12 mai 2017 5 12 /05 /mai /2017 10:15

 

N°6 | Sourires & rires féministes

 

Nouvelle rubrique dédiée aux

 

poésies caricaturale, humoristique et satirique

 

 

 

Toi en moi

 

 

 

Laure Delaunay

 

Site officiel : https://lauredelaunay.com/

 

 

Illustration de

 

Gordan Ćosić

 

Toi en moi

 

© Crédit photo : Gordan Ćosić, Rosa.

 

 

 

Ton pied dans ma chaussette.

Ton bras dans mon pull.

Ta jambe dans mon pantalon.

Ta boucle dans le trou de mes oreilles.

Ton fil dans la perle de mon collier.

Ton couteau dans mon fromage.

Ton jambon dans mon sandwich.

Ton clocher dans mon ciel.

Tes oreilles dans mon bonnet.

Ton cou dans mon écharpe.

Ton parfum dans mon flacon.

Ton eau dans ma bouteille.

Ton vin dans mon verre.

Ta main dans le fourreau de ma marionnette.

Ton stylo sur mon papier.

Ta lettre rêvée dans ma boite aux lettres.

Ton livre sur ma table.

Ton bébé dans mes bras.

Ton histoire dans mes images.

Ta vie dans ma tête, dans les moindres détails.

Tes pensées dans mes pensées.

Ton tympan dans ma cloche.

Tes fleurs dans ma jardinière.

Ton bus dans ma rue.

Ton métro dans mon tunnel évidemment…

Ton avion dans mon aéroport.

Ton moteur dans ma voiture.

Ton appareil électrique dans ma prise et ton ampoule dans ma lampe.

 

Tes cheveux entre mes doigts.

Tes yeux dans les miens.

Ta langue dans ma bouche.

Ton corps dans mon corps.

 

Ton doigt dans mon anneau.

Ton serment dans mon cœur.

Ton théâtre dans mon théâtre.

Ton pays dans mon pays.

Tes lectures dans mes rêveries.

Ta musique dans mon ordinateur.

 

 

 

Ta chapelle dans mon livre d’art, mais pas n’importe laquelle. Une chapelle très précisément italienne.

 

Un papier de toi accroché à mon mur (affiche, carte postale, quelque œuvre délicate, avec ou sans couleurs joyeuses, j’aime aussi le violet, le sombre, le vert bouteille, le gris, le bleu nuit, le bleu roi – n’oublie pas les étoiles – l’argenté, le velours – un papier, ça se touche avec délice, même si c’est un peu intouchable).

 

Ta bible dans mon étagère. Mais pas n’importe laquelle. Un truc simplifié, pour enfants. Bayard Presse.

 

Ton Coran dans mon étagère. Mais là, un truc très complexe et très poétique, qui parle des roses, du désert, de la nuit, du rythme du cœur et de rien d’autre.

 

Tes pensées dans mes images. Pas toutes, mais les plus importantes. Celles qui sont cardinales. Après, on se débrouille.

 

Mes pensées… légères ! Autonomes. Pas toutes. Celles qui sont cardinales (exemple, l’amour des enfants, la nécessité de préserver le plaisir à tous prix et la frugalité en matière de dépenses). Après, on se débrouille.

 

On tisse, on tisse ensemble.

 

Une bataille, un dialogue pour le choix des prénoms.

C’est important le prénom. On le garde toute la vie. C’est important. Qu’on le garde ou que l’on ne le garde pas, en fait, on le garde. C’est important.

 

Ton prénom dans mon poème.

Mon prénom au bas de la lettre que je t’ai écrite. Initiale L.

 

Tu sais « les cheveux de Laure étaient à l’aura sparsi »…

 

Les vers de ton poète dans ma mémoire. Pas tous, non, quelques-uns. On ne les retient pas tous. Ça ne sert pas à grand-chose de les retenir tous. Ce qui compte, c’est vibrer. Après, il y a la mémoire de l’écrit. Ça existe ça. Ça s’enracine dans le corps. Au fond.

 

L. comme Love aussi qui est tout ce dont on a besoin.

 

À Laure.

Alors.

 

Alors tu es sûr ?

Un peu de sexe aussi, juste pour se faire plaisir.

Des draps propres.

Des petites loupiotes.

Un peu de vin.

Un peu de poésie et peut-être même beaucoup. Mais pas trop. Juste ce qu’il faut. Pour se faire du bien.

Quelques pensées bien construites. Mais pas trop. Ni pas assez. Juste ce qu’il faut.

De la musique, oui. De la musique. La musique du jour, beaucoup. La musique de la nuit, un peu.

Du temps, mais pas trop.

 

Toute la douceur et toutes les hésitations de ta voix. Ton dos courbé et concentré.

Et surtout, surtout, surtout, de la gentillesse et de la douceur. De la confiance.

 

Une poésie claire.

 

Aucune vulgarité.

 

Tes bras. Le toucher comme électrique de tes mains dans mon dos. Un baiser dans le cou, tes mains autour de mon visage et ton regard qui sait se faire intense et qui sait se faire doux dans le mien qui a toujours toujours peur.

 

Un baiser de moi dans ton cou, sentir ta peau, explorer ton corps avant toute chose.

 

Ou est-ce que ta peau respire ou est-ce qu’elle parle, ou est-ce qu’elle se tait. La faire parler alors à cet endroit là où elle n’a pas encore tout dit.

 

Et puis c’est à toi de faire parler la mienne, on a tout le temps.

 

Un baiser sur les seins, un autre au creux secret des cuisses, là où c’est tout doux. De chaque côté puis au centre.

 

Mais assez prononcés les mots… en vrai maintenant.

 

Là, jeudi.

 

Je suis assise à la place que tu auras précautionneusement choisie. À côté de toi, c’est romantique. Tu me demandes comment je vais. Je te dis « bien ». Tu as entendu. On fait semblant de lire le programme. Mais on le lit quand même tout en faisant semblant. Un contact de ton pied ou de ta jambe. Et puis des étudiants autour, c’est peut-être gênant pour toi. Je ne sais pas ça. Moi je leur fais confiance. Il y a un peu urgence tu sais. Ta jambe là tout contre la mienne. Pas trop. Et puis tu passes ta main autour de mes épaules. J’ai le cœur qui bat.

 

Un peu moins d’intensité. Un peu plus de moins, un peu moins de plus. Quatre multiplications. Une soustraction. Oh, et puis non, les soustractions c’est trop compliqué. Une division. Une addition. Une à quoi tion. Heu…. Et gaule ? MC deux.

Racine au carré. Corneille au trou. Molière au balcon. Pas cotisons. Enfin, si, un peu. Il fît un lancement participatif. Et je hululis, et je pulula, et je pilulu. C’est le petit peau de la re traite de Perette.

Un nombre. Il. Premier. Soit douze fois. Multiplié par boite. Tiens. Dansons la karma yole. Vive le son. Un Kway.

Bon, bon.

***

 

Pour citer ce poème

 


Laure Delaunay, « Toi en moi », illustration de Gordan Ćosić, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 12 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/toienmoi.html

 

 

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Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6

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