10 mai 2017 3 10 /05 /mai /2017 10:32

 

Dossier majeur | Textes poétiques

 

 

Entre les lignes,

 

 

La tête dans mon poème

 

 

& Épine de douleur

 

 

 

 

Françoise Urban-Menninger

 

Illustrations de

 

Camille Claus

 

 

Ces dessins reproduits ont été spécialement réalisés par l’artiste pour accompagner les poèmes de Françoise Urban-Menninger publiés dans L’or intérieur paru chez Éditinter avec l'aimable autorisation des ayants droit, de Françoise Urban-Menninger et de la maison d'édition Éditinter à qui nous adressons nos sincères et chaleureux remerciements.

 

 

entre les lignes

Entre les lignes, La tête dans mon poème & Épine de douleur

© Crédit photo : Narcisse, dessin de Camille Claus.


 

 

 

sur ma feuille blanche

des ombres parfois se penchent

elles sont d'encre et de chair

et leur peau est lumière


 

elles viennent entre les lignes

me faire d'imperceptibles signes

depuis cet autre côté

où la vie les a quittées

 

 

***

 

épine de douleur

Entre les lignes, La tête dans mon poème & Épine de douleur

© Crédit photo : Une femme, dessin de Camille


 

quand la rose ouvre sa paupière

sur la tombe nimbée de lumière

on respire dans son haleine

la fragrance de notre peine


 

et dans notre cœur en pleurs

que traverse une épine de douleur

nous rejoignons en pensée

ceux qui nous ont quittés


 

mais c'est aussi dans cette lumière

que le verbe se fait chair

et que la rose refleurit

en terre de poésie

 

***

 

 

la tête dans mon poème

 

Entre les lignes, La tête dans mon poème & Épine de douleur

© Crédit photo : Reflets, dessin de Camille Claus.

 

 

est-ce l'air qui frissonne

ou ma peau qui frémit

seul le vent d'automne

se fait l'écho de mes nuits


 

la tête dans mon poème

je défais les fils du silence

et tisse sur la page blanche

le linceul de mes rêves


 

mais seul le vent d'automne

pressent cette amertume

au goût âpre de pomme

qui affleure sur mes lèvres de brume

 

 

***

 

Pour citer ces poèmes

 


Françoise Urban-Menninger, « Entre les lignes », « Épine de douleur » & « La tête dans mon poème », illustrations de Camille Claus, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 10 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/epine-douleur.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
9 mai 2017 2 09 /05 /mai /2017 08:07

 

Dossier mineur | Textes poétiques

Poétesse orientaliste

 

 

 

L’œuf — entre les mains

 

 

des deux déesses de Denderah 

 

 

 

Camille Aubaude

Sites officiels : http://www.camilleaubaude.com/

& www.lamaisondespages.com/

Blog officiel : https://camilleaubaude.wordpress.com/

 

Illustration de

 

Gordan Ćosić

 

 

 

C'est un récit de rêve inédit dans un recueil intitulé Les Mystères de l’âme au petit matin.

© Crédit photo : Gordan Ćosić, Vkonj 1, 2016

 

 

Un œuf immergé dans une piscine éclate au ralenti. La coquille se marbre de fissures, comme le pare brise de la voiture dont j’étais passagère, au Caire. L’enseignante d’anglais du Lycée français de Maadi conduisait. Elle parlait à tort et à travers. En interprétant son thème astral, je lui avais prédit une mort violente. Elle a percuté un bus rouge et jaune qui nous a fait faire des tonneaux. Je venais d’être titularisée professeur de lettres modernes.

Les fragments de coquille s’éparpillent en silence. La fixité me fait l’effet d’une flèche entrant dans le cerveau où elle libère des données insensées. Le jour où les élèves du collège Évariste Gallois à Sevran m’ont gazée dans une salle d’étude, j’ai eu l’impression d’être la cible sur laquelle on tire. Une agression met à terre. À leurs yeux, j’étais apatride. « Des femmes comme vous… » ! Comment pouvais-je leur enseigner la langue française ? Condamné à errer dans le « politiquement correct », le professeur est désemparé — c’est le mot propre pour une mort dans les normes.

Les filaments jaunes de l’œuf ondoient dans l’eau et finissent par se dissoudre. Pourquoi souffrais-je autant de voir l’œuf perdre sa forme ? Je perçois certains signes à outrance, par excès de solitude. À terre, la douleur s’épanche. À l’assaut des songes, elle divague, défiant la logique.

Je ne suis pas restée longtemps à Sevran. J’ai emprunté les chemins de traverse. La flexibilité de ces voies hors normes donne des joies réelles, qui sont rarement celles que l’on espère. Mes demandes de congé pour ne plus être gazée par mes élèves n’ont pas abouti. Un psychiatre de l’Hôtel Dieu a profité de mon désarroi de femme agressée pour me déclarer « inapte aux fonctions d’enseignante ». C’est l’oppression de l’Éducation nationale sur ses salariés. L’un commande, l’autre subit, mais l’on s’aperçoit que l’un interagit sur l’autre. Celui qui déclare l’inaptitude manipule pour la rendre vraie. « C’était ce que vous vouliez ? » a affirmé doucement le docteur.

Les filaments de l’œuf dessinent un corps de femme qui a la beauté miraculeuse d’une divinité : cheveux noirs, peau blanche où se noie l’écume. La tête est coupée, hors de l’eau, mais des hommes jettent des pierres pour que l’idole meure — la guerre assure leur puissance. C’est une simulation de noyade. Ils ne lui laissent pas de répit. Ils rendent le monde d’autant plus sanglant que la femme est désirante : Isabelle Eberhardt, Camille Claudel, Marie Curie, Julia Berger, Muriel Cerf, retenez ces noms, et l’Isis de la Maison des Pages qui dépeint la Féminité céleste. Ce qui nourrit l’œuvre est une lecture de la société où les hommes se battent pour prendre femme, où ils se rassemblent pour qu’une jeune femme pose nue devant leurs chevalets, où ils portent leur regard de jocrisse sur « la Femme », prêts à lâcher les chiens quand elle a une personnalité énergique et hors normes.

Dans l’eau, dans l’air, en tous points de la terre naît une femme immense sans les leurres de la séduction. Sa musique n’est pas corrompue. Éclairée d’un rayon de soleil, elle nage pour atteindre le bord de la piscine. L’apparition devrait s’effacer, retourner dans l’œuf, mais elle s’élance, sort de l’eau comme elle entrerait dans la réalité, pulsive et forte, ardente et fine. L’abondance éblouit, la délicatesse console : par elles, nous nous faufilons dans l’éternité !

Le sol de sable est mouvant. Il s’enfonce, il remonte, se distend et s’effile dans le ciel pendant que la Nymphe ajuste sur elle un maillot bleu azur. Un bonnet jaune vif recouvre sa chevelure. Des lunettes de plongée cachent à moitié son visage. Elle met un pince-nez, marche sur le plongeoir, est prête à s’élancer. Soudain éclate une musique de fanfare.

Le froid s’abat comme un couperet. La Nymphe est déroutée par l’eau qui clapote autour elle. Le bain cosmique a lieu à un point précis du globe : l’île de Philæ que l’eau du lac Nasser a recouverte. Le Dieu Soleil savait les exigences d’Isis, la Déesse Trône. Le Disque embrasé monte de l’Horizon.

En une seconde, la surface de l’eau prend l’aspect fascinant d’un champ de ruines. Les limites sont des rives qui se métamorphosent en danseurs. Ils se pavanent, ni amusants, ni inquiétants. Soupçonneuse, je regarde les pierres du sol gris cendre.

Ce sont les ruines de Fosta, le centre originaire du Caire, le point précis où l’enseignement est né pour irriguer les maisons de son eau claire. « Savoir et savoir faire » dit le langage creux, qui rend tout miracle impossible. L’on sait que des fanatiques et des profiteurs ont martelé les scènes d’allaitement. Ils ont bâillonné les religions à Mystères. Le conquérant attaque ce qui nous satisfait follement dans la vie. Sa colère se reporte sur les rondeurs des femmes.

Les fondations en briques crues aux dimensions inconnues sont celles de la première enceinte, et des premières villas de l’Égypte aux Dieux qui ne nous importent plus.

Souviens-toi, ô Fille ! les murs des maisons étaient décorés de Gorgones, de mosaïques aux algues ondoyantes. De bienheureux mariages renouvelaient le temps. Quel « flagrant délice » les ablutions ! Les murs ont mué en femme grenouille, en femme poisson, en serpente fidèle d’amour au large de paysages disparus.

À Fosta, le Nil a changé son parcours. Le Dieu Fleuve épouse le mouvement de la Terre suivi par l’ibis et les poules d’eau. La ville ne pouvait plus se servir du fleuve ; elle a cherché à s’en délivrer, pour créer sa grandeur. Son Centre s’est déplacé, tel un cœur transplanté dans un autre corps.

Les vestiges de Fosta, la première cité ne ont à présent un champ de ruines dans un paysage naufragé. Le fleuve sacré infiltre le sable avec la puissance silencieuse de la mer.

Je suis allée voir le champ de brumes d’où a surgi l’Égypte. Des gens se sont aimés là où n’est plus qu’une boue sèche labourée de nuées blanches. Les figures des Dieux gravitent sur la face de la Nature. Pourquoi suis-je revenue à Fosta trois fois ? Nerval chassait sa mélancolie, pleine de ferveur mystique, en se promenant dans la forêt de pierre. L’œuvre doit affranchir des arcanes du Temps. Elle fermente, nouvel Osiris, dans la terre illuviale.

La Déesse plonge dans la ville sous les lueurs des siècles. Un mirage. Sous les lueurs des veilles des pauvres âmes qui se sont laissées prendre au piège de l’entre dévoration et ne chantent plus. Usure, oppression, désolation, qui peut le dire ?

Coup de tonnerre : la scène vole en éclats. Des morceaux de coquille crissent comme des oiseaux de papier qui s’envolent au ralenti pour atteindre la gangue du Soleil. Les ruines se recomposent en un rectangle d’une matière ferme.

Il est stable. C’est une stèle funéraire, l’accomplissement.

 

***

 

Pour citer ce récit

 


Camille Aubaude, « L’œuf — entre les mains des deux déesses de Denderah », illustration de Gordan Ćosić, Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 9 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/deesses-denderah.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
8 mai 2017 1 08 /05 /mai /2017 13:58

 

 

Dossier mineur | Textes poétiques

 

 

 

Deux extraits

 

 

d'AImer à quatre temps

 

 

 

Christophe Schaeffer

 

Ces deux poèmes extraits sont reproduits avec

l'aimable autorisation de l'auteur et des éditions Librécrit

Deux extraits d'Aimer à quatre temps

© Crédit photo : image de la présentation du livre Aimer à quatre temps

par l'éditeur prise le 8 mai 2017 par LPpdm

 

 

 

***

 

Ton visage s’échappe d’heure en heure

Dans le trou noir d’un organe sans chaleur

 

Ma mémoire gelée par le froid de l’errance

Avec pour seul éclat de résistance

 

Descendant le long de ton cou

Cette note ruisselante

 

Un parfum chuchoté comme si c’était l’été

Ou l’instant premier de l’enfance

 

 

 

***

 

L’écume rouge

D’une lèvre baisant les ronces

 

Le désir du désir

Au plus loin que je renonce

 

Une terre lucide

Et l’opacité du sang qui ment

 

 

 

Cliquez ici pour commander ce recueil.

 

 

 

Pour citer ces poèmes

 


Christophe Schaeffer, « Deux extraits d'Aimer à quatre temps », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 8 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/almer.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6
7 mai 2017 7 07 /05 /mai /2017 16:01

 

N°6 | Poésie & musique

 

 

Dix chansons théâtrales

 

 

Joan Ott

 

Ces poèmes mis en musique sont reproduits

avec l'aimable autorisation de l'artiste

 

***

Vous pourriez également écouter tous les enregistrements de l'artiste sur le site "sound cloud" (https://soundcloud.com/rhodorius) et découvrir plus de détails sur l'artiste sur le site de la Compagnie La dorée (www.compagnie-ladoree.fr) dont le siège social est situé au 4 avenue de la Gare. 67560 Rosheim.

 

© Crédit photo : "Logo de la Compagnie La dorée".

 

***

 

Pour citer ces poèmes chantés

 

Joan Ott, « Dix chansons théâtrales », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°6|Printemps 2017 « Penser la maladie et la vieillesse en poésie » sous la direction de Françoise Urban-Menninger, mis en ligne le 7 mai 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/dix-chansons.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Numéro 6 Chansons

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