10 octobre 2017 2 10 /10 /octobre /2017 08:45

 

1er concours international de poésie

 

 

Poème sélectionné sur le thème "les animaux"

 

 

Oiselle en gras vagabonde

 

 

Natacha Guiller

 

Blog/blogue : http://natachaguiller.blogspot.fr/

 

 

 

 

Le mât voilé, l'âme amaigrie

Le bois massif à bleuets

Restauration à plat

Dorure frappée du siège

 

Icelui n'incorpore la liberté cloison

Ma prison d’espérance, d'expérience plastique

Chambrée laboratoire où le cobaye en gestes

Trafique le tamanoir en atteste l'autruche

 

Bled in bed, voyage autour de ma jambe

La danse d'réclusion, je chausse mes chaussons

À sabots repus, saute exilée des symptômes

Sabotage addictif du schéma de saint-homme

 

L'illuminée inextricablement trouble

Dépasse tout sans drainer le passage

Annexe patiente chancelle le dénivelé

Des caves à pompes funambules

 

Mythiques chroniques

De la vieille fille frêle et fêlée

Créative en rêve, la course débile

Énigmatique bile arriérée de sagesse

 

***

 

Pour citer ce poème

 

Natacha Guiller, « Oiselle en gras vagabonde », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques|Concours international (édition 2017 sur les animaux, le handicap & la joie), mis en ligne le 10 octobre 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/concours-oiselle.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Événements poétiques Distinctions
6 octobre 2017 5 06 /10 /octobre /2017 15:42

 

1er concours international de poésie | Poème sélectionné sur le handicap

 

N°7 | Muses au masculin | Travestissements poétiques

 

 

 

Confessionnal

 

 

 

Texte & illustrations

 

Claude Luezior

 

Site officiel : www.claudeluezior.weebly.com/

 

Cet extrait est reproduit avec l'aimable autorisation de l'auteur

 

 

© Crédit photo : 1ère de couverture de l'ouvrage Mystères de Cathédrale

(St-Nicolas de Fribourg), éd. Bibliothèque Cantonale et Universitaire de  Fribourg, 2016.

 

 

 

Être confessionnal, à l’heure actuelle, n’est pas une sinécure… Et je dois bien l’avouer : je suis presque au chômage. Moins de crimes, d’adultères, de trahisons ? Non : ils n’ont soi-disant plus rien à se reprocher. C’est la faute de l’autre, des étrangers, des impôts, des patrons, des employés. La société, blanche comme neige, n’avoue plus qu’un crime : celui de ne pas aimer les confessionnaux.

 

Fini le temps béni des courtisanes vautrées dans leurs péchés, des politiciens véreux soudainement pris de remords, des jeunes filles décrivant leur première fois, des belles-mères dégoulinantes de fiel, des maquignons, des beaux capitaines aux bataillons d’enfants naturels.

 

Me restent l’aumône de deux-trois grenouilles crapahutant hors d’un bénitier presqu’à sec, un smic de larcins véniels, la génuflexion d’un Alzheimer qui n’a plus que ses cent ans à déclarer. Pas de quoi fouetter un démon !

 

Non, ce n’est pas drôle. Et pas juste, car le Très-Haut m’interdit toute publicité. Concurrence déloyale : ces Messieurs Javel, Karcher et Savon de Marseille en font pourtant par pages pleines. Parfois, j’écarte le rideau d’un coup sec pour guigner de-ci, de-là. Tous ont le ventre bedonnant, la calvitie proprette. Ils traînent leur insouciance, le nez dans les vitraux comme dans un musée, un restant de sandwich au coin des babines. Cartes de crédit pleines mais poches vides : pas un sou pour les bougies de la Vierge ni pour le tronc de saint Antoine, pas un péché pour moi. Rien !

 

 

© Crédit photo : Claude Luezior, Confessionnal.

 

 

Bien sûr, j’ai réclamé en Haut-Lieu. Question pénitence pour ces mécréants, Lucifer m’a signifié qu’une bonne épidémie n’était plus à la mode, qu’une guerre de cent ans était trop compliquée à organiser, qu’un tsunami en ces montagnes serait invraisemblable... Et, de toute manière, qu’il était à la retraite et que sa partie de cartes avec l’archange Michel n'était pas terminée.

Alors, que faire ? Avec mes planches, fabriquer un cercueil pour mes illusions d’un paradis sans taches ? Tailler une nouvelle barque pour Charon, lui qui en a si besoin ? Démonter ma boîte à soucis pour allumer un feu de joie ? Solder le tout, bénédiction comprise, en un seul lot, sur Internet ?

Dites-moi votre avis, vous qui êtes immaculé. Vite, venez... me le confesser !*

 

© CL

 

* Ce texte est un extrait de Claude Luezior, Mystères de Cathédrale (St-Nicolas de Fribourg), publié par la BCU, Fribourg, Suisse, 4e trim. 2016, reproduit avec l'aimable autorisation de la Bibliothèque Cantonale et Universitaire de Fribourg, 2016.

 

***

 

Pour citer ce poème en prose

 

Claude Luezior (texte et illustrations), « Confessionnal », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques|Concours international (édition 2017 sur les animaux, le handicap & la joie) & N°7 | Automne 2017 « Femmes, poésie & peinture » sous la direction de Maggy de Coster, mis en ligne le 6 octobre 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/10/concours-confessionnal.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Événements poétiques Distinctions Numéro 7
30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 13:36

 

1er concours international de poésie

 

 

Interprétation poétique filmée sélectionnée sur la joie

 

 

« Ode à Adeline Chambriard »

 

de Camille Aubaude

 

 

 

 

 

Raphaëlle Gayon

 
 
 
Présentation
 
 
Poème : « Ode à Adeline Chambriard » de Camille Aubaude
Lecture par : Raphaëlle Gayon
Réalisatrices : Raphaëlle Gayon avec Delphine André
 
Tourné l'été 2017 à la Galerie Daniel Templon, le film de Raphaëlle Gayon avec Delphine André se déroule se déroule dans l'installation de Chiharu Shiota, "la forêt rouge des transformations", qui relaie le sentiment sacré du Voyage en Orient de la poétesse Camille Aubaude, recueil disponible sur commande en contactant : lamaisondespages@orange.fr
 
https://youtu.be/2NcFrK8pUFg

Événements poétiques | 2017 | Concours international de poésie (1ère édition)

 

***

Pour citer ce film


Raphaelle Gayon, «  "Ode à Adeline Chambriard" de Camille Aubaude  », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques|Concours international (édition 2017 sur les animaux, le handicap & la joie), mis en ligne le 30 septembre 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/9/concours-ode.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Événements poétiques Distinctions
28 septembre 2017 4 28 /09 /septembre /2017 15:04

 

1er concours international de poésie

 

 

Poème sélectionné sur le thème "la joie"

 

 

Les moufles’ moutatchou

 

 

Natacha Guiller

Blog/blogue : http://natachaguiller.blogspot.fr/

 

 

 

 

Têtard trop tard

Petit salé mi-cuit enterré

Poisson pané d’utérusoporose

 

Il est des regards en nids de kangourous

Qui ondulent, petite moustache, sur mes restes de peau

Je manque échoir au sol, la terre sèche où s’écroule

L’éradiqué espoir un jour des rives en mer Poule

 

Si tout un humain s’ébrèche sur mon mode

Infertile sabotage du genre féminin

Infantile fêlure au casque

C’est l’extinction de l’Homme

 

Maman à mon âge, le couffin love tes flancs

Le doucereux paysage d’un bain incontinent

Le velours utérin absent de marécages

Modelée, fac-similé au cœur de ton sillage

Adoptée, mise en ligne sur Mondedesvivants

 

J’ai dilapidé grave

Mon capital mioche

Ravale des coques de noix

Dans un mouchoir de poche

Dali esquisse pour moi

L’ovale surréaliste

L’œuf en froid stérile

Attente les montres molles

 

Je ne saigne ni ne geigne

La ménorrhée anhydre

D’un corps dénué de règles

Sans lois élémentaires

Sang-froid, sans chair, amorphe

Absente de désir

Déni d’eaux menstruelles

Éradique l’ovaire

 

Les saisons englouties en zone inhabitable

Mes cellules d’innocence ont déserté le Nil

Nombril inerte au corps, logo ad vitam

D’aucune œuvre pastiche suivra ma délivrance

 

Je partirai sans charme, en nonne solitaire

Ma faïence immuable, bruits d’os d’éclats de terre

Je partirai en femme, utopique daronne

L’à-demi-mémorable petite ourse d’hiver

 

Le regard tournique en landaus

Trouble dérive, la privation

Péril jeune, dénidation

L’élan d’une jeunesse ivre

 

Vision de petites moufles

Sourient en libellules

L’esbroufe conciliabule

Commun accord : la joie de vivre

 

***

 

Pour citer ce poème

 

Natacha Guiller, « Les moufles’moutatchou », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : Événements poétiques|Concours international (édition 2017 sur les animaux, le handicap & la joie), mis en ligne le 28 septembre 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/9/concours-moufles.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Événements poétiques Distinctions
27 septembre 2017 3 27 /09 /septembre /2017 10:03

 

Poème pour "Les voix de la paix et de la tolérance" 

 

 

L’Emploi du « Je » et autres Invalides

 

 

Natacha Guiller

Blog/blogue : http://natachaguiller.blogspot.fr/

 

 

 

 

N.B. Ce poème peut être coupé ;

Comme on coupe les vivres au bipolaire en phase euphorique

Comme on coupe court à la discussion avec le diagnostiqué Fou

Comme un coupe-faim pour l’anorexique

[...]

 

To fall/ I fell/ fallen

Tiraillement d’un corps en péril

Tiers-temps de l’éclopée en proie à l’exil

À l’extinction. Je flotte en marge

Sans statut dans les Stat’es

Aux US’, l’avancée des sciences

No place nowhere

La société m’interpose au vestiaire

M’isole en Outsider. Dehors

 

Un endroit où aller

 

J’erre en l’avenir incertain

En fake et autres faux-semblants

La vue trouble, le geste transpirant

Barbituriques à l’appui, avale puis Motus

 

Les faits sont là, je suis bannie

Genoux liés, lèvres cousues

L’aval, la montre, le grain

L’effet secondaire, des tics et tocs

Toc-toc, TDAH’, la hache le

Couteau sculpte des mots

Sur mes bras, de l’eau jusqu’aux coudes

Jusqu’au cou tranché

Étranger-Fou

Je range alors mes certificats

Et je dors

 

Assommée d’injustice, d’hospice et de Médoc

Exempts cœur et kir, les drogues dissoutes

Dans un corps en fuite

Anesthésie mentale ou le rejet unanime

Je m’en vais pipailler aux oies ouailles et oisifs ouzbeks

Ci-gisent les gens du Monde, jambon et mauvaise herbe

Du snobisme orienté

Cartes sur table, handi-e-carte, cartable, handi-capable, handy

Cartes à jouer, à gratter, les cases, escapade et fugue

De l’établissement de Santé

 

La psychiatrie met à la rue ce qu’autrui soupire en bulle

Caser en cellule la folie immanente

Je déménage d’absurde en déni déca-danse

Indécente dégénérescence de l’estime des gens

De soi

 

J’ai quitté malgré moi ma tablette d’écolière

En carences d’études, en cours d’apprentissage

Débris d’absences chroniques en un cycle ternaire

J’ai déserté mes pairs, vers d’autres paysages

J’ai différé ma route et mon enseignement

Révisions dans une bulle, une chambre d’isolement

J’ai dessiné ma vie, dans ma cellule close

Mes cellules qui explosent, mon effacement

 

L’art à la rescousse, j’ai trouvé en moi-même

Les quelques clés de voûte de l’imaginaissant

 

J’ai déserté l’école où je rampais contrainte

De traînasser un sac, empli de chaux éteinte

Sac d’os usés, sac d’étoiles mortes

Son poids qui jusqu’alors m’avait outrepassée

J’ai rendu à la classe mes planches en un bloc

Le trait en sismographe tremblant d’une ECG

 

Le collège me légua une paume de privilèges

De laps prolongés en marges résiduelles

L’astreinte à l’attardée, la lenteur en valeur

J’ai pu quitter la classe, affichant le papier

J’ai du quitter la classe où l’écran clignotant

Menaçait l’in-patiente, la tendre épileptique

Devenant le fantôme, la présence incertaine

La buissonneuse-chômeuse, étrange spécimen

 

J’ai caché dans mon sweat la note du neurologue

Abritant en moi-même le handicap moteur

Puis j’ai grimpé l’échelle à l’aube de l’aurore

Encéphalo-perchée sur les échafaudages

 

On me défend l'auto, le sport, la chute libre

On me défend le risque, on m’interdit la mort

On défie mon regard en me tendant la liste

Le traitement générique. Stabilisateur

 

Le soir où se propage la dépression latente

Le jardin partagé d’arborescent cloître

Je noircis des chèques comme des mouchoirs de sang

Une encre maladive à tous ces prétendants

M’accueillent à résidence, chambre ou cabinets

De jour ou d’internat, je dilapide, je brûle

L’aveugle héréditaire pécule en soins divers

Le Care en prime au deuil, l’absentéiste salaire

 

Je plis le creux des coudes, l’ironique alternance

Tentant l’insecte, le vice, le pic d’accoutumance

Mon agenda groggy, et l’oreille à l’otite

Le psy sceptique délègue le cas hypothétique

Dossier vacant

 

Les rendez-vous en chaîne, le réseau de médecins

Professeurs et confrères, aux thérapies variables

Client incurable

 

Sans profession rémunérée

Moins CDI, plus HDT

CDD, c’est décidé, l’embauche

L’ébauche d’un rejet professionnel

La carrière en vue, pleine de gravât

Je quête pierres et vains chemins

Un rôle à jouer parmi des pairs

Crayon en main, j’esquisse le geste

Haine, compulsif, nerveux, décrie dès lors

La libération, j’illustre la condition

Du marginal attardé, ralenti dans la vie

Et qu’on bouscule

Qu’on bouleverse, hypersensible, qui proteste et refuse

Le système brut, fait de l’Art Brut. Manifeste

Éloge du Fou, d’existence singulière

 

L’hostilité d’autrui ou écueil généralisé

Je pleure et je perds mon intégrité

Ma chair évaporée, je dissémine mon corps

Ma hargne, mon flegme, mon identité

Je me dissous haute-tension, masse, je m’envole presque

Pour oublier. La dead-line de mes jours restants, des comprimés

Qui abrègent, pour ralentir une cadence, un bore-out funeste

 

La tête bouillonne, tangue, et culbute

En déséquilibre sur un corps en sclérose

Tiers-états d’âme, en un tiers-corps sans arme

Tiers-temps d’agir, m’inspire, puis tierce personne qui ose

Sonner le glas, la sentence face au Fou

L’incapable dans la démence, le danger free dans la Nature

 

Prise en charge, emprise, sous contrôle thérapeutique

Poids de mesure et bracelet électronique

Le flamand rose sur sa patte pendu

Le moineau qui ne mange plus

Le yéti qu’on évite, pour bien trop peu ragoûte

 

J’ai fabriqué en chaîne de fausses fleurs Arc-en-ciel

Employée incertaine, saillies failles intérieures

Il a suffi d'un geste faible, d’une lenteur

Pour, en un vers m'extraire, me mettre dehors

 

Mon corps en veille rêve en travail

Ainsi je voyage en un Monde côtier

Une terre en jachère sans l’horizon palpable

À l’œil nu, l’espace des possibilités

Les rhizomatiques roads de la tolérance

Les pylônes réguliers d’un accompagnement

L’avant-bras nu sur l’épaule frêle

Solidarité

 

***

 

Pour citer ce poème

 

Natacha Guiller, « L’Emploi du "Je" et autres Invalides », Le Pan poétique des muses|Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques« Événement poétique 2017 : ''Les voix de la paix et de la tolérance" », mis en ligne le 27 septembre 2017. Url : http://www.pandesmuses.fr/2017/9/invalides.html

 

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Le Pan poétique des muses - dans Événements poétiques

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