12 août 2022 5 12 /08 /août /2022 17:58

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Revue Matrimoine |  Revue culturelle d'Europe 

 

 

​​​​​

 

 

 

 

 

Marie Anne de Gérando, 

 

 

une aïeule oubliée

  

 

​​

 

 

 

Texte & photographies

 

Françoise Urban-Menninger

 

Blog officiel : L'heure du poème

 

 

 

 

 

 

© Crédit photo :  Image prise par Françoise Urban-Menninger de la gravure de Marie Anne de Rathsamhausen publiée dans l'édition de 1881 des Lettres de la-baronne de gerando, été 2022.

 ​​​​

 


 

C'est dans un minuscule musée de 12m²,  situé dans le  jardin du presbytère de Grussenheim en Alsace, blotti dans une maisonnette à pan de bois et aux murs en torchis datant du XVIIIe siècle qui abritait jadis un fournil à Schwobsheim que j'ai fait la connaissance de Marie Anne de Gérando.*

 

 

 

© Crédit photo :  Image prise par Françoise Urban-Menninger dans la musée consacré à Marie Anne de Gérando. Été 2022.

 

 

 

 

Ce petit musée reconstruit à Grussenheim après avoir été démonté à Schowsheim a été inauguré en 2018 par les Amis d'Annette de Rathsamhausen, baronne de Gérando, une association présidée par Christophe Haberkorn, dont l'objectif est de perpétuer le souvenir de cette personnalité hors du commun née dans le village en 1771 décédée en 1824 à Thiais dans le Val-de-Marne.

 

 

La maison natale de Marie Anne de Gérando, dite « Annette », surnommée « Immortelle » par ses amis, était visible à Grussenheim jusqu'en février 1999, date à laquelle elle a été détruite. L'association des Amis d'Annette s'est constituée dès 1998 pour célébrer sa mémoire et l'on peut encore aujourd'hui appréhender ce que fut sa vie dans un ouvrage intitulé « Lettres de la baronne de Gérando » suivies d'un fragment de son journal écrit de 1800 à 1804, publié par son fils Gustave à la fin du XIXe siècle.

 

 

À la mort de sa mère, puis de son père, Annette, ruinée, fut recueillie par la famille de Berckheim à Schoppenwihr et par le poète aveugle Théophile Conrad Pfeffel. C'est grâce à ce dernier qu'elle rencontre Joseph Marie de Gérando qui deviendra son époux et qu'elle suivra à Paris. Annette y rencontrera notamment Germaine de Staël, Juliette Récamier, Benjamin Constant.

 

 

Pour mieux connaître la vie de Marie Anne de Gérando, aujourd'hui méconnue, voire injustement oubliée, l'association  des Amis d'Annette de Rathsamhausen, et du Vieux Grussenheim, en partenariat avec la société d'Histoire de la Hardt et du Ried, a publié sous la houlette de Jean-Philippe Strauel un ouvrage richement illustré qui lui rend hommage et qui donne au lecteur un aperçu de sa vie à la cour de Napoléon Bonaparte ainsi que de son talent littéraire dont témoigne Madame de Staël qui écrivait : « Je ne connais que deux femmes en France qui écrivent d'une manière supérieure, ma cousine de Germanie et Madame de Gérando » !

 

 

 

© Crédit photo :  Image prise par Françoise Urban-Menninger de la gravure de Marie Anne de Rathsamhausen (épouse de Gerando) avec son fils gustave vers 1805. Été, 2022.

 

 

 

En retour, on peut lire sous la plume de Marie Anne de Gérando : «  L'esprit prodigieux et la réputation de Madame de Staël m'imposent et m'intimident ; mais la bonté de son coeur, l'injustice de quelques hommes envers elle, me touchent profondément, et je pourrais l'aimer beaucoup, si elle ne m'était trop supérieure. Mon Dieu ! Qu'elle dit de jolies choses et qu'elle les dit bien ».

 

 

© Françoise Urban-Menninger

 

 

 

* J'ai récemment découvert cette personnalité dans un minuscule musée en Alsace. Citée dans le Dictionnaire de la SIEFAR et un livre vient de lui être dédié. Les images ont été prises des gravures publiées dans l'édition de 1881 des Lettres de la baronne de Gérando.

 

 

***

 

Pour citer cet article inédit

 

​Françoise Urban-Menninger (texte & photographies), « Marie Anne de Gérando, une aïeule oubliée », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 |HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre »,  mis en ligne le 12 août 2022. Url :

http://www.pandesmuses.fr/no12/fum-marieannedegerando

 

 

 

 

Mise en page par David

 

 

© Tous droits réservés

 

Retour au sommaire du N°12

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES - dans Numéro 12 Muses et féminins en poésie
9 août 2022 2 09 /08 /août /2022 18:00

N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège / Poésie des aïeules  | Handicaps & diversité inclusive

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La jeune aveugle pianiste du concert

 

de la loterie des artistes lyonnais

 

en faveur des inondés du Midi

 

 

 

 

 

​​

Adèle Souchier (1832-19??)

Poème choisi & transcrit par Dina Sahyouni

 

 

 

​​​Crédit photo : Pauline Auzou, "Two Women Making Music", domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

Le poème ci-dessous provient de SOUCHIER, Adèle (1832-19??), L'oiseau blessé : poésie, Paris, BLOUD et BARRAL, libraires, 18 rue Cassette, 1878, p. 47. Le recueil appartient au domaine public.

 




 

Elle n'a pas ses yeux... mais elle a son génie !

Pauvre ange ! ses accords nous ont longtemps charmés ;

Ils étaient tour à tour, vifs, moelleux, animés,

Toujours si ravissants, si brillants d'harmonie !


 

Nous t'écoutions émus, jeune fille bénie ;

Ce Pleyel, sous tes doigts, eut des accents aimés,

Et les échos divins, tu les as tous semés

Dans la salle où les arts ont leur grâce infinie.


 

Ton infortune est là, souriant au malheur,

Prêtant son beau talent qui peut toucher le cœur,

Afin de secourir un effrayant martyre !


 

Les larmes dans les yeux, je te serrai la main,

Lorsque de mon pays je repris le chemin,

En te disant : Merci ! car, ma sœur, je t'admire !

 

 

 

***

 

Pour citer ce poème de l'aïeule

 

Adèle Souchier, « La jeune aveugle pianistedu concert de la loterie des artistes lyonnais en faveur des inondés du Midi », extrait de SOUCHIER, Adèle (1832-19??)L'oiseau blessé, poésie (1878), choisi & transcrit par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 |HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre »mis en ligne le 9 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/souchier-lajeunepianiste

 

 

 

 

Mise en page par Aude

 

 

Retour au sommaire du N°12​​

7 août 2022 7 07 /08 /août /2022 16:33

N°12 | Poémusique des femmes & genre Poésie & Genre | Dossier majeur | Florilège / Poésie des aïeules

 

 

 

 

 

 

 

 

La chanteuse

 

 

 

 

 

​​

Adèle Souchier (1832-19??)

Poème choisi, transcrit & annoté par Dina Sahyouni

 

 

 

 

​​​Crédit photo : Pierre-Auguste Renoir, une musicienne (et chanteuse ?) jouant de la guitare, domaine public, Wikimedia.

 ​​​​

 

 

Le poème ci-dessous provient de SOUCHIER, Adèle (1832-19??), L'oiseau blessé : poésie, Paris, BLOUD et BARRAL, libraires, 18 rue Cassette, 1878, pp. 140-141. Le recueil appartient au domaine public.

 

 

 

 

Je sais un titre cher qui m'est un doux sourire,

Une aimable harmonie, un ravissant trésor,

Un rayon imprégné de tout l'éclat de l'or ;

Aussi, je le murmure aujourd'hui sur ma lyre.

 

 


 

Puisqu'il m'est précieux, – pourquoi ne pas le dire ! –

Plus que d'ardents bravos au fier Toréador1,

Bien plus que ce Pérou que l'on envie encor,

Puisqu'il est ma richesse... oh ! Je puis bien l'écrire.

 

 


 

Je le répète donc avec naïveté,

Le voici, dans sa simple et charmante beauté,

Oui, tel qu'il a su plaire à la pauvre fauvette.


 

Ah ! pour l'avoir aimé du profond de mon cœur,

Et pour l'avoir chanté, comme on chante un vainqueur,

Mon agreste2 pays me nomme son poète !

 

 

Notes

 

1. Toréador est un substantif masculin vieilli et souvent remplacé par le nom Toréro (celui qui combat les taureaux dans des espaces publics ).

2. L'adjectif Agreste renvoie à la campagne, à la vie pastorale, champêtre, bucolique, voire rurale ou rustique. Quant au nom Agreste, il désigne un papillon brun.

 

 

***

 

Pour citer ce sonnet de l'aïeule

 

 

Adèle Souchier, « La chanteuse », extrait de SOUCHIER, Adèle (1832-19??)L'oiseau blessé, poésie (1878), choisi, transcrit & annoté par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 |HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 7 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/souchier-lachanteuse

 

 

 

Mise en page par Aude

 

 

Retour au sommaire du N°12​​

***

 

Pour citer ce sonnet de l'aïeule

 

 

Adèle Souchier, « La chanteuse », extrait de SOUCHIER, Adèle (1832-19??)L'oiseau blessé, poésie (1878), choisi, transcrit & annoté par Dina Sahyouni pour Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques : N°12 |HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 7 août 2022. URL :

http://www.pandesmuses.fr/no12/souchier-lachanteuse

 

 

 

Mise en page par Aude

 

 

Retour au sommaire du N°12​​

21 juin 2022 2 21 /06 /juin /2022 17:41

Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 | Poésie, musique art audiovisuel | Poésie érotique & N°12 | Poémusique des femmes & genre | Dossier majeur | Florilège​ |  Poésie érotique

 

 

 

 

 

 

 

 

Le chant de mon oud

 

 

 

 

 

 

 

Poème & dessin

 

Mokhtar El Amraoui

 

 

 

© Crédit photo :  Mokhtar El Amraoui, « Le chant de mon oud ».

​​​​

 

 

Sauras-tu écouter,

Sur le fil tendu éperdu des heures,

Mon oud fêlé, qui pour toi,

S’habille de mille feux d’oiseaux d’oueds ?

Je te viens, de bien loin, te dire, de mon levant

En courbes, le sang fatigué,

Pourtant, tant enchanté de mon attente,

De mon inextinguible soif

Qui boit à la Seine de tes courbes assoiffées

Et aux galbes dressés de tes seins parfumés

Par tant de désir retenu, détenu

Qui veut exploser et tuer ces inutiles morts lentes !

Pourquoi ne suis-tu pas les pas de nos pas qui nous dansent ?

Écoute, donc, tout ce bois, toutes ces cordes,

Qui en nous, qui par nous, qui pour nous

Se font chair,

Se font voix,

De nos chairs,

De nos voix,

Voix de nos chairs,

Chairs de nos voix

Et renaissent à leur quintessence,

Sans peines ni souffrances,

De fontaine t’attendant, en stances

Se tendant, s’étendant

En oud, en ses pleurs fous d’incompris, en ses fleurs

S’offrant aux feux de tes lèvres,

À la chaude rosée printanière de tes seins qui ont soif,

Roucoulant à quatre mains tous ces jasmins en éclairs

Si lactés convolant en justes notes égarées

Puis retrouvées en fugues mineures, en fugues majeures égayées

Loin de toute frayeur, reniant les blêmes torpeurs,

En volutes fulminant de cris d’aimer tapageurs

De gémir, de soupirs, de complaintes et de bonheur

Dits dans nos couleurs d’après silences et douleurs,

En fusions enivrées de danseurs !

Écoute-le, mon oud, prendre en ailes

Tes furtifs sourires d’apeurée

Pour les faire planer

Sur les plus hautes cimes des extases éclatées !

Ris-toi, mais ris-toi, donc, de ces cendres

Qui veulent étouffer les chaudes braises

De ton corps qui brûle dans cette geôle

Qui assassine ta liberté et ses radieux envols !

Écoute-le, mon oud, mon cœur,

Te chanter en odes, toi qui l’as charmé :

« Ceins tes seins des lauriers de tes trophées

Qui méritent leur chemin de volupté,

Pour laisser fleurir, à jamais, l’or

De ce splendide bonheur,

Le sublime droit d’aimer ! »

 

 

© Mokhtar El Amraoui in « Le souffle des ressacs »​​​​​​.

 

 

***

 

Pour citer ces dessin & poème d'amour inédits

 

 

​Mokhtar El Amraoui (poème & dessin), « Le chant de mon oud », Le Pan Poétique des Muses | Revue féministe, internationale & multilingue de poésie entre théories & pratiques :  : Événements poétiques | Festival International Megalesia 2022 « Les merveilleux féeriques féministe & au féminin » & N°12 | HIVER 2022-23 « Poémusique des Femmes & Genre », mis en ligne le 21 juin 2022, Url :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia22/no12/mea-lechantdemonoud

 

 

 

Mise en page par David

 

© Tous droits réservés

 

Retour à la table de Megalesia 2022

 

Retour au sommaire du N°12

19 juin 2021 6 19 /06 /juin /2021 17:58

 

REVUE MDV | N°1 Célébration | Ré (Réceptions) 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marceline Desbordes-Valmore

 

 

témoin de son temps

 

 

 

 

 

 

Maggy de Coster

​​​​Site personnel

Le Manoir Des Poètes

 

 

 

© ​​​​​Crédit photo : Capture de l'Image présente dans les œuvres complètes de Marceline Desbordes-Valmore de 1931, image réalisée par DS.

​​​​

 

 

 

Honorée par Verlaine qui l’a découverte par la grâce de Rimbaud, vénérée par Baudelaire, saluée par Mallarmé, Aragon et bien d’autres pour l’essence de son écriture poétique, Marceline Desbordes-Valmore n’a pas fini d’enchanter les amoureux des Belles Lettres d’hier et d’aujourd’hui.

 

D’elle on connaît la mère pleurant de douleur la perte de ses trois enfants et noyant son chagrin dans la composition des vers poignants et aussi la femme délaissée qui espère en vain le retour de l’être aimé. Mais on connaît moins bien la femme de cœur qui fut la seule à immortaliser en poésie La Révolte des Canuts à Lyon en 1834.

Elle est bien celle qui a vu « le plomb déchirer et séparer les corps ». Témoin oculaire des atrocités de son temps, elle consigne son témoignage dans ce poème :

 

 

Dans la rue par un jour funèbre de Lyon

 

 

La femme.

Nous N'avons Plus D'argent Pour Enterrer Nos Morts.

Le prêtre est là, marquant le prix des funérailles ;

Et les corps étendus, troués par les mitrailles,

Attendent un linceul, une croix, un remords.

 

Le meurtre se fait roi. Le vainqueur siffle et passe.

Où va-t-il ? Au Trésor, toucher le prix du sang.

Il en a bien versé.. mais sa main n'est pas lasse ;

Elle a, sans le combattre, égorgé le passant.

 

Dieu l'a vu. Dieu cueillait comme des fleurs froissées

Les femmes, les enfants qui s'envolaient aux cieux.

Les hommes.. les voilà dans le sang jusqu'aux yeux.

L'air n'a pu balayer tant d'âmes courroucées.

 

Elles ne veulent pas quitter leurs membres morts.

Le prêtre est là, marquant le prix des funérailles ;

Et les corps étendus, troués par les mitrailles,

Attendent un linceul, une croix, un remords.

 

Les vivants n'osent plus se hasarder à vivre.

Sentinelle soldée, au milieu du chemin,

La mort est un soldat qui vise et qui délivre

Le témoin révolté qui parlerait demain..

Des femmes.

Prenons nos rubans noirs, pleurons toutes nos larmes ;

On nous a défendu d'emporter nos meurtris :

Ils n'ont fait qu'un monceau de leurs pâles débris :

Dieu ! bénissez-les tous ; ils étaient tous sans armes !

 

 

Marceline Desbordes-Valmore (1786- 1859).

Lyon, 4 avril 1834, (Œuvres poétiques).

 

 

Pour citer ce témoignage 

 

Maggy de Coster, « Marceline Desbordes-Valmore témoin de son temps », texte inéditMarceline Desbordes-Valmore|Revue annuelle, internationale, multilingue & poéféministe (poefeminist)« Célébration », n°1, volet 2, mis en ligne le 19 juin 2021. Url :

http://www.pandesmuses.fr/periodiques/mdv/no1/mdc-temoindesontemps

 

 

 

 

Mise en page par Aude Simon

 

 

© Tous droits réservés

 

Retour à la Table de Megalesia 2021 

 

Retour au N°1 

Bienvenue !

 

RÉCEMMENT, LE SITE « PANDESMUSES.FR » A BASCULÉ EN HTTPS ET LA DEUXIÈME PHASE DE SA MAINTENANCE PRENDRA DES MOIS VOIRE UN AN. NOTRE SITE A GARDÉ SON ANCIEN THÈME GRAPHIQUE MAIS BEAUCOUP DE PAGES DOIVENT RETROUVER LEUR PRÉSENTATION INITIALE. EN OUTRE, UN CLASSEMENT GÉNÉRAL PAR PÉRIODE SE MET PETIT À PETIT EN PLACE AVEC QUELQUES NOUVEAUTÉS POUR FACILITER VOS RECHERCHES SUR NOTRE SITE. TOUT CELA PERTURBE ET RALENTIT LA MISE EN LIGNE DE NOUVEAUX DOCUMENTS, MERCI BIEN DE VOTRE COMPRÉHENSION ! 

LUNDI LE 3 MARS 2025

LE PAN POÉTIQUE DES MUSES

Rechercher

Publications

Dernière nouveautés en date :

VOUS POUVEZ DÉSORMAIS SUIVRE LE PAN POÉTIQUE DES MUSES  SUR INSTAGRAM

Info du 29 mars 2022.

Cette section n'a pas été mise à jour depuis longtemps, elle est en travaux. Veuillez patienter et merci de consulter la page Accueil de ce périodique.

Numéros réguliers | Numéros spéciaux| Lettre du Ppdm | Hors-Séries | Événements poétiques | Dictionnaires | Périodiques | Encyclopédie | ​​Notre sélection féministe de sites, blogues... à visiter 

 

Logodupanpandesmuses.fr ©Tous droits réservés

 CopyrightFrance.com

  ISSN = 2116-1046. Mentions légales

À La Une

  • ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL | NO III
    . CÉLÉBRANT LES AUTRICES EXILÉES, IMMIGRÉES, RÉFUGIÉES... LE 8 MARS DE CHAQUE ANNÉE, LE PRIX LITTÉRAIRE DINA SAHYOUNI (PORTANT LE NOM DE LA FONDATRICE DE LA SIÉFÉGP ET DE CETTE REVUE) REDÉMARRE À PARTIR DU 14 JUILLET 2025 POUR L’ÉDITION DU 8 MARS 2026....
  • Éclats de mémoire archéologique gazaouie
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Revue culturelle des continents* & REVUE ORIENTALES (O) | N° 4-1 | Varia & Actualité Éclats de mémoire archéologique gazaouie Mustapha Saha Sociologue, poète, artiste peintre Sociologue-conseiller...
  • les charniers de l’humanité
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Catastrophes, faits de société & faits divers | S’indigner, soutenir, lettres ouvertes & hommages | Revue Poépolitique les charniers de l’humanité Poème anti-guerre par Françoise Urban-Menninger...
  • Actualités poétiques à ne pas manquer en juin ! (suite...)
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Annonces diverses / Agenda poétique Actualités poétiques à ne pas manquer en juin ! (suite...) La rédaction de ce périodique a sélectionné pour vous les événements artistiques & poétiques...
  • L’âme des choses
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Florilège | Fictions féministes | Astres & animaux L’âme des choses Récit par Françoise Urban-Menninger Blog officiel : L'heure du poème Peinture par Mary Cassatt (1844-1926) Crédit...
  • Vertille
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Critique & réception / Chroniques de Camillæ | Dossier Vertille Chronique féministe & photographies par Camillæ/Camille Aubaude https://everybodywiki.com/Camille_Aubaude Blogue officiel :...
  • Mary Cassatt (1844-1926)
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Articles & Témoignages | Revue Matrimoine Mary Cassatt (1844-1926) Notice biographique par Sarah Mostrel Site : https://sarahmostrel.wordpress.com Facebook : https://www.facebook.com/sarah.mostrel...
  • Suzanne Valadon (1865-1938)
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Articles & Témoignages | Revue Matrimoine Suzanne Valadon (1865-1938) Notice biographique par Sarah Mostrel Site : https://sarahmostrel.wordpress.com Facebook : https://www.facebook.com/sarah.mostrel...
  • Le récit « Souvenirs de Chine » écrit & illustré par Marie-Jeanne Langrognet-Delacroix vient de paraître aux Éditions Astérion
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Critique & Réception | Poésie & littérature pour la jeunesse Le récit « Souvenirs de Chine » écrit & illustré par Marie-Jeanne Langrognet-Delacroix vient de paraître aux Éditions Astérion...
  • Avis de parution du nouveau recueil bilingue français-espagnol d’Aurélie-Ondine Menninger : La sangre de las aves / Le sang des oiseaux
    N° III | ÉTÉ 2025 / NUMÉRO SPÉCIAL « CRÉATRICES » | 1er Volet | Dossier | Florilège Annonces diverses / Agenda poétique Avis de parution du nouveau recueil bilingue français-espagnol d’Aurélie-Ondine Menninger : La sangre de las aves / Le sang des oiseaux...